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and i need you more than ever, if you only hold me tight... ★ ─ w/ @Mikke Fitzgerald

16 avril

tu inspires le grand air de la plage comme si tes poumons prenaient la première bouffée d’air de leur existence. tu as besoin de ça, tu as besoin d’enfin avoir la sensation de respirer. respirer sans gêne, sans obstruction. et il n’y a que ta passion qui peut t’aider maintenant. tu t’avances, l’eau salée attaque chaque pore de ta peau. tu accueilles le froid glacial avec un doux sourire. les morsures sont douces comparées à ton coeur si fragilisée. alors tu plonges tête la première dans la mer, qu’elle continue à te mordre, à te picoter les orteils, à t’attaquer avant de ne t’accueillir en son sein. une semaine, une semaine qu’est-ce ? pour toi c’est la fin du monde. tu pensais être forte, tu pensais tenir le coup un temps. tu t’es effondrée dès la première journée, dès que tu es rentrée dans ton appartement. chaque battement de coeur est une souffrance, chaque repas que tu fais te fais penser à ses taquineries à son regard si fier quand il a préparé de simples pâtes carbonara. peut-être que sana elle a raison finalement. tu es faible arwen. faible de sortir de ton appartement, prête à frapper à sa porte… pour remonter chez toi et t’écrouler sur ton canapé. la pire morsure c’est la sienne, la piqûre dont tu ne cicatrises pas est celle qu’il t’a infligé inconsciemment au vermont et même à san francisco quand tu avais enfin perçu qu’il était unique. la perle rare qu’il était parmi les autres moins scintillantes. il t’a ébloui, t’en es devenue aveuglée, ne voyant pas les autres autour. tu te casses la figure, arwen. et tu nages, nages pour penser à autre chose. tu nages pour le sortir de ta tête un bref instant. tu veux sentir ton palpitant sans ce poids lourd au coeur, tu veux respirer sans avoir l’impression qu’on s’écrase contre ta cage thoracique. tu nages, tu nages loin, tu t’éloignes du rivage. ton esprit il s’évade, tu nages vite, de manière rythmée, tu tiens la cadence. tu te concentres sur tes mouvements, sur l’air qui te reste dans les poumons. ça y est, tu es sereine. un bref instant. tu cesses, tu regardes la mer au loin. plongeant ton corps tout entier sous l’eau. c’est tellement paisible sous l’eau. là où ton coeur et ton esprit semblent se calmer, là où la douleur s’efface. mais tu manques d’air. tu attends jusqu’à la dernière seconde avant de remonter à la surface. la bouffée d’air est grande, tu reprends ton souffle, tu tousses. tu as attendu trop longtemps mais ça en valait la peine. même pour quelques instants. tu rebrousses chemin, tu nages en direction du rivage avec la même cadence, tu profites encore des minutes qu’il te reste avant de replonger dans la déprime, la peine de coeur. tu retrouves du regard tes affaires, tu continues de nager en direction de ces derniers. après ce qui te semble n’être qu’une petite poignée de minutes tu arrives au rivage. épuisée, respirant fortement. tu viens de tout donner dans une marée légèrement agitée et glaciale. tu marches sur le sable, tu attrapes ta serviette, secoues tes cheveux qui reprennent doucement leur couleur châtain à l’intérieur. ta bulle elle éclate quand tu entends un aboiement proche de toi. il fait froid, ce n’est pas vraiment un temps pour être sur la plage alors tu lèves la tête, par curiosité.

putain. c’est le mot te venant à l’esprit alors que ton coeur cesse de battre.
mikke trottinant, se rapprochant de toi. vos regards qui se croisent.

tu ne sais pas vraiment quoi faire mais tu t’approches aussi. tu ne veux pas l’éviter, ça serait bête. au diable les conseils de sana c’est pas comme si tu étais d’accord avec elle de toute façon. tu lui lances un sourire quand il arrive à ta hauteur, lâchant un petit “hey” au passage. il est devant toi, tu te prends toute ta douleur dans la figure à nouveau. il est là et tu réalises que la distance, ça craint, ça ne t’apporte rien. ton coeur ne fait que battre plus vite à cause du manque. mais il est là maintenant c’est tout ce que tu vois. ta tête ne répond plus, ton coeur te guide et tu le prends dans tes bras. fort, si fort. tu le serres dans tes bras, trempée pourtant de la tête au pieds. tu as besoin de le sentir, tu as besoin de le toucher. la distance, tu ne peux pas, tu ne peux tellement pas. tu as besoin de lui, tu lui as dit. c’est au bout de plusieurs secondes que tu réalises que tu le mets sûrement dans l’inconfort. tu te recules, joues un peu avec tes mains. “désolé je...j’en avais besoin.” tu ne sais pas comment lui parler. tu ne veux pas qu’il te balance que tu le prends par les sentiments, tu ne veux pas qu’il s’emporte parce qu’il ne sait pas gérer tes émotions. mais il te manque, putain t’as envie de le lui hurler. mais t’as l’impression d’être stupide tellement tu n’oses pas. “comment tu vas ? en ce moment.” il avait l’air perdu quand vous vous êtes disputés. tu veux savoir comment il va, comment il se porte en ce moment avec tout ce qui semble le tracasser, le perdre. parce qu’il n’y a pas que toi, tu n’es pas assez pour le perdre à ce point. et toi, tu veux être là pour lui. parce que tu l’aimes, tu l’aimes comme jamais tu n’as pu aimer.

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★ ─ w/ @Arwen Davenport

T'étais une vraie loque depuis quelques heures. Incapable de décoller ton cul du canapé, télécommande dans la main. Tu zappes, tu zappes... tu fais que ça. Et à tes côtés se trouvent Hope et Michi collé à elle... deux loques en plus de toi. Tu les regardent, arque un sourcil et te lève d'un bond du canapé. Non, interdiction de faire les feignasses toute la journée. Du moins, toi. Et Michi. Tu regardes le chien, lui fait un signe de tête vers la porte d'entrée en sifflant pour qu'il se bouge un peu - Allez, l'chien, on se bouge, on va aller courir ! - Tu tapes, d'un geste ferme, sur ta cuisse pour le motiver et lui montre la laisse. Mais wow... quelle larve. Lui qui d'habitude se lève d'un bond, là il reste collé à Hope en te regardant d'un air las - Tu vas rendre mon chien hyper pataud putain... - tu râles Mikke, t'aimes pas voir ton chien collé non stop à la blonde, qui passe ses journées devant les séries... toutes aussi bidons les unes que les autres. Puis en même temps, t'as aussi envie de la motiver à elle. Avec tout ce qu'elle vécu dernièrement t'as vraiment envie de la rebooster un peu. Sans trop la brusquer non plus. Elle a pas l'air chaude pour sortir... et depuis la dernière fois que t'as découcher, elle semble faire un peu la gueule. Ok, on laisse tomber pour Hope, mais pas pour Michi. Sourcils froncés, s'installe un duel de regards avec ton chien. Ce dernier capitule et se lève enfin... Sourire victorieux au coin des lèvres, tu lui mets la laisse et part courir avec lui sur la plage. Compliqué aujourd'hui. Compliqué pour lui, comme pour toi. Tu trottines simplement. Aujourd'hui, t'es pas apte à dépasser tes limites. Quoi qu'après quelques bonnes grosses minutes, Michi commence à s'exciter un peu, vouloir aller un peu plus vite et franchement, toi tu dis pas non. T'aimes pas vraiment te traîner toi, donc, go. Ce n'est qu'après avoir couru au parc pour enfin finir ta course sur la plage que tu enlèves la laisse de Michi. Ici tu sais qu'il est plus en sécurité qu'en ville. Tu passes aussi par le parc parfois, mais aujourd'hui, tu l'as esquivé. Et l'Michi qui reprend de sa folie, en courant et sautillant un peu partout sur le sable, toi entrain de courir et suer derrière lui. Finalement, vous aurez fait le job comme il faut. De bons part'naires. Suffit de se motiver à deux, hm ? Le chien s'enjaille tout seul en aboyant sous ton air amusé. Puis, c'est là que tu vois sortir de l'eau, une blonde. Une blonde qui ne t'es pas du tout inconnue pour le coup. Faut dire qu'en ce moment, t'en connais pas mal de blondes... Et celle ci, celle ci tu la connais plutôt... bien. Très bien ? Trop bien ? Regards qui se croisent, tu te stoppes puis appelle Michi qui continuait à courir un peu partout. Bon, faut dire que la dernière fois que vous vous êtes parlés, c'était par messages et le moins qu'on puisse dire, c'est que c'était tendu. Depuis, c'est... bizarre. Disons qu'il n'y a eut aucun appel, aucun message, juste... les réseaux sociaux qui t'aide à suivre un peu sa vie ou une partie avec ses photos et ses stories. Et franchement, c'est pas plus mal. C'était mieux pour... elle. Toi, c'est pas pareil. T'es un mec, tu passes outre. Mais elle... Tu sais pas si en une semaine ça s'est calmé. Tu la connais, tu le penses pas non. Alors, t'es bizarre, t'es gêné. Tu te racles la gorge, plisse les yeux quand tu la vois arriver vers toi. Ok... Juste essayer de ne pas paraître gêné pour ne pas la gêner elle-même. Compliqué. En général, t'arrives à cacher ce que tu ressens, mais c'est pas facile. Là, c'est Arwen. Tu l'apprécies, t'es pas forcement fier de ce qu'il s'est passé dernièrement entre vous. Et plus tu la vois s'approcher, plus tu plisses les yeux, levant brièvement la main en guise de 'salut', sourire coincé et crispé au coin des lèvres essayant de ne pas trop la regarder voulant éviter qu'elle se pose la moindre question. Tu dois l'avouer, t'as cette minuscule boule au ventre là. Tu sais pas pourquoi, t'appréhendes les retrouvailles surement. Et au moment où elle arrive à ta hauteur, elle te fait un hug de malade qui te laisse immobile. Telle une statue. Tu sais même pas ce que tu dois faire, t'es juste bloqué là. Tu t'attendais pas à un élan de tendresse comme celui là. Ok, c'est Arwen, ça ne devrait pas t'étonner mais... c'est étrange. Étrange depuis la dernière fois. Puis, t'es quand même pas mal en sueur. Quoi que pour le coup, faut dire qu'elle est plus trempée que toi. Mâchoire crispée, elle se recule, s'excuse et toi t'essayes toujours de cacher ton malaise. Malaise qui ne devrait pas être puisse que vous êtes potes de base. Le malaise, il n'y en a jamais eut entre vous... avant. Tu lui fais signe que ce n'est pas grave... On va dire qu'il y a pire quoi... Tu parais presque.. indifférent sur le coup. Tu souris brièvement, essayes de faire comme ci il n'y avait pas de problème, sauf que clairement, ça se ressent que t'es pas comme d'habitude. Compliqué de faire comme ci tout allait bien. Parce que plus rien n'est comme avant entre vous. C'est comme ça et malgré les efforts que tu pourras faire pour essayer de ne pas lui montrer ta gêne, ça se verra quand même. Tu fais signe à Michi de venir à tes pieds histoire de penser à autre chose et d'essayer d'effacer le malaise... puis quand elle te demande comment tu vas... t'hausses les épaules en la regardant de nouveau - ça va... et toi ? - tu n'as jamais été si évasif avec elle. Mais... quoi lui dire ? Honnêtement ? Ah... si peut-être que... tu caresses le chien rapidement, te racles la gorge - alors, ce taff ? enfin cet essai ? ça se passe comment ? - dans tous les cas, malaise ou pas, t'allais lui poser la question, parce que sa vie t’intéresse un minimum... et puis, parce que t'as quand même suivis son histoire de près.



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était-ce normal de se sentir si heureuse et triste en même à la vue de sa silhouette ? à vos regards qui croisent ? ton coeur il se déchire dans deux sentiments complètement contradictoires, tu ne sais le gérer tu as la sensation d’être toujours plongée dans la mer, incapable de respirer. il t’a manqué si fort. une semaine. c’est le temps qu’il t’a fallu pour être une loque. c’est le moment où ta barrière elle explose. le moment où tu t’admets finalement que tu es faible. mikke ça reste un être humain. comment toute ta vie peut être aussi bouleversée par un humain ? mikke il est arrivé et sans le réaliser il fracassait tes protections une à une sans même que tu ne puisses y faire quoi que ce soit, sans même que tu puisses t’y opposer. il a brisé chaque muraille et il a pris une place dans ton coeur que personne n’avait pu occuper durant tes vingt-trois années d’existence. et le pire c’est qu’il y est parvenu en faisant… rien de particulier. en étant simplement lui-même. il l’a pris sans le demander. malédiction aujourd’hui alors qu’il s’approche vers toi, que tu brises également la distance. il n’a rien demandé mikke mais il a pris tout ce que tu avais à offrir à quelqu’un. dans ton coeur, cela lui était destiné. malédiction encore et toujours. parce que celui que tu aimes, il ne semble pas vouloir de ce que tu veux lui offrir. et tu ne peux le donner à autrui. condamner à y penser, à imaginer, rêvasser. jusqu’à quand ? c’est la question tortueuse que tu te poses tout les soirs depuis une semaine, celle qui te maintient éveillée. mais là de suite… plus aucune question. tu es en mode automatique, tes pas te dirigeant seulement là où ton coeur veut aller. près de lui. tes bras trempés par l’eau salé l’entourant, le serrant contre toi. tendresse que tu veux lui donner. mais tu sens son inconfort. alors tu t’éloignes légèrement et lèves les yeux pour le regarder. tu t’excuses, tu en avais terriblement besoin et tu n’as pu te contrôler. il t’assure brièvement que ce n’est rien mais… la différence est si flagrante. malgré son sourire, tu peux sentir cette distance. tu le sens gêné par toute la situation. sa gestuelle à l’air indifférente à la situation mais tu refuses de croire qu’il l’est réellement. il tenait à toi même si c’était pas comme tu le voulais. mais tu sais que mikke, il tient à toi ne serait-ce qu’un minimum. alors tu n’arrivais pas à croire ce qu’il pouvait dégager entre le malaise et les sourires crispés. tu essayes de savoir comment il se sent, tu essayes de tendre la main. tu te prends une réponse évasive en réponse. ça fait mal, ça serre le coeur, ça te prive d’oxygène une brève seconde. il te retourne la question. t’as pas le coeur de mentir. “tu me connais assez pour savoir, mikke.” il te connait très bien même. dans ta malchance, ce qu’il semble le moins connaître sur toi c’est à quel point tu peux l’aimer. tu sors brièvement de ta peine quand il te demande à propos de ta période d’essai. “ça se passe vraiment bien, je me débrouille pas mal. le seul truc bizarre que j’ai eu c’est un vieux de soixante ans qui voulait me faire essayer de la lingerie pour faire un cadeau à sa “femme” et me prendre en photo.” t’as envie de rire un peu, t’as envie de sortir l’anecdote qui généralement l’aurait fait sourire. tu commences soudainement à grelotter, prise de soubresauts visibles. tu sortais d’une eau glacée, le temps n’était pas chaud. tant pis, t’allais te les geler. “tu t’installes un peu avec moi ? j’ai des sandwichs maisons au poulet, bacon et oeuf. et… j’aimerai passer du temps avec toi.” tu rougis, tu ne sais comment demander ça sans qu’il se braque. lorsqu’il t’a dit que tu jouais sur les sentiments, ça t’avait blessé, ça t’avait mis un coup. tu te demandais s’il avait réellement cette image de toi. “si tu ne veux vraiment pas, c’est ok. je sais que je t’ai pris la tête, je sens que c’est compliqué mais… même si j'aimerai parler de tout, de ce qui s'est passé, on pourrait avoir un moment simple ?  pas de prise de tête, juste nous à la cool.” tu pointes ton sac du doigt. “j’ai une carte de ma prochaine randonnée, j’aurai besoin de l’avis du meilleur.” tu lui souris doucement. t’as du mal à cacher l’amour quand tu le regardes après autant de manque tu le sens. tu aurais envie de parler sérieusement. t’as tellement de questions. mais à force de te dévaloriser par rapport à lui, à cette fille… t’as peur que ces réponses si dévalorisantes deviennent réelles.

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★ ─ w/ @Arwen Davenport

dire que ça ne te fais rien de la voir serait mentir... tu ne peux pas nier qu'il n'y a pas un truc entre vous. t'es pas du genre démonstratif mikke. t'aimes pas forcement rire ou même cuisiner et t'aimes encore moins avoir un boulet avec toi pendant que t'es en 'voyage' et pourtant, avec arwen il t'est arrivé de rire, de cuisiner et t'as même supporté sa compagnie durant une de tes escapades dans le vermont. première de tes potes que michi a rencontré d'ailleurs... alors ouais, entre vous il n'y a pas rien. la concernant, c'était déjà évident, mais te concernant... ça saute pas aux yeux que tu tiens à elle et que cette situation n'est pas non plus évidente pour toi. décidément, si t'aurais pu, t'aurais tout fait pour que votre relation ne soit pas aussi 'vraie' dès le départ. peut-être qu'aujourd'hui, vous n'en seriez pas là. arwen elle est authentique. elle est tombée amoureuse de toi et elle l'assume complètement... elle a eut les 'couilles' de te le dire, un poids en moins pour elle, mais putain, pour toi c'est un poids en plus. on te connait, toi ça te rends mal à l'aise. t'aurais voulu que ses sentiments restent amicaux. comme alice, quand elle t'a avouée qu'elle avait des sentiments pour toi, comme hope, mais hope c'est une autre histoire. c'est plus complexe. t'es pas celui qui aime faire tomber les filles à ses pieds. au contraire. t'avais trouvé en elle une pote de déconne... et ça a foiré. t'as essayé, t'as essayé de passer outre... d'oublier, même si tu savais que ça allait être compliqué. oublier qu'elle avait des sentiments pour toi et la garder auprès de toi. en faisant ça, tu t'es aussi imaginé que ça allait corser les choses... t'espérais que ses sentiments changent, prennent une autre direction ? mais d'un côté, est ce que le regard qu'elle te portait il te dérangeait tant que ça au final ? pas tellement. et cette proximité chez toi la dernière fois ? elle n'a rien provoqué chez toi ? biensur que si. ce serait mal te connaître que de penser que ça ne t'as pas effleuré l'esprit de lui faire l'amour sauvagement sur le plan de travail de la cuisine. et puis, quel mec serait resté de marbre tout court d'ailleurs ? aucun. clairement aucun. arwen, elle a tout pour plaire... en tout cas, elle a tout les atouts pour te plaire, c'est certain. et pourtant, si ce serait si simple... erreur de timing. du moins pas tant que ça... depuis quand c'est trop tôt ou trop tard pour t'envoyer en l'air avec une fille qui te plait mikke ? surement depuis que tu sais que cette fille a des sentiments pour toi ? que t'as aucune envie de la faire souffrir ? puis il y a nienke... et même si rien sérieux entre vous... tu restes persuadé qu'elle compte déjà plus que tous tes autres plans culs. elle compte assez pour que tu parles d'elle à arwen. sa réaction t'as juste persuadé encore une fois, qu'il était temps de mettre des distances. et pourtant, vous êtes là... sur cette plage, une semaine après, le manque qui se fait ressentir quand elle te sert dans ses bras. malheureusement, tu n'arrives à montrer que ton malaise, ta gêne, mais pas le reste. elle t'a manquée, mais ça t'es trop... toi, pour qu'elle le remarque. la boule au ventre, ça se ressent pas chez l'autre.. ni le coeur qui s'emballe. un peu oui. t'as aucune envie de rebondir quand elle te dit que, la connaissant tu devrais savoir comment elle se sent'... aucune envie d'être encore plus dans le malaise. merci. alors ça s'enchaîne sur son taff et franchement, l'anecdote du vieux, ça te fais grimacer - mais sérieux ? c'est pas un peu bizarre ? tu l'as fais ? - arques un sourcil, léger mouvement de recul... tu t'en rends même pas compte, mais t'aimes pas forcement cette idée. en ce moment t'as un soucis avec ce genre de trucs. depuis ce qui est arrivé à hope au mexique... ce genre de trucs bizarres, ça te donnes pas de bonnes vibes. puis, la voyant grelotter, tu t'attardes légèrement sur ses pulpeuses qui virent peu à peu au bleu, puis à sa peau qui frissonne... - tu te baignes avec ce temps toi ? 'fin... - tu poses ta main sur son bras frissonnant quelques secondes puis poursuis - il fait pas froid là, mais t'es gelée. - et tu la vois s'asseoir sur la serviette, elle t'invite à manger un sandwich avec elle et tu refuses d'un signe de tête, visage fermé, elle continue et toit tu restes fermé. c'est pas en t'installant avec elle pour l'instant, même si, putain t'en a envie, que ça va s'arranger. arwen... elle aide en rien là. et encore une fois, t'as pas envie de la blesser, qu'elle finisse par te détester... mais pour toi, il vaut mieux s'en tenir au stricte minimum - non. - ses petits regards, sa façon de s'adresser à toi comme quelqu'un qu'elle vénère plus que tout... tu crois même ne jamais avoir ressenti d'être aussi important dans les yeux d'une fille. tu la coupes presque. ce sera non. t'attrapes michi par le collier pour le maintenir près de toi. histoire de te donner de l'assurance. michi il t'aide beaucoup. t'as l'impression que plus elle te regarde, plus tu la perds cette assurance. tu te racles la gorge et lui dis, toujours en gardant cette expression assez... froide limite ? être tendre ? ça n'arrangerais rien non plus. tu tiens michi contre toi, puis passe ta main libre dans tes cheveux en soupirant - c'est... pas une bonne idée. on va pas revenir là-dessus arwen, d'accord ? je vais pas t'ignorer si je te croises, mais, pour l'instant, on évite d'être... proches comme avant. - et tu retiens michi contre toi qui veut aller se défouler, sans la lâcher du regard. ça te fais chier, clairement, mais c'est la meilleure chose à faire.



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tu n’étais pas vraiment désolée de l’avoir senti contre toi ne serait-ce que quelques secondes. tu étais désolée que ça le gêne. mikke était pas du genre tactile tu le savais et pourtant tu l’avais tout de même pris dans tes bras. pulsion égoïste, le manque qui parle à ta place. tu avais essayé de le combler par des choses simples. faire des pâtes carbonara qu’il pensait t’avoir appris à cuisiner. préparer un ouananiche farci. ça n’a pas suffi et tu continuais de te perdre dans ta peine chaque soir. alors tu étais venue ici pour enfin ne plus penser, ne plus être en proie à la peine et aux questionnements qui ne finissaient qu’en réponses douloureuses. et quand ça marche enfin le voilà qui apparaît. tu ne croyais pas au destin mais sur ce coup, tu ne pouvais t’empêcher de te demander si c’était pas un coup du ciel qui souhaitait t’empêcher de te sortir le brun de l’âme. le manque te revient en pleine face telle une gifle et te tenir si près de lui dans ces circonstances est une torture malgré la chaleur qui envahit ton palpitant. tu essayes de faire un pas vers lui mais il reste froid, aucune réelle expression trahissant ses émotions. quand toi ton regard est tendre, affectueux. car même après votre dispute, cette semaine, tu ne pouvais le détester une seule seconde. pourtant beaucoup ont essayé de te le faire détester pour que tu tournes la page. cause perdue que d'essayer de te détourner de mikke. il mentionne soudainement ta période d’essai. ça te fait plaisir de lui en parler, de montrer que tu t’en sors enfin alors tu tentes de détendre l’atmosphère en parlant de l’anecdote la plus particulière que tu avais vécu depuis une semaine. raté. il en vient même à te demander si tu avais accepté. “c’est très bizarre oui. c’est pour ça que je ne l’ai pas fait. je t’ai dit que je montrais pas mes seins au premier venu.” tu lui lances un sourire taquin tout en tremblant de froid. tu avais oublié de prendre tes affaires chaudes et tu n’avais donc qu’un t-shirt bas de gamme au tissu tellement fin qu’il se tremperait aussitôt. un jean immettable tant tu étais trempée. alors tu tremblais de froid en maillot de bain. mikke semble le remarquer. pourquoi être partie nager ? la mer est glacé en ce moment, elle mord ta peau, elle est agitée et c’est tout ce dont tu as besoin pour essayer de rendre son absence moins douloureuse et difficile même si ça pouvait être dangereux. sa main se pose sur ton bras et tu frissonnes à son contact. c’est comme un coup d’électricité dans tes veines, la chaire de poule apparaît, tu le regardes dans les yeux. le premier contact peau contre peau depuis que vous avez cuisiné ensemble. le premier contact qu’il instaure. “j’aime nager dans la mer quand l’eau est froide. mais… j’ai oublié mes vêtements chauds…” comme la maladroite qu’il connaît si bien. et une maladresse tu allais en faire une énorme si tu restais aussi prêt de lui, avec sa main sur ton bras réagissant déjà si fort à son toucher. tu t’éloignes, reprenant ton souffle. tu n’avais même pas remarqué qu’il s’était coupé lorsque tu as plongé tes yeux dans les siens. comme si le temps s’était arrêté pour toi, comme si ton coeur prenait chaque seconde telle une minute pour s’en nourrir, pour combler son absence. tu t’éloignes pour retourner auprès de ta serviette de bain, reprendre tes esprits. tu as du mal à lutter contre tes sentiments après votre explosion, après ce vide. le bon sens te retient à peine. tu veux encore profiter de lui, tu ne veux pas qu’il s’éclipse, qu’il disparaisse encore une fois pour un temps indéterminé. alors tu n’écoutes pas ton bon sens et lui propose de s’installer et de manger en ta compagnie. sans prise de tête comme d’habitude, comme avant. il refuse d'un signe de la tête. tu te fais un peu plus têtue en voulant lui assurer qu’il n’y aurait aucune prise de tête. juste vous deux. mais il te coupe, il brise ton air léger. non. tu le regardes dans les yeux, tu plonges ton regard dans le sien en souriant doucement, sourire moins pétillant. non tu ne le détesteras pas. probablement jamais. “ok.” c’est tout ce que tu es capable de dire. il va partir. tu te prépares déjà à t’effondrer quand il va s’éloigner. tu vois mikke retenir michigan. il te reparle de votre distance, que vous devez éviter d’être proche comme avant. tu essayes de le sonder mais même si tu connais bien mikke, tu n’es pas assez forte à ce genre de jeux pour le sonder surtout pas avec quelqu’un maîtrisant ses émotions bien mieux que toi. si le bon sens était toujours là, il disparaît soudainement. t’en peux plus. ça fait qu’une semaine mais tu es à l’agonie. tu te relèves comme piquée à vif. et pourtant tu es d’un calme olympien, contrastant avec la vitesse à laquelle tu t’es relevée. “qu’est-ce que ça t’a apporté, à toi ?” tu te rapproches de lui, t’as besoin qu’il te réponde. pour une fois. “parce que moi ça m’apporte rien de bon. que du mauvais, rien que ça.” tu continues de t’approcher de lui, ne décrochant pas le regard du sien. il t’a trop perdu avec ses réponses évasives la dernière fois, t’essayes d’y voir plus clair. tu ne cesses de t’approcher que lorsque tu sens ta poitrine frôler la sienne. “si je te plais… qu’est-ce que ça t’a apporté de positif cette distance ? si ça t’a apporté une seule chose de bien alors okay, je continuerai à prendre sur moi aussi longtemps qu'il le faudra.” tu es tellement proche de lui que tu sens son souffle sur toi, que tu es obligée de lever légèrement ton visage pour l’observer. la proximité te déstabiliserait si tu n'étais pas aussi concentrée sur son faciès. tu es là, désespérant d’avoir une réponse qui tienne la route. tes lèvres sont bleues et tremblotent, ton corps s’agite en soubresauts et pourtant tu ne sens rien. tu es trop occupée à essayer de le percer à jour, à l’observer dans les yeux. “fais au moins quelque chose mikke. ça me donnera la réponse sur ce que tu veux vraiment maintenant…” même si c’était te fuir, partir en courant. parce que toi, tu le voulais juste près de toi. même si c’était sans aucune promesse, il était clair que pour toi que tu ne voulais qu’une chose et ton regard reprend sa douceur en y pensant. sa présence, ses blagues. lui tout simplement.

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★ ─ w/ @Arwen Davenport

Pourquoi faut-il toujours que tes relations amicales avec des filles se transforment en relations ambiguës ? Pourquoi diable des sentiments amoureux se développe ? Tu fais rien pour que ce soit le cas... si ? T'en fais trop, t'en montres trop ? Tu promets des choses sans t'en rendre compte ? T'en a pas l'impression. Tu vends pas du rêve, au contraire, t'es un râleur pas possible, incapable d'être agréable plus d'une demie heure, pas le plus souriant, ni le mec fun af qui existe. Alors, pourquoi ? Qu'est ce qu'elles peuvent te trouver ? Bon, t'as pas non plus dix mille meufs sur ton dos, à te courir après telles des groupies en chaleur qui court après un mec comme Shawn Mendes, hein. Mais, malgré le peu de filles, c'est déjà trop pour toi. Et faut dire que ce sont celles qui sont le plus proches de toi qui développent peu à peu des sentiments. Sentiments puissants non partagés pour le coup. Du moins, t'en sais rien. T'es dans le doute, dans le flou... tu sais pas trop ce qui t'arrives en ce moment Mikke. T'es entrain de perdre ton amitié avec Arwen et franchement pour le coup, ça ne t'enchantes pas du tout. Loin de là. Ça te rends même... triste. Oui, c'est le mot. T'es triste. Ça te fais clairement chier de mettre un terme pendant quelques temps à votre amitié. Le pire dans tout ça, c'est que tu sais que ça risquerait durer longtemps. Surtout vu sa réaction. Arwen, elle arrive pas à taire ses sentiments, ce qu'elle ressent pour toi, le manque de toi, elle ne le tait pas... et se sont ses bras autour de ta taille qui te le montre et qui te le font ressentir. Et toi... toi ça te braques. T'as pas envie de ressentir son manque. Ça n'aide personne. Ni elle.... ni toi. Alors quoi ? Elle veut entendre que toi aussi, elle te manque ? Que vos délires te manques ? Que ses anecdotes de la plus sérieuse à la plus wtf te manquent ? Et même elle. Tout ce qu'elle représente te manque. Mais elle n'arrange rien. Elle en dit surement trop et toi surement pas assez. Mais c'est la meilleure réaction à avoir. Ne pas en dire trop. Mais ça, c'est ta façon de faire en général, Mikke. Ne pas trop en dire. Ne rien dire du tout parfois. Rester distant, froid pour éviter qu'on en perçoive un peu trop. Et cette manière de faire comme ci tout était normal de Arwen, c'est tout l'inverse de ta manière de gérer les choses et ça te braques direct toi. Tu refuses fermement, mais ce n'est pas méchant, loin de là. T'as juste pas envie d'en dire plus. A part le fait que c'est ce que vous aviez décidés. Enfin, toi du coup... Et oui, t'as ton mot à dire. Elle t'invites, tu refuses et tu lui donnes les raisons. Elle devrait s'en douter non ? Toujours Michi contre toi, tu plisses les yeux, la voyant se relever, se rapprocher de toi.. Et c'est là qu'elle te demande, au fur et à mesure qu'elle se rapproche de toi, ce que tout ça t'as apporté. Le soucis c'est que c'était pas fait pour changer quoi que ce soit de ton côté, mais surtout du sien. Et apparemment, vu son comportement, ça n'a pas eut l'air de porter ses fruits. Tu déglutis. Elle semble sure d'elle, tellement sure d'elle, qu'elle est même trop proche de toi. T'as même l'impression qu'elle est dans la confrontation. Arwen l'effrontée qui ne semble pas se démonter devant toi. Ça te déranges un peu... Parce que t'as pas envie de perdre tes moyens. C'est pas le moment, c'est pas toi. Tu te contentes de baisser le regard en sa direction alors qu'elle est au plus proche de toi. Tellement proches que ta respiration se bloque quand tu sens son souffle sur ton visage. Puis t'hausses les épaules après un petit duel de regard l'espace de quelques secondes - On s'en fout de moi, non ? - Oui, parce que toi, t'avais pas à faire taire quelconque sentiment amoureux ou au moins, qu'ils s'apaisent un peu avec le temps ? Tu ne peux pas le nier, Arwen, t'es attaché à elle... Sinon tu serais pas là, devant elle, à attendre, à profiter ne serait-ce qu'un seul court instant avec elle. Regards ancrés l'un dans l'autre, sans rien dire. T'es bloqué, t'arrives rien. Tu te contentes d'hausser encore une fois les épaules - Faire quoi Arwen ? - Qu'est ce qu'elle fait ? Qu'est ce qu'elle attend de toi là ? Tu sens que tu vas commencer à t'agacer. Tu la sens, qui essaye de sonder ton regard et ça te déstabilises complètement. T'as le palpitant à dix mille Tu détestes qu'on essaye de prendre le dessus sur toi de cette manière. Mâchoires crispées, tu fronces les sourcils puis déglutis doucement. Tu résistes, comme jamais t'as résisté. Clairement, à cet instant, t'es partagé entre l'envie de lui attraper le bras pour la ramener gentiment à sa serviette en lui disant de se réchauffer un peu, vu l'état de ses lèvres ou justement de les réchauffer toi même avec les tiennes qui sont bien plus chaudes après le sport que tu venais de faire. Non mais ces lèvres quoi... Hormis le fait qu'elles soient bleues, elles sont aussi divines. T'as juste envie de les croquer. Et ses yeux bleus.. Putain. Compliqué. Respiration qui s'accélère, tu baisses le regard, puis le remonte, regarde même pas parfois au dessus de son épaule... peut-être que l'horizon, l'océan à perte de vue t'aidera à ne pas dire ou faire quelque chose que tu pourrais regretter... puis, ton regard est automatiquement encré de nouveau dans le sien et tu soupires en passant une main sur son bras encore frissonnant, puis le serre doucement, et l'attire contre toi finalement pour déposer un baiser sur son front. Qu'est ce que tu pouvais faire d'autre ? Tu peux pas la laisser seule... Arwen, elle mérite pas que tu lui tournes le dos. Elle devra juste être patiente parce que tout ne redeviendra pas comme avant entre vous. Mais tu peux pas non plus la rayer de ta vie quoi... C'est ta pote avant tout. Et faut dire qu'elle est spéciale, c'est tout. Légère étreinte amicale, tu la repousses quelques secondes plus tard doucement... regard qui t'électrise de nouveau.... Tu te retiens, au mieux. Ne pas faire un pas de travers. Ce serait pas bon. Clairement. C'est trop pour toi en tout cas. Tu fuis son regard, mal à l'aise, puis te racles la gorge - T'as raison, ça m'a rien apporté, ça t'as rien apporté donc... j'compte juste sur toi pour... tu vois quoi... - ne pas te faire de film ? C'est un peu ça. Mais tu lui dis pas ça... Parce qu'elle a le droit de s'en faire. Ce serait tout à fait normal. Tu te mords l'intérieur de la joue, regarde Michi, puis regarde Arwen de nouveau - Je devrais y aller... Tu veux passer à la maison histoire de te réchauffer un peu ? Parce que clairement, t'es gelée là... J'te prêterais des fringues de Hope. Entre Dudley... elle dira rien. - Léger sourire pincé, t'hausses les sourcils, attendant son feu vert pour l'aider à ramasser ses affaires et vous rendre chez toi. Bon clairement, t'as répondu à aucune de ses questions, mais elle doit avoir l'habitude.. T'es pas du genre à t’attarder quand ça devient trop... sérieux.



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and i need you more than ever, if you only hold me tight... ★ ─ w/ @Mikke Fitzgerald

tu as peur qu’il disparaisse sous tes yeux, qu’il s’éloigne et de te retrouver seule sur cette plage. tu ne sais même pas comment tu as pu tenir une semaine. alors plus… sûrement beaucoup plus... non ça ne pouvait pas être vivable, tu ne pourrais le tolérer plus longtemps. surtout pas après l’avoir vu, surtout pas après l’avoir senti aussi proche de toi. mikke retient michigan. tu as un peu d’espoir, l’espoir qu’il ne parte pas de suite. qu’il reste avec toi, à tes côtés. ton coeur s’effrite à nouveau lorsqu’il te rappelle les raisons de cette distance. non toi tu ne peux plus. tu ne peux plus vivre ça comme si c’était bon pour toi. parce que ça ne l’est pas. te réveiller avec une douleur chaque matin n’a rien de positif. te sentir aussi déchirée n’apportera rien à votre relation. tu l’aimes mikke. t’as eu un espoir, un bref espoir que peut-être il foncerait avec toi sans se prendre la tête. qu’il te donnerait peut-être une chance. pas quelque de grandiose juste de profiter l’un de l’autre. tu n’es pas du genre à lui demander quelque chose, tu n’es pas du genre à essayer de le pousser dans ses retranchements. tu l’as toujours respecté lui et sa manière d’autre. mais tu étais une femme qui avait besoin de clarté, de réponses, tu haïssais le flou, le vague. c’était ta manière à toi de vivre. alors tu oses. tu te relèves, tu restes d’un calme olympien quand à l’intérieur tu imploses sous les questions douloureuses, cette distance, tes sentiments. tu as besoin d’en savoir plus, tu as besoin de le pousser un peu à bout. tu te rapproches de lui, tu aurais presque envie de le bousculer, de le secouer. tu t’arrêtes lorsque tu sens ton corps frôler le sien, lorsque sa respiration s’abat sur ta peau. duel de regards qu’il met fin au bout de quelques secondes. tu essayes de le sonder, de le percer à jour, de voir un début de réponse à tes questions. mais toi arwen tu n’es pas du genre à analyser les gens de la sorte. mikke il est bien plus fort à ce petit jeu que vous jouez. “je m’en fous pas de toi mikke, jamais je m'en fouterai.” non tu t’en fous pas. tu t’es toujours préoccupé de lui, de ses sentiments, de comment il se sent. toujours, t’as juste jamais voulu le pousser. cette fois tu décidais d’aller dans l’autre sens. mais il hausse les épaules, il continue d’esquiver. complètement perdue, paumée sur ce que tu devrais faire. pousser plus loin ou partir. t’es à deux doigts de te barrer en pleurant les larmes de ton corps. tu ne comprenais pas… qu’est-ce qu’il y avait de si compliqué à répondre à quelques questions. qu’est-ce qui l’empêchait de juste se laisser aller avec toi ? cette fille dont il t’a parlé ? non tu ne veux pas penser à elle, tu ne veux pas te torturer avec elle. tu n’as pas envie de te morfondre encore une fois sur cette relation qu’elle entretient avec mikke, relation qu’il ne cesse de te refuser. faire quoi ? n’importe quoi. tu attends n’importe quoi. un geste, un seul. qu’il se barre, qu’il te secoue pour te sortir de cette transe, te réchauffer parce que tu es clairement en train de risquer la pneumonie. tu veux seulement une preuve. une preuve qu’il ne peut pas rester loin de toi lui non plus ou qu’au contraire, il arrivera très bien à s’y tenir. si tu ne peux pas savoir pourquoi il ne veut pas plus avec toi alors qu’il te montre au moins si cette distance en vaut la peine ou non. parce que pour toi ça n’a aucun sens. tu vois mikke froncer les sourcils, baisser, relever le regard, tu sens sa respiration plus forte contre ton visage. tu sens que tu le mets dans une position délicate mais c’est tout ce que tu peux dire. ton corps est soudain comme électrisé, c’est comme si tu te réveillais, que tu revenais à la réalité. tu sors de ton état second. mikke vient de poser sa main sur ton bras gelé. tu sens à nouveau tes tremblements dû au froid, tes sens s’éveillent comme si tu avais été dans un coma. il te tire, ton corps se réfugie dans le sien alors qu’il pose ses lèvres sur ton front. tu attendais un geste mais tu ne savais absolument pas à quoi tu pouvais t’attendre en réalité. certainement pas à ça. ton palpitant se réchauffe en sentant ce geste affectueux. un geste nouveau. ce n’était pas comme le baiser du spring break certes affectueux. celui-ci était le geste que tu attendais, la preuve qu’il ne voulait pas de cette distance. tu profites de ces secondes, tu profites de cette chaleur qui t’envahit. putain tu l’aimes. tu l’aimes à un point que même toi, tu ne pourrais le décrire. il t’a jeté un sort, une malédiction et alors que tu allais tourner les talons il vient de te replonger dedans encore plus profondément encore. un simple baiser sur le front prend une telle importance pour toi. quelques secondes de bonheur pour toi, quelques secondes où finalement tu te retrouves encore une fois à le comprendre parfaitement, à accepter son silence. personne ne peut douter tu l’aimes. ça crève les yeux. après ces quelques secondes, il met fin à cette étreinte, vos regards se croisent encore une fois. t’as envie de craquer, terriblement. une envie d’écouter simplement les conseils douteux que tu as entendu et l’embrasser. mais tu veux respecter sa décision. alors tu restes plantée là, le coeur gonflé par ce moment d’affection. ce geste que tu attendais. et il répond enfin. ça ne lui a rien apporté. possibilité de mettre fin à la distance. tu comprends ce que le brun veut dire et tu souris en hochant la tête. tu ne dois plus péter un plombs parce que tu as eu un regain d’espoir, espoir que tu dois essayer de ne plus lui mettre dans la figure. “je vois oui. et c’est okay.” qu’est-ce que tu peux dire d’autre ? l’espoir est là, vous le savez tous les deux. mais c’est plus facile d’ignorer. tu ne sais pas trop quoi faire, tu restes tremblante devant lui un peu comme une idiote. c’est mikke brise le silence, te proposant de te rendre chez lui, que hope te file des fringues. la distance prend fin maintenant. tu le retrouves, tu pourras à nouveau profiter de sa présence. le coeur s’éveille, se réchauffe d’un coup. c’est comme s’il venait de te donner de l’oxygène, comme si tu prenais l’une de tes premières inspirations. “puisque tu proposes… je préfère éviter la pneumonie. je ramasse mes affaires et on y va ?” tu réunis tes affaires avec son aide, ton corps est capricieux, te rappelle dans quel état tu le mets. tu passes ton sac sur ton dos et le suis. murmurant discrètement. “merci…” merci pour les fringues certes mais surtout merci d’avoir ramené ton sourire sur ton visage.

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FIN DU RP
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