Invité
est en ligne
Invité
FRANCIS FONSECA
date de naissance
le 12 janvier 1993.
lieu de naissance
dans les favelas de Vitoria (au Brésil).
nom
Da Silva Fonseca.
prénom(s)
Francisco Felipe.
orientation sexuelle
Hétérosexuel.
statut amoureux
propriété de Madame Grant.
études
théâtre.
bourse
Madame Grant paye mes études.
statut social
Officiellement, très riche, officieusement, très pauvre.
job étudiant
Toy Boy ça compte ?
— De nouvelles maisons ont ouvert leurs portes sur le campus d'Harvard depuis septembre 2019, maisons que tu peux découvrir dans ce sujet afin de demander à en rejoindre une à la prochaine session de bizutage ! Attention lors de la préparation de votre fiche, vous ne pouvez donc pas parler des maisons actuelles concernant votre personnage avant la rentrée 2019/2020. Pour plus d'infos sur le bizutage et son déroulement, vous trouverez toutes les informations dans ce sujet.
Nous vous incitons à prendre connaissance dans ce sujet des conditions d'accès à Harvard. Ici, tu dois parler de pourquoi Harvard, comment s'est passé ton admission à l'université, ce genre de choses !
Décris le caractère de ton personnage en minimum 10 points ou 5 lignes. Décris le caractère de ton personnage en minimum 10 points ou 5 lignes. Décris le caractère de ton personnage en minimum 10 points ou 5 lignes. Décris le caractère de ton personnage en minimum 10 points ou 5 lignes. Décris le caractère de ton personnage en minimum 10 points ou 5 lignes. Décris le caractère de ton personnage en minimum 10 points ou 5 lignes.
pseudo écrire ici
âge écrire ici
nationalité écrire ici
forum connu par... écrire ici
ILH, j'en pense quoi ? écrire ici
autres comptes ? @"compte" @"compte" @"compte"
avatar utilisé écrire ici
crédits images écrire ici
nombre de mots par rp écrire ici
type personnage inventé ou scénario/pré-lien par @"compte"
parrainage @"compte si help" (voir la liste des parrains)
code bottin
âge écrire ici
nationalité écrire ici
forum connu par... écrire ici
ILH, j'en pense quoi ? écrire ici
autres comptes ? @"compte" @"compte" @"compte"
avatar utilisé écrire ici
crédits images écrire ici
nombre de mots par rp écrire ici
type personnage inventé ou scénario/pré-lien par @"compte"
parrainage @"compte si help" (voir la liste des parrains)
code bottin
- Code:
☾ <span class="pris">AVATAR</span> ⊹ @"Pseudo"
- Code:
<!-- Prénom Nom --><div class="grid-item SEXE CITI/HARVARD GROUPE ORIGIN ORIENTATION DOMAINE"><figure><img src="AVATAR 200x320" /><img src="IMG/GIF RECTANGLE" class="cover" /></figure><div class="content"><div class="name"><h2>PRÉNOM<br />NOM</h2></div><div class="info"><div class="face">NOM DE LA CÉLÉBRITÉ</div> · <div class="age">ÂGE ans</div><div class="activity">CE QU'IL FAIT DANS LA VIE</div><div class="more"><a href="URL PROFIL">mon profil</a></div></div></div></div>
Un jour, une histoire
Mon histoire, c'est celle de beaucoup d'enfants nés au Brésil. Je suis né et j'ai grandit dans les favelas de Vitoria, une ville de la côte brésilienne. Mon père était pêcheur et ma mère nous élevait tant bien que mal, moi et mes trois frères. Nous étions livrés à nous même la plupart du temps et l'appel de la criminalité était omniprésente. Mes deux grands frères ont succombés à l'argent facile, et ont rejoint à l'adolescence un réseau de traficants de plus en plus prospère au Brésil. J'ai d'ailleurs appris il y a peu, le décès tragique de l'un de mes frères emportés par des tires perdus parait-il. Avant ça, il essayait de rallier mon petit frère à sa cause car avec moi, il n'avait pas réussi.
Pour fuir ce monde, je suis parti m'installer à Sao Paulo où j'ai entrepris des études de langues. Pour les payer, j'ai fait un max de petits boulots : serveur, ambulancier, barman et même mannequin. Puis, j'ai été repéré par une femme, très élégante, et dont le mari avait fait fortune dans la canne à sucre (une denrée précieuse au Brésil).
Je vous ai dit que j'avais été repéré mais je ne vous ai pas dit pourquoi ! On parle souvent de la prostitution féminine, on parle moins en revanche de la prostitution masculine. J'étais devenu un Toy Boy ! D'abord, avec Madame Martins, puis il y a eu Madame Diaz, Madame Branco et Ingrid (ah Ingrid, ma petite Ingrid, elle n'aimait pas que je l'appelle par son nom de famille, c'est pourtant comme sa qu'un toy boy doit appelé celle qui l'entretient). J'ai aussi fait dans l'international avec Madame Beltrán, une drollissime espagnol et Madame Von Heland, une suédoise dont l'époux était au courant de mon existence et qui y voyait là un moyen de pimenter son couple, ma foi. Il s'agissait tantôt de femmes mariées et délaissées, tantôt des femmes seules et en manque d'une présence masculine, tantôt des femmes en instance de divorce et qui m'utilisait pour rendre jaloux leur futur ex mari, qui c'était de toute façon déjà recasé avec une des nombreuses mannequins brésiliennes de la ville. Le réseau se faisait tout seul, les femmes de "la haute" se connaissent toutes, elles s'échangent leurs petits secrets mais aussi leur "boy". Je restais trois mois, six mois, un an, et cette situation me convenait parfaitement, je voyais des villas magestueuses et je mangeais des mets somptueux.
Je vous ai dit que j'avais été repéré mais je ne vous ai pas dit pourquoi ! On parle souvent de la prostitution féminine, on parle moins en revanche de la prostitution masculine. J'étais devenu un Toy Boy ! D'abord, avec Madame Martins, puis il y a eu Madame Diaz, Madame Branco et Ingrid (ah Ingrid, ma petite Ingrid, elle n'aimait pas que je l'appelle par son nom de famille, c'est pourtant comme sa qu'un toy boy doit appelé celle qui l'entretient). J'ai aussi fait dans l'international avec Madame Beltrán, une drollissime espagnol et Madame Von Heland, une suédoise dont l'époux était au courant de mon existence et qui y voyait là un moyen de pimenter son couple, ma foi. Il s'agissait tantôt de femmes mariées et délaissées, tantôt des femmes seules et en manque d'une présence masculine, tantôt des femmes en instance de divorce et qui m'utilisait pour rendre jaloux leur futur ex mari, qui c'était de toute façon déjà recasé avec une des nombreuses mannequins brésiliennes de la ville. Le réseau se faisait tout seul, les femmes de "la haute" se connaissent toutes, elles s'échangent leurs petits secrets mais aussi leur "boy". Je restais trois mois, six mois, un an, et cette situation me convenait parfaitement, je voyais des villas magestueuses et je mangeais des mets somptueux.
Et puis, j'ai fait la rencontre de Madame Grant, une américiane d'origine brésilienne, divorcée, elle eut deux filles avec un américain ayant fait fortune dans l'immobilier. Madame Grant m'a hébergé chez elle directement, une maison de ville à Sao Paul où elle séjournait quelques mois par an. Ça ne devait durer que deux mois mais à la fin de notre "contrat", elle me parla d'avenir. Mon avenir à moi ? je ne l'avais jamais envisagé. En fait, quand on vient des favelas, l'avenir ce n'est qu'un mot que l'on voit dans les livres. Je lui dis toutefois que j'aurais adoré apprendre le théâtre.
Sa fille étudiait à Harvard et elle allait donc retourner dans son manoir de Boston mais elle ne comptait pas le faire sans moi. Et voilà comment j'ai atterri ici ! Je vis toujours chez les filles Grant. Ce qui est assez étrange c'est qu'ici, on me considère comme le fils adoptif de Madame Grant, un cousin éloigné tout droit venu du Brésil qu'elle aurait pris sous son aile. Tout simplement parce que ma situation, qui est assez banale à Sao Paulo, est complètement tabou aux États-Unis. Pour moi, peu importe, j'aime ma vie à Harvard et depuis que je suis là, pour la première fois de ma vie, je vois enfin une trace d'avenir...
Sa fille étudiait à Harvard et elle allait donc retourner dans son manoir de Boston mais elle ne comptait pas le faire sans moi. Et voilà comment j'ai atterri ici ! Je vis toujours chez les filles Grant. Ce qui est assez étrange c'est qu'ici, on me considère comme le fils adoptif de Madame Grant, un cousin éloigné tout droit venu du Brésil qu'elle aurait pris sous son aile. Tout simplement parce que ma situation, qui est assez banale à Sao Paulo, est complètement tabou aux États-Unis. Pour moi, peu importe, j'aime ma vie à Harvard et depuis que je suis là, pour la première fois de ma vie, je vois enfin une trace d'avenir...
(Invité)