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Je ne sais pas ce que me réserves Izzy mais je sens qu’elle va me faire des révélations auxquelles je ne suis absolument pas préparé ce soir et pourtant je devrais faire face à ces dernières. J’ignore ce qui lui pèse tant au point de vouloir tout déballer et me parler à cœur ouvert. Dans ma tête je me fais un film mais à chaque fois la fin de l’histoire n’est jamais la même et je ne sais pas laquelle sera la bonne justement. En attendant la jeune femme, je me décide de prendre un peu l’air sur le balcon avec une bière à la main et un joint dans l’autre, admirant le ciel étoilé et profitant de ce calme pour me poser un peu, mais plus l’horloge tourne et plus je me sens nerveux malgré moi parce que bordel ce n’est pas le genre de la jeune Bulger d’agir de la sorte et je ne suis pas habitué à ça. Je fais les cents pas dans mon appartement, attendant que cette sonnette retentisse et la seconde d’après espérant qu’elle ne sonne jamais pour ne pas avoir à faire face à tout ça. Cette histoire entre nous est complexe et lorsque l’on pense ne plus pouvoir franchir de cap, il y a toujours quelque chose qui vient nous bousculer dans nos certitudes. Je termine ma bière rapidement et je ressens le besoin d’en prendre une seconde, seulement à ce rythme je vais être torchée quand elle arrivera et je doute qu’elle apprécie tout ça. Mais après tout est ce que je lui dois quelque chose ? Non n’est ce pas. Je me dirige vers le frigo et je soupire « Putain voilà justement c’est ce genre de fierté qu’il faut mettre de côté ce soir » Je regarde ma montre, j’ai encore quelques minutes avant qu’elle ne soit ici alors j’improvise une petite séance d’abdos gainage que je ne manque pas de clôturer par une série de pompe. Lorsque je me suis dépensé, je pars sous la douche dans l’espoir que le temps passe plus vite mais il n’en est rien lorsque j’en sors et que je me prépare elle n’est toujours pas là alors je me contente simplement de reprendre ma place sur le canapé, vérifiant mes actualités sur mon téléphone jusqu’à ce que ma meilleure amie vienne me sortir de mes applications en cours.

@Izzy Bulger :heaart:
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Je devais cesser d’agir comme une gosse capricieuse et encore moins me cacher derrière un écran de téléphone. La vérité, c’était simplement que je me refusais de m’attacher, à toi, à un autre, à une autre, qu’importe. Tu connaissais un bout de mon passé dans les grandes lignes, comme Marla, sans jamais avoir poussé les détails avec aucun de vous deux. Par sécurité, je crois ou simplement pour éviter les trahisons. Et je ne pouvais pas t’expliquer que les barrières que je mettais n’étaient pas uniquement là pour protéger notre amitié, mais aussi pour éviter d’être freiné dans mon ascension. Je ne l’avais pas encore trouvé mon alter ego, celui ou celle qui serait mon partenaire de crime, au sens propre comme au figuré. Pourtant l’alchimie entre nous était présente, j’en étais consciente, mais tu aimais la Izzy que tu connaissais, pas la bulger, celle aux mains sales, celle aux pensées dévastatrices. Je prenais finalement la route pour te rejoindre chez toi, préférant cent fois faire face à la réalité que continuer de refouler le problème. Notre relation n’était pas parfaite, elle déviait parfois du droit chemin, on se déchirait pour mieux se retrouver, mais était-ce vraiment ça que tu voulais ? J’arrivais en bas de l’immeuble, préférant monter les étages à pied que de m’enfermer dans une boite en métal. Un accident, ça pouvait survenir n’importe où et n’importe quand, alors je me préservais. J’étais sur mon nuage grâce à un roulé pur cannabis qui m’avait détendu, mais sans ecstasy pour freiner mes pensées. C’était fini tout ça, enfin presque et je ressentais peu à peu les bienfaits que ça avait sur moi d’arrêter cette merde. J’étais plus consciente. Je frappais contre ta porte, avant que tu viennes m’ouvrir. J’entrais directement poussant la porte pour m’engouffrer à l’intérieur comme si rien n’avait jamais changé. Comme-ci il ne s’était pas écoulés des mois, sans qu’aucun de nous s’adresse la parole. « Ca va ? » Que je demandais, retirant mon manteau pour le jeter sur ton fauteuil et me poser chez toi. Bon nique les banalités, je n’étais pas là pour ça de toute façon, alors autant allez droit au but. « Je sais que je suis possessive, mais je peux faire un effort si tu penses que ça peut nous aider à retrouver notre amitié. » C’était mon problème, quand j’accordais ma confiance à quelqu’un, j’avais besoin que vous soyez à moi et à personne d’autre.
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Cette discussion on se devait de l’avoir pour notre amitié, pour avoir chacun les idées claires et surtout pour que les choses avancent dans le bon sens pour une fois. Bien que l’on soit destructeurs, malsains l’un pour l’autre, il nous fallait cette discussion. Est-ce que l’on est prêt à affronter tout ça ? Non probablement pas, comme toujours à vrai dire car nous prenons jamais nos responsabilités, la fuite étant un moyen plus rapide et tellement plus efficace sur le moment. A long terme j’en sais rien, j’m’en balance du long terme mais sur le coup, il n’y a pas mieux que cette bonne vieille technique de la fuite, du silence radio. Et justement c’est ça qui me met dans un état pareil car là je vais tout droit dans l’inconnu, je ne connais pas cette voie qu’elle souhaite que l’on emprunte. Affronter mes soucis dans la rue je n’ai pas de problèmes, en revanche ceux-ci, carrément car j’ai toujours fonctionné avec le mode sans attache, celui tellement plus simple et qui satisfait un max. Dans mes pensées, je refais le monde jusqu’à ce que l’on toque et que la porte ne s’ouvre d’elle même laissant la voix de la jeune Bulger faire irruption dans la pièce. « Je vois que t’as pas perdu les bonnes habitudes et oui ça va. Et toi ? » Elle ne tarde pas, ne tournes pas une seconde autour du pot contrairement à d’habitude et elle le lance le sujet de but en blanc immédiatement ce qui me surprend sur le coup. « Aaaah y’a du progrès c’est bien » Cependant est elle vraiment honnête dans sa démarche ? Cela ne serait il pas plutôt de la langue de bois ? Je la connais assez bien et elle est tout à fait capable de me dire ce que j’ai envie d’entendre sans pour autant le penser un instant. « Notre amitié en soit allait très bien avant que tu ne craignes de t’attacher et de te brûler les ailes à notre petit jeu » Je la regarde depuis mon canapé, un bras bien ancré sur l’accoudoir « Le vrai problème il est là. C’est pas tant ta possessivité, on a toujours fait avec et ça n’a jamais posé de problème mais c’est ta crainte » Je me lève, me dirigeant vers le frigo pour sortir deux bières et en tendre une par la suite à la petite brune sans même lui demander si elle est en désir une car je connais sa réponse à l'avance.
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Je n’avais pas l’habitude d’agir de la sorte, pourtant, j’essayais de toutes mes forces de me comporter comme une adulte. L’ambiguïté avait eu raison de nous, nous éloignant, avant de nous retrouver au détour d’une rue. Étais-tu d’accord que les reproches qui avaient fusés étaient de trop ? Moi ce n’était pas ce que je voulais pour nous après que nous ayons chacun prit du temps pour soi. Alors j’étais prête à assumer mes envies nous concernant, sans aborder mes plus profonds démons. Peut-être que maintenant que Devon avait trouvé en Lyra la partenaire idéale, il serait de bon conseil désormais. Seuls, lui ou Quinn et Connor pouvaient comprendre toutes les nuances de mon être, de mon passé qui avait forcément un impact sur mon avenir. J’arrivais chez toi légèrement défoncée, comme toujours, prenant place dans ton canapé comme si je n’étais jamais partie de ta vie. « Je sais… » Que je soufflais en tournant le visage vers toi avec un grand sourire avant de souffler : « Tranquille. » Comme toujours étant la plupart du temps solaire. Le négatif ne m’impactait jamais, ni même les disputes. Sauf que voilà, j’étais venue pour une bonne raison et je n’avais pas envie de tourner autour de pot ? À quoi bon de toute façon ? Je ne prenais pas compte de ta remarque futile pour ne pas commencer à m’énerver dès les premiers échanges, parce que de ma vision, j’étais la seule à faire de véritable effort. C’était moi qui avais fait le premier pas en te contactant, c’était moi qui avais passé outre tes remarques désobligeantes à mon égard et c’étais encore moi qui avait fait la démarche de proposer cette discussion. Et parfois, je me demandais ce qu’il se passait là-haut dans ton cerveau, bien heureuse de ne pas savoir je crois. « Tu ne pourrais pas comprendre mes craintes. Ce n’est pas de toi que j’ai peur, ni même de notre lien chelou. » Parce qu’il était quand même malsain. « Je t’apprécie tu le sais et oui, tu m’attires, ce n’est pas nouveau mais m’attacher à toi, plus que je ne suis déjà ne servirais à rien. » Parce que si t’étais capable de me traiter de la sorte en étant ta simple amie, qu’est-ce que tu permettrais si nous passions le cap de l’intimité ? J’attrapais la bière que tu m’offrais pour la porter directement à mes lèvres. « Tu connais mon histoire dans les grandes lignes et même ça, t’arrive à me le foutre dans la tronche, alors je ne peux pas pousser mes confidences pour que tu comprennes de quoi j’ai peur. » Tournant les yeux vers toi, j’étais honnête avec toi, même si je gardais une grosse partie de mon jardin secret.


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Je n’étais pas doué pour m’ouvrir, pour faire les choses bien mais ce n’est pas nouveau, je n’ai jamais été comme ça, préférant de loin que l’on vienne à moi, ne sachant jamais mettre ma fierté de côté et il est clair qu’après notre embrouille récente, malgré ce baiser échangé, je ne serais pas revenu de moi-même vers elle car ça me coute de le faire, je me sentirais faible de revenir vers quelqu’un, que ça soit elle ou qui que ce soit d’autre. C’est triste à dire sachant que c’est ma meilleure amie mais je ne saurais expliquer cette sensation que je ressens lorsque cette idée peut me traverser l’esprit. Je sais que je lui dois beaucoup, que les efforts ne sont fournis que par elle et qu’à un moment elle va plus pouvoir tenir à ce rythme Izzy, peu importe l’attache qu’elle a pour notre relation. Probablement que cela vient de mon éducation, du départ de mon père et de ne jamais avoir vu ma mère demander de l’aide à quelqu’un ou se rabaisser. Malgré tout maintenant que nous y sommes j’accepte cette discussion car elle est essentielle pour la suite des événements, pour connaitre la marche à suivre et j’essaye de voir ce qui cloche chez elle et chez moi. Je fronce les sourcils tout en l’écoutant me parler et démonter l’argument que je mets en avant, ne comprenant pas ou elle veut en venir. Alors c’est quoi Izzy le vrai problème ? J’suis pas devin, je ne peux pas savoir ce qui tourne pas rond dans ta tête, ce qui te chagrine, ce que tu redoutes. J’ai jamais été très bon dans tout ce qui est psychologie ce n’est pas nouveau, je n’apprends que très rarement à connaitre quelqu’un, me contentant uniquement de la connaissance de son corps uniquement. Je la regarde d’un air interrogateur, comme pour lui faire comprendre que je ne saisis pas tout, qu’elle doit aller plus loin et pour que sa langue se délie je lui tends une bière. Il parait que l’alcool aide les gens à parler, donc autant s’en servir, même s’il ne suffira pas d’une seule bière. Elle est décidée à garder ça pour elle à cause de moi, de mon comportement, de ma façon de toujours vouloir détruire la personne avec qui je suis en embrouille, Izzy n’exceptant pas à la règle. Je plisse les yeux, j’affronte son regard, elle n’a pas totalement tort mais alors dans ce cas pourquoi venir ? « Je comprends bien ce que tu dis et j’suis pas toujours très intelligent quand j’agis comme ça je te l’accorde, mais si t’es venue ce soir c’est pour que les choses avancent n’est ce pas ? Alors pourquoi taire le véritable problème ? » Je ne peux pas promettre de changer, mais je peux toujours essayer d’agir différemment lorsque ça la concerne. Je bois dans ma bière une bonne gorgée, avant de la reposer pas bien loin de moi afin qu’elle reste à portée de main, mes prunelles ne quittant pas les siennes « On est là pour arranger les choses et pour que je change, que je te traite différemment des autres à tout point de vue, il me faut en savoir plus. Plus de secrets entre nous Izzy. Et j'vais commencer moi par un petit aveu du coup pour te montrer ma bonne foi. Lors de notre dernière discussion au coin de la rue, la jeune femme avec qui tu m'as vu ça n'était pas une conquête ni rien, juste une cliente.» Révélation pas tout à fait importante en soit mais c'est de là qu'est parti notre embrouille alors j'en profite pour mettre les choses au clair à présent et moi aussi ne plus mentir même si la voir enrager me faisait plaisir.
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Je savais comment tu fonctionnais et il me suffisait d’appuyer sur un endroit pour déclencher le pire côté de ta personnalité. Du moins le pire côté que je connaissais. Parce que si moi, j’avais toujours mon jardin secret, le sang que j’avais sur les mains, les projets futurs que je montais avec Devon ou bien les business dans lesquels je m’imposais, tu pouvais peut-être faire de même ? Et je ne voulais pas savoir, parce que j’estimais important d’avoir ses secrets, parce que j’avais aucunement envie d’utiliser tes faiblesses contre toi, si tu venais à me trahir. J’étais comme ça avec les autres, mais Marla et toi, vous aviez passé un cap que peu de personnes pouvaient atteindre. Vous étiez mes deux exceptions, par le rôle que vous aviez pour moi en étant devenue mes meilleurs amis. Mais pour le coup tes mots glissés dans tes messages, le fait que tu utilises mon passé pour m’atteindre, c’était l’une des choses que je ne pouvais pas tolérer et ça me donnait encore moins envie de me confier. Alors ouais, on devait avoir une discussion, ça devenait primordiale de l’avoir si je ne voulais pas nourrir une haine contre ta personne, mais je n'étais pas prête à mettre tout sur la table. Bière emprisonnée sous mes phalanges, que je portais à mes lèvres, ce n’était pas ça qui me ferait t’en dire plus, mais au moins ça m’hydratait la gorge. J’étais là pour être honnête avec toi, pour t’exposer mon problème, pas pour te donner les cartes de me foutre en taule si t’étais mal luné. Alors je secouais la tête, sans rompre notre échange de regard. « Les choses peuvent avancer, sans avoir besoin de te dire ce que je peux bien faire de mon temps libre. » Il fallait simplement que je sois honnête sur ce que je pensais, sur ma vision des choses, sans me mettre en danger. Meilleur ami ou non, les coups de putes ça pouvait venir de partout. « Je ne vais pas te faire une promesse que je ne tiendrais pas. » Plus de secrets entre nous par exemple. C’était mon sang qui voulait ça, ma sécurité aussi, parce que j’voulais pas finir comme mon père. « Alors pourquoi m’avoir fait croire le contraire ? » Attiser ma possessivité ? Attiser ma haine ? Tu vois c’était pour ce genre de chose que notre amitié était malsaine. « Moi j’étais vraiment là par hasard et quand je t’ai vu au lieu de mettre ma fierté de côté, j’ai préféré me cacher pour voir c’que tu faisais. » Pour en revenir à cette histoire, même si pour moi c’était déjà derrière moi. Je m’enfonçais dans ton canapé, portant à nouveau le goulot à mes lèvres. « Mmh… En fait je t’ai déjà livré un bout de mon histoire et si tu n'as pas envie de me traiter différemment des autres, c’est qu’à tes yeux je ne vaux pas plus qu’elles et ça à la limite, c’est pas trop mon problème. » Pour moi t’avais une place spéciale, mais je ne pouvais pas forcer dans le sens inverse. « Si on dépasse les limites de l’amitié, tu te permettras sûrement plus de chose, ça va probablement accentuer le côté malsain et moi j'n’ai pas envie que ça me freine dans mes ambitions, que d’avoir quelqu’un qui n’est pas juste de passage dans mon pieu. » Parce que l’intimité, ça pouvait changer une relation, qu’elle soit sérieuse ou non.


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C’est le merdier cette relation parce que l’on est nocif, que l’on l’a toujours été et à présent il faudrait que l’on change ça pour qu’il y ait moins de frasque autour de nous sauf que c’est tout simplement impossible car comme on dit, chasse le naturel, il revient au grand galop. Voilà le problème face auquel nous étions confrontés, une impasse dans laquelle nous ne pouvons rien faire. Alors je l’écoute encore une fois prendre les devants pour sauver tout ça là ou moi je ne bouge pas le petit doigt, non pas parce que je m’en fou mais parce que je suis ainsi, toujours très fier, probablement trop d’ailleurs mais on ne se refait pas. Les yeux rivés dans les siens, la bière au bord des lèvres, je l’écoutais rejeter en bloc ma proposition. Je préfère ne pas m’attarder là-dessus, dans ce cas alors autant y aller au feeling et voir ce que l’avenir nous réservera pour la suite des événements. « Pourquoi ? Parce que t’étais persuadée de ça alors j’t’ai laissé croire ce que tu voulais en rentrant dans ton jeu tout simplement. » Et puis parce que ça fait partie de qui nous étions, à toujours se provoquer, titiller l’autre pour lui faire perdre le contrôle, pour qu’il avoue son attirance et que ses nerfs le trahissent. C’est ainsi que l’on a décidé de vivre depuis le commencement. « Ce n’est pas ton problème ? Je ne suis pas vraiment sûr de ça. Ne te mens pas à toi-même. Si cela venait à être le cas je ne suis pas sûr que tu en resterais de marbre. Tu peux mentir à qui tu veux Izzy mais pas à moi, j’te connais trop bien pour ça » Je plisse les yeux en finissant ma bière, tirant au passage un latte sur mon joint, laissant la fumée s’éparpiller dans mes poumons, me tuant un peu plus cet organe vital, avant que je ne la recrache, profitant de l’effet de cette drogue douce et de son odeur. « Je ne suis pas l’homme d’un seul lit tu devrais le savoir. T’es la seule avec qui j’ai une vraie relation mais ça ne veut pas dire pour autant que je souhaite du sérieux avec toi » Il n’a jamais été question de ça entre nous de toute évidence car on finirait simplement par se faire la peau au vue de nos caractères bien trop similaires. « C’est juste inutile de se freiner quand les choses dérapent comme on l’a toujours fait » Mais pour cela encore faut il que pour elle ce relâchement ne soit pas le début de quelque chose d’autres, de sentiments différents. « Moi j’suis prêt à prendre sur moi, du moins à essayer »
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Il y avait certaines choses que je ne pouvais pas te révéler. Probablement qu’il fut un temps avant cette décision de s’éloigner ou cette dispute dans le centre-ville de boston, j’aurai pu t’en parler, mais la confiance, c’était comme l’amitié, ça s’entretenait. Jusqu’alors, j’avais surtout l’impression de porter à bout de bras notre amitié, quand toi, tu me regardais faire, une once de jugement dans le regard. Peut-être que j’avais plus de couilles que toi dans le fond, de ne pas avoir peur de mettre mon ego de côté et pas hésité une seconde à me confronter à notre problème. Ou peut-être que comme moi t’étais perdu et tu ne savais pas par où commencer ? C’était d’ailleurs pour ça que j’avais entamé la conversation, quelques secondes après mon arrivée. Tu faisais preuve de bonne foi en me parlant de ta cliente, mais ce n’était pas tant ça le problème, c’était le mensonge le jour j. « Ok. » C’était mieux de me le dire maintenant, que ne pas me l’avouer du tout. « J’ai grandi à Boston et j’ai offert m’a confiance qu’à deux personnes Alec.. Ce n’est pas tant que tu couches avec d’autres qui me dérangent, c’est que tu puisses me remplacer. Je suis possessive avec Marla et toi, c’est comme ça. » Parce que vous étiez détenteur de mon secret, que je vous avais livré d’une certaine façon mon cœur sur un plateau d’argent, quitte à me mettre en danger. J’avais avoué la même chose à Marla en parlant de notre recherche de colocataire. Parce que je n’étais pas à l’abri qu’un jour vous vous rendiez compte que je pouvais être aux antipodes de la meilleure amie dont vous avez besoin, n’est-ce pas ? J’étais souvent absente, préférant m’enrichir d’argent sale plutôt qu’entretenir mes amitiés. J’étais loin d’être parfaite, j’en étais consciente. « Je n’ai pas évoqué du sérieux non plus, mais si ça dérape une fois, ça va déraper plusieurs fois, tu le sais aussi bien que moi. » Il fallait que je trouve un ou une acolyte capable d’aller aussi loin que moi, pour envisager quelque chose de sérieux et c’était comme chercher une aiguille dans une botte de foin. Mais tu n’avais pas tout à fait tort, c’était peut-être inutile de toujours freiner la passion. « C’est inutile, que si on est certain que le jour où ça s’arrête, notre relation restera intacte. » Que je soufflais en terminant d’une traite ma bière, refoulant un rot peu glamour qui voulait s’échapper. « Passe-moi ça. » Que je soufflais en te piquant des mains le joint, pour le glisser entre mes lippes et tirer dessus. « Tu en es certain, toi ? » Moi je l’étais de mon côté.


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Est ce que je n’ai pas pris l’initiative de revenir vers elle parce que j’ai eu cette habitude ces derniers mois de faire sans elle ou alors est ce simplement parce que je ne sais pas quoi dire, que je ne veux pas dire n’importe quoi ? J’en sais rien et c’est bien ce qui me dérange car je suis pour le moins spectateur de cette scène, l’écoutant me parler sans pouvoir dire quoique ce soit de constructif réellement parce que tant de choses ont changés ces derniers mois. « Mais pourquoi cette idée que je puisse te remplacer ne cesse de venir te perturber, pourquoi tu le penses ne serait ce qu’un instant ? » A aucun moment je doute de cela et pour preuve nous avons passés nos deux voire trois derniers mois à ne pas se parler et pourtant lorsqu’on se revoit c’est toujours pareil, il y a toujours ce lien fort entre nous, cette alchimie, cette attirance parce que c’est ancré en nous et peu importe à quel point nous pourrons nous éloigner, il y aura toujours cela entre nous, on ne pourra pas nous l’enlever. Comment une femme aussi forte peut avoir au fond d’elle autant de craintes ? « Je ne le sais que trop bien » Il nous suffirait d’un simple moment de faiblesse pour que la machine déraille, pour que tout aille de travers et que plus rien ne soit comme avant. Mais au final est ce ça qui l’effraie ou simplement le fait qu’en franchissant l’acte l’un de nous se rende compte que finalement c’est pas particulièrement mieux qu’avec quelqu’un d’autres ? « Je ne suis pas devin, j’peux pas t’assurer que ça sera le cas pour sûr. Peut être que tout cela renforcera nos liens, peut être que ça les fragilisera, j’en sais strictement rien. Tout ce que je sais c’est que justement toutes ces questions font que l’on en est là à l’heure d’aujourd’hui et plus particulièrement aussi complice et proche qu’avant » Elle veut que je m’ouvre, je suis en train de le faire petit à petit en lui expliquant sans le lui reprocher pour autant que ce qui faisait la force de notre relation est justement en train de partir en fumée à cause de ce blocage ou du moins de l’importance que cette problématique a pris au fur et à mesure du temps. Je lui cède le joint tout en partant vers mon buffet afin d’y sortir une bouteille de rhum, tout ce dont nous avons besoin actuellement, la bière n’aidant pas plus à la réflexion. Tout en nous servant des verres, j’hausse les épaules à sa question « Comme je t’ai dit tu n’es jamais sûr de rien en soit. Une surprise peut vite arriver certes, mais la vie est faite de risque, soit tu le prends, soit non » Et j’ai toujours vécu ma vie avec du risques, c’est ce qui me fait vivre et même nous fait vivre parce qu’on est les mêmes là-dessus, ce n’est pas pour rien si l’on est meilleurs amis de toute évidence. Son verre que je lui tends avant de reprendre place dans le canapé, le sourire au coin des lippes, les yeux plissés, ne quittant pas ses prunelles « Alors ? »
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J’essayais de toutes mes forces d’être la plus franche possible, n’ayant pas honte d’assumer ma possessivité. J’étais comme ça, et tu devais m’apprécier pour celle que j’étais, avec mes bons côtés, comme les mauvais. Je savais pourtant que je n’étais pas facile à comprendre, que je pouvais parfois agir bizarrement et me focaliser sur des détails qui pouvaient te sembler insignifiants, mais pour moi et mon esprit complexe, tout était lié. « Parce que dans mon milieu, dans ma famille, c’est proscrit de donner sa confiance… » C’était une façon de se protéger. « Ce sont les gens à qui tu la donnes, qui te trahissent, comme ce sont les seules personnes qu’on estime. » Alors en effet, je devais rabâcher et ça revenait sans cesse au bord de la table, mais c’étaient des craintes fondées pour des membres de gang. On ne parlait pas simplement de deal, mais de plusieurs trafics qui permettaient de brasser plusieurs centaines de milliers de dollars donc forcément que l’appât du gain pouvait faire de l’œil à nos plus proches amis. Et je ne doutais pas de toi, et moins encore depuis le démantèlement du gang de mon père, mais dans l’avenir, qu’est-ce qui me prouvait que tu ne fréquenterais pas mes ennemies ? Moi-même, je ne pouvais pas tous les connaître donc… Mais j’avais foi en notre amitié, c’était d’ailleurs pour ça que je t’avais mis dans la confidence à l’époque, même si je n’étais jamais entrée dans les détails. Et comme je le disais plus haut tout était lié, donc m’aventurer dans l’intimité avec toi, c’était un danger pour notre amitié et donc pour ta loyauté. Je bougeais un peu sur moi pour me tourner vers toi et m’asseoir en tailleur sur ton canapé. « Alors je veux savoir une chose, promets-moi que tu resteras gardien de mon secret jusqu’à la mort, tout comme je ne parlerais jamais de ton trafic de drogue. » Parce qu’en soit, même si c’était plus d’actualité, j’avais de grands projets en tête qui je l’espère, me mènerait une nouvelle fois au sommet. Je comprenais tes mots sans y répondre, parce que je t’avais déjà dit lors de notre dernière dispute dans le centre-ville que t’étais particulier pour moi. J’étais capable de le faire une fois, pas deux. J’attrapais le joint, sans que tu rétorques, parce qu’entre nous, il n’y avait pas de galère à ce niveau et aucun de nous deux n’était en jamais en rade de weed. « C’est vrai. » Puis je tirais doucement sur le joint, m’enivrant les poumons, pour recracher doucement la fumée épaisse, en attrapant le verre tendu. « Merci. » Je le portais à mes lèvres, en prenant une gorgée avant de le reposer. « D’accord, ça me va, si toi ça te convient. » Que je soufflais doucement avant de te rendre ton roulé.


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