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Destruction (lulix)

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destruction ★ ─
w/ @Alix Stanford

J’ai la rage…Tu sais, cette rage qui me broie de l’intérieur, qui me donne la nausée. J’ai la haine. La haine depuis que j’ai reçu ton message, la haine depuis que tu m’as dis que t’allais plus me calculer. J’ai envie de faire une tuerie. Mais cette colère, elle est surtout dirigée vers ces hommes qui sont avec toi, qui te touchent, qui te traînent. Ouai, j’vois déjà bien l’image que ça offre, de ton épiderme saccagé par ces connards. Je peux pas. J’accélère. Ma moto vole sur le bitume et les voitures klaxonnes. Je roule comme un taré, je fais pas attention. J’ai même pas pris la peine de mettre mon casque, c’est pour dire. Non, j’ai démarré le moteur, j’ai fait gronder le moteur et ce, dès que tu m’as envoyé un message, dès que tu m’as dit que t’étais accompagné. Je refuse. Je refuse qu’ils te touchent, c’est pas possible. Je vois rouge. Le vent me frappe le visage, j’ai du mal à respirer. Tant pis, je fais avec, parce que je ne ralentis pas. Mes tournants sont serrés, dangereux. Si j’arrive en un seul morceau, c’est que j’ai une chance de cocu. Finalement, je vois l’enseigne du Drink. J’étais pas chez moi donc forcément, j’ai pris plus de temps. Une fois devant, je saute de ma moto et ne prends pas la peine de l’attacher, je coupe juste le moteur. Franchement, j’ai le visage glacial, j’ai les cheveux mouillés suite au temps de merde dehors. Pas grave, si je tombe malade, c’est pour la bonne cause. Une fois dans la bâtisse, je te cherche des yeux. Y’a un mec avec toi, il a ses mains sur toi…Mauvaise idée. Je serre les dents, je tente de respirer, en vain. Tu sembles tellement…ailleurs…belle…mais ailleurs. Sans attendre, j’avance vers toi, ma veste en jeans me colle à la peau, mon pantalon aussi. Ça ne m’arrête pas. « Alix, ramène-toi ! Toi, dégages de ma vue ! »’C’est un ordre. Pure et dure. Je suis pas d’humeur à être gentil, à jouer. Oh que non.
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w/ @Lux de Rosiers

elle a bu alix. un peu trop. comme souvent. jamais au point de se sentir de cette façon. et elle le sent qu’elle a l’esprit qui dérive, que quelque chose ne tourne pas rond. renifle l’intérieur de son verre sans déceler quoi que ce soit. elle a bu quoi ? deux, trois cocktails. quelques shots. pas assez pour être comme ça. la tête qui tourne. la vision qui se trouble et le besoin de cligner bien trop de fois des yeux pour ne pas sombrer dans un semi-coma. elle se sent pas bien la rouquine, a l’impression que le sol se dérobe sur ses pieds. elle se souvient avoir envoyé quelques messages mais n’est plus capable de dire où se trouve son téléphone désormais. quitte son tabouret, tangue dangereusement, les mains masculines qui la retiennent, les rires qui viennent. et elle rit aussi, peut être stupidement. elle comprends pas, est dans un état second. y a ce gars, adam, qui la soutient par la taille, le blond en face d’elle qui joue avec ses mèches rousses. je veux rentrer qu’elle murmure. l’rire gras qui vient jusqu’à elle, la promesse de la ramener. et probablement que dans son état normal, elle aurait senti le danger. peut être même qu’elle l’avait senti puisqu’elle avait envoyé des messages. elle en sait pas grand chose en réalité, a juste l’impression d’être complètement déconnectée. une voix qu’elle connait qui retentit pourtant. loin ? proche ? elle ne sait pas vraiment. lux ? elle souffle, un pas en avant pour aller dans la bonne direction, adam qui la tient par le bras. tu t'en vas déjà ? je veux rentrer lux.. la tête qui tourne trop, le regard vide. elle sait plus trop où elle, ni ce qu'elle fait.
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Y’a un truc qui cloche. Je sais quand t’es bourrée, je te connais sous toutes tes facettes. Les plus belles, les plus moches. T’as les yeux ailleurs, t’as l’esprit qui semble perdu dans l’espace-temps. Le blond, je le calcule pas, mes yeux sont fixés sur ta personne. Je te regarde comme si j’allais exploser, comme si j’allais me déchaîner. Pourtant, c’est pas toi que je vise, pas sur toi que ma colère veut se verser. Non, t’es juste un réceptacle. Pour le coup, je t’aurais bien tuée, mais une bête claque et tu t’effondrais à terre pour deux semaines. « Ouai c’est moi… » Que je balance en posant une main sur ton épaule. L’autre, il a pas pigé que je ne suis pas d’humeur à jouer. Sa main se pose sur ton bras, il te parle, tu me dis que tu veux rentrer…mais je suis déjà parti. Pas physiquement, mais mes yeux, eux, sont posés sur la main qui est sur ton bras. Le myocarde qui se déchaîne, les dents qui se serrent. Ne m’en veux pas mon ange, mais pour l’heure, y’a plus que lui et moi. « Je te conseil de dégager ta main. » Des paroles dites avec douceur, cette douceur qui trompent. Il me sourit, d’un air banal. Il pense avoir le contrôle, il ne me connait pas, même toi tu te serais cachée si t’avais tout tes esprits. Tout va très vite, même pour moi. Je comprends pas ce qu’il dit, je voit juste qu’il m’obéis pas. Ma main attrape la sienne, je retourne son poignet avec une rage immense. Ça craque…trop fort. Mais tu sais quoi ? Je ne m’arrête pas là. Il t’a touché, c’est suffisant pour le briser, pour le brutaliser. Mon poing part sur sa mâchoire et il tombe sur une chaise, je me précipite sur lui, je frappe, lui aussi, jusqu’à ce que deux gorilles nous choppent pour nous séparer. Un gout métallique dans la bouche…il m’a pas raté, mais je pense que je lui ai fait pire que ça. « Ok ça va ! » Que je hurle en me dégageant, te cherchant des yeux, toi mon précieux. T’es toujours là. Je suis prié de dégager, pas sans toi, jamais. T’es pas en état…alors je ne te demande pas ton avis, je t’attrape. Un bras dans ton dos, l’autre sous tes genoux et je te soulève contre moi. « On rentre à la maison. » Grognais-je en me dirigeant vers l’extérieur, te serrant probablement trop fort contre mon corps. « Dans quel état t’es… »
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le regard vitreux c’est jamais une bonne chose. et si elle avait pu garder un minimum de lucidité, elle saurait. elle saurait que c’était pas normal, qu’il y avait bien quelque chose que l’on avait glissé dans son verre et que si elle n’avait pas eu le réflexe d’envoyer des messages à lux, elle serait dans des sacrés histoire. en fait, elle avait la chance que ce soit toi. que malgré les prises de tête et les hostilités tu sois le genre à accourir pour voler à sa rescousse sans te poser la moindre question. elle divague alix, comme si elle flottait au dessus des autres, incapable de comprendre ce qui était en train de se passer. les mots qui venaient à son cerveau avec un temps de retard et soudainement, plus de rempart. sa main qui s’accroche sur le tabouret, les yeux qui se ferment tout seul. y a des cris qui remontent, des masses qui passent à côté d’elle et une nouvelle fois, elle sourit juste, peu consciente des dégâts autour. elle veut juste rentrer alix, pas flotter de cette maison. puis c’est des bras qui la soulève du sol, la sort de l’état semi comateux qu’elle pouvait avoir. elle se perd un peu, ton odeur qui remonte à ses narines et le sentiment de sécurité qui en émane. c’est sa tête qu’elle pose dans ton cou, souffle doucement alors que le froid de l’extérieur ne tarde pas à venir piquer son épiderme. j’ai pas bu comme ça murmure doucement. pas assez pour se retrouver dans un état pareil. pas assez pour voguer entre la semi conscience et les limbes de son esprit. elle est un peu paumée alix, pas certaine de ce qu’elle a fait ce soir. y a juste ce prénom qui revient sans cesse ; adam. j'voulais juste t'oublier un peu les mots qui claquent un peu, empreint d'une vérité qu'elle aurait dû garder pour elle, peu consciente de ce qu'elle pouvait dire, de l'impact que ça aurait.
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Si ça avait été quelqu’un d’autre, j’y serais probablement pas été. Sauf pour Leilah, Luna, mais les autres, ils auraient pu crever. Mais toi. Toi t’es quelqu’un pour moi, tu sors du lot, comme une étoile qui brille davantage, plus fort que les autres. Te voir dans cet état me donne la nausée. Il est passé où ton beau sourire ? Il est passé où, ton beau regard ? La rage glisse dans mes veines, vient caresser mes tripes pour finir par me faire imploser. Les coups se perdent, les chaises tombent, les tables se renversent. Je ne vois plus rien, Alix. Protège moi…protège moi de cette descende aux enfers. Mais ce soir, c’est moi qui vait devoir veiller sur toi, qui vait devoir frapper fort. Lorsqu’enfin, on me traine pour que je lâche ma victime, je reprends une certaine contenance. Le cœur au bord des lèvres, le gout métallique dans la bouche, je sais que le sang a été versé, ne serait-ce qu’à la couleur de mes jointures. Je ne me fais pas prier, attrapant ton petit corps qui flotte vers un monde qui n’appartient qu’à toi. Mais ce n’est pas normal, tu sais, d’être ainsi. Tu n’as jamais été aussi loin…Je me demande si je serais capable de te rattraper…ou peut-être de ne pas tomber avec toi. Ton visage vient se réfugier dans mon cou, caresser mon épiderme pour retrouver la chaleur de la connaissance, éloignant l’inconnu. Je frisonne, comme un débutant, bien que le myocarde soit toujours sous l’état de l’énervement, battant la chamade… « Comment ça ? » Demandais-je, sans pour autant ignorer la réponse. Je ne suis pas stupide, je sais que ce regard vitreux, ces traits détendus ne présage qu’une chose. Tu as de la chance d’être dans mes bras, d’être dans le besoin, sinon j’y serais retourné pour le tuer. Plus tard…Tu voulais juste m’oublier…Tes paroles, elles font plus de mal qu’autre chose, je me crispe. Tu peux pas m’oublier comme ça…au fond, je ne veux pas que tu m’oublie. Regarde, je suis là, rien que pour toi. « Charmante façon… » Murmurais-je en grinçant des dents. Doucement, je te dépose sur ma moto, comme si je te déposais sur un siège. « Regarde-moi… » Un murmure alors que je lève ton visage vers le mien, que j’enfonce mes iris sombres dans les tiennes. « Plus jamais…tu m’entends. Plus jamais. Je vais te ramener chez moi. » Parce qu’il m’est impossible de te laisser, mes doigts sur ta joue en témoignent.
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mais tu sais, c’est souvent à ça que rime son quotidien. chercher à t’oublier encore et encore. ne plus penser à toi. te détester purement pour ne plus jamais ressentir l’envie d’un jour courir dans tes bras. parce que c’est fatiguant par moment, tout ça. et tu le sais lux que vous allez finir par vous brûler sévèrement. que c’est pas humain cette bataille constante de celui qui fera le plus de mal à l’autre. ces derniers temps, la situation s’empire. les prises de têtes sont plus fréquentes, les moments de paix aux abonnés absent. comme si vous n’étiez plus capable de communiquer. comme si vous preniez un malin plaisir à vous déchirer l’âme, peu conscient des dommages effectués chez l’autre. peut être que tu t’en fiches toi, peut être qu’elle s’en fiche aussi un peu. peut être que parfois, elle se met à penser qu’elle préfère souffrir le martyr, te faire don de tout plutôt que de ne plus t’avoir près d’elle. pas ce soir. ce soir, elle avait sincèrement voulu t’oublier. elle avait honnêtement cherché à te faire disparaître parce que ça devenait parfois trop lourd à supporter. les limites que t’atteint et qui lui donne envie de prendre en large. dans le fond, tu sais qu’elle serait revenue. elle le fait à chaque fois. peu importe la force avec laquelle elle t’insulte, la haine qu’elle déverse sur toi, elle revient toujours vers toi. peut être que c’est écrit dans les lignes de vos destins, peut être qu’elle te voue juste cette dépendance malsaine dont elle ne sait visiblement pas se défaire. mh elle grogne un peu, le cerveau qui fait, tape dans ses tempes avec trop de force. et elle essaie tu vois. de relever la tête vers toi. mais c’est une épave ce soir alix. elle s’est laissé submerger, a foncé tête baissée dans le danger. ta main qui soutient les traits fins et elle cligne doucement des yeux, te sourit doucement. plus jamais quoi ? la demande innocente parce qu’alix elle comprend pas. elle est trop loin pour ça. c’est sûrement comme ça que vous auriez votre pause. trop déphasée pour criser sur quoi que ce soit. est-ce que tu penses à moi des fois ? comme elle, elle pense à toi ? est-ce que y a son visage partout dans ta tête ? est-ce que parfois tu l'appelles alors qu'elle n'est pas là ?
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Plus jamais…Plus jamais toi, plus jamais moi. Plus jamais. Plus jamais de quoi ? De nous ? D’eux ? De vous ? Putain, j’en sais rien. Je sais pas quoi te dire, je sais pas quoi te répondre. De toute façon, t’es pas en état de comprendre, t’es pas en état de réaliser à quel point te voir dans cet état me tue. Non, t’es pas en état de voir que je m’accroche à toi comme un naufragé, que je m’accroche pour ne pas couler. Et toi ? Dis-moi, tu coules aussi ? Parce que je bois la tasse Alix. Je la bois à grosse gorgée et je fais finir par me fondre dans l’océan de nos conneries. Pourquoi on peu pas être normal toi et moi ? Pourquoi on peut pas juste avancer, et arrêter de reculer ? Parce que c’est ce que les gens normaux font non ? Sauf que ouai, j’suis pas normal mon ange. La normalité voudrait que je laisse ton mec venir te chercher, te ramener. Sauf que c’est moi. Moi qui suis ici, à contempler tes yeux vitreux. Moi qui suis ici, à te tenir sur ma bécane. « Tu le sauras un jour. » Murmurais-je simplement en dégageant une mèche de ton beau visage. Oui, un jour. Un jour je le saurais aussi, mais peut être que y’a pas d’explications. C’est comme une énigme tu vois, dont t’es la réponse, mais qui m’échappe sans cesse. Dieu que j’aimerais te résoudre…Et la question, elle vient caresser mes oreilles. Si je pense à toi ? Je m’interroge. Pourtant, je connais la réponse, elle me semble évidente, flagrante. Si je pense à toi ? Chaque jour, chaque heure, chaque minute. Je pense à toi au réveil, quand je m’endors. C’est malsain, parce que je te déteste. T’efface France. C’était jamais arrivé, tu sais, ce genre de truc. France, c’est mon émotion, c’est mon carburant, ma plus grande détresse. Et toi, tu prends sa place, comme une traitresse, tu l’a bouscule pour t’imposer. C’est pas normal. « Chaque jour. » La franchise. Pour une fois. Parce que t’es pas en état de t’en souvenir, parce que tu oublieras…J’en suis certain. C’est pour ça que je caresse ta joue, délicatement, comme un prédateur qui amadoue sa proie mais qui ne compte pas la bouffer, juste l’emprisonner davantage. « Chaque jour depuis toutes ces putain d’années. » T’es devenue étouffante, mon phénix aux plumes rougeoyantes. « Et je sais pas quoi faire pour l’arrêter. » Ma voix, elle tremble et ça me surprend le premier. Parce que je tremble un peu, parce que j’ai froid, mais pas seulement physiquement. « Dis-moi comment arrêter ça. » Je redeviens le gamin qui a perdu sa France, sûrement parce que t’es aussi vulnérable que moi. Alix, dis-moi comme respirer, pitié, j’en ai besoin…
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parce qu’elle le fait souvent. parfois inconsciemment. un souvenir, n’importe quoi qui la fait penser à toi et elle te cherche. dans ses moments de folies, quand elle perd le contrôle, elle t’appelle. et elle voudrait tu sais ? elle voudrait que tu n’ai pas cette importance. qu’elle puisse te bourrer de rature et prétendre que tu n’as pas existé. oh, elle aurait jamais cru la première fois qu’elle t’as croisé à une soirée que tu prendrais cette place. elle aurait jamais pensé que tu puisses à ce point s’immiscer dans son adn. parce que c’est ça. des fois, t’es plus une personne à part entière, tu fais partie d’elle. et y a des moments où ça devient trop oppressant, trop puissant. ça lui bouffe les entrailles, l’empêche de respirer. peut être que t’es un peu comme son oxygène et quand tu t’absentes du tableau, elle cherche vainement des bouffées d’air. n’importe quoi qui pourrait l’empêcher de suffoquer. t’es la raison d’une multitudes de choses lux. comme une cause à effet. et parfois, même quand tu lui fais trop mal, même quand elle rêverait de te voir disparaître, elle se rappelle que si tu t’en vas, t’emporteras avec toi une partie d’elle. est-ce que t’es conscient de tout ça ? de cette emprise sur sa personne, de la jalousie que tu fais naître en elle même quand elle hurle qu’elle ne te porte pas le moindre intérêt ? c’est stupide dans le fond. de continuer à poser ce voile juste parce qu’il serait trop difficile de l’enlever. elle est lilith, tu es lucifer. destinés à brûler en enfer. chaque jour. elle retient un peu son souffle alix, les yeux qui se perdent dans les tiens, assimilent des mots qui s’évaporeront bientôt. chut qu’elle murmure, son pouce qui se pose sur tes lèvres, caressent doucement, l’envie tordante qui la prend souvent sans qu’elle n’essaie jamais quoi que ce soit. pourquoi tu veux arrêter ? c’est l’air triste qui remplace tout le reste. parce qu’elle, elle sait qu’arrêter serait sûrement pire. que tu créerais un manque qu’elle ne pourrait pas gérer. arrête jamais s’il te plaît.
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Tu sais, on va finir par s’empoisonner, se brûler les doigts et le reste encore. Mais, je pense que t’as conscience de ça, comme moi. Parce que ça, au moins, je peux pas le nier. On se détruit, on se réduit en cendre. Pourtant, j’suis le seul à venir te rechercher en enfers, parce que les flammes ne me font pas aussi peur que de te perdre. Tu réalises ça ? Que j’irais plonger tête baisser dans la merde pour t’en sortir ? Pour te récupérer ? Peut-être que tu le sais, peut-être pas. Pourquoi je veux arrêter ? Mais regarde nous bon dieu…Y’a plus rien à en tirer. Y’a plus rien qu’on puisse faire pour s’en sortir. La porte de sortie est scellée, on sait plus avancer ni même reculer. On est pris au piège Alix. T’efface ma belle, ma bien-aimée et toi, tu finis dans les bras d’un autre lorsque moi, je finis dans ceux d’un ou d’une inconnue. Parce que c’est mieux que d’être seul, de finir dans un lit froid. Trop souvent, ton odeur y est ancrée et je tente de l’effacer…Parce que c’est une torture. Ton pouce sur mes lèvres m’oblige à me taire, à t’observer, t’écouter. Tu ne penses pas ce que tu dis, tu n’éprouves pas vraiment cette peine. T’es juste ailleurs. Peut-être que tu me confonds avec Aidan…Peut-être que c’est avec lui que tu veux pas arrêter. Mais moi, j’suis juste ta croix, une épine qui te fait souffrir. Déteste-moi pour ça, mon amour, mais c’est la seule façon que j’ai d’exister à travers tes yeux. Je soupire, laisse mon front venir se loger contre le tiens. Nos souffles se mélangent, je lutte de toutes mes forces pour rester debout, pour ne pas approcher davantage. Ouai, je lutte, parce que c’est comme ça, ça l’a toujours été, ta chaire m’appel comme un affamé. « Un jour, tu arrêteras. » Murmurais-je sans ouvrir les yeux, simple constatation, affirmation. Ouai, un jour, toi aussi tu partiras…Parce que les histoires bien, ça existe pas. J’attrape une de tes jambes et la fait passer de l’autre côté de la bécane. « J’appel un taxi, je suivrais en moto. » Dis-je en m’étant éloigné de toi, cherchant à échapper à la faiblesse que tu représentes.
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elle ferait quoi si tu faisais ça ? parce que c’était comme demander à un être humain d’arrêter de respirer. impossible. jamais elle arrêterait quoi que ce soit. jamais elle arrêterait de revenir vers toi. ça faisait des années que ça durait. des années que vous ne cessiez de jouer à ce jeu, incapable d’arrêter quoi que ce soit. parce que y a les choses éphémères et puis il y a vous. à vous suivre, vous chercher. elle le sait dans le fond que vous pourriez faire tous les efforts du monde sans que jamais rien ne se stop réellement. le besoin de l’autre. constant, prenant. vos complexités dans leur ensemble. les doigts qui caressent doucement la peau, ferme les yeux quelques instants. ce genre de proximité n’était pas étrange, peut être trop quotidienne. elle comptait plus le nombre de nuit où vous vous étiez assoupis l’un contre l’autre, à vous serrer jusqu’à vous étouffer, à vous nourrir de vos souffles respectifs comme si vos vies en dépendaient. elle dépend de toi lux. elle l’a toujours fait. t’as réussi à l’animer de bien des façons, à la rendre plus vivante. elle, la gosse abusée de la vie, trop abîmée pour mettre un pied devant l’autre. tu l’avais sorti d’un milliers de tourments, mis fin à certains de ses démons. non, non gémis, sa tête qui ballotte un peu trop. c’est toi qui arrête, c’est toi qui me laisse une de ses mains qu’elle porte dans le vie trop tard. t’es plus là. tu finis toujours pas t’éloigner. lui donne l’impression qu’elle arrive à t’attraper juste avant que tu ne te volatilises une nouvelle fois. c’est douloureux en réalité. de jamais réussir quoi que ce soit. de ne pas t’avoir vraiment. et une nouvelle fois elle divague, la vision qui se trouble un peu. elle a pas pleuré depuis des années alix, promesse qu’elle s’était faite et pourtant, l’état second fait tout chavirer. tu veux pas m'avoir juste moi et elle sait plus ce qu'elle raconte, les larmes qui s'écrasent un peu.
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