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LUX DE ROSIERS
date de naissance
19 avril 1993
lieu de naissance
Iverness, Ecosse
nom
de Rosiers
prénom(s)
Lux Charles
orientation sexuelle
Bisexuel
statut amoureux
Célibataire
études
Médecine
bourse
non
statut social
Très aisé
job étudiant
//
— (sans maison) parce qu’entrer dans une case ce n’est pas dans ses habitudes. Il aime vivre librement et, au fond, ne se sent pas vraiment à sa place que ça soit d’un côté ou de l’autre. Peut-être plus tard, quand il sera plus prompt à se réduire son univers à une seule fratrie. Mais pour l’heure, il préfère vaguer ici et là, se faire des propres idées, ses propres raisons et davantage, ses propres questionnements.
Une inscription basique, banale. Rien de bien extraordinaire, qui donnerait de quoi faire le paon ou le gros dos. Non, Lux a fait comme chaque étudiant dans cette université. Il a rempli la paperasse en premier lieu, suivant les traces de son père, ne voyant pas d’autres visions des choses. Harvard. Seulement Harvard. Pas Berkeley, ni Oxford. Harvard. Il le devait. Il a passé les SATS, en ressortant avec un résultat potentiellement satisfaisant. Pour lui, pas pour les siens…1532, pas au-dessus de ceux de son géniteur, échec et victoire en même temps. Le student’s essay…sur le droit des femmes, sur l’égalité des hommes. Il n’a pas fait dans la dentelle, exposant ses points de vues, les soucis d’une société parfois trop archaïque. Et enfin, le rendez vous avec la doyenne. Moment de solitude alors que sa maladresse a engendré des faux pas, heureusement, ça la fit rire et c’est probablement ce qui l’a sauvé et aidé à entrer à l’université.
Jaloux – Possessif – Rancunier – Mystérieux – Curieux – Joueur – Charismatique – Bordélique – Sournois – Colérique – Sanguin – Instable – Secret – Brisé • Intelligent – Loyal – Maladroit – Passionné – Attentif – A l’écoute – Empathique – Courageux – Tenace – Souriant – Blagueur.
Mon cœur meurt en silence…
Aide-moi…
Relève-moi…
Non, s’il te plait, détruis-moi.
Aide-moi…
Relève-moi…
Non, s’il te plait, détruis-moi.
Je me souviens, tu sais, des horizons lointains et de l’amour qu’une famille peut avoir envers ses enfants…Oui, je me souviens des gosses tenus par la main, ceux que j’enviais secrètement pour ce genre de mécanisme, d’instinct. Ils étaient beaux, eux, qui étaient heureux. Je me souviens des regards en biais que je lançais à ces fillettes, à ces garçonnets. Comme ils semblaient bien dans leur peau c’est petits privilégiés. Et pourtant, quand ils m’observaient…ils voyaient l’enfant riche, dont les caprices étaient exaucés. Ils me jalousaient pour ce que je possédais, je les jalousais pour ce qu’ils avaient. Une enfance tragique, tu ne trouves pas, France ? Tu me manque. Ta compagnie, tes rires, tes sourires. J’aimerais revenir à Paris, pour te revoir, retrouver la nostalgie de notre enfance en commun. Te souviens-tu de mes parents ? De cet homme rigide et sans cesse en quête de la perfection ? De cette dame aux cheveux sombres, au dos droit et à la pâleur maladive ? Il ne reste qu’un.
Elle est morte France, comme toi.
Vous avez disparu de mon monde.
Revenez moi.
Vous avez disparu de mon monde.
Revenez moi.
Je n’oublie pas, les paysages.
Je n’oublie pas, vos visages.
Ce que j’oublie c’est les battements frénétiques de mon myocarde.
Je n’oublie pas, vos visages.
Ce que j’oublie c’est les battements frénétiques de mon myocarde.
J’avais dix ans quand t’es morte, France. J’avais atteint les treize années quand elle a succombé. Maladie ravageant ses entrailles, elle dépérissait et lui, il s’en foutait. Oh ma belle France, comme tu aurais détesté cette image, comme tu aurais été bien plus forte que moi. Le sourire sur ses belles lèvres s’est estompé et le regard dur de son mari c’est refroidi. L’amour s’était échappé, tu sais…comme envolé. Et nous, nous serions-nous aimés France ? Pas comme deux enfants, mais comme deux âmes-sœurs ? M’aurais-tu aimé si tu m’avais vu sombrer dans un océan de larmes salées à sa perte ? Il m’a ordonné de ne pas pleurer, que ce n’était pas convenant de le faire. Alors…j’ai hurlé France, j’ai hurlé pour qu’elle revienne, pour que tu reviennes. Mais tu sais quoi…
Personne n’est revenu France…
Seule sa main sur ma joue me ramena à la réalité.
Et mon amour, envolé à vos côtés.
Seule sa main sur ma joue me ramena à la réalité.
Et mon amour, envolé à vos côtés.
Le moment parfait n’existe pas,
Le temps se meurt dans l’espace,
Et l’enfant crève dans le sable…
Le temps se meurt dans l’espace,
Et l’enfant crève dans le sable…
L’enfant a disparu, je crois. Maman, tu aurais honte de moi. T’es partie rejoindre la belle France, prends soins d’elle. J’essaye de tenir bon, tu sais. Il n’est plus comme avant, papa. Il a changé. T’es partie en arrachant son cœur, y’a plus qu’un trou béant, je n’arrive pas à m’y faufiler. Maman, t’es où en ce moment ? Tu observes les ravages de ton absence ? France, que dit-elle ? Elle qui est partie trop tôt, happée par une chevauchée dans les bois de notre domaine…Happée par cette chute équine et du sang qui s’écoule dans cette petite rivière. Dis-moi maman, m’en veut-elle de l’avoir abandonnée dans les feuilles mortes ? Et toi, que penses-tu de tout ça ? J’aimerais avoir hérité de ta force, de ton énergie, je ne m’autorise pratiquement plus à penser à toi. Maman, Harvard m’attend, mais j’ai froid. Tellement froid. Y’a plus rien de tenable en moi, c’est pathétique. Ils pensent tous que tout va bien, mais ils ne voient pas les cicatrices invisibles, le cœur en sang, les veines meurtries. Ils ne voient pas que le monde est fade, cruel, sadique. France…fermes les yeux, ne regarde pas ce monde, il n’était pas fait pour toi.
Il n’est probablement pas fait pour moi.
Grandir c’est bien…Dans certains sens. Harvard. Tu aurais aimé, France. Oui, tu aurais aimé cet univers que je méprise malgré moi. C’est ici qu’il voulait que je sois, ici qu’il m’a poussé pour se débarrasser de moi. Je lui rappelle trop ma mère, tu vois. Il y a des gens bien, des gens que j’aime, que j’apprécie, mais pas comme toi, comme vous. C’est stupide d’aimer des fantômes, de caresser l’illusion que vous lirez ces quelques lignes. Mais l’illusion, c’est tout ce qu’il me reste. Je ne me contrôle plus. Emotions trop fortes, rancœurs évidentes. France, je sombre. Seras-tu là pour me rattraper le moment venu ? Parce que la chute, elle sera violente. En attendant, France, je porte des masques. Tu sais, comme ceux que l’on s’amusait à porter avant, dans ces bals animés. Ils sont moins beaux, plus multiples, mais ils fonctionnent. Je ne laisse personne vraiment m’approcher, parce qu’ils ne sont pas toi, parce qu’ils ne sont pas elles. J’ai peur. En silence, je crois que je suis terrifié devant toute cette nouveauté.
Dis-moi papa, est-ce que t’es fier ?
Fier de l’ombre qu’est ton fils ?
Dis-moi papa, que feras-tu quand le monstre sortira ?
Quand la peur détruira ?
T’auras plus rien papa.
Fier de l’ombre qu’est ton fils ?
Dis-moi papa, que feras-tu quand le monstre sortira ?
Quand la peur détruira ?
T’auras plus rien papa.
Lettre à mon père, des mots éphémères que tu ne liras jamais.
Dieu que je te déteste, comme je t’aime. Tu es l’ombre de toi-même, faisant de moi cette obscurité naissante. Papa…la lumière n’est pas bien loin, mais elle me semble intouchable. Les années ont passées et y’a plus rien. France, Maman. Penses-tu qu’elles seraient fières de nous ? J’ai des amis incapables de réaliser, j’ai le cœur au bord des lèvres. Ma vie, elle m’échappe papa. Mes études, mes conneries, mes pleures. Ils sont tous destinés à crever, d’une façon ou d’une autre. J’essaye d’aimer, tu sais, mais comment le pourrais-je quand l’amour est un mot absent depuis si longtemps ? Papa, j’ai besoin de toi…Tu ne le vois pas, eux non plus, mais bordel, regardes-moi et dis-moi que tu m’aimes, juste une fois, une simple fois. J’ai besoin de ça pour aimer une autre personne, n’importe qui, au lieu de détruire tout sur mon passage. Dis-le que mon avenir ici soit moins compromis par le néant qui pointe le bout de son nez.
Dieu que je te déteste, comme je t’aime. Tu es l’ombre de toi-même, faisant de moi cette obscurité naissante. Papa…la lumière n’est pas bien loin, mais elle me semble intouchable. Les années ont passées et y’a plus rien. France, Maman. Penses-tu qu’elles seraient fières de nous ? J’ai des amis incapables de réaliser, j’ai le cœur au bord des lèvres. Ma vie, elle m’échappe papa. Mes études, mes conneries, mes pleures. Ils sont tous destinés à crever, d’une façon ou d’une autre. J’essaye d’aimer, tu sais, mais comment le pourrais-je quand l’amour est un mot absent depuis si longtemps ? Papa, j’ai besoin de toi…Tu ne le vois pas, eux non plus, mais bordel, regardes-moi et dis-moi que tu m’aimes, juste une fois, une simple fois. J’ai besoin de ça pour aimer une autre personne, n’importe qui, au lieu de détruire tout sur mon passage. Dis-le que mon avenir ici soit moins compromis par le néant qui pointe le bout de son nez.
pseudo CoffeeTime
âge ça se demande pas voyons
nationalité Belge
forum connu par... qui ne connait pas ILH :meditation:
ILH, j'en pense quoi ? que c'est beau, que c'est stable, que c'est...perfect
autres comptes ? @non, j'suis seule dans ma tête *tais toi, je t'ai dis que c'était mon tour*
avatar utilisé Gavin Leatherwood
crédits images Lourdsilence
nombre de mots par rp entre 350 & 900
type personnage inventé
parrainage @"compte si help" (voir la liste des parrains)
code bottin
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☾ <span class="pris">GAVIN LEATHERWOOD</span> ⊹ @"Lux de Rosiers"
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