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Les originesItalien. Il n'y a pas plus italien que lui. (tenir comptes de celle des membres la famille du personnage et des ethnies du faceclaim)
feat. Michele Morrone
3 octobre 1990 né à Milan.
Italien.
divorcé et hétéro.
professeur d'histoire à Harvard.
plutôt aisé
Le caractère
Gentils, doux, drôle, amusant, charmant, intelligent, alcoolique, têtu, arrogant, diabolique, lunatique, égocentrique. Sadique. Démoniaque. (Donner 10 traits de caractères ou détailler en 15 lignes minimum)
Les anecdotes
- ( 01 )Numéro une : Sarah est mon premier amour. On s’est rencontré au lycée. Dès que j’avais posé mon regard sur elle, je savais que c’était la bonne. J’avais rapidement engagé la conversation, tout de suite le feeling, c’est très bien passé entre nous. J’étais un garçon timide à l’époque, je n’étais pas un très beau garçon, pourtant, j’avais réussi à prendre les devants pour la séduire. Je savais qu’avec ce genre de fille, je ne pouvais pas passer à côté. Elle était incroyablement belle, une robe somptueuse, tout les garçons avaient les yeux rivés sur elle, et pourtant, elle m’avait accordé du crédit.
- ( 02 )
Numéro deux : je ne voulais pas brûler les étapes de notre relation. J’étais réservé, je savais que beaucoup d’homme lui tourner au tour. Pourtant, elle portait son attention sur moi, je n’y croyais pas mes yeux. Moi le gars au look de Clark Kent. Lunette sur le nez intello de service. Tous les gascons du lycée était jaloux de moi, ils voulais tous avec moi. Nous avions des points communs, c’était génial de passé du temps avec une personne avec qui je m’entendais aussi bien. - ( 03 )
Numéro trois : à la fin du bal de promo, nous avions échangé un long baiser langoureux. Je crois que je m’en souviendrais toute ma vie de ce moment-la. Dire que j’étais tout stressé quand il fallait lui demander de m’accompagner au bal de promo. J’étais devant mon miroir en train de préparer mon discours, il fallait juste que je sois naturel. C’étais un magnifique moment, la fille de mes rêves. La première fois dont je tombais amoureux. - ( 04 )
Numéro quatre : avec Sarah, nous avons passé nos années d’études séparément. C’était donc une relation à longue distance. C’était parfois compliqué au début de vivre sans elle. Mais on s’était promis de se respecter l’un à l’autre de se mettre zéro pression, c’était important pour notre relation. La confiance était la première règle. On se parlait tous les jours, on s’appelait tous les jours, mais il y avais quand même un manque. Je ne voulais pas bousculer sa vie ses études. Ses décisions, je ne voulais pas être le mec chiant, mais plutôt le petit ami idéal.
/li> - ( 05 )
Numéro cinq : j’étais porté par la bouteille, c’est le côté de moi que je déteste le plus, mon coté sombre. Je bois depuis l’âge de seize-ans. Je me suis pris des cuites mémorables. Parfois, je me réveillais dans des endroits que je ne connaissais même pas. Le pire, c’est qu’un soir, j’avais tellement abusé de l’alcool, que je m’étais réveillé dehors en pleine rue. Sarah, m’avait soutenue pour mon problème d’alcool, elle était inquiète pour moi. De plus, quand je bois, la violence qui est en moi ressort. - ( 06 )Numéro six : durant des soirées caritatives pour l’entreprise de la famille, j’étais une nouvelle fois ivre. Je faisais honte à mes parents, alors que c’était très important pour eux. Un ami proche, m’avait demandé de sortir, je prononçais des discours incompréhensibles. Toutes les caméras était branchés sur moi. L’homme riche, le futur PDG de la boite, qui était soudainement devenue, l’enfant terrible. À la sortie de la soirée, je m’en suis pris à un photographe, cette scène est passée dans le pays tout entier à la télévision.
- ( 07 )
Numéro sept : il y a six ans, Sarah, qui était devenue ma femme est morte lors d’un violent accident de voiture. C’était rapide, d’un choc extrêmement impressionnant. J’étais sans voix, quand on me l’avait annoncé le soir même, j’étais paralysé, je n’avais aucune réaction. C’était comme si une partie de moi-même était partie. La douleur était bien trop forte, je me dis qu’au moins elle n’avait pas souffert. Suite à cet événement horrible, qui était pour moi le pire de ma vie, mon penchant pour l’alcool avait empiré à un point que mon entourage ne pouvait plus me supportais. J’avais perdu presque tous mes amis, heureusement, j’avais le soutien sans faille de mes parents. - ( 08 )
Numéro huit : je n’avais plus goût à rien, j’enchaînais les coups d’un soir. Il était hors de question que j’entame une nouvelle relation sérieuse après le décès de ma femme. J’adorais séduire les femmes être sans attache sans tabou. À cette période-là, je prenais les femmes pour des objets. Je faisais des pratiques SM avec chacune d’entre elle. J’avais une chambre rouge avec toute sorte d’objet sexuel, elles étaient à ma merci. C’étaient des expériences incroyables. Je n’étais plus le même homme, j’étais sans limite avec aucun sentiment. Surement la pire version de ma personne. Bandeau, menotte, cravache, fouet tout était permis. Elles avaient qu’une chose à faire m’obéir. - ( 09 )Numéro neuf : je me suis remis en couple très tardivement, il aurait fallu un gros travail sur moi-même pour avoir de nouveaux sentiments. Aimé quelqu’un à nouveau, c’était très compliqué pour moi. J’ai rencontré la jeune femme à une séance de psy. On s’est très bien entendu, on avait les . mêmes problèmes. On s’aidait mutuellement, c’était agréable qu’une femme soit à nouveau affective. Je n’avais plus cette obsession pour le sexe, ça devenait trop grave, je m’étais calmé là-dessus pareil pour la boisson.
- ( 10 )
Numéro dix : elle savait tout de moi, mes péchés, mes vieux démons absolument tout. Je n’avais aucun secret pour elle et c’était bien la première fois que je faisais entièrement confiance à une femme. - ( 11 )Numéro onze :
Numéro onze. : c’était une très belle histoire d’amour, ça s’est fait rapidement, mais c’était tellement pur, c’était bien de vivre ce genre de sentiment. Malheureusement, mon côté sombre avait refait surface. En effet, j’avais bu de l’alcool un peu trop ce soir-là, ceux qui avaient créé une violente dispute avec elle. Nous étions mariées, je l’avais giflé, j’ai agi sous le coup de la colère. Je m’en veux, c’est ignoble de frapper une femme. Automatiquement, elle avait demandé le divorce, j’ai eu par le billet de son avocat, un rapport d’éloignement. Ça fait deux ans, je l’aime encore, mais on s’est bloqué de partout mutuellement pour notre santé mentale. J’avais compris ce que j’avais fait n’étais pas bien, mais surtout impardonnable. - ( 12 )
Numéro douze : aujourd’hui, je suis de nouveau tombé dans mes travers, mes parents se sont éloignés de moi. Je recommence mes relations d’un soir, notamment avec des étudiantes de ma propre classe. Mon addiction au sexe est de retour, c’est mauvais de repartir sur cette mauvaise pente, car là, je n’ai plus de côté humain. Mon travail me prend pas mal de temps surtout avec les jeunes étudiantes qui ont eu des mauvais résultats, je profite de mon statut pour arriver à mes fins. Je sais que c’est dangereux, que je peux me faire virer à tout moment. J’essaye de me calmer la perte de ma première femme, mon divorce, c’est beaucoup trop a gérer pour un seul homme. Malgré mon désespoir, je m’accroche à ce petit bout d’espoir comme quoi je pourrais rapidement retrouver l’amour un jour ou l’autre.
Je pense que ce groupe et celui qui me correspond le mieux. Bien que je sois divorcé ou que j’ai perdu ma première femme, mes relations d’un soir me complique la vie plus qu’autre chose. La seule chose que je veux absolument, c’est retrouver l’amour le véritable bonheur retrouver les sensations que j’ai perdues. L’homme à besoin de son âme-sœur, je suis sûr qu’il y en a une qui m’attends quelque part, je ferais tout pour la retrouver. Je suis en quête de la femme idéal. Les vieux démons, c’est fini.
- Code:
<div class="card-user-bottin-love"><love class="text-s-bebas text-upper">MICHELE MORRONE</love><span class="c-uno text-upper text-bold">@"Niccolò Russo"</span></div>
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