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I never know when enough is enough.

Katalia Borgia

Âge : 27
Lieu de naissance : Milan (Italie)
Quartier d'habitation / Colocation : South Boston (Boston)
Situation sentimentale : En couple avec Ottis Heimann
Études / Métier : 7ème année en management et affaires internationales
Date d'inscription : 23/11/2019
Pseudo & Pronom(s) IRL : Clem (Elle/She)
Icon : I never know when enough is enough. C6526f51bbb94c02cd4d809cefd076d3
Faceclaim : Cindy Mello
Crédits : ©mel-graph (av)
Multicomptes : Romy Freymann
Description (1) :
I never know when enough is enough. 24f7fb497dd8f5aa0463212f94e9002a2d811c86


I never know when enough is enough. 1f342 I never know when enough is enough. 1f342 I never know when enough is enough. 1f342

Description (3) :
Spoiler:

RPS en cours : Jayson King I never know when enough is enough. 1f342 Loéva Berry I never know when enough is enough. 1f342 Ottis Heimann
Warnings : Alcoolisme, sexe, mort, deuil
RPS : 82
Messages : 17494
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Katalia Borgia
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PFORZHEIMER HOUSE › prestige redefined
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110544-katalia-borgia-cindy-mello#4017208Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t151257-katalia-elsie-romy-repertoire-rps#6625432Profil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t118823-meetsachussets-kataliaborgia#4400043Complément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t158669-katalia-borgia-complement-de-personnage#7172048
@Aksel De Danemark FEB, FRI, 08:30 Une fois, pas deux. C'est ce que tu t'es dis lorsque les lampes vives que tenaient les policiers sont venues brûler tes pupilles. Une fois, pas deux. Une fois, ce plan foireux avait fonctionné, Tomy était tombé nez à nez avec toi chez lui, et vous aviez réussi à discuter. Pas deux. Pas aujourd'hui. Tu n'as pas eu le temps de t'abandonner à ton petit exercice d'intrusion chez lui que, déjà, un voisin ou un passant avant du appeler la police, te voyant encapuchonnée dans le couloir. Sur le coup, lorsque t'as réalisé que leurs lampes se portaient sur toi, t'as juste eu envie de pleurer, et c'est surement que tu as fais. Mais tu ne t'en souviens plus car, prise d'adrénaline, les dernières heures t'ont semblé être seulement quelques secondes. Tu venais d'être arrêtée par la police, menottée comme une malpropre, toi, Katalia Borgia. Ce n'est pas possible, ce n'est juste pas possible. Et pourtant, le banc froid et dur sur lequel tu es assise dans la cellule de garde à vue te le rappelle avec fermeté. Malgré les minutes qui passent, tu n'arrives pas à oublier l'odeur qui monte dans tes narines et qui te prend au cœur à chaque fois que tu prends une inspiration un peu trop vive. Tu te sens minable, tu te sens sale. Et tu réalises que tu as été trop loin, beaucoup trop loin. La nuit passée au poste a été la nuit la plus difficile de ta vie, remettant tes nuits d'addiction aux médicaments au rang de récréation. Tu n'as pas fermé l’œil de la nuit, tu t'es juste contentée de surveiller ce qu'il se passait autour de toi, secouée de spasmes et de sanglots, les jambes repliées dans tes avant bras. Il avait été hors de question de fermer ne serait-ce qu'une paupière et ainsi de t'abandonner au bon vouloir de cette nana encore complètement stone à quelque mètres de toi. Parfois, elle ouvre la bouche pour hurler sur les policiers, et parfois, elle se contente de s'endormir, éprise de quelques frissons. Bon sang, mais qu'est ce qu'il t'es encore passé par la tête, Katalia ? C'est la question que tu te poses et qui tourne en boucle encore encore et encore dans ta tête, et ce depuis plusieurs heures. Tu n'en peux plus, tu dois sortir d'ici. Tu réalises que tu es en infraction et que tu es désormais à la merci de la loi. Tu laisses éclater un nouveau sanglot, alors que tu es étonnée d'être encore capable de sortir des larmes, n'ayant pas bu une seule goutte d'eau depuis des heures. C'est le petit matin, tu le remarques à la faible lueur paresseuse du soleil venant s'inviter dans la pièce. D'épais barreau te séparent d'un bureau, derrière lequel se tient un policier qui a le nez plongé dans ses dossiers papiers. Tes paupières commencent à être lourdes, mais tu dois tenir Katalia. Hors de question de perdre le contrôle de toi même dans un endroit pareil. Tu dois rester vive, et forte, et arrêter de pleurer. Le policier se décide enfin à relever le nez pour regarder sa montre et c'est à cet instant que le téléphone sonne. La sonnerie vient briser le silence sans remords et te fait même sursauter de son entrain. Tu restes scotchée aux lèvres du policier, tentant de décrypter ce qu'il était entrain de rire, en vain. Il finit par raccrocher et porter son regard sur toi. Katalia Borgia, le juge accepte votre libération sous caution. Vous pouvez passer un appel pour demander à quelqu'un de venir vous chercher. Si ton visage ne devait pas être déjà altéré par tes cernes, il aurait surement été sublimé par la joie qui vient remplir tes traits. Tu sautes sur tes deux pieds et attends qu'il ouvre la porte pour lui suivre docilement jusqu'au combiné vers lequel il t’amène. Tu as le droit de demander un numéro de téléphone, puis composes rapidement celui de ton ami. Aksel. Tu sais qu'il va venir, tu sais qu'il va t'aider, tu sais qu'il ne va pas te juger. Du moins, tu l'espères. Il sait déjà tellement de choses sur toi, et ça ne l'a jamais poussé à t'abandonner... Tu lui fais confiance. Lorsqu'il décroche enfin, tu n'as pas beaucoup de temps pour lui expliquer la situation, alors tu le fais rapidement et tu raccroches avec un sourire parce qu'il vient de te dire qu'il arrive. Retour en cellule jusqu'à son arrivée. Tu retrouves la honte et le désarroi que tu avais laissé là quelques minutes auparavant sur ce banc froid.
(Katalia Borgia)
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Il s'était levé tôt ce matin-là. Il avait roulé sur le matelas, tendu une main de l'autre côté du lit mais n'avait trouvé à ses côtés que la couette épaisse sous laquelle il se coucherait désormais seul. C'était devenu récurrent, depuis la rupture, comme si la part la plus instinctive de lui peinait encore à encaisser la réalité. L'Aksel ensommeillé, encore engourdi par sa nuit, s'attendait toujours à trouver Hanne à ses côtés. Ce matin-là, cette pensée avait fortement contrarié Aksel sans qu'il s'explique précisément pourquoi. L'idée d'être toujours ainsi, suspendu à un parfum passé... Il voulait plus que ça. Alors il s'était vivement arraché à son lit et avait courru passer un pantalon de jogging et un tee-shirt tout simple en coton. Dans l'une des poches de son pantalon, il avait fourré clé de l'appart et smartphone avant de descendre quelques grosses gorgées d'eau et puis, sans plus de préparation ou cérémonie, il avait filé. Il était tôt et il n'avait pas cours en première partie de la matinée. Comme l'idée de rester dans son appart lui était soudain insupportable, il se mit à courir, entamant un long footing. Il faisait un peu frais et le col de son tee-shirt dévoilait un peu trop dangereusement sa gorge mais il n'avait pas la tête à s'en préoccuper. Qu'il chope donc un rhume. Seul importait pour lui d'oublier un peu. Et ça avait marché. Une paire d'airpods enfoncés dans les oreilles, il avait gambadé durant une bonne heure avant d'être soudain arraché à sa musique par le bruit d'un appel entrant. Il s'était immobilisé, les joues rosies et le souffle court et avait décroché, non sans froncer les sourcils en découvrant le prénom de Kat sur l'écran. Le froid l'avait rattrapé en entendant la voix chagrine de son amie qui lui avait relaté brièvement les faits. Elle avait été placée en taule et avait besoin que quelqu'un passe la chercher. Sa course l'ayant conduit à une proximité correcte au pas de course du commissariat. Aksel poursuivit le trajet d'une démarche plus rapide, malgré sa fatigue. Une quinzaine de minutes s'écoula toutefois avant qu'il ne passe les portes de la station de police. Il alla se présenter à l'entrée et fut invité par une femme d'âge mur à s'asseoir en attendant qu'on aille chercher Kat. Il obéit, prenant place sur une chaise au coussin abîmé et attendit.

@Katalia Borgia I never know when enough is enough. 2109348208
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Katalia Borgia

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RPS en cours : Jayson King I never know when enough is enough. 1f342 Loéva Berry I never know when enough is enough. 1f342 Ottis Heimann
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Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110544-katalia-borgia-cindy-mello#4017208Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t151257-katalia-elsie-romy-repertoire-rps#6625432Profil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t118823-meetsachussets-kataliaborgia#4400043Complément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t158669-katalia-borgia-complement-de-personnage#7172048
Jamais quelques minutes ne t'ont parues aussi longues. Les secondes se font de plus en plus paresseuses alors que toi, tu tentes de calmer ton esprit et tes songes qui vont dans tous les sens. T'as l'impression que ce temps qui passe n'a pas d'autre but que de te narguer, de te présenter en pleine figure la connerie que tu viens de faire. T'es fatiguée, t'es sale, tu n'en peux plus, tu veux rentrer chez toi. T'as peur que tes parents l'apprennent et t'as encore plus peur de leur réaction. Malgré les hauts et les bas, tu commences à t'habituer à ta vie ici, et même à l'aimer. Tu te sens entourée et importante aux yeux de quelques personnes chères à ton cœur, et t'as peur que les foudres de ton père en apprenant cette nouvelle t'arrachent à eux. Le cliquetis des clés tournant dans la serrure t'extirpe de tes pensées alors que le policier t'ordonne de lui suivre. On te demande d'aller remplir et signer quelques papiers puis, enfin, on t'amène jusqu'au hall d'entrée du poste de police. Tu plisses les paupières, agressée par la lumière vive du jour se levant en face de toi. Il te faut quelques secondes pour habituer ton regard à la nouvelle luminosité, puis tes pupilles font le tour de la pièce. Ça y est, il est arrivé. Aksel. Il est là, assis sur une chaise aux apparences vétuste, tenue de sport et airpops dans les oreilles. Le policier te libère après un froncement de sourcils et une réprimande que tu n'entends pas, déjà absorbée par l'idée de t’enfuir d'ici avec ton ami. Un grand sourire aux lèvres, tu arrives à son niveau alors qu'il lève le nez pour croiser ton regard. Une chaleur réconfortante te parcourt le corps. Il est là. Tu viens te glisser dans ses bras, un peu plus longtemps que d'habitude, te délectant du sentiment vif de sécurité que tu ressens. « Merci d'être venu Aksel. » tu souffles entre deux soupirs de soulagement, dû à sa présence auprès de toi. Te recules et croises son regard plein d'interrogations. Il n'a pas besoin de dire un mot pour que tu comprennes que tu vas devoir lui parler, qu'il ne vas pas te laisser t'échapper sans une bonne explication. « Je... je vais t'expliquer. » Le sang cavale jusqu'à tes joues alors que tes yeux s'humidifient à cause de la honte, de la peine et de la fatigue. Le bruit d'une langue claquant à plusieurs reprises sur un palet t'arrache de ton petit moment de plénitude alors que la femme à l'entrée du poste de police attire votre attention pour venir régler la caution de sortie. C'est la condition, la condition du juge, et elle doit être réglée pour que tu puisses partir. Tu te tourne vers ton ami les yeux brillants, pour lui dire doucement, honteuse « Dès que j'ai mon pc, je te fais le virement direct. » Quelques minutes plus tard et la caution laissée, tu n'as plus qu'une seule idée en tête : partir d'ici. Tu veux t'en aller, tu veux te sentir en sécurité. Tu veux fuir cet endroit de malheur qui t'as traumatisé toute la nuit et t'as valu d'horribles pensées sur ton avenir. Tout va bien maintenant, tu vas pouvoir partir. Aksel est là. « Mais d'abord, sortons d'ici. » tu continues avant de lui laisser le temps de prendre la parole. « On peut appeler un taxi ? Je ne veux être aperçue dans la rue dans cette tenue. » Tu fais bien évidemment référence à ton jogging et sweat noir, ainsi que tes cheveux en bataille et cernes sombres. Tu récupères ton téléphone dans le petit sachet de tes effets personnels que tu viens de récupérer et te connectes rapidement sur l'application de réservation de taxis pour partir le plus rapidement possible d'ici.
@Aksel De Danemark je suis désolé désolé du retard, je vais me rattraper promis I never know when enough is enough. 2109348208
(Katalia Borgia)
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Lorsqu'une des portes s'ouvrit, il leva la tête pour découvrir Katalia. Il lui trouva très mauvaise mine et se leva à temps pour la réceptionner dans ses bras. Elle lui semblait très jeune soudain, moins que leur âge. Elle paraissait fragile, friable. Il la serra doucement contre lui, en essayant de refréner la foule de questions qu'il brûlait de prononcer. Elle était de toute évidence perturbée et il ne tenait pas à en rajouter. « Merci d'être venu Aksel. » « C'est normal » répondit-il doucement en l'étreignant encore un peu avant de la lâcher. Elle se recula un peu et il la couva consciencieusement du regard. « Je... je vais t'expliquer. » Ses joues étaient rougissantes, son regard humide. Il ne se souvenait pas l'avoir déjà vue ainsi. Il acquiesça simplement de la tête en lui adressant un sourire qu'il espérait rassurant. Quoi qu'elle ait bien pu faire pour se retrouver là, il était intimement convaincu qu'il n'y avait là rien d'irréparable. L'employée du commissariat qui lui avait demandé d'attendre attira soudain leur attention, les pressant de payer la caution. Aksel ne broncha pas, réglant sagement le montan de la caution et l'employée le remercia d'un sourire poli et vaguement las. Il retourna ensuite auprès de Kat, prêt à la sortir de là. « Dès que j'ai mon pc, je te fais le virement direct. » Il s'apprêtait à arguer qu'elle n'avait vraiment pas besoin de s'inquiéter pour ça, que ce n'était pas un soucis, mais elle ne lui en laissa guère le temps. « Mais d'abord, sortons d'ici. » Elle n'en pouvait plus, ce qu'il ne pouvait décemment pas lui reprocher. Il n'avait jamais passé une nuit au commissariat et l'idée ne le tentait clairement pas. Il ne pouvait que trop comprendre dans tous les cas qu'on ait pas envie de s'attarder dans un endroit pareil. « Bien sûr, allons-y. » « On peut appeler un taxi ? Je ne veux être aperçue dans ta rue dans cette tenue. » Là encore il acquiesça en prenant grand soin de ne pas jauger sa tenue du regard. Lui-même ne se considérait pas comme spécialement porté sur l'apparence, mais il comprenait que d'autres s'en préoccupent plus, notamment en sortant d'un poste de police. Il laissa Katalia récupérer ses affaires et appeler un taxi sur son portable. Il la regarda faire avant de nouer un bras autour de ses épaules et de l'attirer doucement à l'extérieur. « Ça t'embêtes si on va chez moi ? J'ai cours d'ici deux heures et j'aurais rien contre une douche et quelques pancakes. » Et il suspectait que ça n'allait pas faire grand mal non plus à Kat. Il y avait ça et puis il espérait aussi qu'en flattant l'estomac tourmenté de son amie il obtiendrait plus facilement des confidences sur ce qu'elle avait bien pu faire pour finir entre les mains des flics.

@Katalia Borgia  I never know when enough is enough. 2109348208
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RPS en cours : Jayson King I never know when enough is enough. 1f342 Loéva Berry I never know when enough is enough. 1f342 Ottis Heimann
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Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110544-katalia-borgia-cindy-mello#4017208Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t151257-katalia-elsie-romy-repertoire-rps#6625432Profil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t118823-meetsachussets-kataliaborgia#4400043Complément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t158669-katalia-borgia-complement-de-personnage#7172048
C'est dingue, mais la voix d'Aksel parvenant jusqu'à tes oreilles à un effet apaisant de dingue sur toi. A ses côtés, tu te sens en sécurité, en sa présence, t'as l'impression de te sentir déjà mieux. Votre amitié aurait très bien pu s'envoler après ton départ, pourtant et depuis plusieurs mois déjà, t'es heureuse d'avoir remarqué que votre lien est encore plus solide qu’auparavant. Vous avez tous les deux mûris avec les années et la fluidité avec laquelle vous vous êtes retrouvé a d'abord été déconcertante, avant de devenir rassurante. Tes affaires récupérées, les papiers signés et le taxi est déjà à vous attendre sur le parvis du poste de police. Tu viens tirer la capuche de ton sweat pour la glisser sur le haut de ton crane histoire de cacher la misère de ta queue de cheval haute en bataille. Ta tenue te parait désormais affreusement ridicule, c'est la tenue que tu as adoptée pour tenter d'aller t'introduire chez Tomy... encore. Il est devenu ton obsession, le centre de ton attention et de tes pensées. L'idée de savoir qu'il a des nudes et sextapes de toi dans la chambre d’hôtel miteuse dans laquelle il dort actuellement te glace le sang. T'as voulu lui voler ces preuves, mais tu n'as pas réussi. Il les a toujours en sa possession, et toi, t'as juste terminé au poste de police. « Ça t'embêtes si on va chez moi ? J'ai cours d'ici deux heures et j'aurais rien contre une douche et quelques pancakes. » Les mots d'Aksel t'arrachent à tes pensées alors que tu secoues doucement la tête de gauche à droite en signe de négation avec un léger sourire greffé sur les lèvres à son attention. « Pas du tout, allons y. » Tu ne perds pas une seconde pour grimper dans le taxi, suivie de ton ami. Le trajet est silencieux, tu soupires plusieurs fois et est prise de léger spasmes lorsque ta tête bascule en arrière et que tu commences à t'endormir. Tu es épuisée, tu n'as pas dormi de la nuit. La pression vient de redescendre d'un coup et t'as désormais un énorme coup de barre. T'as l'impression que le trajet a duré une seconde, pourtant, il doit bien y avoir quinze minutes entre le  poste de police et chez Aksel. Visiblement, tu n'as pas réussi à luter et le sommeil t'as emporté à quelques reprises. Tu sors de l'habitacle et presses le pas derrière Aksel pour rejoindre son appartement. Il te fait entrer dans son appartement et tu te tournes vers lui en retirant tes chaussures que tu laisses au niveau de la porte de l'appartement. « Je pourrais aller prendre une douche après toi ? » Tu vides les poches de ton sweat sur le bar de la cuisine avant d'aller te laver les mains et prendre le soin d'attacher tes cheveux en chignon serré, histoire de tenter de retrouver une tête. « Vas-y en premier, je vais commencer à nous préparer des jus frais. Ou sont tes fruits ? » Il n'a pas le temps de te répondre que tu regard glisse dans la pièce et tombe sur une corbeille avec quelques oranges. Tu vas attraper ces dernières et te permets de farfouiller dans les placards d'Aksel à la recherche du matériel nécessaire pour vous préparer cela. T'as besoin de t'occuper les mains et surtout l'esprit, pour rester éveiller, et surtout pour ne pas trop cogiter.
(Katalia Borgia)
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Tout au long du court trajet en taxi chez lui, il n'avait pas pu se retenir de lancer des coups d’œil concernés à son amie. Il l'avait observé à la dérobée, puis plus franchement, la devinant de toute façon ailleurs. Il brûlait de l'interroger sur ce qui s'était passé. Les questions tourbillonnaient méchamment dans sa tête, brûlant d'être énoncées, mais il tenu bon. Il garda sagement ses lèvres scellées et essaya de focaliser sur les rues de Boston plutôt que sur le visage épuisé de Kat. Il cru un instant qu'elle s'était endormie quand ils débouchèrent dans sa rue, mais non. Une fois le taxi immobilisé au pied de l'immeuble, Aksel paya rapidement de le trajet avant de quitter la cabine chauffée du véhicule. Katalia lui emboîta le pas, l'air encore plus vidée que lors de leur départ du commissariat. Les dernières minutes pour atteindre l'appart passèrent elles aussi dans un silence de cathédrale et Aksel éprouva un soulagement inédit au moment de passer la porte de chez lui. Un sentiment un peu désarçonnant, d'autant plus qu'il supportait à peine de rester chez lui depuis le départ d'Hanne. Il avait déjà commencé à chercher un autre logement et une poignée de cartons gisaient sur le sol de sa chambre. Il n'invita pas Kat à faire comme chez elle. C'était implicite.  « Je pourrais aller prendre une douche après toi ? » Aksel hésita. Il déposa portable et portefeuille sur le bar tout en suivant son amie du regard. Il allait lui proposer qu'elle y aille avant lui, mais elle ne lui laissa pas le temps d'énoncer cette pensée. « Vas-y en premier, je vais commencer à nous préparer des jus frais. Ou sont tes fruits ? » Là encore, il n'eut pas le temps d'ouvrir la bouche qu'elle dénichait déjà une poignée d'oranges. Aksel n'était pas du genre à cracher sur un verre de jus de fruit frais, mais... « Kat. » L'interpella-t-il d'une voix claire et soucieuse, empreinte de maturité et qui lui donnait toujours l'air d'être plus âgé qu'il ne l'était. Il noua ses bras sur son torse et la couva du regard, ses yeux verts reflétant une inquiétude qu'il était jusqu'alors parvenue à garder muette. « Est-ce que ça va ? » Et il n'allait pas se contenter d'une réponse bateau, évasive et murmurée du bout des lèvres. Les jus et les douches pouvaient bien attendre encore un peu. Il avait besoin de savoir que ça allait.

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« Kat. » Ce simple surnom sorti de sa bouche a l'effet d'un coup de massue s’abattant sur toi. Oui car Aksel, il n'a pas besoin d'utiliser mille mots pour te percer à jour. Son ton et son regard posé sur toi suffisent à te faire perdre les pédales. Tu n'assumes pas, tu n'oses pas le regarder dans les yeux, de peur qu'il sache y lire en toi. T'as peur qu'il comprenne, t'as peur qu'il devine, t'as peur qu'il découvre tout. L'instant dure un peu. T'as toujours le nez dans l'un de ses placards dont tu tiens le battant dans la main droite. Tu attends, espérant qu'il se retourner de toi et qu'il arrête de te sonder, mais il n'en est rien. Résignée, tu fermes le placard, passes une main sur ton visage avec un soupir, avant de te tourner vers lui. Les sourcils légèrement froncés et l'air penaude, tu cherches la force de redresser le regard sur lui. Tes pupilles commencent à te piquer légèrement, alors que tu as gardé tes lentilles de contact toute la nuit. « Est-ce que ça va ? » C'est la question qu'il ne faut pas poser. Mais c'est la question que tu savais qu'il allait te poser, depuis le moment où tu as composé son numéro pour l'appeler, plus tôt au poste de police. N'importe qui se serait pris le droit de te la poser, mais à l'heure actuelle il n'y a qu'une seule personne à qui tu te sens de tout raconter. Et cette personne est devant toi, c'est lui. Ta lèvre inférieure tremble légèrement, tu tentes de le cacher en précipitant ta réponse hors de ta bouche. « Je... non, ça ne va pas Aksel. J'ai fait une grosse connerie. » Une grosse connerie, c'est le cas de le dire. Tu ne veux pas lui laisser le temps de paniquer ou d'imaginer quoi que ce soir, donc tu décides de ne pas laisser planer le doute plus longtemps. Du menton, tu désignes le canapé dans son salon, et vas toi-même t'y asseoir en tailleur, en attendant qu'Aksel vienne t'y rejoindre. « Il faut que je te raconte tout du début... Mais tu dois d'abord me promettre de ne rien dire à personne, d'accord ? » A chaque mots qui tu prononces, tu ne sais pas si c'est une bonne ou une mauvaise chose. Plus les minutes passent et plus tu angoisses de tout lui dire. Mais désormais il est trop tard pour revenir en arrière, Aksel ne te laissera jamais t'en sortir comme ça... « Même Meluzine n'est pas au courant, j'ai toujours eu peur de lui raconter... » Tu ajoutes avec un soupir en fuyant son regard. Cette histoire, personne ne la connait. Cette histoire, c'est ta honte et ton fardeau. Et ce fardeau est devenu bien trop lourd à porter. Tu attends qu'Aksel te fasse la promesse de ne jamais rien dire avant de continuer. T'es prête à tout lâcher Katalia, ce sera ta thérapie.
(Katalia Borgia)
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Le temps d'un instant, il crut qu'elle n'allait pas lui répondre. Qu'elle allait esquiver, d'un sourire égratigné, rétorquant qu'elle allait bien et qu'il fallait vraiment qu'il aille prendre sa douche s'il voulait pouvoir déjeuner tranquille avant de partir. Et si c'était ce qu'elle voulait, si elle n'était pas prête à lui parler... Et bien il ne pouvait la forcer à rien. Il était presque prêt à se détourner du coup, à lui offrir un peu de solitude, mais elle décida finalement de lui faire de nouveau face. Aksel immobilisa, le regard doux, empli d'une inquiétude qu'il ne faisait pas mine de cacher. Are you okay ? Et la réponse était évidente. Elle était vivement inscrite sur le visage fatigué de Katalia. No. Sa lèvre se mis à trembler, et Aksel sentit son coeur lui remonter dans la gorge. C'était donc grave à ce point ? « Je... non, ça ne va pas Aksel. J'ai fait une grosse connerie. » Il ne cilla pas, ne la poussa guère davantage à la confidence. Il se contenta d'être là, concerné, attentif. Talk to me. Du menton, elle leur désigna le canapé et il obtempéra, allant y prendre place près d'elle.  « Il faut que je te raconte tout du début... Mais tu dois d'abord me promettre de ne rien dire à personne, d'accord ? » Elle semblait si hésitante, craintive, presque, et il se sentait démuni. Il ne savait pas comment la rassurer quant au fait qu'elle pouvait complètement se fier à lui. Il ne pouvait que rester là pour elle finalement. Être auprès d'elle, l'écouter, car il était vraiment évident qu'elle avait besoin d'en parler. « Même Meluzine n'est pas au courant, j'ai toujours eu peur de lui raconter... » Elle avait du mal à le regarder et c'était loin de le rassurer. Ses propres pensées étaient en train de s'agiter alors qu'il essayait de deviner ce qu'elle avait bien pu faire. Il attrapa la main de Kat et la pressa doucement. « Tout ce que tu diras ne sortira jamais d'ici. Je t'en fais la promesse. » Talk to me.

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Katalia Borgia

Âge : 27
Lieu de naissance : Milan (Italie)
Quartier d'habitation / Colocation : South Boston (Boston)
Situation sentimentale : En couple avec Ottis Heimann
Études / Métier : 7ème année en management et affaires internationales
Date d'inscription : 23/11/2019
Pseudo & Pronom(s) IRL : Clem (Elle/She)
Icon : I never know when enough is enough. C6526f51bbb94c02cd4d809cefd076d3
Faceclaim : Cindy Mello
Crédits : ©mel-graph (av)
Multicomptes : Romy Freymann
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Spoiler:

RPS en cours : Jayson King I never know when enough is enough. 1f342 Loéva Berry I never know when enough is enough. 1f342 Ottis Heimann
Warnings : Alcoolisme, sexe, mort, deuil
RPS : 82
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Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110544-katalia-borgia-cindy-mello#4017208Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t151257-katalia-elsie-romy-repertoire-rps#6625432Profil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t118823-meetsachussets-kataliaborgia#4400043Complément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t158669-katalia-borgia-complement-de-personnage#7172048
Cacher une histoire à ta meilleure amie @Meluzine I. Heatherton, c'est la première fois de ta vie que ça t'arrive. Cette vérité s'imposant à toi te fait encore plus mal et te resserre le cœur. Tu es une personne abominable qui a fait des choses abominables. Désormais, tu t’apprêtes à t'exposer au regard et à l'avis d'Aksel, qui risque lui aussi de te trouver abominable... T'as envie de t'enfoncer six pieds sous terre, t'es mal, t'es pas bien, mais tu dois te montrer courageuse. T'as mis le pied dans ce merdier toute seule, et désormais tu dois appeler à l'aide pour en ressortir. Si on te demandait d'expliquer ton amitié avec Aksel, t'aurai beaucoup de mal à le faire. Ouai car avec Aksel, impossible de mettre des mots sur ce lien, c'est juste un ressenti, quelque chose qu'on vit. Tu te sens en confiance et tu sais qu'il ne te fera jamais de mal. Tu décides alors de te lancer à corps perdu dans ce moment, t'abandonnant à son réconfort et son regard bienveillant posé sur toi. Sa main vient attraper la tienne alors que ton regard n'arrive toujours pas à s’arrêter sur lui. Il passe à droite, à gauche, sur la fenêtre un peu plus loin et sur la pile de bouquins déposés au pied de sa table basse. Et puis enfin, la chaleur de la paume de sa main sur la tienne vient réchauffer ton être et calmer ton cœur au grand galop. Tu te laisses faire, tu te laisses apaiser par Aksel, avant de relever le nez et trouver le courage de plonger ton regard humide dans ses billes claires. « Tout ce que tu diras ne sortira jamais d'ici. Je t'en fais la promesse. » Un frisson remonte le long de ton dos et un long soupir s'échappe de tes lèvres. « Je... c'était en Italie, il y a un an, j'ai rencontré un homme nommé Marius. » Ok, c'est le moment, il n'y a pas de retour en arrière possible. « C'était une aventure parfaite, ça a duré quelques semaines. mais un matin, il était parti et m'avait volé cinquante mille euros... » l'histoire s'échappe de tes lèvres avec une facilité déconcertante. Tu n'as jamais prononcé ces mots, jamais. Il est le premier à l'entendre. « Je suis retombée sur lui par hasard en janvier, c'était horrible Aksel, j'te jure... il m'a dit qu'il s'appelait Tomy, en fait, qu'il avait des sextapes de nous et qu'il serait prêt à les sortir si jamais je ne me pliais pas à ce qu'il voulait. » les mots continuent de sortir, sans même te laisser le temps de prendre une pause. Tu ne peux plus t’arrêter, c'est comme appuyer sur une plaie ouverte pour en faire sortir tout le poison. « c'était horrible de continuer à vivre en sachant qu'il avait ça sur moi Aksel, je n'arrivais plus à dormir, ni suivre mes cours... J'ai décidé d'aller fouiller dans sa chambre d'hôtel une fois, puis une seconde fois et... tu connais la suite. » Tu fais bien sur référence au fait qu'il ai eu a venir te chercher au poste de police pour violation de domicile. Tu ne t'étales pas plus sur les détails, pas tout de suite, t'en a déjà dit bien assez. D'ailleurs, tu ressens un sentiment étrange, t'es vidée. Tu mords ta lèvre, cherches à nouveau ton ami du regard, espérant y trouver du soutien. Une larme vient rouler sur ta joue, tu ne peux la retenir, cette histoire te bouffe de l'intérieur depuis bien trop longtemps.
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Un moment interminable lui parut s'écouler avant qu'elle ne soupire. Et il sut dès lors que c'était bon. Qu'elle allait parler. Il garda sa main dans la sienne et resta sagement silencieux, suspendu à ses lèvres. « Je... c'était en Italie, il y a un an, j'ai rencontré un homme nommé Marius. » Il ne broncha pas, l'encouragea juste d'un léger hochement de tête. « C'était une aventure parfaite, ça a duré quelques semaines. mais un matin, il était parti et m'avait volé cinquante mille euros... » Les mots paraissaient s'écouler plus librement désormais. Elle était désireuse de confier cette histoire à quelqu'un. Craintive aussi, pétrifiée même, mais désireuse, et il était content d'être celui qui avait réussi à la mettre suffisamment en confiance pour cela. « Je suis retombée sur lui par hasard en janvier, c'était horrible Aksel, j'te jure... il m'a dit qu'il s'appelait Tomy, en fait, qu'il avait des sextapes de nous et qu'il serait prêt à les sortir si jamais je ne me pliais pas à ce qu'il voulait. » La gorge d'Aksel se serra et, malgré lui, son expression se fit grimacante. ohoh. Cette histoire ne faisait que trop écho à ce dont il s'était lui-même rendu coupable quelques jours plus tôt. Un instant, il décrocha de l'instant présent et toute son attention pivota sur Hanne et sur cette maudite vidéo, envoyée dans un excès de colère sur Veritas.
Mentalement, il s'insulta. A la fois pour ce qu'il avait fait au nom d'une vengeance qui ne l'avait nullement rassasié mais aussi et surtout car, alors que Kat faisait l'effort de confier, il s'embourbait dans ses propres problèmes. Il resserra doucement sa main sur celle de son amie et se força à lui réserver de nouveau sa pleine et entière attention. Il aurait tout le temps d'encaisser sa culpabilité une fois le récit achevé.  « C'était horrible de continuer à vivre en sachant qu'il avait ça sur moi Aksel, je n'arrivais plus à dormir, ni suivre mes cours... J'ai décidé d'aller fouiller dans sa chambre d'hôtel une fois, puis une seconde fois et... tu connais la suite. »  Une larme roula sur la joue de Katalia et, de sa main libre, Aksel l'écrasa doucement. « Tu n'as rien fait de mal » lui souffla-t-il doucement avant de laisser de nouveau retomber sa main entre eux. « Enfin, si, sur le plan légal. Mais sur le plan moral... Ce type est une ordure. » And so am I. Il avait fait la même chose à Hanne. Il ne l'avait pas menacée, non. Il n'avait pas autant de vice en lui. Mais il avait balancé cette vidéo sur Veritas. Et qu'importe s'il avait regretté quasi instantanément. Durant un instant, avant qu'il ne presse le bouton envoyer, il s'était sentit presque bien. Il avait puissé une jouissance perverse dans le chagrin qu'il s'apprêtait à causer à Hanne et Ilhan. Et l'histoire de Kat le glaçait, car elle renvoyait de lui une image soudain insoutenable. Il se mâchouilla la lèvre et dut se forcer à ne pas détourner à son tour le regard.

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