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(malo) A New Beginning

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   w/ @milo novak
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Je n’en reviens pas encore. En fait, je pense que c’est une blague, une blague de très mauvais goût. Pourquoi il y a quelques heures, nous étions en train de se déchirer, tu étais en train de me dire des horreurs qui m’ont blessés mine de rien, et que désormais, tu me dis que t’as laissé tomber Maeve pour moi. C’est insensé. Tu n’avais pas du tout le même discours il y a peu. C’est parce que tu avais peur que ma queue trempe ailleurs ? T’as enfin réalisé que moi je pouvais t’apporter quelque chose qu’elle, elle ne pourrait pas ? Je n’en sais rien, mais je suis bien heureux de savoir que tu es libre.
Il ne reste cependant plus qu’une petite chose à faire avant tout. Se voir et discuter. Ma sœur et ma mère m’ont toujours répété, aussi casse-couille sont-elles, que la clé du succès d’un couple se trouve à être la communication et que si je veux réellement être en couple avec toi, je dois te voir, te parler et qu’on se dise les vraies affaires dans le blanc des yeux.
Donc ouais, j’ai fait demi-tour.
Parce qu’ouais, j’ai demandé à George de m’emmener ailleurs, hors de la ville, n’importe où pour changer d’air, suite à notre altercation. J’étais prêt à quitter la ville pour tout le week-end s’il le fallait.
Toutefois, une chose en a entraînée une autre, je me suis une fois de plus affaibli devant tes belles paroles. Paroles qui m’ont données chaud au coeur. J’étais heureux, si heureux de lire que tu étais bel et bien célibataire, sans contrat, sans mensonge. Et même si j’ai confiance en toi, je devais le voir de mes propres yeux.
C’est environ trente minutes après notre début de réconciliation que je suis arrivé à Boston. En bas de ton immeuble, j’ai attendu que tu descendes afin que tu viennes jusqu’à chez moi de sorte qu’on puisse l’avoir cette conversation. Je n’avais pas envie de l’avoir devant les filles qui partage ton appartement, quoi que je n’avais pas non plus envie de parler devant mon chauffeur.
Du coup, je n’ai pas dit un mot de plus que « salut » jusqu’à ce qu’on arrive devant chez moi, quittant le confort de cette voiture de luxe.
Dès que nous avons entrés dans mon appartement, je me suis retourné vers toi, et t’ai longuement regardé. Je ne te quitte pas des yeux pendant de longues minutes, ne prononçant aucun mot, aucun son, simplement profitant du bonheur de te voir toi, enfin libre.
Et jusqu’à ce que je pose la question.
« T’es vraiment seul ? Plus de Maeve, plus de responsabilités à avoir ? » Je soupire avant de m’approcher de toi et de t’affliger un coup de poing sur l’épaule droite.
« Ça c’est pour tout le mal que tu m’as fait. Et ça… » dis-je avant de m’approcher vers toi et de déposer lentement mes lèvres sur les tiennes d’une façon assez chaste. « … ça, c’est parce que j’en crève d’envie depuis que je t’ai vu descendre les marches de chez toi. »
Ne perdant aucun instant, je me rue de nouveau sur tes lèvres, l’une de mes mains plaquée contre ta nuque, pour un échange beaucoup moins chaste, plus vulgaire et pressé. J’ai besoin de tes lèvres, besoin de sentir que tu es à moi, que ton coeur m’appartient comme le mien est à toi.
Je te sers contre mon corps d’une façon presque illogique, comme si j’étais totalement désarmée face à toi, mis à nu devant toi et continue cet échange de salive, jusqu’à ce que le manque d’air se fasse ressentir.
Les lèvres pincées, je me recule lentement et passe ma main tout doucement dans tes cheveux. Souriante à la fois bêtement et craintivement.
« N’empêche que… Je pense qu’on doit parler. En fait non j'pense pas, j'en suis certain. » Savoir où on est, ce qu’on fait. Ce qu’on doit faire et ce que tu veux de moi, ce que tu recherches et si surtout, nous sommes sur la même longueur d’onde.

   

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mon cœur avait manqué plusieurs battements.
je me demandais vraiment si tout ce qu'il se passait actuellement n'était pas une fiction, et si je n'étais pas en train de faire n'importe quoi. si j'avais longtemps douté des sentiments de mahé, j'avais compris que j'étais attaché à ce côté battant. bercé sur des acquis, j'avais la prétention de le faire attendre pour quoi faire ? plus de mal encore ? maeve méritait une histoire d'amour qui fonctionne. et vivre un trio... ce n'était pas pour nous. ni pour mahé, ni pour moi.
et à cette ultime demande, de savoir si enfin j'étais prêt à accepter la responsabilité et de plonger tête baissée dans ce jeu de rôle dangereux... je m'étais rétracté. tout au fond de moi s'était éveillé cette petite voix qui criait à l'erreur. à la perte. à l'abandon. qui prônait l'état heureux.
je ne pouvais pas faire plaisir à tout le monde, je ne pouvais pas attendre qu'on m'offre le salut après avoir blessé le seul que j'aimais par dessus tout.
c'était un long combat.
maeve n'avait pas montré signe de résistance, bien au contraire. heureuse que je puisse l'être. heureusement pour moi, surement. je n'aurais jamais réussi à choisir entre l'amitié et l'amour. trop altruiste m'a-t-on déjà dit... trop con, sans l'ombre d'un doute.
ma plus dure bataille a été de convaincre que mahé qu'il était finalement le seul. et qu'il allait m'avoir tout à lui. en entier. si j'avais peur d'offrir mon cœur à cet homme au passé volage et immature. j'avais choisi d'opter pour la confiance et de dire merde au reste.
après qu'il ait finalement fait demi-tour de son road trip je ne sais où, revenant à moi comme si enfin je sortais la tête de l'eau après une trop longue apnée, je chasse gentiment yennefer de ma chambre pour me préparer.
ce n'était pas non plus l'exploit du siècle mais être bien apprêté ça pouvait peut-être aidé. slim noir, pull orange et bleu, des rangers et mes lentilles de contacts. pas de lunettes pour milo, ce soir.

sortant de la chambre en trombe, saluant à la voler le silence des chambres féminines.
je descends de l'immeuble en sautant plusieurs marches au risque de me ramasser violemment. ralentissant dans l'entrée de l'immeuble pour ne pas jouer les impatients. un minimum de dignité. l'italie était tout de même présente.
ouvrant sur un mahé déjà présent, trente minutes, il n'avait pas menti. je le salue sans rien dire de plus, me pinçant les lèvres quand je rentre dans la voiture qui nous même jusque chez lui.
le cœur battant à un rythme anormal... et cette tension de le toucher est insupportable. sa pudeur est précieuse alors c'est vers la fenêtre que je me tourne pour ne pas succomber à des déboires.
et quand nous entrons dans ton appartement, je me sens presque libéré. je souris légèrement alors que ses yeux ne me quittent plus. perturbé par ce regard envoutant, je me demande à quoi il peut bien penser. le silence brisé par ses dernières inquiétudes, je penche la tête sur le côté, soupirant. « plus de maeve, non. » avant de recevoir un coup qui laisse échapper un rire d'entre mes lèvres. c'était mérité, je méritais même peut-être pire... mais je devinais aisément le second geste.
attrapant sa nuque quand il dépose sur moi ses lèvres douces, de ce baiser timide qui pourrait rendre fou n'importe quel homme. " et moi dont... " chuchoté si doucement que j'ai peur qu'il s'échappe à nouveau.
mais les prières entendues, il revient vers moi, plus sauvage. plus bestial. ma main n'ayant quitté sa nuque glisse sur sa mâchoire puis sur sa joue. l'embrassant jusqu'à perdre haleine, jusqu'à oublier de respirer.
je pourrais passer l'éternité à bouffer son âme, goûter ses lèvres... l'avoir rien que pour moi.
mais il s'éloigne, et je me mords la lèvre de frustration. il y a des mots qu'on ne peut dire que par les gestes...
je souris à demi. je n'étais pas sûr qu'on arrive à parler calmement, mais on était pas plus cons que les autres... si ? « ouais, parlons. »
s'assoir pour commencer, sur un canapé plus confortable. de ses conversations qu'on ne sait jamais comment commencer. « euh, je vais commencer si tu veux bien. » posant mon genou sur le canapé, me retournant pour lui faire face, le bras sur le dos du canapé, la main perdu dans sur son cou, l'autre posée sur ma cheville. « si j'étais en couple fictif avec maeve, c'était avant que tu me dises... tout ça. je pensais que c'était mort entre toi et moi avant l'accident. » je me pince les lèvres, joue avec les cheveux sur le haut de sa nuque. « si j'avais eu l'espoir qu'il y ait un nous avant, j'aurais jamais été avec maeve pour l'aider... je t'aurais privilégié. » évidemment. « j'ai vraiment cru que tu te foutais de ma gueule et... » ça va m'arracher la gueule mais il faut le dire. « je suis désolé. »



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Ce que ça peut faire un bien fou de t’entendre me dire que je suis seul, le seul désormais. Qu’il n’y a plus de Maeve, plus de barrière qui peut nous séparer. Je te regarde, un fin sourire presque imperceptible s’affiche sur mes lèvres, soupirant de bonheur.
Néanmoins, ce n’était pas tout. J’avais besoin de savoir, besoin de connaître ce dont tu cherches en réalité. Si tu es prêt à bâtir quelque chose avec moi, si tu es conscient à quoi ça t’engage. Mais pour tout ça, il faut parler.
C’est donc après ces deux baisers, ce baiser passionné que je t’invite à nous installer pour parler. Ce n’est pas ce que je préfère, je risque de rager et de me braquer, mais ça fait partie du processus non ? C’est la base et on doit passer par là. Je te laisse commencer comme tu me le demandes essayant de te regarder un maximum. Je t’écoute et sincèrement j’ai envie de bailler face à ces excuses. « Crétin. » Dis-je sans être capable de me retenir. Oui t’es un crétin et ça on ne peut pas le nier. « Pourquoi tu ne me l'a pas demandé ? Pourquoi tu n’as pas pris ton courage ? Simplement me demander ce que je pensais réellement de toi ? » Je te l’aurais dit en toute franchise, même si j’aurais eu quelques difficultés à tout t’avouer, sachant que c’était avant l’accident. Sachant que je n’osais pas m’avouer les réels sentiments que j’éprouvais à ton égard. « Être désolé c’est pas tout, ça n’excuse pas tout. » Même si je ne peux pas t’en vouloir, parce que sans doute que j’aurais fait pareil. Quoi que non, je suis trop égoïste pour aider quelqu’un sans rien recevoir en échange.
Croisant les bras sur mon torse, je prends la position en tailleur toujours sur le canapé, te faisant face. Je sais que cela t’a coûté de dire que tu es désolé. Alors je me dois de réagir. J’attrape ta main posée sur ta cheville et la sert entre les miennes. Ce geste, il me le faut. Il me faut un contact avec toi, même si c'est pour quelques secondes à peine. « Comme le con que je suis j’accepte, oui j’accepte tes excuses parce que je ne peux m’empêcher de t’aimer. »

Malgré tout, je me recule et réfléchi quelques secondes à ce que moi je dois dire. Parce qu’en vérité c’est mon tour non ? Et autant aborder les sujets qui pourraient fâcher ? Mais je ne trouve rien. Je suis peut-être inconscient, mais je n’ai pas l’impression d’avoir quelque chose à me reprocher. Par contre, j’avais des questions, des tonnes de questions à te poser. Et crois-moi je n’allais pas m’empêcher. « D’ailleurs, qu'est-ce qui te faisait penser que tu n’avais aucune chance avec moi ? Ma réputation ? » Ouais, parce que vois-tu, je n’arrive pas à comprendre. J’ai été plus que mielleux dans mes souvenirs, mes pauvres souvenirs, avant l’accident. J’étais même prêt à venir te trouver à Hawaï pour ton dernier week-end, simplement pour être avec toi. Parce que tu me l'à demander. « Neyla ? » dis-je soupirant, me rappelant soudainement que oui, elle était dans l’équation, elle aussi. On ne peut pas nier l’effet qu’elle me faisait, ça c’est certain.  

   

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★ ─ w/ @Mahé Rothschild

les explications un peu bateau, oui je le reconnais mais une sincérité débordante de ces mots balancé avec beaucoup d'humilité. de ces excuses que je ne sors qu'à travers l'humour mais qui ne transparaissent pas de leur sincérité.
j'étais au bout de ma vie de dire ce que mon cœur rêvait de dire : pardon, désolé. des mots que mon égo ravalent à chaque fois que je veux les utiliser, mais mon amour est bien plus fort que moi ce soir.
et l'égocentrique est parti se coucher pour ne laisser que milo. pur et dur, aux sentiments étranges qui se chamaillent mais qui se rejoignent avec un même centre : mahé.
et je mérite l'insulte. de ce crétin bien trouvé. je préfère être un crétin qu'un abruti. je détestais ce mot... autant que je détestais les insultes même si tout me semblait passer au dessus, il y en avait d'autres qui parvenaient à pénétrer la carapace, et je sens la rancœur se frayer un chemin pour venir me gifler.
mais malheureusement, je ne le dirai qu'une fois. car m'arracher la gueule une fois, c'est assez difficile, je n'imagine pas devoir réitérer l'exercice.
je le regarde dans les yeux me demandant quoi dire, car je lui avais déjà signifié être lâche.
trop d'égo pour demander ce genre de chose, quitte à perdre celui qui faisait battre une passion dévorante. « parce que je suis con, mahé. » je hausse les épaules doucement alors que mes yeux se perdent sur nos doigts.
j'aimerais qu'on ne s'arrête plus de se toucher. qu'on ne se chamaille plus... qu'on trouve enfin un équilibre, une entente.
ce point d'ancrage qui nous rend finalement si vivant.
relevant finalement les yeux vers le bleu de ses yeux, je ne peux m'empêcher de sourire, il vient de le dire à voix haute. c'est plaisant de l'entendre... c'est plaisant et même si mon cœur bat plus vite, je sens que la conversation ne va pas s'arrêter là, mais bien prendre des tournures plus dramatiques.
de ces sincérités qu'on a pour l'habitude d'oublier.
je m'étais promis de ne jamais dire pourquoi je n'y croyais pas, ni le mal qui avait fini par avoir raison de mes propres vérités. occultant l'amour par une amitié fausse...

récupérant ma main quand il recule pour mieux se centrer sur la conversation, je penche la tête sur le côté, la posant dans la paume de ma main et soupire. « plus ou moins, oui. » il voulait que l'on soit sincères, soyons le. « et que j'étais ce nerd qu'on oublie facilement dans sa chambre. » je hausse les épaules. « j'ai pas autant confiance en moi que je le laisse paraître. » car si ma désinvolture laissait entendre que l'avis des autres m'importait peu, c'était une douce chimère. « et ouais... neyla. » mon amie, celle pour qui j'avais beaucoup de respect.
mais celle que je voyais comme une ennemie, une rivale... un obstacle. de ce premier baiser que tu lui promettais, il a fallu que je me mette entre vous pour que tu ne le lui fasses pas. qu'elle me retrouve, moi, à hawaï et non toi seul. « je la détestais tellement en plus de l'adorer. » car c'était une amie des plus sincères. et j'ignorais leur rapport, sabotant dans l'ombre le moindre rapprochement. « et puis... rien. on en est resté à rien... et j'ai pas le courage de demander ce que tu penses de moi car ... je croyais sincèrement que tu m'aurais ri au nez. »
de cette flipette italienne qui s'attachait au ténébreux chasseur de chatte, mahé rothschild. non, merci. « ça crevait les yeux que vous vous vouliez... alors pourquoi t'es là ? » pourquoi finalement, c'est moi qui ai eu raison d'elle ?


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   w/ @milo novak
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Être con n’est pas une raison suffisante pour moi et tu devrais le savoir. Je crois que je mérite d’avoir une vraie réponse à ma question. Ce n’est pas tous les jours que je veux m’asseoir à côté de quelqu’un et de lui parler. De communiquer pour comprendre des choses, pour donner un sens à ma vie, peut-être ? J’ai besoin d’entendre que tout va bien aller, que tu es à moi et personne d’autre. Que je pourrai t’embrasser lorsque j’en aurai envie. Te dire je t’aime en le criant dehors. Je veux vivre quelque chose. Je veux que la passion me dévore. Être à toi comme toi être à moi.
Et finalement la conversation que je désire tant commence enfin.
Je commence à comprendre petit à petit ce qui t’a poussé à agir de la sorte. Et pourtant, tu te confis, moi je souris. Je ne veux pas me moquer, loin de là, mais j’aime entendre ce que tu as à me dire. J’aime voir comment nous avons pu être con l’un l’autre à ne pas voir les signes. Savoir que tu as été jaloux de Neyla alors que du mon côté c’était la même chose, me rends presque euphorique. « Je t’aurais peut-être ri au nez dans un premier temps c’est vrai. » Je ne le nie pas, ça aurait été surtout un geste défensif pour ne pas m’obliger à penser à toi plus que d’un voyage de jambes en l’air. Plus que d’une simple petite amourette de vacances, si je peux m’exprimer ainsi. « Me connaissant, je me serais sans doute braqué, je t’aurais envoyé chier pour finalement t’avouer ce que j’avais sur le coeur. Comme un cri de désespoir. »
Je suppose qu’aujourd’hui c’est mieux que jamais. Qu’aujourd’hui nous allons finalement pouvoir casser toutes ces peurs qui nous rongent de l’intérieur et franchir le cap, une bonne fois pour toute ? « Avez du recul. » Commençais-je à répondre à ta question, sans même réfléchir avant de parler. Tout ça sort si facilement du plus profond de mes entrailles que ça ne peut que te montrer comment je peux me montrer sincère en ce moment, avec toi. « Je me suis rendu compte qu’avec Neyla ce n’était que pour le sexe. Que pour avoir un nom de plus sur ma liste. » Et je n’en suis pas des plus fier, même si j’ai pensé à un moment qu’il y avait plus que ça. « Et tu me l’as fait réaliser aussi. Toi et tes grands airs. Tes peurs tes faiblesses. Ta révélation que j’ai été le premier. Les moments que nous avons passés ensemble. » Tout ça aurait pu s’arrêter là, mais il n’en fut rien. « C’est inexplicable. On est si différent, mais on se complète.  » Nous sommes comme le yin et le yang, le sel et le poivre. « Tu m’attires d’une façon indescriptible Milo et ça je ne pourrai pas le changer. J’ai essayé de t’oublier, j’ai essayé de te laisser à Maeve, mais tout me faisait penser à toi. » Et aujourd’hui, alors que je sais que tout est terminé avec elle, toute cette mascarade sans queue ni tête. Savoir que tu m’as choisi moi, que tu as finalement décidé d’écouter ton coeur et d’être égoïste, j’ai envie de toi. Pas de sexe, non même si ça c’est jamais de refus. « J’ai besoin de toi. Je veux bâtir quelque chose avec toi. Je t’aime, c’est tout aussi simple que ça. »
J’essaye de te livrer tout ce que je ressens, mais en même temps je suis maladroit. Je ne suis pas le meilleur pour manier les mots et ça je le sais. Mais j’espère que te dire que Neyla n’était que de passage dans ma vie, que je ne la voulais que dans mon lit. Que d’avoir exploré une facette de ma sexualité avec toi m’a fait comprendre des choses. Qu’être éloigné de toi, m’a tué. « Mais ce qui m’a finalement prouvé que tu étais celui que j’attendais, c’est ce moment où je me suis réveillé et que c’est à toi que j’ai pensé en premier. C’est à toi que je voulais parler. Mon corps et mon coeur veulent t’aimer. »  

   

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et les vérités sont blessantes, même quand on les soupçonne. même s'il se veut rassurant sur la suite, je n'aurais jamais pris le risque d'être moqué.
de cet enfant qu'on a toujours pris pour cible, des mots usés violemment contre moi et de ses doigts pointés qui montraient mes faiblesses. ma différence.
si aujourd'hui, j'arrivais à être l'extravagant, j'étais aussi caché derrière des tonnes d'artifices.
je n'étais pas vraiment moi-même, adossant un rôle qui m'allait comme un gant du mec qui s'en fout de tout. mais qui en réalité, ignore seulement comme agir en société. car si ma soeur prenait les coups et les rendait, j'étais ce petit con qui le savait mais occultait.
alors non, je n'aurais jamais pris la peine de lui demander si j'étais certain qu'il rirait. et je ne m'étais pas fourvoyé. il aurait ri.
qu'importe si c'était un mécanisme de défense. il m'aurait détruit.
je le regarde, me triturant la lèvre inférieure entre les dents. c'est difficile d'imaginer le monde au passé en usant de si.
et même en sachant tout ça, je ne l'aurais pas fait. juste pour ne pas l'entendre rire, se moquer. se braquer.
même si c'était douloureux d'ignorer les sentiments. ça aurait été mille fois pire qu'il en rit. et égoïstement, je pouvais me résoudre à le savoir en souffrance en même temps que moi... et ne pas lui donner la possibilité d'abattre davantage le glas sur mon crâne.

soufflant doucement du nez face à la révélation concernant neyla, je me prends à avoir envie de l'insulter.
par son manque de respect, son jeu... ses jouets. mais au final, neyla n'aura pas eu à souffrir de n'être qu'un nom et j'aurais pu voler le cœur qu'il tentait de préserver d'un mal d'amour qu'il ne souhaitait pas connaître.
elle était peut-être la vengeance de toutes ses filles qui ont du attendre, espérer de lui autre chose qu'un plaisir charnel.
ce même plaisir qui me rend fou d'imaginer le voir avoir avec d'autres.
il était à moi à présent, et il ne pouvait appartenir à quelqu'un d'autre. il était mien, et j'étais, dorénavant, capable du pire pour le garder.
je penche doucement la tête sur le côté, étonné des mots employés. usais-je vraiment de grands airs ? la condescendance au paroxysme. sans doute. et je hausse les sourcils. « se compléter... » que je dis doucement comme pour mettre du sens à ces mots.
est-ce qu'on arrivait à se compléter avec un nerd ? est-ce qu'on arrivait à se compléter avec un homme volage ?
et nos promesses seront-elles suffisamment fortes pour nous souder davantage ?

ma main vient se poser avec douceur sur sa joue, le laissant continuer de parler de ces choses qui le terrifient autant qu'elles me font peur.
de ces oublis que j'ai tenté d'avoir aussi. de ces moments où tout aurait pu être plus simple si je n'avais pas posé les yeux sur toi. et pourtant, c'était une évidence.
j'aurais peut-être du le voir aussi. comprendre que c'était la vie.
que tu étais la chance. la dernière de racheter un mal que j'avais fait. de prouver que j'étais capable du meilleur, d'aimer sans doute plus que de raison.
et si j'avais peur que tu finisses par partir, j'étais prêt à donner tout ce que j'avais au fond des tripes. quitte à être à nouveau meurtri... pour le reste d'une vie.
puis les déclarations, ce je t'aime qui berce mon cœur avec tellement de douceur que je crois n'avoir jamais ressenti pareil bonheur à entendre ces mots.
« je te veux depuis le premier jour, mahé. » quittant ma position pour venir sur lui, grimpant sur ses genoux tenu en tailleur, attrapant son visage entre mes mains, les yeux perdu dans les siens. « j'ai toujours eu peur d'être à quelqu'un, car on m'a déjà brisé. » et c'était difficile pour mon égo de le reconnaître. « et j'ai peur que tu me brises aussi, mais. » que je coupe avant qu'il ne puisse me contredire. « je suis prêt à tout te donner pour te prouver que. » je me pince les lèvres, racle doucement les dents sur ma lèvre. « te prouver que je suis l'homme de ta vie. » tout simplement.
venant ainsi compléter les paroles par le geste, de mes lèvres je viens capturer les siennes dans un baiser bien plus passionné. bien plus téméraire.
amoureux et fou à lier. à lui en bouffer l'âme.


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   w/ @milo novak
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Je savais que cette discussion n’allait certainement pas être de tout repos. Je savais que nous allons risquer de nous déchirer. Se montrer le plus honnête possible. Que tu n’allais peut-être pas aimer quelques paroles alors que d’autres allaient te combler.
Cependant, nous allons aller au bout de tout ça, de tout crainte. Mettre carte sur table et ne rien se cacher. Aujourd’hui, ça passe ou ça casse, comme l’on dit et je préférerais et de loin que ça passe. T’avoir dans ma vie, était l’un des souhaits les plus chers de mon existence. Et pas que comme amis. Non ça je pense que je n’en serais pas nécessairement capable.
Je te veux, toi, tout entier, de la tête aux pieds. Je te veux, toi avec tes qualités et tes défauts.

Ce simple petit moment de confidence entre nous me montre que même si ça ne sera pas facile, nous pourrons passer au travers bien des épreuves, simplement avec une bonne communication.
Étant quelqu’un qui ne se confie que très peu dans la vie, le fait que tu te montres autant à mon écoute, me prouve bien des choses. Cela me prouve que notre couple fonctionnera. Ça sera à moi désormais de devoir me calmer et être plus à l’écoute lors des discussions importantes, mais je sais que j’y arriverai.
Comme je sais que ça ne sera pas toujours facile. Tu dois douter de moi par moment, sachant et connaissant mon passé douteux, tandis que de mon côté je vais devoir te donner toute ma confiance et ne pas penser à ta faute commise qui a été déclarée sur Veritas.

On réussira, n’est-ce pas ? Oui, on réussira surtout avec les belles paroles que tu me dis à cet instant. Bien que mes sourcils se froncent, lorsque tu me dis avoir peur que je te brise. Évidemment, je veux protester, mais t’en m’en empêche lorsque j’ouvre la bouche. Je continue donc de t’écouter et toutes mes craintes s’envolent. « L’homme de ma vie. » Répétais-je, presque d’une façon niaise.
Ça me fait tout drôle d’entendre ça, mais c’est tellement bien de l’entendre.
S’en est suivi de notre vrai premier baiser. Celui qui a selon moi le plus d’importance. Celui qui nous certifie que nous sommes bien ensemble cette fois-ci.
« Ça signifie l’exclusivité des deux côtés, tu le sais ? » Je devais le dire, je ne pouvais faire autrement. Est-ce que tu te doutes que je parle de cette tromperie ? Sans doute, puisque tu n’es pas un crétin.
Tu les connais sans doute mes craintes. « Parce que moi de mon côté, je te jure que mes expériences sont bien terminées. » Autant les appeler ainsi, non ?   

   

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★ ─ w/ @Mahé Rothschild

je pouvais nier avoir une sale réputation grâce à véritas. de toute façon, j'avais été affiché par deux fois sur cette application de l'enfer. le premier qui insinuait que j'avais quitté yennefer à cause de sa maladie, la seconde mettant à la lumière du monde que j'avais trompé veïa avec mon ex.
et même si je ne suis pas fier de ce parcours... pas fier des choix que j'avais fait non plus, je savais qu'au fond, c'était les meilleurs maintenant. parce que sans eux, est-ce qu'il serait sous mes doigts ?
est-ce que je pourrais le toucher ? le posséder d'une certaine façon ? et j'entends parler d'exclusivité.
je n'étais pas de ceux qui aimaient s'engager à l'aveugle, surtout dans cette relation qui semblait être tumultueuse. le genre qui allait nous bouffer toute notre énergie... nous détruire aussi.
mais j'étais vraiment prêt à me battre. pour connaître cette histoire... neal m'avait fait énormément de mal, certes dans un but de préservation, mais je n'avais pas accepté cette séparation. cloturant le chapitre en le quittant à mon tour, je me suis rendu compte que j'avais enfin pu mettre un point final à cette histoire.
et que j'étais prêt.
prêt à vivre des choses plus concrètes. même si je m'en veux toujours d'avoir lâchement abandonné maeve.
mais pour une fois, on allait penser à sa petite tronche. le mettre en confiance sur un sujet qui semble le tarauder.
est-ce que je vois juste ? est-ce qu'il a peur que je sois le genre à tromper qui veut ? non, je lai fait une fois... une seule foutue fois, allant contre mes convictions et mes valeurs. plus jamais je ne recommencerai une telle connerie. « l'exclusivité, oui. des deux côtés. »
et quand il parle d'expérience, me rappelant ce côté volage qui m'avait fait sourire quand je l'ai rencontré. le prenant pour tous les types populaires qui claquaient des doigts pour finir avec un harem.
et pourtant c'est bien sur mes lèvres que tu as fini... j'espère que c'est bien fini, ouais. mais je me contente seulement de te sourire.
de t'aimer, d'oublier le passé. avancer vers un avenir qui nous tendait les bras.
pourquoi on se prendrait plus la tête. « c'est officiel, mahé... » le regard tombant dans le sien, sérieux. sûr de moi, sourire en coin. « tu es à moi. » et par équation, j'étais tout à toi.

et la passion me bouffe tellement que je pourrais exploser ma joie en gueulant. mais la pudeur italienne me fait conserver un calme d'apparence. mais j'exulte, mahé. comme un dingue.
et la soirée n'est faite que de ça. de se rassurer, s'aimer... s'apprendre. car ça... c'est rien comme épreuve qu'il nous reste à traverser.
et la nuit pose son voile sur le reste de la soirée. maintenant que nous sommes un officiel.
je t'aime, et c'est déjà beaucoup venant de nous... toi et moi.

FIN DU RP


credits img/gif: tumblr
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