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249 €


forever running to you.

Katalia Borgia

Âge : 27
Lieu de naissance : Milan (Italie)
Quartier d'habitation / Colocation : South Boston (Boston)
Situation sentimentale : En couple avec Ottis Heimann
Études / Métier : 7ème année en management et affaires internationales
Date d'inscription : 23/11/2019
Pseudo & Pronom(s) IRL : Clem (Elle/She)
Icon : forever running to you. C6526f51bbb94c02cd4d809cefd076d3
Faceclaim : Cindy Mello
Crédits : ©mel-graph (av)
Multicomptes : Romy Freymann
Description (1) :
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forever running to you. 1f342 forever running to you. 1f342 forever running to you. 1f342

Description (3) :
Spoiler:

RPS en cours : Jayson King forever running to you. 1f342 Loéva Berry forever running to you. 1f342 Ottis Heimann
Warnings : Alcoolisme, sexe, mort, deuil
RPS : 82
Messages : 17494
Préférences de jeu
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Katalia Borgia
est en ligne
PFORZHEIMER HOUSE › prestige redefined
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110544-katalia-borgia-cindy-mello#4017208Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t151257-katalia-elsie-romy-repertoire-rps#6625432Profil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t118823-meetsachussets-kataliaborgia#4400043Complément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t158669-katalia-borgia-complement-de-personnage#7172048
@Toni Caldwell JAN, SAT, 09:30 Les néons s’affolent et dansent autour de toi, alors que t’es simple poupée de chiffon au milieu de ce ballet que tu n’as pas demandé. T'es perdue dans un couloir sans fin. Ta tête tourne, t’as l’impression de perdre l’équilibre, t’as l’impression de tomber violemment. Tu te réveilles en sursaut, la peau trempée à cause de ta psychose et surtout, de ton cauchemar. L’hôpital. Ces couloirs interminables et beaucoup trop blancs, cet espèce d’agitation constante et surtout l’odeur. L’odeur. Elle t’emplit le nez alors que, pourtant, tu te trouves dans ton lit, chez toi et seule. Ton oreiller et les cheveux dans ta nuque sont trempés. Tu viens glisser une main sur ton visage, et places l’autre sur ta poitrine, là où ton cœur cavale à toute allure. Il te faut quelques secondes pour te calmer alors ton google home t’indique qu’il est seulement six heures du matin, après lui avoir posé la question de ta voix rauque, déshydratée et fatiguée. Tu te redresses quelque peu et viens attraper la petite bouteille d’eau sur ta table de nuit. T’es draps sont bons à être changés. Ça fait un certains temps que tu n’avais pas aussi mal dormi. Dormi n’était pas le bon mot, été tourmentée serait plus exacte. La dernière fois que tu t'es réveillée dans cet état de panique et de mal être, c’était lorsque tu avais arrêté les somnifères, il y a trois ans. Après tout, la conséquence-cause de ton problème est à la porté de compréhension de tous. Il y a trois ans, après ton expérience de mort imminente - dont tu as cru, à l’époque, ne jamais en ressortir vivante - tu as ouvert les yeux dans un hôpital. C’est là que tous s’est effondré. Tes idéaux, ton couple, tes fiançailles, ta vie, tout. Tout ce que tu as toujours cru être le centre de ta vie était parti en fumée, sans préavis et en un claquement de doigts. Ça avait été le début de la fin, le commencement de ton mal être, le commencement de tes problèmes d’addiction aux somnifères qui ont duré quelques mois tout de même. Depuis, tu avais toujours fuit les hôpitaux comme la peste. Mais hier, lorsque tu as appris la nouvelle de la catastrophe, tu t’es empresser de t’y rendre. Dans cet endroit de malheur où tu avais espéré y trouver un peu de réconfort. Le réconfort de découvrir tes amis sains et saufs et en bonne santé. Tu avais difficilement quitté le chevet de Neal en lui promettant de revenir le voir le lendemain, et tu étais rentrée chez toi le cœur lourd, dans le but de te reposer. Évidement il n’en avait rien été, car ton cerveau s’est fait un malin plaisir et te rappeler tous tes horribles souvenirs pendant ton sommeil. Ce matin, tu n’arriveras pas à retrouver le sommeil, alors tu décides de t’extirper de ton lit pour rejoindre ta douche. L’eau chaude qui coule sur ta peau nue te fait un bien fou. Tu restes beaucoup plus longtemps que d'habitude et ressors de la salle de bain embouée, une serviette enroulée autour du corps et une autre recouvrant tes cheveux mouillés. Tu prends le temps de te préparer, de t'habiller, de te maquiller un peu et de prendre un petit déjeuner, encore sonnée par la violence de ton réveil et de tes songes. De toute façon, les visites à l'hôpital ne débutent qu'à 09h30 et il faut bien que tu arrives à t'occuper les pensées d'ici là. C'est à peu près au moment où tu décides de te chausser et enfiler ton manteau que ton téléphone sonne et que tu découvres un message de Toni t'apprenant qu'il se trouve à l'hôpital suite à l'accident. Ton cœur a comme un loupé, tu restes dans le silence un instant dans ton grand appartement vide, avant de comprendre ce qu'il est en train de se passer. T'es secouée d'un spasme, t'as comme un sanglot qui remonte alors que, plus qu’inquiète, tu tapes une réponses du bout des doigts avant de cliquer sur envoyer sans même te relire. Tu n'attends pas la réponse avant de filer hors de ton appartement et de te mettre à descendre les six étages par les escaliers. Hors de question de prendre l’ascenseur, t'as bien trop peur qu'il reste coincé, tu n'aurais pas le temps d'attendre que le gardien vienne à ton secours. Alors que tu te presses à l'intérieur de l’habitable du taxi que tu as commandé, tu vois la réponse de Toni, t’annonçant qu'il se trouve au Massachessetts General Hospital. Tu indiques au chauffeur l'adresse avant te tenter de calmer la panique qui prend possession de tout ton être. Une fois arrivée à l’hôpital, tu te précipites vers le numéro de chambre que la secrétaire médicale t'a indiqué. La main posée sur la poignée de la porte, tu as une seconde de doute. C'était il y a moins d'une semaine. Moins d'un semaine que le petit film romantique que tu avais commencé à produire dans ta tête avait été réduit à néant par tes erreurs du passé. Tu as d'abord tenté de revenir vers Toni, et ne voyant aucunes réponses de sa part, as ensuite décidé de lui laisser le temps de réfléchir. A chaque fois que t'y avais pensé, ces derniers jours, une horrible sensation avait prit possession de tout ton corps et de ton cœur. Jamais tu n'aurais pensé qu'il aurait pu se retrouver dans cette rame de métro, jamais. Et pourtant, ça avait été le cas. Tu secoues doucement la tête de gauche à droite, prends une grande inspiration avant de finalement appuyer sur la poignée et pousser la porte pour entrer dans sa chambre. Il est là, dans son lit d’hôpital. Cette vision est horrible, cette vision est affreuse. Tu t'approches doucement et d'une voix frêle, tentes d'attirer son attention vers toi. « Toni ? »
(Katalia Borgia)
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★ ─ w/ @katalia borgia

C'était la première fois que tu utilisais le métro pour pouvoir rentrer chez toi en compagnie de Laïa. Habituellement, tu prends soit un uber même un taxi, où même ton propre moyen de véhiculé en ville. Sauf, que cette fois-ci on n'avait pas forcément envie de rester coincé dans les bouchons. Avec du recul aujourd'hui, tu aurais mieux dû choisir de rester dans les bouchons. Cela t'éviterait de te retrouver à l'hôpital à cette heure précise. Tu préviens les personnes concernées que tu te retrouves ici pour quelques jours probablement. La dernière personne au courant c'est Katalia. Honnêtement, tu as énormément hésité à lui envoyer ce message. Ta colère envers elle était encore omniprésent, tu te surprends à la prévenir tout de même. Vous vous êtes engueulés la dernière fois et depuis tu n'as donné aucun signe de vie auprès d'elle. Peut-être qu'elle le prend mal, peut-être pas. En réalité, tu ne sais pas trop dans quel état d'esprit se trouve Katalia. Ni même comment elle risque d'arriver dans ta chambre d'hôpital. Soit totalement énervée contre toi, soit tout calme. Bref, l'incompréhension totale. Tu allumes la télé de la chambre, parce que tu as demandé à ce qu'on te l'installe. Sinon, tu finis en dépression entre ces quatre murs blancs. Tu t'ennuies royalement dans cet endroit. Tu comprends mieux désormais pourquoi tu n'aimes pas venir dans ces lieux. Tu essaies de changer les chaînes de la télé pour trouver quelque chose d'intéressant à regarder. De quoi te distraire un petit peu. Rien. Il n'y a rien d'intéressant du tout. De quoi te faire souffler de désespoir. Tu poses la télécommande sur le meuble à côté de ton lit pour attraper ton portable. Tu allais commencé à zieuter dedans voir si tu as reçu des messages ou autre, lorsque tu entends frappé à la porte. D'une toute petite voix tu viens à dire ... « Katalia ? » Tu ne t'attendais pas à la voir aussi vite à ton chevet. « Qu'est-ce que tu fais ici ? » Putain Toni qu'est-ce que tu peux être con par moment ! Arrête d'être si idiot par moment, ce n'est plus possible là.
(Invité)
Katalia Borgia

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RPS en cours : Jayson King forever running to you. 1f342 Loéva Berry forever running to you. 1f342 Ottis Heimann
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Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110544-katalia-borgia-cindy-mello#4017208Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t151257-katalia-elsie-romy-repertoire-rps#6625432Profil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t118823-meetsachussets-kataliaborgia#4400043Complément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t158669-katalia-borgia-complement-de-personnage#7172048
Lorsque tu as vu apparaître le nom de Toni sur l'écran de ton téléphone, tu as d'abord été surprise. Surprise qu'il ai cherché à te joindre, à te parler, et puis lorsque tu as ouvert le dit message, ça fut la panique. Peu importe les rancœurs, les histoires, peu importe tout ça. Votre rapprochement a tellement été intense que tu oublies tout cela pour ne devenir qu'une seule chose : une petite boule de nerfs affreusement inquiète pour lui. Dans le taxi qui te conduit à l’hôpital, t'as l'impression que ton cœur va exploser alors que tes lèvres légèrement brillantes de gloss viennent s'entrechoquer plusieurs fois dans un tremblement que tu ne tentes même plus de contrôler. T'as chaud, t'as froid, t'as peur. Lorsque la secrétaire médicale t'indique le numéro de chambre, tu réalises que, ça y est, c'est le moment, il va falloir prendre ton courage à deux main et les affronter, lui et sa colère. Tu pousses la porte de la chambre et le découvre, dans un état dans lequel tu n'aurais jamais pensé le voir. Et dans un état dans lequel tu ne voudras plus le voir, jamais. Ton cœur se resserre de plus belle lorsque tu entends son prénom s'échapper d'entre ses lèvres avec faiblesse. « Qu'est-ce que tu fais ici ? » Il a l'air complément perdu, très probablement affaibli par ses blessures et la tonne de médicaments qu'il a du recevoir. Tu t'approches de lui, doucement mais surement et viens te placer au niveau de ton torse. Ton regard passe sur l'ensemble de son corps, de son visage plein d’hématomes, à son énorme bandage sur sa tête puis sur l'attelle plus qu'imposante prise autour de sa jambe. T'as juste envie de pleurer, à le voir comme ça, mais tu réprimandes tes émotions en mordant dans ta lèvre inférieure. Tes sourcils sont froncés et les traits de ton visage froissés. T'as envie de l'enlever à cette vision d'horreur, de le sortir d'ici et que son visage reprenne les couleurs qui lui avaient appartenu lors de votre réveil ensemble, à ton appartement. Malheureusement, c'est impossible. C'est impossible de revenir en arrière, et c'est impossible de faire comme si votre discussion houleuse n'avait jamais existé. Tu te souviens encore de l'ombre qui est passée sur le visage de Toni, juste avant qu'il ne quitte ta chambre sans même un regard en arrière. Tu te souviens des larmes qui ont remplies ton visage juste après cela. Ces souvenirs font remonter un frisson dans ton dos. « Je... » les mots ne veulent pas sortir, pourtant et après un silence, tu retentes ta chance. « Je suis venue voir comment tu vas. » Ta voix est remplie d'émotion et légèrement tremblante. Tu tentes de le cacher, mais tu en es incapable. Ton bras gauche se relève légèrement alors que le bout de tes doigts viennent doucement caresser son avant bras. Tu surveilles sa réaction, prête à reculer s'il avait quelconque mouvement réprobateur. Aussi difficile que cela soit pour toi, tu ne veux pas t'imposer, tu ne veux pas t’immiscer. C'est dur, car pour toi, rien n'a changé. C'est lui. Lui que tu veux. Mais dans son regard ce matin là, la dernière fois où tu l'avais vu avant aujourd'hui, tu ne voyais plus le désir ou la tendresse, tu voyais la colère et la distance. Tu chasses ce souvenir d'un mouvement de la tête avant de reporter toute ton attention sur lui. « Je suis vraiment désolé, je... » tu n'arrives pas à prononcer plus de mots alors que ta voix dégringole dans la tristesse. « Qu'est ce qu'il s'est passé ? » tu lui demande en tirant ensuite un siège pour s'asseoir près de lui sans risquer de voir tes jambes tremblantes s’effondrer sous ton poids.
(Katalia Borgia)
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Tu as longuement hésité à lui envoyer un message. Tu ne voulais pas l'inquiéter inutilement. Surtout après la manière dont tu as quitté son appartement sur un coup de tête. La dispute était de trop, tout comme ces révélations qui ont eu l'effet d'une bombe sur toi. En prévenant Katalia que tu te trouves à l'hôpital, tu ne pensais pas une seconde qu'elle puisse te rendre visite. Pas après ce qui s'est passé entre vous. Tu es un peu dans le coaltar en cause de la morphine que les médecins te donnent pour calmer les douleurs. Un peu endormi vu le peu d'heure que tu as accumulé la veille, tu entends frappé à la porte de ta chambre. Tu prends quelques minutes pour répondre. Tu finis par voir le visage de Katalia dans l'ouverture de la porte. Même si tu as envie de sourire de sa présence, tu te retiens. Tu viens même à tirer les draps du lit contre ta poitrine pour passer un maximum tes blessures. Elle aurait dû garder l'image qu'elle avait de toi à votre dernière rencontre. Pas celle de l'homme blessé allongé sur son lit avec l'incapacité de se lever. Des bandages qui recouvrent ton visage contre ton gré. Tu n'aimes pas la vision qu'elle puisse avoir de toi. Surtout que tu as toujours eu le sourire aux lèvres, la joie de vivre en toute circonstance. C'est une époque révolu depuis un bail. Tu n'as plus cette lueur dans ton regard qui te donnait la sensation d'être unique. Tu l'observes s'avancer vers toi pour ensuite caresser ton avant bras. Le seul membre de ton corps qui n'a rien subi d'importance dans l'accident de métro. « Tu n'aurais pas dû ... Pas après la manière dont je t'ai traité ! » Tu ne cherches pas à être pris par pitié, au contraire. Tu ne veux pas qu'elle pense que tu as besoin de la voir parce que tu es dans un état lamentable. Ton regard plongé dans le vide de la pièce, tu n'oses pas encore poser tes yeux sur Katalia. Peut-être qu'avec le temps ça changera, tu l'espères de tout coeur. « Pourquoi l'être Katalia ? On n'a que ce qu'on mérite dans la vie ... » Même si tu es loin d'être l'homme qui mérite de subir toutes ses douleurs, tu acceptes le destin. Si tu as subi tout ça, c'est uniquement parce que c'est écrit. Probablement que la vie se venge de toi pour une raison quelconque. Personne ne peut réellement le savoir. « Il s'est passé que je ne désirais pas être bloqué dans les bouchons avec mon amie ... On a décidé de prendre le métro, il a démarré et ensuite un gros choc et j'ai fini dans cet état ... » Pas besoin de rentrer dans les moindres détails, elle peut remarquer par elle-même les dégâts que ça peut causer.
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Katalia Borgia

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Lorsque tes doigts viennent frôler sa peau, il ne recule pas, et ses mots viennent offrir une chaleur nouvelle à ton cœur. Il y a des regrets dans ses mots et dans sa voix, il n'y plus de haine, du moins presque plus. Son regard vole dans la pièce, sur le mur derrière toi, sur la fenêtre, sur sa jambe blessée, partout. Partout, sauf sur toi. Tu l'acceptes, même si ça te fait mal. Tu l'as tellement déçu qu'il ne veut plus te regarder. Tu ne vas pas le forcer, mais tu veux lui prouver que tu n'es plus cette fille dont tu lui as parlé l'autre matin. Tu veux qu'il pose à nouveau ce regard sur toi, ce regard qui t'a fait craqué, ce regard qui t'a fait chaviré. Peu importe le temps que ça prendra, tu te jures d'y arriver, car ton cœur t'en donne l'ordre. Jusqu'alors, tu as pensé que c'était uniquement de l'attirance physique et un feeling. Mais dans ce cas, pourquoi réagir de la sorte ? Pourquoi vivre aussi mal le fait qu'il ai refusé de te parler pendant plus de dix jours ? Force est de constater que quelques sentiments se sont immiscés dans le bordel de ta tête. C'est tellement dur de le voir te repousser de la sorte. T'as envie de pleurer mais tu te retiens. Il ne comprend pas pourquoi tu es désolée. Tu es désolée de tout. D'avoir tout gâchée entre vous, de l'avoir blessé et qu'il se soit retrouvé dans ce métro. « Je ne peux pas te laisser dire ça. » tu soupires alors qu'il te dit penser mériter ce qui lui était arrivé. « S'il y a bien un entre nous deux que l’univers aurait du punir, c'était moi. » Toi et tes erreurs du passé, toi et tes démons du passé. C'est derrière toi, c'est terminé, pourtant, c'est bel et bien tes erreurs. C'est toi. Lorsqu'il te raconte, un frisson remonte le long de ton dos alors que tes mains se mettent à trembler légèrement. Tu retires tes doigts de son bras pour venir glisser tes mains sous tes cuisses, dans l'espoir de calme tes spasmes. L'entendre de sa bouche, ça rend le tout très réel, trop réel. C'était la veille, et depuis tout a changé. Il ne sera plus le même. On ne ressort jamais indemne de ce genre d'épreuve. « Et ton amie, elle va bien ? » Tu sens très bien qu'il n'a pas envie de trop s'attarder sur le sujet du métro, qui le voudrait ? Tu n'oses même pas imaginer le traumatisme provoqué par cette épreuve. Tu vas essayer de lui parler d'autre chose, tu vas essayer d'attirer son attention et ses pensées sur autre chose que ce souvenir. « J'ai été surprise de voir ton texto, j'ai pensé que tu ne voudrais plus jamais me revoir, jamais... » T'aurai pu choisir un sujet plus joyeux, Katalia, pour arracher ses pensées du souvenir de la veille. Mais tu n'as pas pu t'en empêcher. Ça fait des jours que tu subis sa soudaine absence dans ta vie. Ne serait-ce qu'entendre le son de ta voix te réconforte. Tu veux qu'il prenne la parole encore et encore, tu veux l'entendre, égoïstement, tu veux sa voix tendre.
(Katalia Borgia)
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Tu es étonné de ne pas reculer ton bras ou de la repousser lorsqu'elle pose sa main sur ton bras. Tu ressens un léger frisson qui te parcourt le corps. Malgré ta colère envers elle, tu réalises qu'elle a encore une emprise sur toi que tu ne contrôles pas. C'est assez frustrant pour toi. Étant donné que ça fait un long moment que ça ne t'arrive plus. La dernière qui avait cette emprise, c'est ton ex. Tu es devenu un véritable canard pour elle. Tu as décidé de t'émanciper un peu. D'ouvrir un peu plus ta gueule lorsque quelque chose ne te convient pas. Ce fut le cas avec Katalia, malheureusement. Si tu t'es autant énervé à l'aveu de la demoiselle, c'est qu'il y a plus qu'une simple attirance physique. Il y a bien un début de sentiment, sinon tu aurais coupé court sans en avoir mal au cœur. Sans avoir la gorge nouée quand la porte de l'appartement de Katalia a claqué derrière ta silhouette. Même si tu arrives à lui parler calmement à ta grande surprise, tu n'arrives toujours pas à poser tes yeux sur elle. On va dire que ça ne fait que dix jours que ça s'est produit. Il faut encore un peu de temps à Toni d'accepter la nouvelle. Force et de constater que tu es blessé bien plus que tu ne le crois. Que ce soit physiquement que moralement. Tu lui avoues ensuite que c'était logique qu'il soit dans cet état suite à sa réaction de la dernière fois. « Pourtant, ça l'est Katalia ! Il faut l'accepter c'est tout ... » rétorques-tu en soupirant de douleur. Tu as l'impression que la morphine est en train de se dissiper. « Même pas en rêve Katalia. Je préfère de loin que ce soit moi qui souffrir plutôt que l'inverse. » Tu es plus apte à accepter et tolérer la douleur que de voir la femme que tu apprécies plus que tout être dans un lit d'hôpital. Tu finis par lui dire ce qu'il s'est réellement passé ce jour-là. Tu ne rentres pas forcément dans les détails parce que ça ne t'intéresse pas. Déjà d'en reparler, tu n'aimes pas forcément ça. Tu fais l'effort pour elle. Elle comprend rapidement ce qui s'est produit dans le métro. C'est amplement suffisant. « Je ne sais pas, je n'ai pas encore eu de nouvelles d'elle ... » Tu t'inquiètes pour la santé de Laïa, tu ne sais pas ce qu'elle a vécu. Ni même les traumatises qu'elle peut endurer. C'est ce qui te fait le plus rager dans l'histoire. D'être coincé dans ce lit sans pouvoir faire quoique ce soit. « Pour être honnête j'ai longuement hésité à le faire ... Mais, je me suis dit que tu méritais tout de même de l'apprendre par mes propres moyens. » Tu restes tout de même gentleman dans l'âme, même après toutes ces épreuves que tu endures. « Je n'avais pas envie que tu l'apprennes par le biais d'une tiers personne ! Tu mérites mieux que mon silence. » Tu as beau être en colère contre elle, tu continues de faire passer les désirs de la jeune femme avant les tiens. Ça sera toujours ainsi avec toi.
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Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110544-katalia-borgia-cindy-mello#4017208Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t151257-katalia-elsie-romy-repertoire-rps#6625432Profil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t118823-meetsachussets-kataliaborgia#4400043Complément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t158669-katalia-borgia-complement-de-personnage#7172048
Son ton sec et vif te fait sursauter alors que les traits de son visage se plissent sous l'apparente douleur. C'est clairement beaucoup trop dur de le voir dans cet état, tu ne sais pas si tu vas le supporter encore longtemps. Mais tu le dois, tu dois être là pour lui, tu veux être là pour lui. Lorsqu'il t'annonce qu'il préfère de loin être dans ce lit d’hôpital plutôt que toi, tu reconnais l'homme qui tu as appris à connaitre ces dernières semaines. C'est vraiment quelqu'un de bien, beaucoup trop bien pour toi, et cette découverte te glace le sang à mesure qu'elle fait monter dans tes yeux quelques larmes. A chaque jours qui passent, tu tentes d'être meilleure que la veille, d'évoluer, d'avancer. Mais comme beaucoup trop de monde, tu as tendance à voir uniquement les choses qui te dérangent en toi. Tu t'es jurée d'être une meilleure version de toi même et ça commence ici et maintenant, dans le but de mériter l'attention et l'affection de Toni. Tu prends une grande inspiration et pinces les lèvres pour réprimander le sanglot qui monte en toi. Hors de question de craquer ici et maintenant, ça serait mal venu, surtout que tu es venue ici pour le soutenir et non l'inverse. Toni te parle de son amie Laïa, dont il n'a visiblement pas encore de nouvelles. Sans laisser une seconde passer, tu te relèves doucement et tentes d'attirer son regard vers ton visage, malheureusement encore et toujours en vain. Alors tu te contentes de lui dire qu'une voix douce « Je vais aller prendre de ses nouvelles, je reviens tout de suite. C'est quoi, son nom de famille ? » Tu attends que Toni le prononce pour quitter sa chambre et te rendre à l'accueil de l’hôpital. C'est la moindre des choses que tu peux faire. Tu n'oses pas imaginer la panique dans laquelle il doit se trouver, du fait qu'il n'ai pas de nouvelles de son amie, ni par téléphone ni par le corps médical. Tu arrives devant la petite blonde à l'accueil et lui annonce le nom de Laïa. Elle cherche pendant quelques minutes dans son ordinateur avant de t'annoncer des nouvelles rassurantes. Forte de cette bonne nouvelle, tu rejoins Toni pour lui répéter mot pour mot ce que la secrétaire médicale vient de te dire. « Laïa va bien, elle a été prise en charge pour son malaise et elle a besoin de se reposer un peu avant de rentrer pouvoir chez elle. » Tu ne fais absolument pas ça pour attirer les bonnes grâces de Toni, mais t'aurais aimé qu'on fasse la même chose pour toi. Ça parait naturel, c'est ni forcé ni calculé. C'est être attentive à lui et à toutes les choses qui pourrait lui apporter du réconfort, à l'instant t. Rapidement, la conversation revient sur vous deux, et le fait qu'il t'ai prévenu, malgré toute la rancœur qu'il peut avoir à ton égard. T'as l'impression qu'il enfonce un couteau bien aiguisé dans ta chair lorsqu'il te fait comprendre qu'il t'a tenu au courant juste par politesse, et non pas car il avait envie de te voir. Ça te serre la poitrine, et tu fronces les sourcils sous la douleur que provoque ses mots en toi. Tu viens à nouveau t'asseoir sur le fauteuil près de son lit. Non pas pour être plus proche de lui, mais parce que ses mots te font tellement de mal que t'as l'impression que tu ne vas plus être capable de tenir sur tes jambes. C'est vraiment pas la réponse que tu attendais, vraiment pas la réponse dont tu rêvais. Mais tu vas devoir t'en contenter, tu vas devoir assumer. « C'est tellement dur de te voir dans cet état... » tu commences à dire, de façon à peine audible. Ton regard se perds derrière lui, dans l’étendue vaste et infinie du ciel bleu de cette journée d'hiver. Un brin de soleil vient s'inviter dans la pièce et passe son ton visage, te forçant à plisser les paupières. Même ça n'est pas suffisant. Rien ni personne n'arrivera à réchauffer ton cœur. Même pas le soleil. « Ça a été tellement dur de lire ton message. Je... » tu n'arrives pas à trouver tes mots alors que ta voix commence à flancher. « Je suis inquiète pour toi, j'espère que tu vas vite te rétablir. » Cette fois c'est trop dur. Trop dur de retenir la larme qui s'échappe de ton œil, roule sur ta joue et vient s’écraser sur ton genoux dans un silence lourd.
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Tu grimaces sous la douleur de tes blessures. Il est difficile pour toi de faire semblant que tout va pour le mieux. Clairement ça serait menti inutilement. La morphine commence doucement à disparaitre de ton organisme, d'où le fait que la douleur se réveiller deux fois plus forte qu'auparavant. Même si tu es apte à crier de douleur, tu finis par lui avouer que tu préfères de loin que ce soit toi sur le lit d'hôpital plutôt qu'elle. Chose qui n'est pas fausse du tout. Tu as toujours préféré souffrir pour les gens que tu apprécies beaucoup plutôt que ce soit eux. Au fil de la discussion, tu annonces que tu ne sais pas ce qu'il se passe avec Laïa, tu n'as aucune nouvelle de ton amie. Ce qui commence un peu à te chagriner parce que tu tiens à-elle. Tu te dois de protéger la cousine de ton ex petite amie, c'est ainsi. Tu ne fais jamais les choses comme il se doit, tu es un homme différent de tous les autres. Ce qui peut faire peur à certaines femmes, tu en prends conscient. Deux minutes plus tard, Katalia disparaît de la chambre après que tu es eu le temps de lui annoncer le nom de ton amie. Tu ne montres rien, tu ne veux pas montrer que tu t'inquiètes pour tes amis qui ont été probablement présents lors de l'accident. Tu ne sais pas si d'autres personnes que Laïa ont été là-bas. « Merci Katalia, ça me soulage de savoir qu'elle n'a pas eu de blessure apparentes. » dis-tu en voyant la demoiselle pénétrait de nouveau dans ta chambre. Tu soupires de soulagement avant de grimacer en bougeant un peu pour te replacer dans le lit en cause de la douleur. Tu ne tiendrais pas longtemps avec ces blessures, ça te gonfle à un point inimaginable. Finalement, la discussion se tourne rapidement autour de vous deux. Tu lui avoues que tu as voulu la prévenir par toi-même plutôt qu'elle l'apprenne par une tiers personne. Tu remarques que ça la blesse ce que tu lui balances, que c'est comme si tu l'as poignardé dans le dos. Sauf, que tu t'es mal exprimé comme d'habitude. Tu n'es pas habitué à avoir les bons mots avec les femmes. Tu n'es pas un beau parleur, ni un baratineur. « Pourquoi ça ? Ça fait partie de ma vie Katalia, il faut s'y habituer ... » C'est ta troisième visite à l'hôpital depuis que tu vis sur Boston. Le premier a été suite à l'accident de voiture que tu as pu avoir avec ton ex petite-amie, ensuite en cause de tes combats de boxe illégaux où tu t'es pris un KO technique en moins de cinq minutes et la troisième aujourd'hui. Ce sont des séjours assez fréquent pour toi, tu as l'habitude désormais, ça ne te fait plus peur. Ainsi va la vie. « Je ne voulais pas que tu t'inquiètes où tu sois mal en le lisant ... » Ce n'était tellement pas le but recherché. « Tu ne devrais pas le faire Katalia, vraiment ! » balances-tu en prenant sa main dans la tienne. Tu viens enfin à tourner ta tête vers la demoiselle lorsque tu vois une larme coulait sur sa joue. Tu viens la balayer d'un revers d'une main avant de lui caresser la joue avec ton pouce. « Tu ne dois pas pleurer pour moi Kat ! Je ne le mérite pas, tu m'entends ? »
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Katalia Borgia

Âge : 27
Lieu de naissance : Milan (Italie)
Quartier d'habitation / Colocation : South Boston (Boston)
Situation sentimentale : En couple avec Ottis Heimann
Études / Métier : 7ème année en management et affaires internationales
Date d'inscription : 23/11/2019
Pseudo & Pronom(s) IRL : Clem (Elle/She)
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Faceclaim : Cindy Mello
Crédits : ©mel-graph (av)
Multicomptes : Romy Freymann
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Description (3) :
Spoiler:

RPS en cours : Jayson King forever running to you. 1f342 Loéva Berry forever running to you. 1f342 Ottis Heimann
Warnings : Alcoolisme, sexe, mort, deuil
RPS : 82
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Ses traits se tordent plusieurs fois sous la douleur, et t'as l'impression d'avoir aussi mal que lui. La sensation d'être témoin et incapable de pouvoir faire quoi que ce soit est plus horrible que tout. Tu veux qu'il aille mieux, tu veux que cette horrible journée s'éloigne et s'efface de vos mémoires, mais tu sais que c'est malheureusement impossible. Tu veux être là pour lui, et tu veux qu'il te laisse le faire. Tu vas te battre pour que cet idéal devienne réalité, tu vas te battre jusqu'à ce qu'il te supplie d’arrêter après avoir accepté ton affection. Tu les vois désormais, ils sont clairs, ils sont là. Les sentiments que t'as pour lui. Et putain ce que ça fait mal. T'as mal de le voir dans cet état, et t'as mal à l'idée que ces sentiments soient à sens unique. Car ils le sont, tu le sais. Toni a été déçu et blessé par toi, il doit te haïr à l'heure qu'il est, pendant que toi tu tombes pour lui. C'est ta punition. L'univers et le karma se sont bien joué de toi, en te plaçant dans cette situation, après toutes les peines que tu as pu causer. « Pourquoi ça ? Ça fait partie de ma vie Katalia, il faut s'y habituer ... » ses mots t'arrachent à tes songes alors que, les sourcils froncés, tu prends la mesure de ses mots. Sa vie, l’hôpital ? Cette révélation te laisse quelque peu perplexe alors que la question s'échappe de tes lèvres sans que tu ne puisse la contrôler « Comment ça ? tu viens souvent à l’hôpital ? » A-t-il des traits de caractère que tu n'as pas encore su appréhender ? Est-il quelqu'un de dangereux, de bagarreur ? Tu peines à le croire, et pourquoi, les années t'ont apprises que tout le monde à toujours beaucoup de choses à cacher. La froideur de ses mots et de ses réactions s'envole lorsqu'il vient attraper ta main en t'ordonnant de ne pas t’inquiéter pour lui. Tu lâches un soupir plaintif alors qu'il tourne la tête vers toi. Ton regard plonge dans le sien et n'arrive plus à s'en détacher. « Mais, tu ne comprends pas Toni... » Tu frissonnes, pinces les lèvres et n'oses même plus cligner des yeux, de peur que son attention se détache envers une fois de toi. « Même si je le voulais, je ne pourrais pas m'en empêcher. » Sa main s'approche de ton visage et son pouce vient délicatement passer sur ta joue envahie de perles de tristesse. Tu fermes les paupières, surprise et secouée par ce geste d'affection inattendu qu'il t'offre. Peut être que tout n'est pas perdu, peut être que... « Je tiens à toi, je... » Les paupières encore fermées, tu viens poser ta main libre sur le revers de sa main dans la tienne et prends une grande inspiration pour te donner du courage. « je ferai tout pour que tu puisses accepter de me donner une seconde chance. »
(Katalia Borgia)
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Ça devient de plus en plus difficile pour toi de supporter cette atroce douleur dans la jambe. Ce n'est même pas ta tête qui te fait le plus souffrir dans l'histoire. Néanmoins, tu essaies de te concentrer le plus fort possible sur l'état d'esprit sur la jeune femme. C'est plus elle qui t'intéresse aujourd'hui. On reviendra sur ton cas un peu plus tard dans la journée ou même demain. Cela t'importe peu. Ton cœur se brise encore plus lorsque tu comprends que ton regard n'arrive pas à trouver le visage de Katalia. C'est à cet instant, que tu réalises la douleur que tu as éprouve lors de votre dernière discussion. Celle qui a tout basculé sur ta façon de voir Katalia. Tu t'imaginais bien être dans ses bras pour l'éternité, de pouvoir rouvrir ton cœur de nouveau, de réapprendre à aimer auprès d'elle. Elle a tout envoyé en l'air d'un claquement de doigt. Tu es aussi fautif dans l'histoire. C'est toi qui lui a demandé de t'avouer la vérité. Il fallait être capable d'accepter les révélations qu'elles soient bonnes comme mauvaises. Tu as été lâche ce jour-là. Tu n'as pensé qu'à la peine que cela provoque chez toi. Tu n'as même pas à chercher de comprendre dans quel état Katalia se trouvait. Si tu as réagi de la sorte, c'est que tu as des sentiments pour elle. Même si tu te mens à toi-même. Tu lui annonces ensuite que tu passes régulièrement à l'hôpital. Des fois apprend à fermer ta gueule Toni. Tu n'es pas croyable. « On va dire que c'est ma troisième visite à l'hôpital depuis que je vis sur Boston ! » Tu ne rentres pas dans les détails puisqu'ils ne serviraient à rien. C'est en voyant la jeune femme triste que tu décides de faire un premier pas vers elle. Il est temps que tu prennes ton courage a deux mains. Tu poses ta main sur la sienne et plonge ton regard dans le sien. Malgré que tu ne dises rien, ça te réchauffe le cœur immédiatement de pouvoir retrouver le regard envoutant de Katalia. « Explique-moi alors ... Je ne demande que ça ! » Vous aviez toute la journée devant vous. Tu ne risques pas de prendre la fuite cette fois-ci. « Pourtant, il ne le faut pas ... » Tu n'as pas forcément envie qu'elle passe son temps à être inquiète pour toi. Tu ne mérites pas qu'elle s'inquiète autant pour toi. Personne, à vrai dire. Tu n'es pas quelqu'un de fréquentable, du moins tu persistes à vouloir le croire. Tu passes ton pouce sur la joue avant, qu'elle vient déposer sa main sur la tienne. Le contact de la peau de la brune contre la tienne, te donne un frisson qui parcourt tout ton corps. Les poils de tes bras se dressent sur ta peau sans que tu puisses le contrôler. « Je tiens à-toi aussi ... sinon, je n'aurais pas réagi de la sorte la dernière fois ! » Tu serais resté à ses côtés sans dire de plus. Tu aurais accepté la situation en l'embrassant et basta. « Tu ... Quoi ? » Tu es littéralement abasourdi par cet aveu ! Tu ne t'attendais tellement pas à ce qu'elle te relève ça. Tu ne pensais même pas qu'elle pouvait s'être attaché à-toi de la sorte ! « Vraiment ? » Qu'est-ce que tu peux être un beau connard quand tu t'y mets Toni.
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