Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitylearning the news about our friends (karaver)
-50%
Le deal à ne pas rater :
[Adhérents Fnac] -50% Casque Pro Gaming HyperX Cloud Alpha Noire et ...
49.99 € 99.99 €
Voir le deal


learning the news about our friends (karaver)

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je pense qu’hier avait pu etre la pire journee qu’on avait pu vivre pour un etudiant. Un fou avait decide d’envoyer Harvard en l’air et avait reussi. J’avais ete a la bibliotheque pour travailler et les degats qu’il y avait eu ete plutot lourds. Les fenetres avaient explose vers l’interieur semmant un moment de panique et envoyant des ondes de choques renversant alors les bibliotheques. J’avais ete avec Candice et Kara. J’etais content que Kara n’avait pas eu de deas majeure contrainement a Candice et moi. Je ne savais toujours pas les degats que Candice avait eu et j’avouais que je voulais savoir. Je me rappelais d’une armoir, mais je devais dire que mes souvenirs d’hiers etaient encore un peu flou. Je crois que c’etait a cause du choc et de la morphine qui circulait dans mon corps. Les cotes refracture ca faisaient vraiment mal. J’essayais pas trop d’y penser, c’etait mieux comme cela. On m’avait attribué une chambre que pour moi, je parie combine que ma mere avait fait en sorte que cela soit le cas. D’un cote, c’etait pas plus mal. je preferais etre tout seul pour le moment. Ma mere allait venir de Munich si j’avais bien compris et j’etais content de la voir et ne pouvait pas attendre. Soudain, la porte de la chambre s’ouvrit et je vis la tete de Kara passer par la porte. “hey!” dis-je avec un sourire. Il y avait donc au moins une personne que j’avais pu sauver lors de l’explosion et cela me faisait plaisir.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Hier, la journée avait été bien sombre. Très sombre. La peur avait envahit mon corps et je la sentais encore moi malgré que tout cela était déjà passé, mais cela était si frai dans ma tête que dis-je dans nos têtes. En effet, hier, avait été le jour le plus long depuis l'arrivée à Harvard. J'étais parti à la bibliothèque. Solitaire, je tentais de m'évincer du reste du monde, mes écouteurs sur les oreilles si bien que dans mon monde, je n'entendis guère réellement les premiers signes du malheur qui arrivait. Mais le départ des étudiants autour de moi, légèrement paniqué, m'avait fait réagir et au bout d'un moment, j'avais ôté de mes oreilles mon casque. C'était la panique et mon légendaire "courage" ou disons plutôt mon coté, je ne dois pas montrer ce qui m'atteint avait été détruit par la peur de la perte de mes amis. J'avais été pendant ce drame avec Xaver mais je m'étais senti impuissante et comme à mon habitude, je me sentais coupable de ne pas avoir pu le sauver de ses blessures. Je n'avais presque rien, enfin juste vécu un évanouissement du à un objet m'étant tombé dessus puis des morceaux de verres plantés dans ma jambe. J'avais passé une partie de la nuit à l'hôpital et le médecin m'avait prescrit quelques médicaments, avait extrait les quelques bouts de verres qui n'avaient pas été trop profond. J'avais surtout une plaie avec un pansement, quelques petites égratignures mais le plus grand choc avait été l'évanouissement qui m'avait quelques peu perturbé et m'avait fait oublié certains instants de ce drame. J'avais terminé la nuit dans la salle d'attente et devant l'hôpital en attendant qu'il soit possible d'aller voir Xaver. Il était hors de question que je me repose, peu importe les dires du médecin car j'avais peur pour mon ami et c'était impossible que je ne le vois pas. Au fil du temps d'attente, je revoyais la scène, le drame, ce que je m'en rappelais. Je me sentais traumatisée d'avoir été contrainte par mon état de stresse de ne rien faire de plus pour aider mon ami ou même les autres. Quant il fut temps de rejoindre la chambre de mon ami, je ressentis le besoin de respirais un grand coup comme si je partais pour une épreuve. Devant la porte, j'appréhendais. J'avais peur de ce que j'allais découvrir. J'ouvrais doucement la porte et passa la tête. Dès que je le vis, je ne pus m'empêcher de laisser couleur quelques larmes et je savais très bien que Xaver allait entre bien étonner de me voir ainsi quoiqu'avec lui, je montrais quand même assez mes sentiments. En effet, il me connaissait par coeur et depuis bien trop longtemps pour ne pas me comprendre en un regard. Il me lança alors un simple "Hey" et je tentais de sourire. Je pénétrais dans la chambre et m'approchais de mon ami. Je pris la parole pour le saluer à mon tour, timidement, comme gênée ; "Salut ..." Je n'osais pas trop me rapprocher. Cela était surement du à mon mal être face à lui, un mal être bien étonnant mais que je ne pouvais combattre. Je me sentais si mal de ne pas être à sa place, dans ce lit. J'osais alors lui demander : " Comment vas tu ? Enfin je veux dire ... les médecins t'ont dit quoi ?" Je me rapprochais un peu, mais a chaque fois, je me sentais timide, effacée, mal. Je ne savais pas trop ce qu'il m'arrivait. Je pense surtout que le fait est que lorsqu'on aime quelqu'un, on s'en veut toujours lorsqu'il lui arrive quelques choses que ce soit un véritable amour ou un amour amicale et fraternel comme le notre. "J'aimerais tellement etre à ta place, si tu savais ... Je n'ai pas su te protéger ! Je n'ai même pas réellement tenter quoi que ce soit pour te protéger ..." Mes larmes coulaient plus encore et mes pensées s'embrouillaient dans la confusion de mes sentiments. Je me sentais à la fois mal et obliger de m'excuser ainsi que je me sentais honteuse de le mettre mal à l'aise avec mes excuses. Je savais néanmoins que comme il me connaissait, il allait voir que c'était le moment où je craquais et il fallait dire que je ne m'autorisais jamais le droit de dire ce que je ressentais en moi et on me le reprochait bien assez. Je m'approchais, me mettant au bout du lit, restant debout pour ne pas envahir son espace sans qu'il me l'autorise.
(Invité)