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(Malo) It's hard to see someone turn into a stranger

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It's hard to see someone turn into a stranger  ★ ─ w/ @Milo Novak

  Les soixante-douze heures de surveillance à l’hôpital sont terminée. Quatre pitoyables jours à te morfondre capturé entre quatre murs blancs dénudés de vie. Tu as trop réfléchis ces derniers temps, beaucoup trop réfléchi au point que tu t’es perdu en chemin. Tu t’es remémoré les derniers instants avant l’accident, ceux vécus à Hawaï, mais les pires se sont ceux qui ont fait en sorte de t’égrainer le coeur en plusieurs morceaux et broyé tes entrailles de l’intérieur. Aujourd’hui tu peux finalement sortir de l’hôpital. Les médecins t’ont donné ton congé, sachant que tu n’as qu’une bosse à l’arrière de la tête, la lèvre fendue et une blessure superficielle sur la joue droite, endroit où un morceau de verre s’est logé. Aucune complication ne s’est fait voir, ton médecin traitant était satisfait de ton état, même s’il a vu que quelque chose n’allait pas. Il t’a fortement conseillé de te faire suivre par un psychologue et trois fois par semaine, tu devras voir un physiothérapeute et ce pendant quelques semaines. N’ayant aucune envie de prendre un taxi, appeler ton chauffeur t’as plutôt décidé de marcher pour te rendre chez toi. Cela pourra te permettre de te revigorer l’esprit, d’entrer dans ta bulle et changer d’air que cet hôpital déprimant.

Alors, t’es là, sur le bord de la rue, les yeux dans le vide à te diriger vers tu ne sais où. Elisa est partie avec Jayson, Dante est disparu de la map, tu n’as pas envie d’aller voir tes frères ou ta sœur, puisque tu sais très bien qu’ils vont te prendre en pitié et tu ne pourras rien faire. La seule personne que tu aurais voulu voir, est indisponible. Indisponible de ton coeur, de ton corps… Mais il hante ton esprit. Trop présent, beaucoup trop et dire qu’il est en couple, que tout n’était que foutaise entre vous. Il a beau avoir dire que c’était compliqué avec la… chose, mais tu n’y crois pas.

Sortant du café, après avoir fait une petite escale pour t’acheter une bonne boisson chaude, tu continues ton chemin quelques mètres et en tournant le coin, tu entres dans une personne et tout ton café se répand autour de vous, mais surtout sur lui. « Oh je suis déso.. » commences-tu à dire d’une voix monotone en relevant la tête, mais lorsque tu t’aperçois qu’il s’agit de Milo, tu t’arrêtes. Ton coeur aussi d’ailleurs. Tu le regardes, sans le quitter des yeux. Une sueur inexpliquée s’empare de ton corps et t’as chaud, trop chaud. Après avoir dégluti, Tu détournes finalement le regard t’exprimant soudainement. « Non je ne m’excuse pas, pas à toi. Ça, ça s’appelle le Karma. » Cette fois-ci, ton visage se fait plus dure, ta voix colérique… Tu hausses les épaules et le contourne continuant à marcher. Qu'est-ce qui est arrivé pour que vous en soyez là?
   

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It's hard to see someone turn into a stranger  ★ ─ w/ @Mahé Rothschild


je devenais fou, complètement.
entre jayson qui partait en voyage avec une meuf qui ne m'aimait pas, choisissant le cul à son bro. super, on voit que la fraternité a encore des valeurs dans ce foutu pays. elvia qui sortait de sa chambre que pour prendre un truc à bouffer et s'y enfermer de nouveau et yennefer inconsolable qui passait moitié de temps à la maison dans sa chambre, et l'autre à l'hôpital.
à qui je pouvais parler de mes propres malheurs ? à personne. être là pour les autres, mais surtout faut pas que les autres le soit pour moi. des fois que ce soit trop en demander...
j'avais eu l'idée d'appeler jane, mais elle avait le droit à du répit. j'avais l'impression de toujours l'appeler pour me plaindre.
donc non, c'est bien seul. seul comme un con que je dois affronter ça. à relire dix fois le même sms où il écrit qu'il m'aime.
mais pourquoi il l'a pas dit avant, cet idiot ? pourquoi pas avant que je propose cette connerie de couple fake pour l'aider à sortir des coutumes anciennes des bonnes familles ?
pourquoi cet idiot se réveille après un accident de métro pour soudain se dire : wouh, j'aime milo.
foutaises, mensonges. erronés. erreurs.

je lance mon livre contre le mur en me levant furieusement. prenant ma veste et mes godasses, je quitte l'appartement pour marcher dans les rues fraiches de boston.
j'avais pris cette habitude quand je pétais un plomb. promettre de ne pas taper dans un mur, de ne rien casser. juste respirer. du mieux que je peux.
je ne pouvais rien dire pour maeve à part que j'étais en couple, me réjouir. faire semblant d'être heureux en ménage.
plusieurs fois j'ai eu envie de dire à mahé que c'était n'importe quoi, que maeve n'était qu'une amie que j'aidais... puis je me suis dit que de toute façon, notre relation ne partait que sur un souvenir erroné, faux.
fake.
alors pourquoi je mettrais en péril notre stratagème pour quelqu'un qui croit m'aimer sans vraiment le sentir ?
j'ai demandé du temps... et au fond, je sais qu'il ne me l'accordera plus. il se souviendra des moments d'hésitation. que j'étais ce mec à dépuceler du cul, c'est tout.

bifurcation.
tournant en grommelant dans un italien vulgaire. recevoir le café brulant d'un connard qui regarde pas où il marche. « stai attento, merda. » mais la voix est familière, peut-être même trop.
de ce son qui hantait drôlement les rêves et qui faisait naitre la chair de poule quand il était soufflé au creux de l'oreille.
je relève les yeux vers mahé, enlevant ma veste et tentant d'essuyer les goutes sur mes cuisses. « bah tiens, le karma. » que je dis en soufflant. « ah bah maintenant, tu fuis ? » que je dis en levant les bras me tournant vers le fuyant.
la rue pas vraiment déserte. « il est beau l'apollon qui déplacerait des montagnes pour moi, hein ? » la rage dans la gorge, le cœur battant d'un amour peut être un peu trop présent qui se noie dans la haine et le doute. « t'es un menteur, mahé. » et ça fuse. « UN LÂCHE, MAHE. » et t'es partout présent dans ma vie. « T'ES RIEN, MAHE. » si seulement tu pouvais savoir que tu étais tout au fond. que tu fais vibrer ma vie plus que le monde ne sera jamais capable de le faire.
je suis un idiot.


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It's hard to see someone turn into a stranger  ★ ─ w/ @Milo Novak

Tes yeux tombent sur Milo et t’es pas prêt à le voir. Oui, tu lui as dit que tu allais te battre pour le conquérir, l’avoir à toi parce que ce n’est pas du vent ce que tu lui a dit. Sauf que là toute suite, tu as besoin de digérer le fait qu’il soit en couple. T’as l’impression d’avoir tout perdu en ce moment. Tout depuis ce fucking accident. Rien en va désormais et tu ne sais pas comment réagir. Alors ouais, tu fuis. Si tu le pouvais, tu partirais à courir sans jamais te retourner. Sauf qu’il commence à te provoquer et te dire des choses qui te donne envie de vomir. T’es toujours de dos, mais t’as arrêté de marcher. Tu l’écoutes se servir de toi comme un punching bag et t’as mal. Ouais, t’a mal même si ça ne sortira jamais de ta belle gueule. Tu ne te contentes que de baisser la tête, regarder le sol comme si c’était la chose la plus belle que tu n’aies jamais vue. Et c’est là qu’il te met le couteau sous la gorge. Tu n’es rien Mahé. Coup de poignard en plein coeur. Après, il pense que tu vas te battre pour lui ? C’est beau la vie, non ?

Tu te retournes, mais n’arrive pas à prendre l’air colérique que tu voulais prendre. Non, là tu ressembles plus à un bébé meurtri et tu sais qu’il a déjà le dessus sur toi. Tout ce qu’il pourra faire c’est de t’enfoncer six pieds sous terre. Mais profite Milo, profite, puisque lorsque tu iras mieux, tout va changer. Tu retrouveras la maîtrise parfaite de toi-même. La confiance que tous te connaît. « Tu veux que j’fasse quoi ? » commences-tu, haussant les épaules. « T’es en couple, tu m’as demandé du temps, je suis un lâche et surtout… surtout je ne suis rien pour toi. » C’est bien ce qu’il a dit, non ? C’est tout ce que tu as compris. Et s’il y a autre chose à lire entre les lignes, tu n’es pas capable de les déchiffrer, t’as un de ces mal de crâne, tu ne t’attendais pas à te prendre la tête aujourd’hui, mais tu te rapproches de lui lentement, sans toutefois entrer dans sa bulle. « J’suis pas capable de faire semblant, j’peux pas dire que tout va bien, faire semblant d’être un bon ami, alors que tu... » Tu n’arrives même pas à parler, à tout lui dire ce que tu as sur le coeur et pourtant, tu devrais, ça te ferait du bien. « Tu sais Milo… Que tu ne ressentes pas ce que je ressens pour toi ça passe. Ça va écoute, ça arrive. Tu m’aimes pas ça fini là. » Ça fait mal de le dire à voix haute, mais ça, tu saurais l’accepter et vivre avec. « Sauf que savoir que tu as une copine, que t’as tout fait ça alors que j’étais indisposé, ça je le vis mal. » Tu essuies rageusement une larme qui coule le long de ta joue et fait tout pour reprendre contenance. Ce n’est pas vrai que Milo va te voir dans cet état. Oh que non, tu es déjà brisé, là tu dois remonter la pente. « Je suis prêt à tout pour toi, mais pas attendre pour me faire dire que tu tombes amoureux d’une fille qui ne t’apportera même pas le quart de tout ce que je pourrais t’apporter. » Et tu déglutis, parce qu’en fait, tu y arrives très bien à lui dire ce que tu penses et ce que tu ressens.
   

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It's hard to see someone turn into a stranger  ★ ─ w/ @Mahé Rothschild

j'étais persuadé qu'il partirait. qu'il jouerait vraiment les lâches jusqu'au bout, je le voyais déjà hausser les épaules, lever une main pour dire qu'il s'en fout.
qu'il s'en fout de tout, et de nous. et ça m'aurait été, ça me fait du bien de lui cracher mes immondices. de le croire assez peu sûr de nous pour qu'il insiste pas et qu'il finisse par ne pas se retourner. ça me va aussi qu'il s'en aille.
ça donne un côté inachevé, mais ça fait du bien de crier dans la rue. ça fait du bien que les regards se portent sur moi puis sur lui, comme s'ils assistaient à un super spectacle de rue.
je pue le café, j'ai mal au cœur et toi tu t'en vas sans une excuse. ouais, elle est belle la vie, mahé. elle est tout ce que l'on attend d'elle : une salope.
comme tes mots, comme ton attitude... moi avec. on est des connards, parce qu'on ne se comprend pas. et j'ai pas envie de comprendre.
en vrai, je peux pas. je peux pas parce que si je devais comprendre, je devrais te dire des vérités. celles que je me suis promis de ne pas dire, celles que j'ai pas envie de dire pour pas finir dans ton état.
parce que t'as beau faire le dépressif en colère... t'es pas complètement sûr de toi et ta fuite le prouve.

mais je suis étonné qu'il se retourne. étonné qu'il finisse par dire quelque chose, même s'il s'est arrêté auparavant, j'ai pensé qu'il reprendrait son chemin.
comme un con, j'ai pensé que pour une fois tu la fermerais. mon cœur bat bien trop vite pour que j'arrive à respirer normalement, l'air est lourd, j'ai chaud et froid en même temps et j'arrive pas à détacher mon regard du sien. cette peine dans le regard me brise le cœur, mais je sais que c'est du à des choses erronées, ça l'est. c'est obligé.
il n'avait pas ces sentiments là avant, pourquoi ça changerait ? est-ce que le fait d'avoir frôlé les doigts de la mort, ça donne un coup de pouce au subconscient alors que lové dans les drapés de la faucheuse il s'est rendu compte que la lumière au bout du tunnel portait finalement mon nom ?
c'est dans les films, ça.
je me pince les lèvres quand il résume ma colère. j'ai parlé plus vite que je ne pensais... la haine et le besoin de blesser pour qu'il ploie genou. qu'il arrête de faire le mec fou amoureux... parce que c'est pas vrai.
et pourquoi je cherche tant à ce que ce soit faux, finalement ?

j'écoute sans vraiment écouter. je fronce les sourcils chaque fois qu'il l'ouvre. chaque fois qu'il assène une connerie supplémentaire.
maeve n'était pas la femme de ma vie. maeve n'était pas amoureuse, je ne l'étais pas non plus. et je ne comptais pas tomber dans ce rôle de parfait petit-ami qui finit marié à la bonne copine qu'il finit par aimer.
non. ça marche pas comme ça.
je me mords les lèvres.
puis j'avance d'un pas. un second, un troisième. je réduis la distance nous séparant. j'enfonce les dents dans la lèvre, ça fait mal mais c'est rien comparé à ces doutes qui commencent à m'étriquer le cœur.
je laisse tomber ma veste sur le sol, j'avance encore jusqu'à être à portée de main. tendant finalement cette derrière jusqu'à son épaule. finissant par accompagner la première de la seconde sur la seconde épaule.
et je pousse, de rage, je le repousse d'un pas. je recommence, en soufflant. je cogne.
si je pouvais lui mettre une patate, je le ferais. « t'es un con. t'es qu'un con, mahé. » et je pousse encore, rien à foutre si on finit par lever les poings.
je retiens furieusement mes larmes, car on ne pleure pas chez nous. c'est pour les faibles, même si je considère les larmes de mahé comme un magnifique cadeau.
poussant finalement plus violemment, lui faisant heurter une grille. le souffle court, les larmes aux yeux, posant les doigts sur une barre de la grille près de lui, je finis par avouer. « je t'aime. »


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Je décharge tout ce à quoi j’ai réfléchi depuis mon réveil. Tout ce que j’ai pu ressentir avec tout ce qu’il m’a dit. Ça fait mal, ça me met dans tous mes états, mais ça ne change pas ce que je peux ressentir pour toi. Pour vrai, je ne sais pas ce qui s’est passé. Est-ce la distance qui m’a ouvert les yeux ? Est-ce que c’est l’accident ? Ou le fait d’avoir entendu ta voix dans la chambre d’hôpital avec mes frères et sœurs alors que j’étais encore endormi ? Je n’en sais rien, mais j’y ai vraiment cru qu’on était en couple, qu’on était heureux. Je ne m’attendais pas à que tout s’envole avec une simple parole. Tout comme je ne m’attendais pas à te voir sur mon chemin aujourd’hui. J’aurais plutôt cru que tu étais avec la catin qui m’a remplacé dans le groupe ou encore en train de veiller sur ta sœur ou même avec la chose qui te sert de petite amie…
Jalousie quand tu nous tiens par les couilles.
Sauf qu’au bout d’un moment, je vois très bien les traits de ton visage changer. Tu deviens, furieux. Je ne bronche pas pour autant, je te laisse exprimer ce que tu ressens, puisque visiblement c’est ce dont nous avons besoin tous les deux. Toutes les mimiques qui traverse ton beau visage m’encourage à te dire tout ce qui me passe dans la tête, jusqu’à avouer que je ne veux pas attendre que tu me dises être amoureux de… je ne sais toujours pas qui elle est et je ne veux pas le savoir.
Ce n’est que lorsque tu mords ta lèvre inférieure que je commence à perdre mes moyens, je la fixe, ne m’apercevant aucunement que tu es en train d’avancer vers moi, beaucoup trop dangereusement. Et c’est peut-être mieux ainsi puisque je me serais peut-être imaginé autre chose que ce qui est en train de se passer.
Le sol de ta veste sur le sol me faire revenir à la réalité, et je me réveille, juste avant que tu commences à me pousser. Et une nouvelle fois, encore et encore avec rage. Je ne fais rien, je ne dis rien puisque c’est que comme ça que je me sens vivant. Tu t’occupes de moi alors j’ai toute ton attention.
J’ai mal, j’ai très mal à la tête et je me fiche des recommandations du médecin qui me demande de rester calme les prochains jours pour donner une chance à ma tête. Que j’ai subi un lourd traumatisme et que je pourrais refaire une deuxième commotion. Les yeux fermés, je me laisse faire, mon corps boude d’avant vers l’arrière jusqu’à ce que je réussisse à déposer mes mains sur les siennes. Il me dit que je suis con. Ça je le sais, je suis un pauvre con de m’être attaché à toi plus que de raison.
Et le coup de grâce, ma tête ainsi que mon corps heurtent la grille derrière moi et je ne peux retenir mes larmes de couler, même si je le pouvais, je n’en ai pas la force. J’ai mal un peu partout et j’ai la tête lourde.
Mes yeux s’ouvrent finalement et je devais sans doute avoir le regard vide jusqu’à ce que j’entends ces trois mots. Les trois mots que j’aurais tant aimé que tu me dises il y a quelques jours.
Ces simples mots m’aident à revivre, à me sentir bien et faire naître un petit sourire sur le coin de mes lèvres. « Je.. » Et voilà, j’aimerais tant te le dire aussi, te l’avoue à mon tour, mais je n’y arrive pas. Je te l’ai dit que ça allait venir seul, que je ne devais pas me forcer.
Et il y a toujours cette pensée de petite-amie qui m’empêche de dire ou faire quoi que ce soit et ce mal de tête qui ne me laisse pas tranquille. « J’te déteste tellement d’me faire subir ça. Ton putain d’couple détruit tout. » et comme si mes paroles n’avaient aucun sens, mes lèvres happent les tiennes. Je m’accroche à toi comme si ma vie en dépendait, comme si tu étais la bouée qui me retenait à la surface. Je t’embrasse avec passion avant de reculer et te dire : « C’est tout ce que j’avais besoin pour attendre, pour me battre pour toi. Mais ne me laisse pas tomber. » Pas là, ni maintenant, ni demain, jamais en fait.

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je ne pouvais pas le lui reprocher.
mon couple avec maeve était mal tombé. à quelques jours près, nous pouvions éviter le pire pour vivre cette idylle. si seulement, c'était vrai.
si seulement, il le ressentait vraiment. comme si tout mon corps était irrémédiablement attiré par lui mais que mon esprit occultait cette possibilité. baignant dans les désespoir en ne pouvant croire à la lueur d'espoir qui se dessinait à l'horizon.
je voulais tout laisser tomber. si j'écoutais mon cœur, j'abandonnerai tout. maeve, mes principes... si j'étais le parfait connard qu'on aime dépeindre, je prendrais plaisir à le faire mien tout de suite.
mais je ne peux pas me libérer de ces doutes... et parole donnée n'est jamais reprise. j'honorerai mon couple auprès des parents de maeve, quitte à le blesser.
quitte à nous détruire davantage... à le perdre. à me perdre.
à s'écraser sur le sol.
je serre ma main contre la grille, en colère toujours. brisé quelque part, aussi. ne pas recevoir les aveux en face et de n'avoir pu que les lire alors que je m'offre à lui, c'est mettre à mal cet orgueil déjà trop présent.
« je sais. » les dents serrés, siffler comme si le poison venait de moi et non de lui. de cette vérité détestable.
mais s'il n'avait pas jouer sur plusieurs tableaux, je saurai que je peux tout dire. tout avouer... tout donner.
parce qu'au fond de moi, mahé a toujours fait résonner cet amour qu'on ne trouve pas partout. cette flamme allumée chaque fois qu'il écrit, qu'il parle, qu'il est dans une pièce.
cette lueur de passion qui nous traverse quand nos regards se croisent et que nos sourires sont un écho au désir qui nous consume...

de toute façon, qu'est-ce qu'on peut dire d'autre ?
on se déteste autant qu'on s'aime. on se fait du mal autant que de bien. le destin nous a fait nous recroiser, par hasard. de ce café brulant et de nos paroles acerbes. quelle conclusion tirer de tout ça ?
partir, sans doute. c'est ce qui serait le mieux. mais ses lèvres viennent prendre les miennes et je crois que je perds le nord.
en fait, tout mon esprit est complètement fucked up. je ne sais plus sur quel pied dansé, ma main lâchant instinctivement la barre de la grille pour se poser sur la joue de mahé, respirant un nouvel air.
ce baiser résolvant un puzzle emmêlé de mon esprit. gardant ses lèvres contre les miennes pour qu'il ne m'échappe plus.
un bref instant oublier la merde dans laquelle on vit, de ces souvenirs oubliés qui me l'ont finalement ramené à ce faux couple qui l'en éloigne.
à croire qu'on se joue de nous. « je ne te laisserai pas tomber, mahé. » que je chuchote doucement en posant mon front contre le sien. « je te laisserai plus. » scellant une nouvelle fois ses lèvres aux miennes avant de reculer pour le regarder, essuyant ses larmes et me dégageant pour récupérer ma veste. « je te ramène. » faisant un signe de la tête pour qu'il se déloge de là où je l'ai acculé, tendant la main fébrilement.
persuadé de faire une erreur, mais qui au fond m'importe peu. je le voulais lui, et personne d'autre.
au temps nous dirons que nous l'attendions, et je pourrai honorer mes promesses en ayant la chance de pouvoir le garder près de moi.
est-ce encore un choix égoïste ? sûrement.


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Mal de crâne, vue embrouillée. Ce baiser n’aide en rien mon étourdissement. Ça ne va pas, vraiment pas et ce pour plusieurs raisons, mais je fais mine que tout est parfait. Que je ne suis pas essoufflé, que je ne vois pas des étoiles défiler devant mes yeux. Que si je me dégage de cette grille, que je risque de m’effondrer. Parce qu’en fais, mes jambes tremblent, tout comme mon corps entier. Mais je me tiens contre toi, je profite de ce petit instant que je crois te voler, voler à ta copine. Je n’ai pas le droit de t’embrasser de cette façon, pas après savoir que tu n’es pas libre, mais ô combien je m’en bats les couilles. Il faut dire que je prends tout ce que tu veux me donner, quitte à avoir mal plus tard, quitte à te faire mal ou faire mal à cette fille qui a la chance de partager ta vie. Et dire que ça pourrait être moi. Mon thérapeute peu bien dire que tout ira bien, que tu se réglera je n’ai pas l’impression que c’est vrai. Mais je profite, profite de ce baiser, profite de toi, profite de ces mots que tu me dis qui sonne en moi comme une promesse. Est-ce que je dois te croire ? Est-ce que j’ai le droit seulement ? Droit d’espérer que tu finiras par me choisir moi ? Que tu me préféreras moi à elle ? Que l’on pourrait vivre quelque chose de beau ensemble ? Construire un avenir ? Suis-je réaliste ? Est-ce que j’en demande trop ? « Ne me ment pas, pas maintenant, ni jamais. » je ferme les yeux quelques secondes, sentant ton front contre le mien, tout juste avant de connaître une nouvelle fois le goût de tes lèvres. Et une fois de plus je profite, puisque j’ai la sensation que c’est l’une des dernières fois avant un long moment, si ce n’est pas le début de la fin. Je regarde ta main, avant de l’attraper et fait un pas vers l’avant, mais je perds l’équilibre. Me dégageant, attrapant ma tête entre mes deux mains. « Donnes-moi… une minute. » demandai-je d’une petite voix, de cette voix qui montre que ça ne va pas, malgré tout ce que je peux faire pour te montrer le contraire. Je prends de grandes respirations, plusieurs et fini par retrouver la maîtrise de mon corps, de ma tête. « Ça va, tout va bien. » Te dis-je attrapant finalement cette main pour la ternir fortement. Je commence à marcher et tout va bien. Plus de peur que de mal. « Tu vas la retrouver ? » demandai-je malgré tout, fébrilement. Pourquoi est-ce que je te demande ça ? Je me fais plus de mal qu’autre chose. « Non en fait je ne veux pas savoir. » Je soupire et lâche ta main, trouvant tout ça trop pesant, trop tout. « Je n’abandonnerai pas. J’ai juste besoin de digérer l’information, de me dire que tout est encore possible et de croire en moi, en toi, en nous. » Je ne sais pas si tu sais ce que tu me demandes. Je sais que c’est moi qui t’aies dit tout faire pour te montrer que je tiens réellement à toi et je compte tenir ma promesse, mais il faut aussi comprendre que c’est la première fois pour moi que j’aime quelqu’un réellement. La première fois que je vais me battre pour quelqu’un et surtout que j’attendrai patiemment que tu sois à moi. « Milo, crois-tu vraiment que ça pourra fonctionner ? Qu’on ne va pas se perdre en chemin, qu’on… que je ne m’apprête pas à tout faire ça pour rien ? Dis-moi la vérité. » Oui, j’ai besoin que tu me rassures, que tu me dises que tout ira bien, que tu m’aimeras malgré tout. Parce que je ne sais pas si tu te rends compte de tout ce que je mets de côté pour toi. Toutes mes aventures, ma façon de me comporter avec les autres. Et j’ai peur de faire une connerie, de perdre le nord, puisque finalement ta tête est ailleurs. Mais si tous les doutes se dissipe, je sais que j'arriverai à tenir bon. À attendre que tu me reviennes, que tu sois à moi. Au diable les coucheries. Au diable les relations sans lendemain. Je pourrai vivre en espérant que toi et moi ne formons plus qu'un dans un futur proche, je l'espère. Que m’as-tu fait Milo? Pourquoi suis-je si insécure, tout d’un coup?
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tendant la main vers lui, je soupire quand sa paume entre en contact avec la mienne. comme si ce simple geste pouvait chasser tous nos démons. qu'on puisse finalement être un nous sans fioriture et sans les merdes qui gravitent autour de nous.
mais quand il la retire violemment pour se tenir la tête, ça me ramène soudainement sur une terre bien trop réelle.
violenter mahé, c'était s'en prendre à quelqu'un qui sortait à peine de l'hôpital et qui baignait en plein dans la convalescence. j'ai été un abruti de lui taper dessus alors qu'il avait surement la tête qui résonnait des supplices qui le blessait bien plus que les promesses qu'il voulait tenir de mes doutes qui trahissait la peur. j'étais son pilier, du moins j'allais l'être... je me sens désolé, et en même temps il fallait que ça sorte... il fallait que ce soit exprimé.
mahé avait ce passif de couche-toi-là, de cet homme volage qui voulait faire preuve d'amour, j'avais fini par abandonner la chance qu'on soit un couple.
m'offrant aux services de maeve pour lui servir de couverture et de porte de sortie. oublier mes propres peines de cœur pour me montrer en spectacle avec une princesse. donner mon nom à des journaux people qui se feraient un plaisir d'analyser le moindre de nos gestes.
si c'était encore frais, je ne pourrai bientôt plus jouer de la sorte avec mahé dans la rue.
il était temps pour moi d'être honnête.
alors qu'il reprend un souffle que je n'ai plus. je me rends compte que la peur qui gronde en moi, gronde surtout en lui.
sa main qui glisse une nouvelle fois dans la mienne me met les larmes aux yeux, fait battre mon cœur plus que de raison.
si seulement je pouvais crier au monde que je t'aime toi plus que tout le monde. je le ferai.
si je n'avais pas donner ma parole, si je n'étais pas si loyal... je te montrerai que nos doutes sont ridicules face à l'amour.
et quand il parle de maeve, ça me ramène à nouveau sur terre. je le regarde en fronçant les sourcils alors qu'il me vole encore le plaisir de l'avoir entre mes mains.
encore une fois, il parle seul. se persuadant du juste, de l'erreur.
en soi, je ne peux pas le lui reprocher. je ne peux pas lui dire qu'il doit me faire confiance, si moi même je doute de lui... et de sa tête.
je m'arrête finalement pour réfléchir, je fixe un point invisible devant moi, dérangeant la foule qui va et vient sur le trottoir. et je secoue doucement la tête. « non, je ne sais pas si ça fonctionnera. je ne sais pas si on se perdra, si on fait le bon choix... » je hausse les épaules, me tourne vers lui pour y planter mon regard dans le sien si bleu. si parfait. « ma seule certitude c'est que je t'aime suffisamment pour prendre tous ces risques. »
risquer mon amitié avec maeve, risquer d'être grillé... risquer de pleurer, d'avoir mal. juste pour qu'on s'aime toi et moi. « et je ne vais pas la retrouver, je me baladais seulement. » tirant sur mon tshirt qui pue toujours le café. « qui me dit que toi, mahé, tu ne finirais pas par te rendre compte que finalement... ce n'est pas moi ? »
qu'est-ce qui demain me donne la certitude que c'est moi et pas une autre ? que c'est moi le seul homme qui finira par avoir la main mise sur ton cœur ?
pourquoi te dire que tu es l'amour de ma vie si j'ignore combien tu m'aimes ?
te savoir prêt à te battre me fait du bien... et j'aimerais te dire que tu es déjà vainqueur d'un combat qui n'était finalement pas le tien.


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Comment faire pour patienter, pour te donner le temps que tu m’as demandé. Je n’y arrive pas, c’est trop douloureux. Presque autant que ces bourrasques dans mon crâne depuis tout à l’heure. Je n’arrive tout simplement pas à croire que tu es en couple, que c’est une autre personne qui a droit à tes lèvres sur les siennes. Une autre personne qui peut se pavaner fièrement à ton bras et raconter à qui veut l’entendre comment tu es parfait. Comment elle peut t’aimer.
Pourquoi est-ce que je ne fuis pas lorsque tu me dis m’aimer moi ? Et elle dans tout ça ? Ça te plaît de jouer sur deux tableaux ? Ça te plaît de faire croire des choses à cette pauvre gamine qui ne demande que vivre ou même à moi. Puisque est-ce seulement vrai tout ce que tu me racontes.
Yeux dans les yeux, je t’écoute parler, mais j’ai envie de te mordre, de te frapper, te mutiler. J’ai envie de te faire mal autant que tu es en train de me poignarder le coeur avec tes paroles. Je te perds, je te dis peut-être que je suis prêt à me battre et te montrer que je suis l’homme à aimer. Cependant voir tes doutes voiler ton si beau visage me donne le tournis. Tu n’es pas certain de ton couple, tu n’es pas certain de toi et encore moins de mois. Qu’est-ce que je fais encore devant toi ? N’importe quelle personne censée aurait commencé à courir et fuir ce triangle amoureux qui ne finira certainement pas bien. Ni pour lui, ni pour moi. Mais non, je reste là comme un con à soupirer de désespoir.
« C'est simple. Parce que c’est toi. C’est toujours toi et ça le restera. » Je hausse les épaules avant de soupirer d’une façon lasse et fortement, gardant le plus possible mon calme, malgré le fait que la haine, la colère monte à une vitesse fulgurante en moi. « Je le sais et c’est tout. Je le sais depuis Hawaï, je l’ai même su lorsque j’étais endormie, dans ce lit d'hôpital entouré de vous tous. » Tu peux bien croire que ma mémoire me joue des tours, mais jamais au grand jamais je ne pourrai oublier que c’est toi qui me fais connaître ce qu’est l’amour pour la première fois de ma vie.
Soupirant je passe une main nerveuse sur ma nuque et dégluti. « T’es conscient au moins que c’est difficile ce que tu me demandes ? Qu’est-ce que tu ferais toi, si les rôles étaient inversés ? Est-ce que tenterait par tous les coups de gagner mon coeur et mon corps ou tu laisserais couler et attendrait que quelque chose se passe. Dans l’incertitude ? » Je relève les yeux vers le ciel quelques instants. Est-ce pour me recueillir vers quelque chose qui n’existe pas ? Est-ce pour faire en sorte de ne pas laisser couler mes larmes ? Je n’en sais rien et j’en ai foutrement rien à foutre pour le coup. « Penses-y et répond moi franchement. » Dis-je te regardant de nouveau, avant de recommencer à marcher vers la direction de mon appartement. Appartement que j’ai hâte de retrouver pour prendre une bonne et longue douche chaude. Laisser les jets chauds apaiser toute la souffrance que je peux ressentir en ce moment.
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It's hard to see someone turn into a stranger  ★ ─ w/ @Mahé Rothschild


pourquoi tout n'est dit que maintenant ? pourquoi attendre ce moment précis où je décide de faire une folie ? persuadé que personne ne s'intéressera à moi. où les regards seraient rivés vers d'autres personnes me laissant prendre le rôle d'amant pour les photos, et m'enfermer petit à petit dans le travail.
oublier les douleurs, les maux du monde en prenant soin de ma sœur et de yennefer. me battre pour elles et me laisser couler doucement dans la solitude, là où tu avais fini par me laisser quand tu es parti. laissant les draps froissés et gelés, des taches de nos nuits agitées. moi qui n'étais, jusque là, qu'un passage dans une vie.
un homme de plus, et pourtant le premier qui le marquait et le premier qui m'avait fait sentir pucelle. c'était atroce de dire ça comme ça... et pourtant, j'y trouvais un désir et une complaisance certaine.
de ton corps bien plus musculeux que le mien, j'étais protégé dans tes bras. et je voulais que tu comprennes que je souffrais, mais t'as laissé ton odeur sur les draps et j'aurais tout donné pour être dans tes bras. encore.
et j'ai tenté de te haïr, de te penser faux... de croire que tu me manipulais comme cette réputation qui te précédait. un pion parmi les autres... de ces vacances improvisées, te servir de moi.
et pourtant, je t'ai pardonné le mal qui grondait en moi. de voir tes regards échangés avec neyla, j'avais fini par m’éclipser, me taire... et n'être que l'amant de tes nuits. d'écouter élisa piailler quand nous étions ensemble mais quand jayson l'éloignait enfin, j'avais cette foutue impression de respirer. de t'aimer.
et je ne voulais plus y croire.
je voulais seulement t'oublier. toi, ton odeur, tes yeux, ton corps... tout.
alors tes mots qui dansent comme des promesses et de l'amour, avoué seulement après avoir eu des maux de tête et des souvenirs brisés, je me demande toujours si t'es réellement sincère avec moi.
car cette douleur au fond de mon bide, je te l'avouerai jamais, comme la crainte qui ne quittera jamais vraiment mon cœur qu'un jour tu te dises que j'étais que ça finalement... un mec de passage.
qu'on brise facilement. parce que si j'avais pris l'habitude de me protéger en gardant une distance désagréable avec les gens, j'arrivais à me décoller de toi.
te téléphonant régulièrement après ton départ... et même maintenant. j'aurais pu simplement passer mon chemin mais... dès que ta voix a résonné, j'ai su.
que c'était fini pour mon cœur. et pourtant notre entourage tente de nous raisonner... ils disent qu'il est temps de se retrouver.
mais la distance est quand même bien présente, portant le nom de maeve. et je suis désolé.
depuis hawaï, hein ? je soupire. faisant part de mes doutes en silence en me pinçant les lèvres, les sourcils froncés par cette concentration qui me caractérise souvent. cette même tête que je fais quand un problème mathématique me pose une colle. et je me retrouvais coincé dans l'équation. et j'avais peur, mahé. « je suis lâche, moi, mahé. » et je l'ai toujours été. « j'avais déjà abandonné le combat. »
reprenant la marche, avançant sans oser le regarder, la colère qui refaisait surface. mais je tais la jalousie. enlevant finalement mon tshirt pour me retrouver torse nu dans la rue, avant de mettre ma veste sur les épaules et de jeter mon tshirt dans la poubelle qu'on croise. je m'essuie le visage avec une main avant de fermer la veste pour ne pas attraper froid. « je n'accepterais pas le quart de ce que tu acceptes. » ni n'aurais attendu.
ni me serais battu... pour quelqu'un d'autre que toi. « mais si tu m'avais donné l'espoir, je me serais peut être raisonné. j'aurais tenté de comprendre... t'aimant autant que je te détesterais. »
voyant les bâtiments se dessiner, la résidence de mahé, je marque un arrêt. « je suis désolé... mais crois-le. ce que j'ai là. » montrant mon cœur du doigt. « c'est pour toi, mahé. » le désignant finalement du doigt, alors que je tourne les talons.
cette sortie n'aura rien apporté plus que du mal et plus d'interrogations.


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