Je suis né le quatre Août 1983 à Paris qu'elle ville me direz-vous, et bien il est vrai que Paris n'est pas vraiment une ville à pardonner quelques choses, elle ne pardonne surtout pas à un bébé bien né tout comme moi, issus d'une grande famille richissime. Comme beaucoup d'enfant dans mon cas , je fus élevé par des bonnes , très peu pars mes parents , les seuls moment que je pouvais espéré être avec eux , c'était lors du dîner et encore , il n'y avait la plus pars du temps que ma mère qui me regardé en pleurant toutes les larmes de son corps , sûrement à cause de mon père un homme d'affaire ayant des dizaines de milliers d'usines dans le monde entier, son caractère je pourrais le décrire en deux mots , violent et très colérique. Cet homme-là était d’une autorité folle et il ne laissait rien passer, c’était un véritable bourreau pour ma mère et moi. Il battait ma mère et par la même occasion moi, j’étais son jouet son punching ball . Dans mon plus jeune âge je ne pouvais rien faire à pars supporter sans rien dire et obéir aux ordres absurde de celui-ci. Même voir ma meilleure amie de l’époque Elizabeth il ne le supporté pas, et pourtant, elle était issus du même milieu que moi. J’ai toujours été là pour elle, souvent désobéissant les ordres de mon « bourreau » pour aller la voir en cachette. C'est vers l'âge de douze ans que j'ai vraiment commencé à me révolter, contre cet homme dénué de sentiments, pour moi il ne ressentait rien pour moi, n’y pour ma mère et cela ne pouvait plus continuer comme cela.
C'était mal choisie de ma par car il savait très bien comment m’atteindre, autre que me battre moi, il allait encore plus battre ma mère celle que j'aimais le plus au monde à cette époque, celle qui m'avais donné la vie, celle qui me réconforter quand j'étais au plus mal. Pars moment j'avais vraiment envie de le tuer et d'en finir y une bonne fois pour toute, en avoir fini avec cette horreur, mais que ferrions nous après ? J'en avais plus qu'assez de voir ma mère payer pour moi et j’essayais tant bien que mal de le supporter à ma manière. Ma mère me disait souvent de ne pas m'en faire, que bientôt cela allé passer et qu’il ne fallait pas que je m'en fasse, mais je savais bien que tout cela n’était que des mensonges et que elle-même n’y croyait pas réellement. Je paraissais fort, plus fort que les garçons de douze ans mais en réalité j'étais mort de peur, de vivre tout ça. Je pleurais presque tous les soirs, et j'en avais assez. J'avais plusieurs fois proposé à ma mère de partir loin et de ne plus jamais à avoir enduré ça, mais à chaque fois elle refusait en me disant qu'elle n'avait rien, et qu'elle devait tout à mon père. Pour moi, il n'était plus mon père, ce mot avait complètement disparu de ma tête, et cela fessait bien des années que je ne l'avais plus prononcé. L'homme qui se prenait pour mon père malgré ces nombreux défaut me laissé sortir comme bon me semblais, enfin, car au fond de lui je savais qu’il en avait assez de moi, il voulait surement se débarrasse de moi dans un sens. C’est à ce moment-là que moi et Elizabeth alors que nous avions quinze ans tous les deux que nous finement par sortir ensemble, pour moi elle était la femme parfaite en quelque sorte car auparavant je n’en avais jamais connu d’autre, à cause de ma vie personnel trop dure. Nous étions inséparables, bien trop même à mon gout et je finis par la tromper avec une autre femme alors que nous avions tous les deux bientôt dix-sept ans. Elizabeth voulant me faire une surprise vu toute la scène. C’est juste après que nous avons rompu tous les deux. Nous n’avons jamais réellement coupé les ponts tous les deux mais malheureusement ce n’était plus pareil entre nous. C’est aussi à cette époque que je finis par aimer autant les femmes, et bientôt on me fit une belle réputation de véritable coureur de jupons.
J'ai toujours était extrêmement bon dans mes études , je ne sais même pas à vrai dire si c'était mon réel talent , ou la grande influence de mon père qui me permettais d'avoir de très bonne notes et de plus intégrer un merveilleuse école privée, pour les grosses fortune. Car à vrai dire, le seul véritable plaisir étant jeune que j’avais était tout simplement me plonger dans les bouquins. Les tensions de notre famille commencées à s’apaiser sans pour autant disparaître. Mon père voulais toujours que je réussisse plus encore plus il ne fallait pas rêver son autorité permanente n’avait surement pas disparu, mais étant plus vieux, ce n’était plus pareil. J’avais un rêve celui de devenir chirurgien encore tout nouveau pour le moment mais avec lui il pouvait tout simplement disparaitre le mot « chirurgien » pour lui n’existait pas, mais je n'abonnais pas pour autant, car reprendre l'affaire familiale très peu pour moi.
C'est à mes dix-huit ans que mon père accepta ma proposition que je parte seul en Amérique, pour mes études, bien sûr, c'est à Harvard qu'il m’inscrit, la bas je pourrais changer de vie oublier l'enfer que j'avais connus, je ne voulais pas revivre ce cauchemar qui était pourtant encré dans ma tête à jamais et qui avait au fil du temps transformé mon comportement en me rendant moi-même plus agressif avec les autres. Je me suis très vite habitué à Cambridge pour poursuivre mes études de médecine, j’ai ensuite intégré le groupe des Wintrop ou aujourd’hui je suis très populaire entre nous tout le monde se connait. J’ai découvert aussi il y a peu que j’avais un demi-frère, Romane, un Winthrop lui aussi (de plus il est devenu notre président il y a peu), nous avons beaucoup en commun, le lien du sang, notre caractère. Il compte beaucoup pour moi. Ma vie ici n’a plus rien à voir avec ma vie d’avant et j’en suis heureux, bien sûr je prends toujours des nouvelles de mes parents et surtout de ma mère. D’ailleurs je lui ai d’ailleurs envoyé récemment une merveilleuse nouvelle, car aujourd’hui j’ai beaucoup évolué. Et oui on peut dire que le coureur de jupons d’autrefois et bel et bien envolé, j’ai rencontré il y a de cela plusieurs moi, une magnifique jeune femme du nom de Keyla Hepburn qui bientôt deviendra officiellement ma femme, madame Parker. Est-ce que ça me fait peur ? Non car je sais que c’est elle, la femme de ma vie, je l’aime plus que tout, et malgré les mauvaises passes non nous s’en sortirons quand même. C’est après notre longue séparation d’un mois alors que je l’avais trompé avec sa meilleure amie Briony que Keyla avait décidé qu’il fallait mieux que l’on se sépare pour le bien de nous deux. C’est à ce moment-là que j’avais bien pris conscience que je ne pouvais pas vivre sans elle, car je n’étais plus rien loin d’elle. C’est il y a quelques semaines de cela, que je l’ai enfin demandé en mariage. Et ça réponse a été « OUI » Peut être que plus tard ce sera les enfants ? De magnifique bébés, autant dire que ce seront de véritable dieux.