AZRAEL S. STRAUSS ► Perrie Edwards

Née a Winchester sous le doux prénom de "Azrael", fille unique union entre un magnat et d’une ex mannequin devenue gérante d’un club de Jazz. Az est le fruit de l’adultère de son paternel, cet homme était déjà marié avec des enfants qu’il a toujours privilégié. Pourtant tu n’as jamais manqué de rien sauf peut-être d’un peu de gratitude. ♤ D’ailleurs, dans l’objectif de parfaire ton éducation, et surtout pour cacher la vérité aux yeux de tous, tes parents ont envisagé t’envoyer poursuivre ta scolarité dans un internat avant de se raviser : pauvre Daddy qui ne veut pas voir sa fille trop loin mais pas trop près non plus. Sale égoïste ouais. ♤ Tu a toujours pensé que ton «  père » était ton oncle, traînait souvent avec Ayma & Cléo ayant même le rôle de protectrice et confidente. Lorsque tu a découvert le terrible secret de ton père, Az a été heureuse de le savoir et un dimanche par semaine vous vous rendiez dans le plus grand secret dans votre havre de paix. Un endroit rien qu’à vous. Il était de ceux qui pensaient que l’absence pouvait être palliée par tout genre de cadeaux, c’était sûrement la raison pour laquelle tu était gâtée dans le plus grand secret. ♤ Au lycée; pendant ta préface a l’adolescence ce ne fut pas un cadeau. Un cauchemar qui se répétait inlassablement chaque matin. Tu quittais péniblement les bras de Morphée, avalait un truc en vitesse et te dirigeais tout droit vers  « l’abattoir »; tête d’enterrement, visage enfoui derrière une masse indomptable de cheveux, casque vissé sur les oreilles; te laissais bercer par la voix du chanteur des Red Hot Chili Peppers. Très tôt, on a décelé un changement dans ton comportement : un trouble de la personnalité apparente. Un trouble mental. Tendance à se couper du monde, ne comprend pas les gens qui t’entourent. Le monde environnant te paraît inintéressant et difficile. Très agressive dans tes paroles, refus tout contact gestuel, a du mal à tout comprendre. ♤Suite a de nombreuses crises durant l’adolescence, tu a passé des examens qui ont démontrer ta bipolarité, ta mère t’a même obliger à avaler ces pilules sans succès.
♤ un fossé s’est forgé après la mort de ton paternel, Az a eu le cœur brisé totalement, tout ton être s’en est allé avec lui. Lors de la lecture testamentaire, Ayma a été désigner comme mandataire et elles ont eu la surprise de voir le nom d’un autre enfant : Az. Elles te connaissent sous le nom de Sio le dimunitif de ton deuxième prénom. ♤ ta mère te bassine avec ces foutus principe et rend parfaite «  il faut que tu travaille dur pour récupérer ce qui est a toi, si tu veux concrétiser tes rêves, il est temps de revendiquer ton nom, tu a conscience de ça ? » Mais Az n'avait pas de conscience. Et, lorsque ta mère te parlait de cette façon, tu fermais la porte de ta chambre à clé, mettait la musique a fond et avait des réactions étranges, tu te dirigeais vers ta penderie et mettait le bordel. Encore. Encore. Encore. Elle ne comprend rien ta mère. Et puis, y a un mec Lucifer qui était un peu tout pour toi. C’était ton mec après tout. La seule personne capable de te comprendre. Un gosse un peu plus âgé, dont les yeux profonds et une grande gueule t’avaient attirée. C’est comme une putain d’œuvre d’art. Durant quelques mois c’est le rêve absolu jusqu’à ce qu’il se barre de ta vie, un choc terrible pour ton cœur qui désormais devient glace. ♤ Tu ne supportes pas que ta sœur soit la grande patronne, surtout que là plus âgée c’est toi, ok il n’y a que quelques mois qui vous sépare et tu ne possède a peine 2% ce qui est trop peu pour toi. ♤ Tu as vite voulue te faire une place dans ce monde. Depuis toute petite, tu est en admiration devant le travail de ton père. Tu as toujours dit que tu voulais une place auprès de lui. Main dans la main. Alors, il t’a appris les ficelles du métier pour qu’un jour tu reprenne le flambeau, tu t’est vite aperçu que c’était de la poudre aux yeux. Pourtant, tu a créé un département a ton effigie « pêche d’enfer » c’est ton bébé. Certes, tu as encore des choses à apprendre, mais ton père sera te les inculqué. Mais oups Daddy partit trop tôt pour te voir exceller dans ton domaine et tu trouve cela injuste. ♤ Tu enchaîne les dérives après ça, avec ta maladie, le décès de ton père et ton mec qui te laisse tomber sans raison il était temps pour toi de te faire aider. Un psy ? Comme si ça pouvait aider. On te bombarde de questions à tout va. Et, puis y a cette fameuse question qui te pose : « Pourquoi votre relation n'a pas marcher ? » «  c’est vraiment une mauvaise personne a qui il ne faut pas faire confiance. C’est un vrai connard qui n'hésitera pas une seule seconde à te faire croire au grand amour et finir par vous faire souffrir. Il se montrera attentif, aimant, au petit soin avec toi, le mec parfait et lorsqu'il en aura assez de toi, te jettera sur le bord de la route comme une vieille chaussette sale. Il partira. J'ai vraiment été amoureuse de lui. Il a tout fait pour que je sois accro, sachant que je ne suis pas un cadeau. » c’est la seule fois où tu te confie à ce pseudo psy et après il était temps pour toi de mener à bien ta vengeance. ♤ Tu  possède un tatouage dans le bas de ton dos qui représente un ange, en hommage à ton père. ♤ Az a une période très sombre extrêmement sombre, tu te lève en même temps que la lune; cherche à travers les étoiles, cette chose que les hommes appellent -l’espoir. Tu arpentes les ruelles sombres et recrache des nuages de marijuana entre tes deux lèvres rouges. Désobéit aux règles, rejette les bonnes moeurs, tu te laisse entrainer dans les valses dangereuses d’un monde sale, obscène et vulgaire; un monde d’argent et d’abus où la présence de cette princesse perdue, au regard candide, soulève les foules. Après tout tu fait bien ce que tu veux et avec qui tu veux. Trop fière, pour s’avouer fragile. Trop bitch pour dire que tu va mal. Tu es cette meuf qui danse sur le zinc d’un bar, cette inconnue qui repeint les lèvres au rouge à l’arrière des voitures, cette blonde incendiaire qui trouve le bonheur dans une montagne de poudre blanche, l’enjôleuse qui se glisse dans tes draps, l’anonyme qui écrase ta cigarette à tes pieds. Être au bout du monde a ses avantages, tu es une énigme, un océan de mystères. Une fille rongée, divisée, indécise, incapable de réprimer tes pulsions, tes envies, tes tentations. Souvent colérique, parfois bipolaire, rongée par la démence, ceux qui ont eu le malheur de bien te connaitre ne t’approches plus. Surtout le peu d’amis qu’ils te restent. Tu aurais du prendre un traitement, mais avaler des cachets qui assomme ta créativité et ta joie de vivre c’est pas pour toi. ♤ Et, après Lucifer est revenu dans ta vie, aussi vite que l’éclair et tu l’a pas épargner. Il t’a dit qu’il était parti a cause d’une connerie qu’il avait fait. T'avais pas prévu ça. Son retour t’a plonger à ce que tu était avant, il t’a connu dans les pires moments et cela n’a pas empêcher de se barrer. Il te dégoûtait sauf que chaque fois que vous vous réconciliez, tu tombais plus fort pour le bad boy. Et ça faisait, de plus en plus mal. C'était justement ça le problème. Malgré toutes les conneries, les prises de tête, tu décrochais pas du brigand et pourtant, ton cœur était éteint. C’était depuis la mort de ton père, cet homme était le seul à toucher ton cœur. Une dispute de plus, vous remettant dans la gueule toutes vos erreurs. Toi qui fout le bordel, qui renverse la table, qui casse les verres en gueulant et lui, qui se décide à te maîtriser, à t'encastrer dans le mur. Et il y a la rage dans ses beaux yeux verts, et tes genoux flanchent, bien avant que son poing ne vienne s'écraser dans la mur, juste à côté de ta tête. Les souffles courts et les coeurs qui de débattent. Tu lui sautais à la gorge. Tes bras derrière sa nuque, tes jambes autours de ses hanches et ta bouche contre la sienne. Vos langues qui se mélangent comme si elles s'insultaient pas quelques secondes auparavant. Et dans votre danse, la haine se perde déjà, peinte en désir. Et vos corps qui ne tardent pas à s'écorcher, à se battre jusqu'à ce que la sueur vous achève, une fine couche en recouvrant vos dos corps épuisés. Sauf que tu trouves encore la force de le regarder dormir. De caresser du bout des doigts ses lèvres pour lesquelles tu te damnerais. Et ce cœur tu l’empêche de l’aimer car chez les « Strauss » quand un homme te fait du mal tu le fait payez. Tu n’agis pas comme une mauviette. En réalisant tout ça, y'a des fusibles qui ont sautés dans ta cervelle. En comprenant que chaque matin, t'attendait que son regard se lève sur toi, t'as décidé de tout foutre en l'air, pour te prouver qu'il était pas trop tard. Tu t'es habillée, t'es partie de chez-lui, t'es allée directement au poste de police pour le vendre. Oui parce que ce connard c’était un bandit, toi Azu tu te doit de ne pas fréquenter la vermine. Ton père te tuerait s’il te verrait. T'aurais aimé dire que t'as été forcée, menacée, mais tu l'as fait exprès. Parce que tu supportais pas de l'aimer autant, de te dire qu'un jour, il briserait ta famille, et malgré ton envie de vengeance sur la vie, y a que toi qui doit et qui peut contrôler cette situation. ♤ T'as rêvé à lui tous les jours de la semaine, même s'il était derrière les barreaux. Tu rêvais qu'il t'étranglais, qu'il te transperçait de son couteau, qu'il t'achevais ou qu'il te laissais crever au bout de son sang. Et le procès arrivait et t'étais l'un des témoins. C'était l'enfer. T'avais mal, tu pleurais toutes les journées, toutes les nuits. Pauvre Madeleine, Marie-Madeleine et Judas à la fois. Il était putain de beau, au procès, en costard, avec ses yeux tueurs, qui cherchaient encore à comprendre. Beau à lui en tomber dans les bras encore. Beau à regretter tout ce que t'avais fait. Cette fois, il ne te pardonnerait pas en quelques baisers. Tu l'avais trahis. Et tu craignais, la sentence. Tu craignais que s'il n'était pas reconnue coupable, il en finirait avec toi. Et, étrangement, t'étais convaincue qu'il n'y avait pas un meilleur moyen d'en finir que sous ses doigts. ♤ Déclaré coupable, la peur et le soulagement. Et ses yeux perdus, son regard que t'arrivais pas à lâcher. Cette envie d'hurler à travers la salle, comme tu l'aimais, comme tu lui en voulais, et que tu t'en voulais encore plus. Comment t'étais désolée. Sauf que y'avait que les sons des menottes contre ses poignets, des ses pas qui quittaient vers la prison, de ton coeur qui se déchirait. De tes larmes qui coulaient en silence dans son dos. Et tu décidais de l'oublier, même si tu pleurais chaque soirs. Tu fis comme dans Vampire Diaries, tu fais taire tes émotions et les médicaments ça aide parfois donc tu en prend un peu selon ton envie. Et tu décidais de l'oublier, en couchant à gauche et a droite, en faisant la connasse. Et tu l'oubliais en sortant avec des gars comme ça, des gars pas mieux que lui. Et tu l'avais oublié en te souvenant exactement du jours de sa sortie de prison. Et tu l'as oublié, même si tu sais où il habite, avec l’envie peut être de le revoir. ♤ Depuis quelques semaines que tu es a Boston prête a vivre cette nouvelle vie tant mérité, a Harvard, près de tes sœurs. Il était temps pour toi de rentrer en scène et de réclamer ton du. Tu avait tellement un lien privilégié avec ton père. T'étais sa princesse, son bébé, sa fille d’amour , sa précieuse. Oui c’est ce qu’il n’arrêtait pas de dire, mais alors pourquoi c’est Ayma qui a eu 80 pour cent des part ? Il avait promis, papa, qu'il serait là, qu'il t'aiderait, que tu serais la future héritière. Il a menti, sans faire exprès. Peut-être que pour lui tu n’était qu’une erreur. T'avais du mal à l'accepter, à le comprendre, tu te sentait trahie et abandonner comme la pire des paria. Pourquoi tu pleurais encore. Et tu pleurais. Perdue, déboussolée, qu'est-ce que t'allais faire maintenant ? Tout dire à tes sœurs ? Non, pas vraiment le moment. Tu va encore jouer le rôle de la confidente bien aimée et on verra ce qui se passera. Au fond, avant d’être rejeter tu l’es aimaient tes frangines, c’était comme une évidence mais maintenant rien n’a plus de sens. ♤ Les années on passé, mais t'as pas vraiment changée. T'es encore la reine des abeilles, la reine tout court. Reine de ton petit clan d'amies, vous faisant des coups de putes, oui en théorie car au fond une « Strauss » n’a besoin de personne pour vivre. Intégrant la même confrérie que tes sœurs, malgré ton plan pour récupérer ce qui t’appartient, elles savent que si une seule ose effleurer Ayma ou Cléo, tu les assassines. Parce que c’est ta famille à toi et personne les touchent. Et que si elles croient que t'es la reine des pouffiasses, elles ont encore rien vue. Ça te plaît, de porter une couronne, qu'on se plie à tes désirs, que tu pousses tout contrôler, tout manipuler. T'es pas bien méchante, juste horriblement imprévisible en plus d'être manipulatrice. Et cette fois tu a bien l’intention de gagner. ♤ Tu parle plusieurs langues. L’anglais - l’espagnol - l’italien - le russe et le portugais. ♤ Tu écris de la main gauche mais fait énormément de choses de la main droite ♤ A déjà eut des armes entre les mains mais ne s'en est jamais servie. ♤ Danse et chante depuis toujours, la musique c’est toute ta vie. ♤ Tu a un fort penchant pour la nourriture à n’importe quel moment de la journée. ♤ Adore les sports extrêmes, à sensations. Tu aimes mettre du piment et du danger dans ta vie. Et, c’est pour cela que tu en pratiques énormément.