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Who are you Bitch ? {PV Ocyllie}

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Who are you Bitch ?


Quand Athénais se leva ce matin là, elle se sentait terriblement mal. Les souvenirs de l'explosion la hantaient et elle n'arrivait pas à chasser ce visage de son esprit. Elle avait été enfouie sous les débris de l'explosion, elle était tombée dans les pommes et... Nate l'avait sortit. Il avait utilisé ses dernières forces pour l'extirper de là et il avait sombré. Depuis il était à l'hôpital et les médecins ne voulaient rien dire à la jeune fille. Cette situation était horrible. Elle se sentait à la fois coupable et reconnaissante. Et tellement inutile... Mais aujourd'hui, elle allait y remédier. Du moins... comme elle le pouvait. Elle s'était levé tôt afin de pouvoir passer au secrétariat avant les cours. Elle avait rapidement enfilé une mini-jupe en jean et un décolleté plongeant - tenue très soft quand on connait Athénais - et était partie sans avaler de petit déjeuner. Elle avait snobé toutes les personnes qu'elle avait rencontré sur son chemin et avait directement filé dans le grand hall.
Le secrétariat était souvent bondé mais à cette heure-ci, quasiment tout le campus dormait encore. En arrivant, la dame de l'entrée qui était au téléphone lui fit signe d'entrer dans le bureau à côté. La jeune fille saisit la poignée et...
Elle crut qu'elle allait s'évanouir. Est-ce que le choc qu'elle avait reçu durant l'explosion l'avait finalement atteinte ? Il y avait une fille dans le bureau, en train de parler avec la dame. Cette fille c'était elle.

Athénais resta sous le choc quelques secondes puis se laissa tomber dans le fauteuil derrière elle. La fille la fixait elle aussi, comme si elle avait un fantôme face à elle. La secrétaire, elle, les regardait à tour de rôle avec la bouche grande ouverte.
Quand elle eut enfin la force de parler, Athénais se redressa et demanda d'un ton étrangement froid qu'elle n'avait pas forcément prévu :
" Mais... T'es qui ? "


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Il fallait que je garde mon calme. Si cette vieille secrétaire toute miteuse ne me donnait pas le papier que je lui réclamais depuis maintenant une bonne grosse heure, j’allais finir par lui planter son stylo dans l’œil. J’aurais pu être en train de perfectionner chacun de mes pas de danse, pourtant déjà parfait, mais non il me fallait rester là à attendre que madame veuille bien me donner un maudit papier attestant que je me trouvais bien dans cette université. Je n’y étais pour rien si j’étais malade le seul et unique jour où les étudiants devaient se rendre ici même pour récupérer ce certificat à la noix. Elle ne cessait de me répéter qu’il fallait que je prenne un rendez-vous avec le directeur de l’école, mais : « Avec grand plaisir et je me ferrais un joie de lui dire à quel point les personnes travaillant ici sont complèt … » La porte s’ouvrait à ce moment-là et je ne pouvais m’empêcher de me tourner légèrement pour jeter un coup d’œil vers la personne qui venait de rentrer. Une étrange sensation m’envahissait. Mon regard se posait sur la demoiselle. Elle me ressemblait comme deux gouttes d’eau. Les mêmes cheveux bruns. Le même regard javel. La même silhouette svelte. J’avais l’impression que je me trouvais devant mon clone. Je n’arrivais pas à articuler le moindre mot. Je ne pouvais pas bouger d’un millimètre. La secrétaire ne cessait de nous regarder comme si nous étions deux aliens. Mon sosie finissait par me demander qui j’étais. Un blanc s’installait entre nous avant que je ne réponde sans réfléchir : « Toi d’abord. T’es qui et tu sors d’où ? »
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« Toi d’abord. T’es qui et tu sors d’où ? »
QUOI ? C'était qui cette fille pour lui parler comme ça ? Et puis d'abord c'est MALPOLI de pas répondre quand on pose une question. Sisi. La jeune fille serra la machoire et se releva. D'abord, cette fille avait exactement la même tête qu'elle, ensuite elle la dévisageait depuis tout à l'heure et maintenant, elle se permettait de lui parler comme si c'était ELLE l'usurpatrice ??? Elle la connaissait bien mal, c'était évident.
Athénais, en bonne Mather, se rapprocha d'elle jusqu'à sentir son souffle irrégulier chatouiller sa peau puis elle saisit son sosie par le col et lui déclara froidement :

" Ecoutes, je sais pas qui t'es mais j'aime pas du tout comment tu me parles. Donc jte propose qu'on se calme ou alors tu vas finir dans la benne à ordure en bas, pigé ? Maintenant et si tu faisait ta gentille fifille et que tu m'expliquais POURQUOI ON A LA MEME TRONCHE ? "


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Elle était en train de faire quoi cette folle-là ? D’où elle débarquait comme ça dans MON université tout en ayant le même physique que moi et apparemment le même caractère aussi trempé. Elle n’avait pas honte de me parler comme elle était en train de faire ? Elle avait plutôt intérêt à courir et vite si elle ne voulait pas que je lui refasse le portrait à cette hystérique. Je ne tardais d’ailleurs pas à la pousser en arrière pour qu’elle me lâche alors que je venais la pointer de mon index tout en faisant quelques pas vers elle. C’était maintenant à mon tour de la menacer. « Un conseil, ne pense pas pouvoir jouer les gros bras avec moi. Je n’ai peur de rien, ni de personne et encore moins de toi donc tu vas calmer tes ardeurs et me parler sur un autre ton, que je sache je ne t’ai pas agressé, mais si tu veux on peut se mettre à s’hurler dessus sans problème et crois-moi que j’en sortirais gagnante. » Je m’arrêtais un très court instant avant de dire d’une voix plutôt autoritaire. « Je n’en sais rien de pourquoi on a la même tronche alors arrête de gueuler comme un putois maintenant. Demande à l’autre incapable derrière son bureau de te filer mon dossier, fais ce que tu veux, examine mon cursus scolaire, appelle mes parents, mais laisse-moi tranquille et casses toi d’ici aussi vite que t’es arrivés. » Machinalement, je claquais des doigts comme pour exiger que la secrétaire sorte mon dossier des tiroirs pour le montrer à l'autre interne psychiatrique.
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Cette fille commençait sérieusement à lui taper sur le système. Elle lui lança un regard froid et se mit à penser que si Jules avait été là, il ne l'aurait jamais laissé lui parler comme ça. Son coeur se serra un court instant mais elle se reprit vite, saisissant le dossier que la grosse dame qui semblait traumatisée lui tendait par dessus le bureau. Elle eut envie de, en bonne mather qui fait tout pour faire chier le monde, déchirer la pochette en carton jaune qui se tenait entre ses doigts mais en agissant ainsi, elle supprimerait ses chances de comprendre. Elle ouvrit donc la pochette et jeta un coup d'oeil à l'acte de naissance présent à l'intérieur. Le même. C'était exactement le même que le siens hormis le prénom écrit en grosses lettres. Son coeur fit à nouveau un bond dans sa poitrine. Putain mais c'était quoi cette histoire ?! La jeune fille se relaissa tomber dans le fauteuil, visiblement choquée.
"Donc... lui, c'est ton père, demanda t-elle en pointant son doigt sur le nom de son propre père. Tu... vis avec lui ?"
A cet instant, tous ses souvenirs d'enfance lui revinrent en mémoire. Principalement ceux où sa mère lui assurait que son père était mort dans la guerre du Golfe. Mais si c'était vraiment le cas, pourquoi cette fille se tenait là devant elle ?


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Si elle pense qu’elle me fait peur avec ses menaces à la noix, elle se trompe. Elle me fait marrer plus qu’autre chose. J’ai envie de lui rire au nez et de lui montrer à quel point je m’en tamponne sévère de ses cris et de ses coups de gueule. Elle me gonfle tellement que j’en viens même à ordonner à l’autre incapable de lui filer mon dossier scolaire pour qu’elle puisse savoir qui je suis et ainsi s’apercevoir que je ne suis pas usurpatrice, mais uniquement une danseuse talentueuse qui débarque tout droit d’Angleterre grâce à son talent. Je ne suis même plus sur les nerfs. Je sais qui je suis. Je n’ai pas de soucis à me faire. Elle, par contre, elle va retourner d’où elle vient et plus vite que ce qu’elle peut l’imaginer. Le temps que mon sosie parcourt mon dossier scolaire, je pose mes jolies petites fesses sur un fauteuil qui traîne par là. Elle ne tarde pas à me rejoindre en se laissant tomber à mes côtés avant de me poser une question un peu trop personnelle à mon gout, mais je prenais tout de même le temps de répondre sur un ton un peu sec : « Non non, j’ai mis un nom au hasard pour m’inventer un géniteur. » Je laissais quelques secondes passer avant de reprendre, comprenant que l’heure était sérieuse : « Oui c’est mon père et oui j’habite avec lui. Et puis pourquoi tu fais cette tête de zombie là, tu le connais ? » Je dévisageais mon double tout en fronçant légèrement les sourcils. Je crois que je commençais à comprendre, mais je ne voulais pourtant pas y croire.
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La jeune fille devant elle, Ocyllie d'après son dossier scolaire, lui lançait toujours ce regard méprisant. Mais elle n'avait même plus la force de s'énerver. Elle était plutôt en train de se retenir pour ne pas se mettre à pleurer. Il lui était arrivé tellement de choses cette semaine-là que ça, c'était la goutte d'eau qui faisait déborder le vase. Et elle savait très bien que cette fois, quand elle rentrerait à la Mather House, il n'y aurait personne pour la réconforter. Non... ils étaient tous à l'hopital ou en train de déprimer tous seuls dans leur chambre. Elle ravala durement ses larmes et fixa la jeune fille, droite et fière devant elle.
« Oui c’est mon père et oui j’habite avec lui. Et puis pourquoi tu fais cette tête de zombie là, tu le connais ? »
Cette fille était vraiment une tête à claques... Athé, entre désespérée et exaspérée se leva et fouilla dans le tiroir de la grosse dame pour en sortir son propre dossier. La secrétaire semblait sous le choc elle aussi. e Depuis qu'elle était entrée dans la pièce, elle n'avait pas ouvert la bouche une seule fois. Athé saisit la pochette en carton jeta un oeil à l'intérieur comme pour vérifier qu'elle avait bien lu puis, tendit son acte de naissance à son sosie.
" Félicitation, vous avez gagné une soeur... et une mère par la même occasion. " Dit-elle d'un ton ironique.


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Une chose était certaine, mon double n’était pas, mais alors pas du tout gêné par le fait de se glisser derrière le bureau de la secrétaire pour fouiller dans les tiroirs. Je ne pouvais m’empêcher de froncer les sourcils en la regardant faire. Elle me ressemblait jusque dans le caractère et je commençais à trouver toute cette histoire vraiment étrange. Etait-elle de la même famille que moi ? Une cousine éloignée peut-être ? Je ne tardais pas à avoir ma réponse. Voilà qu’elle me tendait un dossier des plus fins tout en me gratifiant d’une phrase les plus étranges. Une sœur ? Une mère ? Je m’empressais d’attraper ce qu’elle pointait vers moi pour ouvrir la chemise jaunâtre. Athénais. Elle s’appelait Athénais et était née le … même jour que moi, dans la même ville à seulement quelques minutes d’écart de ma découverte du monde. Je levais les yeux vers elle un bref instant avant regarder le nom du père – inexistant d’ailleurs -, de la mère. Ma réaction était imminente. « Je n’ai pas besoin d’une sœur et encore moins d’une mère étant donné que j’en ai déjà une. Notre date de naissance, le lieu et l’heure ne sont qu’une pure coïncidence. » Prise d’un élan de colère, je lui balançais les papiers à la figure tout en la pointant du doigt. « Je ne sais pas qui tu es, je ne sais pas ce que tu me veux, mais je te préviens ne songe même pas à t’approcher de moi où je préviens les flics. » Mon cœur s’emballait, cognait contre ma poitrine et me donnait mal à la tête. J’étais pâle, blanche comme un linge. Hors de question que je crois à cette histoire totalement stupide.
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