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prelude.

Katalia Borgia

Âge : 27
Lieu de naissance : Milan (Italie)
Quartier d'habitation / Colocation : South Boston (Boston)
Situation sentimentale : En couple avec Ottis Heimann
Études / Métier : 7ème année en management et affaires internationales
Date d'inscription : 23/11/2019
Pseudo & Pronom(s) IRL : Clem (Elle/She)
Icon : prelude. C6526f51bbb94c02cd4d809cefd076d3
Faceclaim : Cindy Mello
Crédits : ©mel-graph (av)
Multicomptes : Romy Freymann
Description (1) :
prelude. 24f7fb497dd8f5aa0463212f94e9002a2d811c86


prelude. 1f342 prelude. 1f342 prelude. 1f342

Description (3) :
Spoiler:

RPS en cours : Jayson King prelude. 1f342 Loéva Berry prelude. 1f342 Ottis Heimann
Warnings : Alcoolisme, sexe, mort, deuil
RPS : 82
Messages : 17494
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Katalia Borgia
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PFORZHEIMER HOUSE › prestige redefined
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110544-katalia-borgia-cindy-mello#4017208Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t151257-katalia-elsie-romy-repertoire-rps#6625432Profil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t118823-meetsachussets-kataliaborgia#4400043Complément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t158669-katalia-borgia-complement-de-personnage#7172048
@Andres T. Pettersen WILLARD BROOK STATE FOREST, JAN, FRI, 14:30 Un plan merdique. T'as clairement embarqué Andres dans un plan merdique. A l'image des kilomètres qui défilent, de nombreuses idées traversent ton esprit. Comment tu vas lui expliquer pourquoi ici, pourquoi maintenant. Et surtout, ce que tu vas pouvoir lui baratiner pour expliquer le fait que tu lui ai fait faire presque une heure de route pour arriver jusque là. Là. Dans le domaine de Willard Brook State Forest. Le matin même, tu t'es pointée devant la Adams House, à la recherche d'une âme égarée à manipuler. Une trop bavarde petite blonde t'as appris que son compatriote bleu Tiago avait prévu de venir courir dans cette forêt dans l'après-midi. Très rapidement, ton esprit d'analyse et d’enquêtrice hors pair a trouvé ça étrange qu'il fasse autant de kilomètres pour venir simplement courir. C'est vrai, Cambridge et Boston regorgent de parcs aussi géniaux les uns que les autres, pourquoi donc venir jusqu'ici ? T'as tout de suite compris que c'était simplement une excuse et qu'il était en train de tramer quelque chose de louche. Un rendez-vous secret ? Très probablement. Tu as donc rapidement fait faux bon à la petite blonde pour te rendre chez toi et envoyer un texto à Andres. Tu viendrais te balader avec moi ? Une pfo m'a parlé de supers sentiers pas loin d'ici, on y va cet après-midi ? Ça avait commencé ainsi, avant de se terminer ici. Assise sur le siège passager, les jambes repliées contre toi et les lèvres pincées, tu n'oses pas croiser le regard d'Andres. A l'heure qu'il est, il doit te maudire, et tu n'as absolument pas le courage de l'affronter. Les minutes défilent, les musiques expulsées par la radio également, et tu redresses enfin pour tourner la tête vers Andres. « Bon, il faut que je te dise, on ne va pas dans cette foret par hasard, mais parce que je sais de sources sures que Tiago y est. » Le "de sources sures" tu aurais clairement pu t'en passer. Mais sur le moment, tu t'es dis que cela passerait mieux. De prime abord, il ne semble pas spécialement contrarié, c'est peut être une façade, mais ça a le mérite de te rassurer. Après presque une heure de route, vous arrivez sur le parking donnant accès aux sentiers piétons et tu sautes hors de la voiture, en prenant un grand bol d'air frais et en t'étirant. Bon, le plus compliqué s'annonce, à savoir, de feindre que tu sais où tu vas. Maintenant que t'es là, à la merci de la brise fraîche et dans l'ombre écrasante des grands pins, tu perds un peu tes moyens. Au mieux, c'est une après-midi filature auréolée de succès, au pire, c'est une après-midi sportive en bonne compagnie. Ben oui, après tout, c'est loin d'être une torture de passer l'après-midi avec lui. Tu l'aimes bien Andres, tu l'as toujours bien aimé. Tu l'observes fermer la voiture derrière lui, avec un léger sourire aux lèvres. Au hasard, tu prends le premier sentier, celui de huit kilomètres. Tu commences sérieusement à regretter d'avoir embarquer Andres dans tes conneries. T'as désormais peur qu'il te prenne pour une grosse cinglée. Ce n'est pas comme si tu pouvais déjà être sûre que Tiago trouve ici, dans cette forêt, aussi loin de l'université. Jusqu'alors, tu n'as pas trouvé une seule trace de son passage, et tu ne saurais surement le faire, même avec toute la volonté du monde. Force est de constater que tu l'as perdu. Force est de constater que tu t'es perdue.
(Katalia Borgia)
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@Katalia Borgia WILLARD BROOK STATE FOREST, JAN, FRI
Une journée comme celle-ci ne peut qu'être saluée. Une journée de calme. Une où il est certain de ne pas se prendre la tête parce qu'il a clairement décidé de rester enfermé chez lui, de regarder ses photos, de les trier et de voir ce qu'il peut garder ou pas. Il y a des jours comme ça où il n'a envie de voir personne et la chance d'un week-end avec du boulot ne peut que le pousser à être un minimum casanier. Ca et le fait que Meluzine traîne partout dans cet appartement, elle et ses incompréhensions. Elle et son amour pour un ex qui lui a fait du mal. Elle et ses beaux yeux. Franchement, c'est peut-être la première fois qu'il prend une bonne décision depuis qu'il a décidé de venir s'installer ici. Concentré comme un dingue lorsqu'il s'agit de ses photos et de son art parce que ça lui rappelle son grand-père. Parce que ça l'apaise. Il n'entend pas immédiatement lorsque son téléphone vibre à côté de lui. Un peu plus tard pourtant, rêvant d'un thé et d'une pause, il se laisse aller contre le dossier de sa chaise et glisse un doigt rapide pour regarder l'heure. Un nom apparaît alors. Katalia. Un sourire apparaît instantanément sur les lèvres d'Andres. Il ne s'en rend pas spécialement compte mais il est particulièrement heureux d'avoir de ses nouvelles. Ils ont pris l'habitude de parler quasiment tous les jours pour se tenir au courant de ce qu'ils apprennent et un jour sans message de la petite brune est un jour étrange.

Il l'ouvre, ce message et le lit rapidement tout en jetant aux oubliettes l'idée de rester cloîtré. Sans réfléchir, il répond par l'affirmative. Ce qu'il fait d'ailleurs trop souvent avec elle mais ça encore, il n'en a toujours pas conscience. Heureusement, il a loué un defender en arrivant ici parce qu'il se connaît Andy, il a besoin de se perdre dans la nature pour se ressourcer parce qu'il ne voit pas exactement comment ils auraient fait le trajet sinon. En sac de course ou de randonnée, il est plutôt organisé et habitué Andy et ça ne lui prend que peu de temps de tout rassembler. Très vite, l'idée de sortir lui semble même être une idée lumineuse. Lorsqu'il la récupère, elle resplendit Katalia mais au cours du voyage, il la voit, petit à petit, alors qu'il jette des coups d'oeil dans sa direction se renfrogner. Se renfermer même. D'abord une jambe qui monte puis une seconde. Son visage se referme. Alors okay, le paysage est plutôt canon mais elle pense négativement tellement fort la petite qu'il n'arrive vraiment pas à regarder ailleurs. A chaque mouvement il a envie de lui demander c'est quoi son problème. Pourtant il ne dit rien pendant longtemps, jusqu'à ne plus tenir.

"Bon, qu'est-ce qui se passe?"

Elle finit par avouer Katalia. Ce n'était pas une simple invitation amicale. Ce n'était pas non plus pour le voir. C'était pour Tiago. Finalement, il aurait mieux fait d'éviter cette sortie. Cependant, alors qu'il la regarde, elle et son air coupable, il se souvient. Elle fait tout ça par amour pour Meluzine. Il soupire, hausse les épaules et lui sourit quand ils semblent arriver à destination.  

"Okay. Et... Pourquoi au juste on le suit?"

Est-ce que Katalia soupçonne quelque chose? Une tromperie. Dans ce cas, peut-être ont-il bien fait de venir. Il glisse la clé dans sa poche et jette à peine un coup d'oeil au panneau, persuadé que Katalia sait exactement ce qu'elle fait. Son sac sur le dos, son appareil photo autour du coup, Andres suit le rythme sans problème. Marcher, c'est une véritable passion. Surtout avec ce genre de paysage autour. Le silence lui fait un bien fou mais silencieuse, elle ne l'est pas souvent Katalia et il finit par se demander après quelques photos si quelque chose cloche pour elle.

"Tu te sens bien?"

Lui demande-t-il alors en la regardant avec sérieux. Il détesterait apprendre qu'elle l'a ramené ici en faisant fi de sa santé ou de quoi que ce soit d'autre. Loin d'imaginer qu'elle a réussi à les perdre, il continue à tourner pour prendre des photos, ne cherchant pas à savoir où ils vont. En toute confiance, alors qu'ils se retrouvent à choisir entre trois routes sur lesquelles les panneaux ont de toute évidence été arracher, il fait un tour sur lui même.

"Merde. D'où on vient encore...? Celui-ci? Ou?"
Il chercher ses pas sur le sol mais n'est pas sûr de lui. Il y en a pleins. Il hausse alors les épaules et regarde Katalia avec confiance. "Peu importe, on prend lequel?"
(Invité)
Katalia Borgia

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C'est pour jouir de ce genre de journée que tu aimes ne pas avoir cours certains vendredis de ce semestre. Juste passer la matinée à réviser et puis t'échapper au centre équestre l'après-midi, ou bien passer du temps avec des amis. Flâner, quoi. Et prendre le temps, perdre du temps, surtout. Ça te fait toujours du bien et c'est très souvent le présage d'un excellent week-end. Cette fois-ci, ton après-midi est bien différente et régie par ton besoin maladif de protéger la belle blonde que tu considères comme une extension de ton être. L'arrivée d'Andres dans les parages a clairement été un nouveau souffle dans ta vendetta. A ton sens, la situation entre Meluzine et Tiago n'a pas été assez bousculée par son arrivée, mais sa présence te fait du bien. Tu te sens moins seule, tu te sens mieux. Il a comme un effet bénéfique sur toi, il arrive à t’apaiser, presque autant qu'il arrive à adoucir tes tourments. En sa présence, t'as l'impression de sortir la tête de l'eau et d'enfin pouvoir respirer de nouveau. Autant de choses que tu as encore du mal à remarquer mais que tu ressens, inconsciemment. Andres ne tarde pas à te questionner. Il faut dire que tu n'as pas vraiment chercher à cacher ton angoisse, assise ainsi et le regard perdu dans le vide par la fenêtre. En réponse, il se contente de soupirer et d'hausser les épaules avec un sourire. Et là, tu sais. Tu sais qu'il ne t'en veut pas. Sa réaction provoque en toi comme un regain d'énergie et de bonne humeur alors que tu sors de sa voiture. Habillée d'un ensemble de sport gris, tu viens remonter jusqu'à ton menton la veste épaisse de sport qui a pour mission de te garder bien au chaud. "Okay. Et... Pourquoi au juste on le suit?" Tu plantes doucement tes dents dans ta lèvre inférieure alors que cette derrière s'étire en un léger sourire penaud. « Je pense qu'il est venue rejoindre une fille ici. » A mesure que ces mots sortent de ta bouche, tu dois admettre que tu as peut être été un peu vite en besogne. Ça bien sur, tu te garde de le lui dire. Pas pour le moment. Vous commencez à marcher côte à côte sur le sentier s'engouffrant dans la foret gorgée de soleil à cette heure. Andres fait quelques pauses pour prendre des photos. Des fois, tu continues à marcher à ton rythme (il te rattrape toujours grâce à ses plus grands pas) et des fois, tu t’arrêtes pour l'observer s'adonner à son art, un sourire greffé sur tes lèvres. Tu ne connaissais absolument pas ce côté là d'Andres. Andres, tu l'as toujours vu à quelques soirées mondaines lorsqu'il était encore avec Meluzine. Des soirées où vos riches familles pouvaient vous traîner, affublés de belles robes et élégants costumes. Mais jamais dans un paysage plus naturel, sans artifice. C'est juste lui et sa passion. Et ce que tu vois te plait assez. Il n'a jamais vraiment porté l'image d'un riche héritier de son nom de famille, et ici et aujourd'hui, encore moins que jamais. Après quelques minutes, il s’arrête pour se tourner vers toi. "Tu te sens bien?" Tu prends une grande inspiration et te tournes vers lui, les joues rosies par l'effort. « Oui... ça va. » tu lui réponds à moitié essoufflée. Putain la honte. Tu n'es pas très sportive, Katalia. T'as pas de souffle, t'as surtout zéro cardio. Le seul sport que tu chéries et dans lequel tu excelles, c'est l'équitation. Et pour cela, pas besoin de cardio. La course, tout comme la marche à pied, tu connais moins. Si t'es déjà essoufflée après ce faux plat montant, vous êtes vraiment mal barrés. L'attention d'Andres est déjà happée par ses songes alors qu'il se concentre sur le sentier se dressant devant vous, son appareil photo devant le visage. Tu trottines pour engloutir les quelques mètres vous séparant, viens passer ta tête à trente centimètres devant son objectifs en tirant la langue et en fermant un œil. Pour faire des conneries, t'es pas fatiguée, pas besoin de cardio. Tu ne peux t’empêcher d'éclater de rire. La photo doit être affreuse, en vrai, mais ça a le mérite de te détendre. Vous arrivez alors à la rencontre de trois sentiers, les mains sur les hanches, tu réponds à Andres avec une fausse assurance. « A gauche, c'est sur. » Autant qu'à droite, c'est assuré.
(Katalia Borgia)
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@Katalia Borgia WILLARD BROOK STATE FOREST, JAN, FRI
Il balance la tête de gauche à droite quand Katalia lui sort qu'elle pense. Elle PENSE qu'il va rencontrer une fille ici. Il est certain que parfois, la petite brune, elle exagère. Pourtant, il n'y peut rien, il aime bien quand elle est comme ça Katalia. Une vraie passionnée. Elle ne lâche rien et même quand tout semble perdu, elle ne lâche pas quand même. Elle n'a pas de limites pour aider son amie et c'est la première chose qui lui a plu quand il a commencé à lui parler. D'ailleurs, sans elle, il ne serait pas là aujourd'hui. Il ne peut s'empêcher de la regarder alors l'air taquin et d'appuyer sur ce fait.

"Tu penses hein?"

En gros, elle n'est pas sûre d'elle du tout et elle a juste décidé de le suivre pour voir. Au cas où. Attention, Andy n'est pas en train de s'en plaindre. Il n'hésite pas une seule seconde pour dire qu'il préfère mille fois être là qu'être enfermé chez lui finalement. Sans compter que la compagnie de la petite brune rend son après-midi bien plus lumineuse. Elle a cet effet Katalia. Lorsqu'elle entre dans une pièce, on ne peut pas oublier le fait qu'elle est pétillante à souhait. Si bien qu'elle illumine un endroit sans la moindre difficulté et ce petit air qu'elle prend là. Quand elle dit qu'elle pense. Il est si adorable qu'il ne peut même pas lui hurler dessus d'avoir fait toute cette route pour une simple suggestion. Pour son instinct. Pourtant, aujourd'hui, quelque chose semble la perturber mais Andy il n'arrive clairement pas à mettre le doigt dessus. Il n'est sûr de rien. Sinon qu'elle a un problème et qu'elle le cache bien parce que même essoufflée, elle n'hésite pas à lui dire que tout va bien alors que clairement, non. Elle est fière. C'est quelque chose qu'il respecte assez. Il détourne le regard pour se concentrer sur ses photos et éviter de lui montrer qu'il voit bien qu'elle galère un peu Katalia mais c'est alors qu'elle fait quelque chose qui le surprend. Il ouvre grand les yeux et fixe son appareil. Son rire de nymphe s'envole dans les airs et il ne fait que rajouter de l'effet à ce qu'Andy a sous les yeux. Il ne photographie pas les gens Andy. Jamais. Bien trop concentré sur les détails par la suite, il n'a aucune envie de passer pour un malade en observant chaque défauts, chaque point, chaque détails sur qui que ce soit et là, Katalia, elle s'est imposée. Malheureusement pour lui, plus il zoome et moins il réussit à voir de défaut. Il finit par balancer la tête et lancer une autre photo afin d'oublier ses pensées complètement idiotes et faire comme si de rien était.

"Bon go!"

Lâche-t-il, sans faire de commentaire sur la beauté de la photo et son naturel, de peur d'en dire trop ou pas assez. Une fleur pour enlever l'image qui lui trotte dans la tête et une nouvelle route annoncée par Katalia. Parfait. Pour oublier au mieux cette épisode, il commence à discuter de la faune et la flore, expliquant à Katalia chaque petites particularités qu'il connaît.

"Viens voir!" Finit-il par lui dire en lui montrant son appareil alors qu'il a réussi à capter un magnifique jeu de lumière. "Sympa, non?" C'est alors que son oeil tombe sur sa montre et qu'il fronce les sourcils, se rendant compte que si le soleil tombe, c'est que le temps, lui aussi a couru. Il se retourne alors vers Katalia. "Attends, pendant combien de temps dure sa course? A quelle heure on le retrouve? Tu sais qu'il nous faudra le même nombre d'heure de montée pour redescendre. Il va faire nuit dans moins d'une heure si je me..." Il s'arrête et éteint son appareil photo en fixant Katalia l'air mauvais cette fois. "Katalia... Dis moi que tu sais où on est et où on va en me regardant droit dans les yeux s'il te plaît." Et là, clairement, il se sent mal Andy parce qu'il a l'impression d'avoir tout compris mais il n'a vraiment pas envie d'avoir raison.
(Invité)
Katalia Borgia

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"Tu penses hein?" Et merde, tu réalises alors que tu prononces ce mot. Pour le coup, ça t’étonne vraiment de toi-même. Toi, qui aimes être et montrer que tu es une véritable control freak, maîtresse de tes mots et de tes moindres gestes. Le mot est sorti tout seul, alors que tes gestes et tes regards semblent s'exprimer seuls et au mépris de ta tête. Il y a ce je ne sais quoi, cet espèce de truc qui te pousse à baiser ta garde en sa présence, et te comporter plus naturellement. La confiance, Katalia ? Tu peines à le croire, tu ne le connais pas assez pour cela. Et pourtant, t'as beau y songer, tu ne vois vraiment pas ce que ça peut bien être d'autre. « Oui, je ne vois pas ce que ça peut être d'autre. Meluzine m'a dit qu'il ne courrait jamais. » tu lui réponds avec un simple haussement d'épaules. Cependant, il semble remarquer qu'il y a autre chose que tes poumons paresseux qui te tracasse. En silence et en ne laissant rien apparaître sur tes traits, tu y réfléchis. Maintenant que t'y penses, ton esprit est effectivement pollué d'idées noires, et le fait qu'il l'ai remarqué te perturbe légèrement. Il y a bien sur ton combat au quotidien contre lafakerédemptiondeTiago, ta rencontre avec sa meilleure amie Aubrey qui t'a valu des traces d'ongles dans tes avants bras et de nombreux bleus, dont un énorme sur l'épaule gauche qui te fait encore très mal. Car rencontre il n'y a pas vraiment eu, c'était plutôt un concours d'égo et un échange des coups et de cris. Et puis il y a bien sur cette histoire avec Tomy... Cet "ex" que tu as retrouvé par hasard à Boston et qui s'est mis en tête de te faire du chanter avec des potentiels nudes de toi. Tu ne le crois pas, tu te force à ne pas le croire. Mais une part de toi n'oublie pas, et cette part de toi te fais faire des cauchemars qui te réveillent la nuit. Bref, tu ne sais pas vraiment ce que t'as fait pour mériter tout ça. Mais t'as clairement du faire quelque chose, pour que le karma s'acharne ainsi sur toi. Le regard perdu dans l'étendue du sous bois, tu finis par secouer doucement la tête pour expulser ces pensées. Ouai, ça va aller, ça va passer. C'est toute cette pression... T'as juste l'impression que tu vas exploser, t'as juste l'impression que tu vas craquer. Mais ça va aller. Vous marchez côte à côte, alors qu'Andres prend la parole plusieurs fois pour t'expliquer ce que tel arbre ou telle fleure sauvage ont de particulier. C'est juste super intéressant, et tu bois ses paroles à mesure que tu perds la notion du temps. Ces paysages et cette promenade te ramènent quelques années en arrière, pendant ton année sabbatique, où tu avais pu faire énormément de voyages. Tu avais vu les plus grandes et impressionnantes métropoles du monde, mais tu avais aussi apprécié te perdre dans des paysages de cartes postales, découvrir ce que la nature avait de plus beau à offrir. Tout ces moments te paraissent pourtant bien loin derrière toi. C'était une autre époque. Une autre époque et un autre temps, où tu n'étais que l'ombre de toi même, accablée par ton chagrin et épuisée par ton cœur brisé. Lorsqu'Andres ne te parle pas, il vient placer son appareil photo devant son visage, alternant ainsi échanges et moments de silence. Le timide tremblement des feuilles mortes et le chuchotement de la brise dans le sous bois ont comme un effet apaisant sur toi. Contrairement à beaucoup d'êtres humains, tu n'es pas gênée par le silence. Tu l’apprécies et après plusieurs années de cours d’éloquence, tu as appris à l'aimer. Andres t'appelle alors pour que te montrer son appareil photo et tu ne te fais pas prier pour venir le rejoindre. La photo est vraiment superbe et tu relèves le nez au bout de quelques secondes pour croiser son regard, les yeux légèrement écarquillés par l'admiration qu'il a suscité en toi. « La photo est sublime Andres ! » Et tu notes dans un coin de ta tête de lui demander d'en voir plus. Tu découvres alors que, en plus d'être une passion, la photo est un expertise chez lui, il est vraiment très doué. Penchée par dessus son avant bras pour regarder la photo, tu finis par redresser le buste alors que l'expression de son visage s'assombrit sous ton regard. En fait, tu n'as absolument aucunes réponses à ses questions. Tu l'as su environ trente minutes après le début de la route, que c'était une mauvaise idée de venir ici, que ça n'allait rien vous apporter. Mais, trop fière sur l'instant, tu t'es tue. Redoutant ses foudres, surtout. Maintenant que t'es là, à une heure de route de Cambridge, plantée devant lui en pleine foret alors que le soleil commence à vous faire défaut, tu réalises que t'as pris la mauvaise décision. « Je... » Tu pinces les lèvres, prise au vif. Les mots n'arrivent pas à sortir de ta bouche. Bordel, mais qu'est ce qu'il t'arrive Katalia ? Jamais tu ne bégayes d'habitude. Jamais. « Je suis désolé de t'avoir entraîné ici Andres. » C'est comme arracher un pansement d'un coup sec. Ça fait mal, ça fait battre ton cœur un peu plus vite et humidifie subtilement tes pupilles, mais c'est nécessaire. « J'ai cru que c'était une bonne idée, j'ai cru qu'on allait découvrir des choses. Mais maintenant qu'on est là, je réalise que j'ai eu tord. » Tu pèses chacun de tes mots et te forces à planter ton regard dans le sien, les sourcils arqués par l’inquiétude et la crainte de sa réaction. Tu fais un pas en arrière alors que tu passes le revers de la main sur ton visage, avant de laisser retomber ton bras derrière ta hanche. « Mais... tu ne peux pas savoir comme c'était avant qu'elle te rencontre et que tu arrives à lui redonner le sourire. C'était... horrible. J'ai bien cru que la tristesse allait me l'arracher à tout jamais. » Cette fois, tu ne fais rien pour cacher la peine et la tristesse dans tes yeux. Parce que même si tu détournes la tête, Andres va le voir. T'espères que, pas ces quelques mots, il va comprendre pourquoi tu as autant à cœur de te mêler de la vie amoureuse de ta meilleure amie @Meluzine I. Heatherton. Tu ne détaches pas ton regard du sien alors que tu portes ta main repliée à ta bouche et mords nerveusement dans la chair de ton pouce. Un silence passe, et tu réalises alors que tu as davantage peur qu'il te déteste que de te perdre dans cette foret. « S'il te plait, dis moi que tu ne m'en veux pas. » S'il te plait, dis moi que tu m'accepteras, t'as presque envie de rajouter.
(Katalia Borgia)
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@Katalia Borgia WILLARD BROOK STATE FOREST, JAN, FRI. Elle ne voit pas ce que ça pourrait être d'autre. Elle en a vraiment de bonnes Katalia. Andy il en voit au moins un millier d'autres raisons à l'envie de s'éloigner dans la nature autre que tromper sa petite amie et même si ça lui ferait réellement plaisir que ce soit ça, afin d'arracher le pansement de Meluzine une bonne fois pour toute sur une plaie purulente et sanglante, ce n'est pas assuré, loin de là. Il grimace, ne préférant pas casser les espoirs de la jeune brunette. De toute façon, au point où ils en sont, autant espérer trouver quelque chose puisqu'ils ont fait bien plus de pas en avant qu'il n'y en aurait à faire en arrière. Et puis, il doit bien l'avouer, au fond, il a du mal à ne pas lui faire confiance même si ça sent de plus en plus le plan foireux. Il n'hésite pas à se jeter dedans tout de même. Cependant, juste pour en savoir un peu plus, il demande quelques précisions.

"Ah oui? Et pourtant tu parlais d'une source sure qui t'as dit le contraire un peu plus tôt. Qui était-ce?"


Bien-sûr, ça n'a pas grande importance à présent. Oui, Andy il a un peu foncé les yeux fermés sur la simple demande de Katalia. Encore? Il semblerait. Un peu plus tard, lorsqu'elle observe sa photo avec de grands yeux plein d'admiration, il ne peut s'empêcher de noter, sur son visage, que toutes les expressions semblent sortir aussitôt qu'elle les ressent. Elle est si naturelle. Elle ne semble rien réfléchir avant de se lancer. Elle se lance juste et c'est si rafraîchissant. Andy la regarde alors que, comme une enfant, elle ne semble pas en revenir et il lui sourit. Pas parce que le compliment est touchant mais parce qu'elle le lui donne, ce sourire.

"Merci."


Malheureusement, ce moment de calme, de joie et de profonde connexion ne dure pas longtemps parce qu'il finit par comprendre ce dans quoi il s'est fourré Andres. Et il sait qu'il ne se trompe pas quand elle hésite à lui répondre. Il fronce les sourcils et se recule un peu. Les excuses finissent par sortir mais elles ne vont pas les ramener à temps au Defender. Il balance la tête en arrière et regarde le ciel en poussant un grand soupir.

"Oh Katalia!"

La suite ne va pas lui plaire, il le sent. Il se redresse en entendant que maintenant, maintenant qu'ils sont complètement dans la merde jusqu'au cou, elle se rend compte qu'elle a eu tord. Il grogne presque.

"Tu as cru qu'on allait découvrir quelque chose et tu.... Tu ne t'es pas dit qu'il faudrait réaliser plus tôt que ce n'était pas le cas? Je ne sais pas moi... Peut-être juste avant qu'on ne meurt de froid ici ou qu'on soit obligés d'y passer la nuit pour éviter de se casser une jambe en repartant dans le noir?" Il se retourne pour ne pas s'énerver encore plus, dos à elle, observant le paysage, tentant de réfléchir. Il marmonne un "Super." quand le silence s'installe avant qu'elle ne reprenne. Il ne le voit pas immédiatement son visage parce qu'il tente de trouver une solution. N'importe laquelle. Elle reprend la parole et quelque chose dans sa voix le fait se retourner immédiatement pour la voir, pour éviter de la laisser dans la souffrance. Il voit alors la détresse dans ses yeux et sa colère laisse place un moment à de la compassion. Surtout quand il supplie. Ce qu'il déteste. D'ailleurs, il se rend même compte qu'il n'est pas seulement en colère contre elle. Il l'est aussi contre lui, de ne pas avoir pris garde, simplement parce que Katalia le disait. "Katalia... On va aider Meluzine. Je te l'ai promis mais il faut qu'on soit malins. D'abord, on ne peut pas l'aider contre sa volonté et ensuite on ne peut pas faire n'importe quoi. On ne peut pas se mettre en danger et tu ne peux pas..." Il la désigne pour tenter et pour tenter de dédramatiser, lâche amusé. "On dirait une folle." Il lui sourit et passe délicatement son pousse sur la joue de Katalia. "Le prochain plan, c'est moi qui l'élabore, okay?" Et il fronce les sourcils pour rajouter. "Et on doit TOUT se dire." Là-dessus, il faut qu'il insiste. Andy se frotte les mains et regarde autour de lui. "Faut qu'on trouve un endroit où se poser. Viens." Il s'éloigne alors du chantier, certain que ça ne servira à rien de tenter de redescendre, sinon le lendemain alors il opte pour la solution la plus sécurisante.
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Katalia Borgia

Âge : 27
Lieu de naissance : Milan (Italie)
Quartier d'habitation / Colocation : South Boston (Boston)
Situation sentimentale : En couple avec Ottis Heimann
Études / Métier : 7ème année en management et affaires internationales
Date d'inscription : 23/11/2019
Pseudo & Pronom(s) IRL : Clem (Elle/She)
Icon : prelude. C6526f51bbb94c02cd4d809cefd076d3
Faceclaim : Cindy Mello
Crédits : ©mel-graph (av)
Multicomptes : Romy Freymann
Description (1) :
prelude. 24f7fb497dd8f5aa0463212f94e9002a2d811c86


prelude. 1f342 prelude. 1f342 prelude. 1f342

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RPS en cours : Jayson King prelude. 1f342 Loéva Berry prelude. 1f342 Ottis Heimann
Warnings : Alcoolisme, sexe, mort, deuil
RPS : 82
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Katalia Borgia
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Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t110544-katalia-borgia-cindy-mello#4017208Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t151257-katalia-elsie-romy-repertoire-rps#6625432Profil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t118823-meetsachussets-kataliaborgia#4400043Complément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t158669-katalia-borgia-complement-de-personnage#7172048
Andres, ça fait seulement quelques jours qu'il est arrivé à Cambridge, pourtant, t'as l'impression que ça fait bien plus longtemps que cela. Il est désormais ancré dans ton quotidien, et ces quelques jours depuis son arrivée te paraissent des mois. T'as l'impression que tu ne le connaissais pas et que, du jour au lendemain, tu t'es mise à parler au téléphone avec lui plus longtemps qu'avec n'importe lequel de tes amis. Au fond, c'est la vérité, c'est ce qu'il s'est réellement passé. C'est assez étrange et c'est effrayant. Car, hormis quelques soirées du temps où il était en couple avec Meluzine, tu n'as jamais parlé avec lui. Tu ne le connais pas, tu ne sais pas qui il est. Et pourtant, tu lui offre ta confiance, sans limites. Il n'est pas vraiment un ami, ni un ennemi. Il est plus qu'une connaissance, peut être un allié ? Tu s'en sais rien. Mais une chose est sure, il t'es devenu indispensable. Cette idée te fait peur, mais ici et maintenant, tu n'as pas le choix que de l'accepter et de faire avec. Ses sourcils se froncent, son regard s'assombrit et ses jambes font un pas en arrière. Tu ne sais pas ce qu'il a, mais tu sais que ça te fait mal de le voir comme ça. Tu acceptes ses mots sans en prononcer un seul. Chaque soupirs et chaque mots un peu plus hauts que les autres ont l'effets de coups de massue sur toi. Mais tu ne dis rien et tu encaisses, penaude, parce qu'il a raison. T'as vraiment fait de la merde Katalia. Et s'il n'était pas déjà là en train de l'exprimer, tu te serais probablement hurler dessus toi même. T'aimerais retourner en arrière et avoir le courage de prendre la parole au moment où tu as réalisé que c'était une mauvaise idée. Cependant tu ne peux pas. Tu ne peux rien faire hormis trouver une solution à ce problème. Vu comme Andres a l'air énervé, tu décides de ne pas dire un mot avant d'avoir une idée. Une bonne idée, évidemment. Cette dernière se fait prier alors que tu l'entends marmonner un "Super." avec un ton que n'avais jamais encore entendu de sa part. Lorsque t'as enfin de courage de t'exprimer à nouveau, c'est pour lui parler de Meluzine et ce qu'elle avait traversé il y a trois ans. Tu le sais que ta voix tremble, tu le sens et tu l'entends. Mais tu ne tentes même pas de le cacher, tu n'y arrivera pas, de toute façon. Cette période sombre que t'as vécu pour ta meilleure amie a toujours été très sensible pour toi, et le sera à jamais. Andres se retourne à nouveau vers toi et ton regard croise le sien. C'était franchement pas le but, d'attirer son attention de la sorte. Mais t'as eu besoin qu'il comprendre quel sentiment t'as poussé à vous conduire jusqu'ici. A défaut de comprendre, t'as besoin qu'il l'entende, au moins. Un instant passe, un silence un peu long mais qui te permet de reprendre tes esprits et recentrer tes pensées. Andres revient vers toi et t'affirme que vous allez aider Meluzine, ensemble. Un très léger sourire s'installe sur tes lèvres en train de gercer à cause du froid, alors que tu écoutes avec attention ses mots. "On dirait une folle." t'es clairement piquée par ses mots. Tu fronces les sourcils et pinces les lèvres alors qu'il sourit. Il vient passer son pouce sur ta joue alors qu'un léger frisson parcourt ta nuque, surprise par ce geste. La situation de votre rencontre permet à Andres de te voir comme tu laisses peu de personnes te voir.  Sincère, sensible et surtout vulnérable. A l'opposé d'un costume d’insensibilité que tu aimes porter au quotidien. T'as pas la force de cacher tout ça, pas aujourd'hui. "Le prochain plan, c'est moi qui l'élabore, okay?" Tu soupires doucement avant de lui répondre enfin. « Promis. » Ça ne peut être qu'une bonne chose, c'est sur. Ça ne peut être que mieux, du moins. "Et on doit TOUT se dire." Il a raison, encore une fois. Si ce n'était pas pour le bien de Meluzine, tout ça, ça t'aurait déjà foutu les nerfs, de devoir admettre cela. « Oui t'as raison, la prochaine fois, je viendrai t'en parler calmement avant de crier au loup. » C'est pour son bien à lui, c'est pour ton bien, c'est pour le bien de ta meilleure amie. Tout le monde a à y gagner, à ce que tu ranges ta fierté de côté. La tempête de tes remords contenue de se déchaîner en toi alors qu'Andres frotte dans ses mains et t'invite à le suivre. Tu n'es pas bien sure de comprendre mais le suis docilement en sortant ton téléphone de ta poche. Pas de réseau. Pas de GPS, de fait. Tu décides ici et maintenant de t'abandonner à ses conseils et à ses décisions. C'est toi qui vous a embarquer là dedans, mais c'est lui qui va devoir gérer le problème... T'as envie de tenter ta chance, de retrouver le chemin, de régler la complication, mais tu sais qu'à l'instant où tu vas tenter de le faire, tu vas réceptionner ses foutres. Non Katalia, pour le moment, tu te tais et tu marches. Andres a clairement l'air de savoir ce qu'il fait, alors tu décides de te laisser aller à son appréciation. « Qu'est ce qu'on va faire ? » tu lui demandes alors que tu accélères le rythme de tes pas pour arriver à suivre le sien, de rythme.
(Katalia Borgia)
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Face à la détresse de Katalia, Andy ne peut pas reste en colère très longtemps et même si ses larmes sont un véritable crève-coeur, il ne laisse rien paraître et il prend le problème à bras le corps au lieu de l'accabler. Elle se sent, de toute évidence, assez coupable sans avoir à en rajouter. Elle n'a pas l'air très heureuse quand il la traite de folle mais il ne pouvait s'empêcher de le lui dire. Alors, bien-sûr il exagère, parce qu'elle n'a pas l'air d'être complètement tarée mais simplement perdue. Elle ne sait plus quoi faire Katalia, elle a besoin de s'appuyer sur quelqu'un et ça ne gêne pas du tout Andy d'être cette personne, bien au contraire. Il y trouve bien plus qu'un réconfort. Il a réellement envie de l'aider et de lui rendre le sourire parce qu'elle ne fait que s'inquiéter Katalia. Elle passe ses journées à le faire et à se demander quel est l'avenir de Mel' et au delà de ses propres inquiétudes, il voudrait que Katalia puisse se sortir ses problématiques de la tête au moins quelques minutes. La promesse sonne comme une douce caresse à ses oreilles parce que, venant de Katalia, il sait qu'elle est sincère et qu'il n'a rien à craindre sur une possible trahison. D'ailleurs, il a déjà une idée du possible prochain plan. Il l'observe attentivement et il hoche la tête quand elle se repent et lui sourit.

"Oh tu peux crier au loup directement. Explique moi juste que tu m'entraînes dans un plan complètement foireux et tu seras surprise de voir que je viendrais quand même si tu es honnête. Je me permettrais juste de faire demi-tour quand je sens qu'il faut le faire."

Vu l'allure à laquelle Katalia a marché pour arriver ici. Ca, plus le fait qu'elle n'a même pas pris de sac lui mène vite à la conclusion actuelle. C'est lui qui va devoir trouver une solution pour qu'ils puissent s'en sortir. De préférence, dans les plus brefs délais, pendant qu'ils voient encore où ils mettent les pieds. Assuré qu'ils ont plutôt intérêt à réussir à faire du feu pour passer la soirée sans être congelés sur place, il commence à s'éloigner et à récupérer du bois sur son passage. Bien-sûr tout est humide et il peine à en trouver qui pourraient faire l'affaire.

"D'abord, on va faire un feu ou on va mourir de froid. Ensuite, on va monter la tente et on va attendre que le soleil se couche puis se lève. Heureusement pour nous, je vais toujours en randonnée en imaginant le pire." Il la regarde et lui tend une gourde d'eau, ce qu'il aurait dû faire il y a longtemps. "Et tu devrais t'hydrater." Rajoute-t-il amusé.

Il s'arrête sur un terrain qui semble, à minima assez plat pour qu'il ne lui soit pas trop difficile de planter sa tente ou de tenir dedans sans être complètement de travers. Il pose son sac de randonnée pour récupérer le petit sac, contenant une tente légère à porter, facile à poser mais malheureusement pas immense, sur le sol et il commence à la monter avant la tombée de la nuit.

"Récupère les allumes-feux et le briquet dans la poche de droite s'il te plaît et commence à les allumer sous le bois pour les sécher un peu... En espérant que ça fonctionne."
Grimace-t-il conscient que la température et le temps est loin de jouer en leur faveur. La tente montée en quelques minutes, il lance le sac de couchage à l'intérieur avant de se rapprocher de Katalia et de voir si elle s'en sort. "Besoin d'un coup de main?" Demande-t-il en glissant sa tête à côté de la sienne et en observant ce qu'elle fait exactement. Il désigne le bois amusé par leur disposition et les pointe du doigt en cherchant un peu Katalia. "Combien de feu tu as déjà allumé au juste?"
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Andres se montre compréhensif, et il te promet même de t'apporter son soutien, même si c'est pour suivre l'un de tes futurs plans foireux. Ses mots réchauffent ton cœur à mesure que tes lèvres s'étirent en un sourire. Et là, tu te demande comment cela à pu être possible. Comment Meluzine a pu renoncer à cette présence tolérante et bienveillante. Tu sais très bien que tu ne connais pas toute l'histoire. Tu connais Meluzine comme si c'était ta propre sœur, mais tu n'es pas dans sa tête et surtout, tu ne peux ressentir les soubresauts de son cœur. Comme tout le monde, Andres doit avoir sa lumière et ses démons. Cependant et jusqu'à présent, t'as l'impression de n'avoir vu que sa lumière. Lui en revanche, à bien plus que nécessaire pu découvrir tes démons. Cette idée te perturbe, cette idée te dérange, et cette idée te fais frisonner alors que tes pas suivent en silence les siens. Rapidement, tu remarques qu'Andres est en train de ramasser quelques morceaux de bois sur son passage. Tu le regarde, intriguée, et te demande ce qu'il est en train de faire. Est-ce la technique Petit Poucet mais version branches de bois, pour retrouver votre chemin ? "D'abord, on va faire un feu ou on va mourir de froid. Ensuite, on va monter la tente et on va attendre que le soleil se couche puis se lève. Heureusement pour nous, je vais toujours en randonnée en imaginant le pire." Ses mots ont le pouvoir de te faire stopper net sur place, alors tu le regardes, figée, la bouche entrouverte. « Attends, quoi ? On va passer la nuit... ici ? » Ton regard se perd dans la cime des arbres alentours. Rien. Il n'y absolument rien autour de vous, sauf des arbres et les rayons du soleil qui se font de plus en plus discrets. Il te tend alors une gourde d'eau d'eau et t'invite à t'hydrater. Tu attrapes la gourde mais la garde dans les mains, incapable de boire dedans, encore abasourdie par le choc de cette nouvelle. Andres s’arrête quelques mètres plus loin et sort de son sac à dos une petite tente qu'il commence à monter. Lutin de merle, il est réellement en train de faire ça. Encore une fois, ses mots ont comme l'effet d'une coup de massue sur toi. En silence, tu vas déposer la gourde près de son sac à dos, alors que tu n'as même pas été capable de boire une seule gorgée d'eau. Comme il te l'a demandé, tu récupères les allumes-feux et le briquet dans son sac à dos et t'éloignes un peu pour rejoindre l'endroit où il a laissé les morceaux de bois sur le sol. Là, tu t'accroupis avant de poser les genoux au sol et te pencher sur le bazar. Tu déposes le matériel pour faire du feu au sol et ressors le téléphone de ta poche. T'as encore de la batterie, mais toujours pas de réseau. Tu redémarres ton téléphone, tentes de connecter à internet, puis d’appeler quelques numéros d'amis, en vain. L'appel est coupé avant même d'avoir sonné. Impossible d'appeler quelqu'un, impossible d'appeler à l'aide. Nan nan nan, t'arrives pas à y croire, tu ne peux pas rester dormir dehors, dans le froid et avec des bêtes sauvages. No fucking way. Tu tentes encore une fois de composer un numéro, en vain. Avec rage, tu claques plusieurs fois ton téléphone dans la paume de ta main en marmonnant. « Putain, putain putain. » C'est pas possible, tu ne peux pas rester ici, tu ne vas pas y survivre. Tu ranges le téléphone de ta poche et résiliée, disposes le bois comme tu imagines un foyer, dans ta tête. Tu attrapes ensuite l'allume-feux en contemplant le petit objet dans tous les sens, te demandant bien comment cela fonctionne. Tu ne relèves même pas qu'Andres a terminé de monter la tente et qu'il approche derrière toi. C'est seulement lorsqu'il te demande si tu as besoin d'un coup de main que tu remarques avec un sursaut qu'il est juste là. « Hin, quoi ? » Sa tête glisse à côté de la tienne, pour remarquer qu'il n'y a... rien. T'as même pas été capable de faire une tentative, car tu n'as absolument aucune idée de comment fonctionne cet objet. Tu n'as jamais eu à en utiliser, auparavant. Il désigne du doigt ton affaire qui ressemble visiblement à tout sauf la promesse d'une réussite. Il te demande alors combien de feux tu as déjà allumé. S'il savait... « Heu... comment dire. » Zéro. Ça doit se voire, non ? Tu viens placer l’objet dans ses mains en ruminant « Arrête de te moquer de moi. » Tes mots s'accompagnent d'un éclat de rire tout droit sorti du cœur. Cependant et rapidement, ce son se transforme en rire nerveux, lorsque tu te souviens ce que vous êtes en train de faire et pourquoi vous devez le faire.
(Katalia Borgia)

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