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SELENA STANFORD
17 octobre 1995
journée banale pour la majorité du monde. routinière, bien trop commune. mais pas pour les silhouettes qui en pleine nuit, -nourrisson bien emmitouflée dans une couverture à la dentelle pastel, dépose le nouveau né sur le pas d’une porte. c’est pour le mieux. les mots qui rassurent quand le futur est loin d’être écrit de cette façon.
seattle
plus grande ville de l’état de washington et qui pourtant, ne donne pas matière à rêver. sûrement la faute à son quartier, au mode de vie. gamine en détresse qui trop souvent, par les lueurs de la fenêtre, se surprend à rêver d’ailleurs, de paix, de liberté.
stanford
pour ne pas dire « x ». l’abandon pur et simple où on ne lui laisse rien. pas un nom, pas une appartenance. stanford presque par obligation, imposé pour ne pas la laisser sans rien. stanford qui lui collera à la peau mais qui dans le fond ne signifie strictement rien.
selena
prénom qu’on pose sur ses épaules. calendrier qu’on ouvre à la date, saint selena qu’on fête. et sans chercher plus loin, c’est le choix final. papier remplit, démarrage dans une vie où la seule évidence est qu’on ne lui laisse aucun choix.
pansexuel
attirée par les esprits plutôt que les corps. ne se soucient guère du genre quand l’être humain dans son ensemble est bien plus passionnant.
en couple
presque trop incroyable pour être vrai. elle a alterné les relations, les échecs, les souffrances. levi pour lui apprendre l’amour, lola pour lui briser le coeur, aidan pour anéantir ses espoirs, lux pour l’achever. puis noah en guise de sauvetage, fait briller l’étoile déjà trop abimée.
nouvellement riche
application créé dans un réel but. aider les gens qui comme eux, sont dehors. pure bonté qui se fait pourtant racheter des millions, divise en deux la somme astronomique que jamais elle n’aurait cru toucher dans sa vie.
pâtissièregeorgestown cupcakes passion première qu’elle a vu émerger petit à peu. concentration lui permettant d’oublier pour quelques heures les difficultés d’une vie parfois trop injuste. possède désormais les lieux, s’épanouie dans son millieu.
influenceuse réseau social qui l’intrigue en premier lieu. observe instagram et les vies de rêves déployés, comprend bien trop vite que ça ne reflète jamais la vérité. et à son tour, elle apprends à poster les bonnes photos au bon moment. faciès qui attire, transparence appréciée. lenaland, étoile montante dans le milieu des influenceurs en vogue.
— électron constamment libre, avide de liberté. elle choisit, vit comme elle l’entend. décide du rythme qu’elle souhaite donner sans jamais se soumettre aux règles que l’on voudrait lui imposer. ancienne gamine torturée qui a choisit de ne plus jamais dépendre des autres, de ne plus jamais laisser qui que ce soit dicter ses droits.
character
complexe mais puissante, personnalité trop forte, personnalité qui dérange. lena, elle ne se laissera jamais marcher sur les pieds. sûrement parce qu’elle a déjà trop subi dans son passé. gosse qui déborde de courage, n’a pas froid aux yeux, n’a pas peur de grand chose. poupée nerveuse qui répond en puissance quand elle se sent attaquée, riposte de plus belle quitte à tout faire éclater. méfiante de nature, difficile à berner. l’observation comme don, analyse chaque seconde le monde qui l’entoure, interprète chaque action. bien sûr qu’elle est agaçante la gamine aux allures de rébellions, bien sûr qu’elle fait lever les yeux au ciel mais princesse déchue se fout de l’avis général, des mots qu’on posent sur son épiderme, de l’avis que l’on porte sur ses actions. selena, elle est intenable. les réactions disproportionnées, la violence qui émane du corps frêle, la vulgarité comme couverture de survie. c’est les insultes qui fusent quand elle se sent touchée, refuse de laisser gagner les autres, crieras toujours plus fort. trop endommagée pour vivre autre chose que des relations tourmentées. les conflits qui virent au rapport de force, indéniablement. terriblement honnête, sûrement trop pour être réellement appréciée. zéro filtre. si elle pense, elle dit. et du haut de ses vingt quatre ans, elle semble parfois n’en avoir que six, tempérament d’une gamine trop intrépide. et elle en vient aux mains souvent, décharge la colère parfois trop violemment. les genoux écorchés, les pommettes gonflées. lena c’est une grenade qu’on dégoupille jour après jour, qui fait toujours un peu trop mal.
moodboard
she wore a smile like a loaded gun, (( touch me and you’ll burn )), underestimate me, that’ll be fun, a girl who does what she wants and says what she wants, (( don’t bleed on my floor )), what doesn’t kill me better run, in my defense, i was left unsupervised, (( tell the wolves i’m home )), i met evil when i was only a child, i said i’m fucking fine, ((for you, i would )), broken girls blossom into warriors, i may be heartless, but you’re naive, (( badass with a big heart )), she combine a mean angel and a kind demon, dead, but not allowed to die alive, but as good as dead, (( still. i rise. ))
please don’t stop the music
music one, world off. - miss you 2 ; nina nesbitt, gabrielle alpin - dionysus ; bts - miroh ; stray kids ; truth heart - lizzo - goodbyes ; post malone - lights ; bts - lost in japan ; shawn mendes - tempo ; exo - if i can't have you ; shawn mendes - troublemaker ; olly murs - bury a friend ; billie eilish - two of us ; louis tomlinson - fuck feelings ; olivia o'brien - adore you ; harry styles - there you are ; zayn - used to this ; camila cabello ; put it straight ; (g)idle
other
― mesure 1m57 ; est née aux usa, à seattle, a passé les quinze premières années de sa vie à subir la toxicité de sa famille d'accueil, les insultes à répétions et les coups incessants - n'a trouvé la paix qu'en compagnie de kai - a vécut dans la rue, livrée à elle même pendant deux ans, sdf dès son plus jeune âge
anecdote une
gamine abandonnée, personne pour la recueillir, devient le fardeau de la société. vogue de foyer en foyer jusqu'à la famille d'accueil. (e n f e r ). livrée à elle même la plupart du temps, elle souffre d’un contexte familial désastreux où elle n’est pas vu comme une enfant mais comme un parasite. (un moyen d'avoir un chèque en fin de mois.) et elle subit les violences, les insultes et les diverses attaques contre sa personne, en fait une habitude, finit par croire que c’est même normal d’être le souffre douleur, avance malgré tout. anecdote deux
à l'école, c'est un désastre. peu habituée aux relations sociales, elle est considérée comme sauvage et mal élevée. c'est la gosse agressive, abîmée, que tout le monde laisse sur le bas côté. reflet d'une existence douloureuse que personne ne semble comprendre. anecdote trois
c'est tout de même dans l'appartement de son enfance que les pires scènes ont lieu. lena est la femme de ménage, le punching ball pour toutes les injustices de la vie, pour toutes les crises passagères de ceux qui l'hébergent. elle fait la cuisine, la vaisselle, le ménage, se plie en quatre pour répondre à toutes les exigences. cendrillon des temps modernes qui essuie les coups portés sur son épiderme quand ses tâches sont jugées bâclées. le silence face aux assistantes sociales, convaincue que les menaces sont vrai. si elle parle, elle ne pourra plus se relever. anecdote quatre
c'est son voisin de palier, kaiden, qui deviendra son échappatoire. lui même soumis à son propre enfer, ils passeront des nuits entières dans la cage d'escalier à refaire le monde éternellement dans l'espoir que les cris provenant des deux appartements finiront par se taire. anecdote cinq
les bonnes semaines sont celles où la gosse compte moins de brûlure de cigarette que la précédente. drôle d'idéologie de vie. elle croit dur comme fer qu'avoir mal équivaut à aimer, l'homme de la maison qui lui répète inlassablement que c'est l'amour qui lui porte qui explique la violence à son encontre. anecdote six
et c'est quand ce même homme lui fait des avances, subjuguée par le corps enfantin devenant féminin, que la peur s'installe. la douceur de sa peau découverte par le géniteur, lourd secret qu'elle garde des viols à répétition. elle est abusée, abimée et fait promettre à kai de la suivre, de fuir, de disparaître de la surface de la terre. anecdote sept
le lycée est un calvaire, les insultes à son encontre auxquelles elle répond avec les mains. lena est toujours dans diverses attaques, les bagarres qu'elle enchaîne, ne répond qu'avec ses poings comme si ce serait suffisant pour se débarrasser du poids de ses peines. ( cause perdue, les enfants dont on ne se soucient pas). anecdote huit
plan mis en place, des semaines à voler respectivement ce qu'ils peuvent dans le creux de l'appartement jusqu'au jour j. ils se retrouvent dans le parc en face du bâtiment délabré. les gosses de quinze et seize ans qui choisissent de tout laisser derrière eux, de partir sans jamais se retourner. adieu seattle, bonjour boston. anecdote neuf
c'est dur et les vivres disparaissent rapidement. pas d'argent, pas de diplôme, pas d'avenir. deux longues années qu'elle passe dans les rues, à crever de froid, à se battre pour essayer de survivre à tout ce que la vie semble lui voler. les pires moments sans le moindre doute. vole dans les magasins pour survivre, pour se nourrir convenablement. anecdote dix
une supérette basique et une lena fatiguée qui s'installe entre deux rayons. ouvre les paquets de céréales, mange à même le sol. la menace d'appeler les autorités et la gosse qui s'en fiche, continue à se remplir l'estomac sans broncher jusqu'à ce que le gérant intervienne. pas d'autorité, un job offert, un espoir pour la première fois. anecdote onze
premier appartement, premier revenu. une vie pauvre mais toujours mieux. elle entraîne kai avec elle et à deux, ils réfléchissent, créent une application visant à aider ceux qui comme eux sont dehors. application miracle soudainement racheté par un géant, les millions de dollars qui pleuvent, l'extrême richesse. anecdote douze
lena est compliquée, lena ne sait pas faire face. elle est trop jeune et son quotidien est un désastre. les soirées qu'elle enchaîne encore et encore, le groupe de potes qu'elle rencontre, désabusés, comme elle. ils deviennent son monde et c'est avec eux qu'elle part à la dérive. l'alcool, les drogues surtout. coke, sa prédilection. anecdote treize
c'est dans cette période qu'elle rencontre levi. l'ami d'un ami. le coup de foudre au premier regard. le genre qu'on explique pas, qui survient soudainement sans qu'on s'y attende. l'amour passionnel qui les lient, les promesses de jour meilleur jusqu'à l'accident. la gosse abîmée qui tombe enceinte. et si levi semble prêt à prendre ses responsabilités, lena continue à se détruire. anecdote quatorze
les drogues qui continuent à pleuvoir pendant toute sa grossesse, le désintérêt total pour l'être qu'elle porte en elle. levi qui pose les ultimatums et selena qui promet éternellement sans jamais rien faire pour changer. jusqu'à la naissance de yeri, véritable miracle non endommagée par les frasques de sa mère. et elle promet encore une fois. essaye réellement cette fois. sans réussir, sans s'en sortir. elle finit par disparaître de la circulation, abandonne derrière elle homme et enfant. anecdote quinze
et peut être la maturité qui vient finalement. le besoin de grandir, d’aller mieux. désintoxication qui pour une fois ne se solde pas par un échec, qui l’aide à avancer. deux ans de sobriété derrière elle et pourtant les même combats à chaque fois. celui de ne pas replonger, de ne pas se laisser couler. le tout dans le but de la retrouver elle ; yeri. besoin de rattraper ses erreurs, de connaître sa fille, partager sa vie.pseudo killing boys
âge born in 2002
nationalité baguette.
forum connu par... someone a long time ago.
ILH, j'en pense quoi ? si on était payé à rp on serait riche.
autres comptes ? @Eunji Min @Luna Moon @Roxane Sears @Yeji Shin @Yeonjun Bae
avatar utilisé lily maymac
crédits images killing boys (av) tumblr (icon)
nombre de mots par rp à l'inspiration.
type personnage inventé.
summer camp
je souhaite participer au summer camp ; [] oui [X] non
si oui, souhaitez vous faire partie d'une équipe ; [] oui [X] non
code métier
nom du lieu + nom du métier : j'y suis déjà, faudra juste remplacer alix par selena, j'mets quand même le code du coup.
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@"Selena Stanford" » <i>(propriétaire + pâtissière)</i>
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» <span class="pris">LILY MAYMAC</span> » @"Selena Stanford"
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<!-- selena stanford --><div class="grid-item fem citi fire america pan tour"><figure><img src="https://64.media.tumblr.com/69d7d15887aae985a6730cf6d99c95db/tumblr_pzn2x2pabu1w76dvfo6_500.png" /><img src="https://66.media.tumblr.com/af750344c3f15819eac7a5f0572a6c54/tumblr_inline_pkbsx3ykyT1ubroq8_500.gif" class="cover" /></figure><div class="content"><div class="name"><h2>SELENA<br />STANFORD</h2></div><div class="info"><div class="face">LILY MAYMAC</div> · <div class="age">24 ans</div><div class="activity">PÂTISSIÈRE / INFLUENCEUSE</div><div class="more"><a href="https://www.i-love-harvard.com/u3670">mon profil</a></div></div></div></div>
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