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Une histoire de jeux d'enfant
Guitare et mélancolie.
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E. Rory McGillian a écrit:
The Middle East ◈ Rory McGillian Emily Prescott Une histoire de jeux d'enfantGuitare et mélancolie.
'étais assis sur au bar avec l'envie de boire se soir quand soudain une jeune femme m'apella par mon prenom... Ce qui était bizarre car je me suis pas présenté par mon prénom mais pas mon second prénom Elwyn histoire de ne pas donner mon identité et que je me fasse lincher à Harvard : « Bonsoir Rory. » Ce fut une jeune rousse, les cheveux court le regard glacial surement a cause des cernes et ses yeux injectés de sang comme ça elle peut faire peur je fronça les sourcil pour essayer de trouver a qui cette personne me faisait penser, bizarre ses yeux me rapellait quelqu'un mais il y a beaucoup trop de temps que je n'ai vu cette personne... Je me souuviens d'elle, elle s'apellait Emily. Quand j'avais 17 ans je voulais me faire un peu d'argent pour me payer mon matos a dessin et j'avais poster dans toutes les boutiques une annonces ' Ronald McGillian vous propose court de guitare pour débutant", ce fut le père d'Emily qui me contacta pour que je vienne chez eux donné des cours à leurs filles. Les premiers jours de cours le Père de Emily resta avec nous peur que je soit un trop beau gosse qui allat se taper sa fille de Onze ans. Moi qui n'étais vraiment pas comme ca a cette âge là je n'ai pas interessé par le sexe, ma drogue etait la peinture et je ne pouvais y resister soudain je vis clair c'était Emily...: « Par Odin! Emily? Cela fait énormement longtempps tu es été toute... Petite enfin ca fait quoi... 7 ans qu'on ne sait vu non? »
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E. Rory McGillian a écrit:E. Rory McGillian a écrit:
The Middle East ◈ Rory McGillian Emily Prescott Une histoire de jeux d'enfantGuitare et mélancolie.
e dois dire que j'étais étonné de voir Emily ici, cela me remontait a loin dans mon esprit et surtout cela me rapellait les mauvais souvenir de ma mère qui me jeta à la porte le jour de mes 18 ans, seul avec un sac et ma Guitare je suis partit sur les routes. Voulant quitter l'Irlande qui m'a jeter des pierres durant mon départ. Le froid m'avait épuisé de part en part, je savais que je quitterait du lourd en partant mais mon amour Violet était partit avec son père loin de Dublin... Taram venait d'arriver je ne l'ai pas connu ce frère qui vit a présent avec moi. Tout avait changé chez moi et le faite qu'elle me dise que je n'avais pas changé me fit legerement rougir c'est en me disant: « 7 ans, oui. Toi, tu n'as pas changé.» mes joues firent a un rosé très lèger qui faisait apparaitre mes taches de rousseur d''Irlandais de souche et je lui dit doucement: « Je n'ai pas changé? EH bien Emily je te remercie » dis-je d'un leger rire avant de reporter le rhum a mes lèvres qui me rechauffa de nouveau la gorge. Que j'aimais cette boisson qui me laissais pantois a chaque gorgées bu et jelui dit: « Certes la dernière fois que jt'ai vu tu n'avais que Onze ans mais tu as bien grandit depuis tu es devenu unbelle jeune fille... Mais attend je t'ai déjà croisé durant l'année tu es une Lowell? Tu as contiinué la musique? C'est formidable ca! »
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J « Oui, j'étudie en première année de médecine ici, j'ai un peu suivit malgré moi les traces de mon père.» Mon père, cet homme que je ne comprenais pas, et que d'ailleurs je ne voyais qu'aux grandes occasions. Peu être que j'avais choisi la médecine par désespoir de me rapprocher de ce qui me restait de parent. « C'est bizarre, je ne t'avais pas reconnu avant. Je suis chez les Lowell ouais. J'ai continué le piano et le chant, par contre, la guitare, je t'avoue que depuis que tu es parti, j'en ai plus trop touché. C'était surtout Léo qui jouait. » D’évoquer Léo me rappelait son absence, je perdu un peu mon sourire et bu cul sec mon verre de vodka. J'avais besoin d'oublier ce soir. De me changer les idées, et j'étais tomber sur la bonne personne pour occuper ma tête ne serait ce qu'un soir. |
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J « Il va bien, du moins, autant qu'il peut aller bien de l'autre coté. Il est décédé, cet été. » Je me levais alors du tabouret de bar, fouillant dans mes poches, et me dirigea vers la sortie. C'est bon, j'avais de quoi fumer, et quelques cachets qui traînaient, histoire de pas finir sous la couette entrain de chialer comme une môme. Je devais être forte, ça faisait 6 mois maintenant. « Désolé, je sors, il faut que j'aille fumer » Enfaîte, j'essayais surtout de l'esquiver, car je sentais les larmes dans mes yeux monter. J'étais fatiguée, j'avais pas mal bu et fumé, du coup, j'étais vite émotive, surtout sur ce sujet là. Je sorti du bar, et m’installa contre un mur sur la devanture. J'allumais mon joint en m'empressant de sécher mes larmes. |