LULLABY H. SAWYER ►Hailey Baldwin Bieber

Femme du monde, reine des glaces assoiffée de sang. Tu veux dominer le monde à ta manière. Les confréries pour toi c’était pas nécessaire, surtout parce qu’à toi toute seule tu en représente une. Mais le goût d’en avoir toujours plus aura eu raison de toi. Désire plus que tout avec détermination faire ce que bon te semble. Abandonner ? C’est pas ton truc. Poing cintre poing pour tout déchirer. Lullaby a une image hautaine et vindicative, tu peux dire merci à tes blessures. C’est pour ça qu’à la rentrée 2020, tu a demander d’intégrer Pforzheimer House, celle qui colle à ta peau. Ce n'est pas juste une jolie poupée de chiffon - ce n'est pas juste une image sans son - Lulla, tu fais peur. Tu sais faire marcher autant ton physique que ton cerveau pour arriver à tes fins. Tu a découvert cette confrérie et tu l’aimes, et tu sais qu’aujourd’hui tu es un pilier dur. Une maison auquel tu es dévouée. Tu y connais les valeurs, les règles, les secrets de fabrication scellés à tout jamais.

Lorsque tu entends le nom de famille « Sawyer»  résonner à tes oreilles, tu as parfois du mal. Tu ne le supportes plus et pourtant tu a essayez de t’habituer, c’est le mensonge au bout de la langue. Encore. L’énième. Tu as arrêté de les compter tellement il y en a eu. Alvaro-Malakhov, voilà qui tu es réellement. Rien n'aurait pu te retenir de recouvrir ce nom et pourtant. La vie a été si injuste avec toi. Alvaro-Malakhov à jamais gravé sur l'échine de ta peau. Pauvre être torturé. Tu a voulu en savoir plus sur tes origines donc tu es partie d’abord en Espagne, puis après en Russie et tu y es rester quelques mois. Pays des origines de ton père, pays que tu aurais tant souhaité chérir encore et toujours. Mais tu détestes cet endroit désormais. Tu craches sur tes origines, parce que tu les déteste. Tu le déteste. Après tout c'est de sa faute à lui, si vous avez traversé tout ça. Y a cette amertume soudaine qui brûle l'oesophage. La haine qui ronge le sang dans les veines. Pauvre enfant brisée. Tu a été abandonner par ta salope de mère, trop pencher sur la bouteille et sa coke dans le nez pour s’occuper de toi, elle t’a mis emballer dans une poubelle près d’un orphelinat. Ils t’ont recueilli jusqu’à ce qu’une famille aussi paumée que ta dégénérer de mère te recueille chez eux. Tu a juste hériter de ce nom de famille ridicule qui sort de nulle part. Ta famille adoptive était néfaste pour toi, ta mère adoptive  t'as montré l'art de manier les plantes et leur effet. Néfaste ou bienfaisant. Jouant avec la chimie avec brio, lunettes sur les yeux, tout devient limpide. Manipulation dangereuse qui aujourd'hui s'avère être plus qu'efficace. Ton père adoptif, quant à lui, t'as donné son amour pour la nature et les chevaux. Tu as eu ton premier étalon à l'âge de sept ans. Montant comme une professionnelle, tu as toujours apprécié cette sensation fraiche de liberté. Il n’était pas si méchant celui-là, il lui restait quand même deux trois parcelle d’humanité. Malheureusement, le bonheur ne dure qu'un temps et pour toi il fut bien rapidement mis à terme. En vacances avec tes parents, le rêve vire au cauchemar. Endormie, tu te débats à ton réveil pour découvrir l'horreur. Des chaines, un endroit clos, enfermé dans le noir loin de toute lumière du jour. Un choix à faire, dérangeant et obligatoire. Tu découvris l’horreur, tes parents adoptif sont morts tous les deux. Atrocité qui gagne peu à peu ta mémoire. Tu cris, tu pries pour que ce soit qu'un mauvais rêve. Non, c'est l'enfer réel sur cette Terre. Tu es aller dans un foyer cette fois-ci jusqu’à ce qu’un mec vienne te chercher : Ton jumeau séparer a la naissance. Celui qui a vécu avec ton père en Russie, il a toujours voulu savoir qui était sa sœur. Landon, c’est devenu ta bouée de secours. Tu a fait partie d’un gang bien précis « les serpents », c’est là que tu a rencontrer le mec qui a chavirer ton cœur à tout jamais : Harry. Comme c’était bon de lui appartenir et de savourer la vie a ses côtés, vous vous aimez d’un amour fusionnel que personne ne pourra jamais comprendre. La caresse au creux des reins, frisson sur la peau. Effluve d'amour, tendresse, douceur. Déstabilisée, ton coeur frôle l'overdose, l'écume des jours heureux au bord des lèvres. Délice ultime. Euphorie d'antan, qui s'estompe, balayant les souvenirs du passé. Tu tombe enceinte de ce mec que tu aimes tant, il te promet toutes les merveilles du monde, mais ce fut encore une lubie... il est comme les autres : un sale menteur de merde. Il t’emmène loin d’ici et te manipule tellement le cerveau que tu prends ses comprimés pour avorter. Putain de saloperie ! Il te menace de ne rien dire a personne sinon le gang allait te tuer sur le champ et tu a tellement peur que tu prend tes jambes a ton cou, disparaître semble être la meilleure chose a faire. Courir, fuir, à chaque fois, à chaque pas. Pendant deux longues années c’est ce que tu fais et seule bien entendu, course poursuite est lancé. Une chasse à l’homme. Destin funèbre qui s'étale dans les allées des villes traversées. Changement d’identité et tu te fait appeler Lullaby ton vrai prénom que personne a part ton frère connaît. Au revoir Lilith ce prénom maudit a jamais. Tout va trop vite, beaucoup trop. Tu comprends plus, tu comprends pas. T'es perdue mais tu suis le mouvement, tu suis là raison plutôt que le cœur. Tu te construit une vie loin de tout le monde,sauf que tu garde quand même le contact avec ton frère, lui seul peut savoir. Mais ça ne t’empêche pas d’avancer et de construire ta vie. Tu deviens une personne totalement différente d’avant. Depuis que tu a gagner au loto ta vie et ton train de vie a totalement changer et désormais tu ne te fera plus avoir par personne. Haine. Rancoeur. Rage. Mais ce n'est pas le moment de penser à ça. Tu es la proie. C'est comme si la mort venait te chercher, berçant ton âme en douceur. Tu attrapes sa main, jusqu'au jour où l'espoir ressurgit. Merveille disparue, envolée, emportée. Trop tôt. Amertume sur la langue. Déchirure intense au fond du coeur. Haine désirant assouvir une demande de revanche. Vengeance tranchante. Mouvements fluides emportant ton corps dans une danse frivole. Tel un elfe, tu t'élances, titubant, foulant le sol. Jambe tendue vers le ciel, cheveux dans le vent, tes pas sont légèrement hésitants. La danse a toujours fais partie de toi, et ceux dès que tu su marcher. Corps qui s'élance, tombe puis recommence. Passion dévorante, passion déchirante. Malgré la douleur tu continuais, persistant toujours un peu plus. Forçant ton corps aux plus grands efforts. Tombant souvent de fatigue, épuisée d'un entrainement de guerrière. Caractère forgé dans la pierre à chaud. Tu sais comment te battre grâce aux enchainements appris, connu par coeur par ta mémoire. Coeur froid désormais, la vengeance fait partie de tes veines. Amour d’un jour, devenu un ennemi maintenant. Tu le sais maintenant que Harry s’est bien moquer de toi, t’obligeant a avaler de la merde pour avorter. Deux semaines que tu es à Boston, tu es au courant que ton premier amour, celui qui t’a brisée est là. Il réapparait. Mystère, étrangeté si familière. Doutes qui s'estompent, s'effacent. Laisse place à un sentiment nouveau. Le coeur qui ne s'en remet pas. S'en est fini de toi, définitivement. Tu tombes, il tombe avec toi. Futur aux consonances inexistante. Les cris qui se mêlent aux larmes. Déchirure. Tu perds à nouveau pieds. T'es foutu. Tu te sens mourir, peu à peu sombrant dans la noirceur. Coeur glacial. L'air devient toxique. Coeur rongé par la culpabilité. C'est ta faute. Les démons sont de retour. La douleur a abattu sa nouvelle carte. Bizarrement ton jumeau a eu un grave accident, tu le sait que c’est signer « les serpents », il est dans le coma a cause d’eux. Tu l'as perdu, à jamais. Sueurs froides. Le seul être à qui tu avais autorisé de montrer tes faiblesses. Confiance pour être reperdue. Mort. Mot qui roule en boucle dans ta tête. Souffle volé sur tes lèvres. Le manque qui pèse sur l'âme. Pourquoi lui faire du mal et pas toi ? Cruelle vie qui continue de s'acharner. Débat constant avec madame la faucheuse. Tu as perdu la partie. Ou pas. Tu n’as pas dit ton dernier mot. Tu a choisi de t’occuper de ton frère et aussi de vivre ta vie par la même occasion, tu n’es plus là paumer d’avant. Le déchet de l’humanité et tu compte le faire savoir. Revenir dans la vie d’Harry et lui faire regretter comme il se doit. Comme il ne t’a jamais aimer autant lui montrer qu’il a perdu la seule fille qui aurait tout fait pour lui, même si a cause de lui tout est devenu froid dans ton cœur. Au premier regard, c’est un ange, mais très vite on se rend compte que c’est beaucoup plus que ça.Tu  ne fait confiance en personne. Parfois tu fait peur. Nonchalante. Les gens ont peur de toi, peut-être parce que tu les intimide. De son regard candide. De ces sourire désarmant. Le feu et la glace. A se faire rebelle. A se faire douce et énigmatique. Femme étincelante. Qui pique sa crise. Qui veut les bras de son amour. Et puis non. Qui cache sa douleur lunaire. Qui crie au vent. La flamme, le feu. Les vagues et l’océan. La lave et le volcan au réservoir incandescente. La fusion à grande profondeur. Nuée ardent de douceur. Féminité biaisée. Barrée de son sourire navrant. Le bruit de la pluie, à la fois calme et doux, mais qui claque violement sur les fenêtres lorsqu’il y a du vent, cette petite chose apaisante qui te rassure Courir le matin, quand on peut toucher du bout des doigts ce moment où le monde se réveille, où les rue commence à s’animer pour vivre à cent à l’heure Tu es fan de cinéma mais pas tous les films : les films romantiques c'es pas ton truc, tes films du moment sont ; Avatar, La ligne verte, No limit, Casablanca et Carrie. Tu aime un tas de choses, mais dans ta douleur, quand tu souffre trop il t’arrive de boire sans s’arrêter et de danser Tu es bien la seule à ne pas supporter les petits déjeuners c’est simple et clair comme de l'eau de roche. Tu ne prend jamais pour en prendre. Il t’arrive de te plonger dans ta petite bulle en lisant n'importe quel auteur : les bouquins c'est une fn de s'exprimer sur le monde Tu peux manger des cornichons avec n'importe quoi, c'est hallucinant tout ce que tu peux avaler L’odeur piquante de l’essence qui te rappelle que tu es en vie et que tu a beaucoup de chance C’est une pro au poker, peut être que c’est pour ça tu a été un atout primordiale chez les serpents, avec son air de femme sexy tu peux duper tout le monde Tu a deux côtés en toi, celle d’avant la gamine de brooklyn qui était pire qu’une sale vermine et maintenant tu es la riche garce sans cœur que tout le monde redoute Tu parle 6 langues : le russe, le chinois, l’anglais, l’espagnol, l’allemand et l’italien.

Tu portas ta tasse à ta bouche pour boire une gorgée de ce liquide chaud caféïné. tu poussas un long soupir avant de te remettre à bosser sur cette dissertation. il était deux heures vingt-neuf du mat'. on t'avait prévenu que ce genre d'études demandait du temps et beaucoup, beaucoup de nuits blanches. aujourd'hui, tu en eus la confirmation. tu te massas la nuque avant de replongé ton regard sur l'écran d'ordinateur. le grand titre que portait ta page Word était le suivant : une mauvaise influence. dans ce travail écrit, il fallait mettre en place un scénario qui pouvait conduire à une faute grave. il fallait que ce soit quelque chose de réaliste et de préférence, un fait vécut légèrement modifié. à 2h32, tu te remis à l'écriture. c'est quelques semaines plus tard que ce même texte te donna un A+ dans ton bulletin.

extrait « une mauvaise influence ».
« on ne sait jamais que ce n'est qu'une mauvaise influence jusqu'à ce qu'on soit mis en face de faits. elle semblait si innocente, si naïve et pourtant, elle aurait pu me faire faire n'importe quoi. était-ce moi qui était trop faible ou juste elle qui avait un désir constant pour le danger ? j'étais peut-être aveuglé par l'amour que je lui portait et elle, elle s'est sûrement servi de cette faiblesse pour me mettre à ses pieds d'une façon calculée et pourtant insoupçonnable. ce n'est que lorsqu'elle me proposa de braquer une banque que je compris qu'elle ne voyait en moi qu'une partenaire de crime et non pas une amoureuse. après tout, je ne connaissais rien d'elle. elle était surdouée pour laisser planer des doutes et des suppositions à son sujet. je ne savais même pas qui était ses parents ou ni même où elle avait grandit... »


Tu savais que cette pseudo histoire inventer de toute pièce c’était un peu la tienne. Après tout est-ce que Harry ne s’était pas un peu servi de toi a tes dépends ? Alors, lorsque Harvard te proposa de rédiger cette dissertation qui venait de tes tripes, fallait que ça sorte. Tu veux aider les gens qui n’ont pas eu de chance d’avoir une famille, tu comprends ça plus que personne. Tu releva la tête contente de ce que tu avais écris et prête à tout exploser. Exigence Réussite - tu a toujours été la meilleure des meilleures. Un quotient intellectuel élevé - plus haut que la moyenne. Une surdouée. En quelque sorte. Une grande intelligence, que tu préfère ne montrer qu'à certaines personnes. L'entretien fut assez long - non parce qu'il était ennuyant, mais avant tout par son excellence. Et, Lulla savait déjà qu’on avait yeux que pour son savoir. Certes, tu as encore des choses à apprendre, mais ton cerveau est bouillant. En quête de savoir et de pouvoir. Blague à part, tu fait peur mine de rien, après ça dépend de certaines personnes. Intégrer Harvard t'aidera dans ta nouvelle vie.

rancunière car le passé t'as fait ainsi, il a ancré en toi un sentiment d'amertume. délaissant la douceur qui régnait dans ton être, savourant la rancoeur prendre possession de ton coeur. parfum délectable d'un changement redoutable. • joueuse dans un sens ou dans l'autre, il y a le bon et le mauvais. tu joues parfois jusqu'à t'en brûler les ailes, mais d'autres fois tu joues car c'est nécessaire. sentiment dévorant d'une âme en peine. • captivante le regard bleuté, l'océan qui appelle, ton être attire. tu le sais et tu en joues. sirène des fonds marins, la voix enchanteresse. ton corps embrase l'essence même que les hommes te donne. • possessive parce que ce qui est à toi est à toi. personne ne touche, personne ne peut posséder ce que tu as. c'est ainsi et pas autrement. trophée d'antan, seul bien éternellement tien mais qui peut être partagé, ta famille. Celle que tu a créé toute seule. • prudente la méfiance est de taille, ta confiance tu n'accordes plus aisément. après tout ce que tu as vécu, tu as un tout autre regard sur les gens. tu sais qu'ils peuvent te trahir à tout moment, te détruire et t'emporter dans leur tombe. • sensible cauchemar incandescent d'un feu embrasé des années plus tôt. les larmes mêlées aux cris, vision d'horreur. fureur dans les veines. rage qui palpite dans les tempes. coeur fragilisé au fil du temps, devenu pierre pour mieux se protéger. • persévérante tu persistes, toujours, tout le temps. parce qu'il y a la vengeance qui cri revanche. la première partie a été jouée, mais il reste encore la deuxième. et tu n'as pas baissé ta dernière carte. • diabolique le regard sournois, le rire ironique. ton paraître est loin d'être celui que les gens t'offrent. non tu n'es pas un ange. la lumière t'as été retiré, y a plus que l'ombre, qui marche, qui se traine. • lunatique telle la lune qui ne sait que faire, elle ne se décide jamais. un jour blanc, le lendemain noir. tableau changeant, dérangé parfois. cycle qui tourne en boucle. mains et pieds liés à jamais. • protectrice envers ceux que tu tolère. tu l'as chéri, tu l'as malmène, mais ils sont tout pour toi. un tout, un accord. tel une mélodie où il ne faut pas un seul instrument pour la construire, mais plusieurs.