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Paul August Martens
feat Tom Ellis
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✧ FIRE STARTER
J'ai connu trois villes dans ma vie. Londres où je suis né et où je vais en vacances depuis mon enfance, Miami où j'ai vécu de mes cinq ans à mes vingt sept ans et, Boston où je vis depuis dix ans maintenant. Si je suis encore là après autant d'années, c'est que j'ai enfin trouvé mon "chez moi". Ce n'est pas une ville parfaite - il suffit de voir mon métier pour comprendre qu'il y a de la criminalité dans les parages - mais c'est ici que j'ai pu recommencer à zéro. Comme une seconde naissance, oui c'est ça, Boston c'est ma ville de prise de conscience sur le fait que je n'avais qu'une vie, et qu'elle commençait à l'instant où je l'avais compris.
✧ les petites anecdotes
UN. Comme parents, Paul à la chance d’avoir deux mamans (Anna et Gracie). Issu d’une adoption, il ne se sentira jamais mal dans ce contexte familial qui sort de l’ordinaire. Bien au contraire, il se sentira chanceux d’avoir deux merveilleuses femmes pour veiller sur lui. Il s’entend toujours bien avec ses mères, bien qu’elles soient en France depuis plus de neuf années. Gracie est fortunée de naissance, grâce à une entreprise dans l’industrie pharmaceutique, créée par sa famille et qu’elle vendra quand Paul annoncera son souhait d’entrer dans la police criminelle. Il ne connait pas son père biologique, et s’en moque complètement. DEUX. Adolescent turbulent, il se montrera tout de même déterminé dans ses buts. Gosse, il disait vouloir être policier. Mais quel gamin n’a jamais eu ce rêve? Ou celui d’être pompier? Sauf que pour Paul, c’était réellement un souhait qu’il réalisera sans problème. Une carrière professionnelle qui soignera un peu l’ado rebelle. Ne l’empêchant pas d’être impulsif malgré tout. Au fur et a mesure des années, il grimpera les échelons sans perdre de vue l’objectif principal : Devenir Chef de la brigade criminelle. Ce poste il l’obtiendra il y a deux ans, après huit années à servir pour les forces Bostoniennes. TROIS. Donc, sur Boston depuis dix ans, Paul aura pas mal bougé. Il est né à Londres et il y vivra jusqu’à ses cinq ans avant de déménager pour Miami, où il grandi réellement. Il retourne assez régulièrement en Angleterre, comme pour se ressourcer. Bizarrement, son ancienne ville américaine est bien loin derrière lui. En quittant Miami, il a voulu quitter son ancien lui. QUATRE. Si il est arrivé ici suite à une mutation, c’est parce qu’il y a onze ans, Paul a perdu une personne chère à son coeur. Sa fiancée avec qui il était en couple depuis ses dix-sept ans (soit neuf ans). Elle décédera d’un accident de voiture dont elle sera seule responsable. Mais il ne pourra pas s’empêcher de s’en vouloir sans savoir pourquoi. Il était fou amoureux, et n’arrivait plus à vivre dans une ville remplie du fantôme de la seule femme qu’il se voyait épouser. CINQ. Après cette tragédie, il lui faudra quasiment trois années avant qu’il ne daigne poser à nouveau ses yeux sur une fille. Petit à petit la gente féminine reprend une place dans la vie de Paul, ayant des besoins comme tout homme. En revanche, son coeur est blindé à présent, et il se sent incapable d’offrir une once de sentiments à une autre personne. Se refusant ainsi de prendre le risque de perdre encore quelqu’un à qui il aura donné tout l’amour enfoui en lui. SIX. Ce décès aura entrainer une autre chose dans son quotidien. La prise régulière de cocaïne. Il peut se passer des jours sans qu’il en prenne, tout comme il peut en prendre tous les jours pendant un laps de temps. Tout dépendra de son humeur, du stress, de sa fatigue… Mais, il n’en parle à personne. Pouvant risquer de perdre son poste, il ne voudrait pas mettre en péril sa carrière professionnelle. SEPT. Outre son travail, ce qui passionne Paul c’est l’art. Qu’il soit musical, cinématographique, de la scène, visuels… Bref il aime les sept arts et tout ce qu’ils englobent. Il tente d’ailleurs de toucher un peu à tout quand il le peut. Mais il s’est perfectionné au piano grâce au cours qu’il a prit depuis son enfance. L’instrument trône fièrement au milieu de son immense salon. HUIT. Le citron. Lui, il a une place importante dans sa vie de tous les jours. Citronnade, tartelette citron meringuée, bonbons au citron, rondelle dans un coca bien frais, du thé au citron,… Bref, dès qu’il peut en mettre quelque part, il le fait. Même pour nettoyer, il adore les produits au citron. Ne vous étonnez pas si un jour il devient rond et jaune. NEUF. Quand il lui arrive de penser à sa retraite, Paul se dit qu’il aimerait ouvrir un truc à lui. Dans l’hôtellerie restauration tout particulièrement. Maintenant, il espère uniquement atteindre l’âge de celle ci, et ne pas mourir brutalement dans ce métier qui est à risque. DIX. Pour s’entretenir physiquement, et rester un bon lieutenant sur le terrain, il pratique un peu de sport. Surtout de la musculation et les trucs autour comme du cardio, du gainage et tout le tralali-lala. Au moins deux bonnes séances par semaine. Puis faut l’avouer, ça permet aussi d’évacuer pas mal de tensions. ONZE. Paul à parfois des moments de solitudes extrême. C’est rare et ça ne dure jamais très longtemps, mais quand ça arrive il se coupe entièrement du monde. Il s’enferme chez lui et s’occupe de différentes manières. Soit avec de la musique, un film, ou simplement dans un silence complet le regard vide. DOUZE. C’est un grand collectionneur de costumes en tout genre. Et dans tous les coloris possible. Il à une pièce chez lui qui est devenu un dressing, où se dresses vêtements et chaussures. Très soucieux de son apparence et maniaque, tout doit toujours être en ordre. TREIZE. Grand amateur de whisky et de cognac, il possède de très bonnes bouteilles dans son bar. Accompagnant son petit verre quotidien d’une cigarette. Sportif, mais pas trop. Il est d’une addiction qu’il ne réussi pas à se défaire. Mais Paul se promène toujours avec son parfum pour ne pas sentir le tabac. QUATORZE. Comment est-il comme chef? Assez cool, mais très chiant. Il aime quand le travail est bien fait, et Paul, il veut être entouré des meilleurs. Parfois, pour saisir les personnalités et caractères de ses subordonnés, il en devient très taquin ou même piquant. Ne dit-on pas qu’une personne ne se révèle vraiment qu’une fois en colère? Il n’en reste pas moins humain, et n’hésite pas à jouer au grand frère. QUINZE. Perdre quelqu’un de cher est sa plus grosse phobie, mais à coté de cela, il a peur d’attraper une maladie grave. Mourir ne l’inquiète pas, mais il ne veut pas que ce soit d’un cancer ou autre truc incurable. Il préfère de loin se prendre une balle pendant une intervention. Je crois que c’est surtout qu’il ne veut pas de changement physique ou mental. Paul il a besoin de tout contrôler.
✧ le caractère de con
Quoi qu'il fasse ou quoi qu'il mange, Paul ne connaîtra pas le problème de l'embonpoint. C'est le type d'homme à l'aspect physique quelque peu desséché, au ventre plat, aux épaules droites et aux membres qui n'en finissent pas. Lorsqu'il marche, c'est comme s'il était en train d'arpenter un terrain, tellement il allonge ses jambes démesurées. La voix est grave et forte, aux chaudes intonations, celle à laquelle toute femme vraiment sensuelle aurait du mal à résister. Le regard, vif et teinté d'une certaine malice, a tôt fait de décontenancer celui qui essaie de dire un mensonge.
L'ambition est la trame de la vie de cet homme. Elle peut se traduire à tous les niveaux et dans tous les secteurs d'activité où Paul peut se trouver. Gagner beaucoup d'argent, collectionner des tas de diplômes ou de rubans, séduire le plus grand nombre de femmes possible... tout moyen lui semble bon, pourvu qu'il lui permette de briller. Il n'est pas rare qu'il arrive à ses fins, car il est amplement pourvu de dons réels. Mais l'éclat qu'il émet est souvent éphémère et le laisse insatisfait. Il doit apprendre à être modeste, ne serait-ce que pour briller mieux. "La modestie est au mérite ce que les ombres sont aux figures dans un tableau : elle lui donne de la force et du relief", disait très justement La Bruyère. Ce besoin de briller, d'avoir le beau rôle, est susceptible de pousser Paul jusqu'au bord de la témérité. Il peut prendre à la légère toutes sortes de dangers, physiques ou autres, courant ainsi le risque de se casser le nez, de ruiner sa santé ou de compromettre sa carrière. Il ressemblera alors à l'éphémère qui se brûle les ailes en voulant accaparer l'éclat du feu qui le fascine.
Les jolies femmes sont la grande affaire de la vie de Paul, non parce que sa sexualité est exceptionnellement débordante mais parce qu'elles constituent pour lui un sujet de prestige. Paul ne prise rien tant que la possibilité de s'entourer de beautés qui vous coupent le souffle, de les épater, de les dresser par jalousie les unes contre les autres. Il veut aussi se faire le champion des plus beaux spécimens du sexe dit faible. Ce serait lui faire une injustice que de le traiter de papillon volage. Il n'est pas plus enclin à l'infidélité conjugale que d'autres hommes et peut même ne s'attacher qu'à une seule femme toute sa vie. S'il fait la cour à d'autres femmes que la sienne, c'est uniquement par souci de plaire, et par ce coté séducteur naturel. Celle qui l'aime a intérêt à prendre conscience de ce fait et à ne pas prendre inutilement ombrage des agissements de son mari (ou son amant). Ce qu'il aime, c'est les femmes au gros caractères. Plus elles le piqueront, plus il sera à courir. Ce qui inversera les rôles pour une fois.
Je pense objectivement que Paul est quelqu’un de bien organisé et donc susceptible de diriger. Toutefois, ne vous méprenez pas à son sujet, il n'est pas un tyran : si il aime être le leader, c’est simplement qu'il a conscience de savoir mener une équipe et un projet mais, en fait, il supporte assez mal que les autres se reposent sur lui et manquent d’initiative car il préfère fréquenter des gens dynamiques et ambitieux, un peu comme lui quoi.
Il a du goût, en tous les cas on lui dit souvent qu'il est bien habillé, que sa maison est bien décorée. D’ailleurs, il a des facilités pour tout ce qui concerne l’art, le beau, l’esthétique, le luxe. Le mot juste est « raffiné » mais cela fait pédant car je crois que nos sociétés modernes ont tendance à perdre le sens de la subtilité et il trouve le monde assez vulgaire. Sans doute peut-on dire de lui qu'il est un peu réactionnaire mais si c’est là le prix à payer pour défendre ses valeurs, et bien soit ! Un mot au sujet de l’orgueil, de la vanité dont on l’affuble si facilement? Certaines personnes tombent peut-être dans cet excès mais quant à lui, il ne pense avoir que de la fierté et, jusqu’à preuve du contraire, ce n’est pas un défaut. Cela peut en amener d’autres, c’est vrai et il sait par exemple être assez chatouilleux, susceptible et ne guère aimer qu’on le relègue au second plan ou que l’on lui donne des ordres - c'est bien pour cela qu'il est devenu chef - . Par dessus tout, il déteste être contredit en public ou plus encore être humilié. Mais c’est là la marque d’un caractère fort, n’en déplaise à autrui ! Et puis, cela permet de toujours rester digne et un peu plus de dignité dans ce monde serait sans doute profitable.
Son point faible, c'est son cœur et pas seulement au niveau physiologique comme le dit la tradition… L’amour est pour lui le centre de la vie : amour de la famille, du partenaire, de l’art, de son travail… Bref, c’est sans nul doutes ses sentiments qui lui permettent d’avancer, qui lui donnent ma force. Notez au passage que l’amour du travail le rend extrêmement consciencieux. Notez également que l’amour du luxe, du plaisir, des belles choses,... Il préfère posséder peu de belles choses plutôt que beaucoup de médiocres : la qualité prévaut sans nul doute pour moi sur la quantité.
On lui attribue parfois une certaine froideur, toutefois, j’aimerais finir en précisant que ce détachement émotionnel est une sorte de sécurité pour Paul : Il sait compatir sans s’effondrer. Bon, ok, je le concède, il est bizarre mais il n'est pas le seul !
L'ambition est la trame de la vie de cet homme. Elle peut se traduire à tous les niveaux et dans tous les secteurs d'activité où Paul peut se trouver. Gagner beaucoup d'argent, collectionner des tas de diplômes ou de rubans, séduire le plus grand nombre de femmes possible... tout moyen lui semble bon, pourvu qu'il lui permette de briller. Il n'est pas rare qu'il arrive à ses fins, car il est amplement pourvu de dons réels. Mais l'éclat qu'il émet est souvent éphémère et le laisse insatisfait. Il doit apprendre à être modeste, ne serait-ce que pour briller mieux. "La modestie est au mérite ce que les ombres sont aux figures dans un tableau : elle lui donne de la force et du relief", disait très justement La Bruyère. Ce besoin de briller, d'avoir le beau rôle, est susceptible de pousser Paul jusqu'au bord de la témérité. Il peut prendre à la légère toutes sortes de dangers, physiques ou autres, courant ainsi le risque de se casser le nez, de ruiner sa santé ou de compromettre sa carrière. Il ressemblera alors à l'éphémère qui se brûle les ailes en voulant accaparer l'éclat du feu qui le fascine.
Les jolies femmes sont la grande affaire de la vie de Paul, non parce que sa sexualité est exceptionnellement débordante mais parce qu'elles constituent pour lui un sujet de prestige. Paul ne prise rien tant que la possibilité de s'entourer de beautés qui vous coupent le souffle, de les épater, de les dresser par jalousie les unes contre les autres. Il veut aussi se faire le champion des plus beaux spécimens du sexe dit faible. Ce serait lui faire une injustice que de le traiter de papillon volage. Il n'est pas plus enclin à l'infidélité conjugale que d'autres hommes et peut même ne s'attacher qu'à une seule femme toute sa vie. S'il fait la cour à d'autres femmes que la sienne, c'est uniquement par souci de plaire, et par ce coté séducteur naturel. Celle qui l'aime a intérêt à prendre conscience de ce fait et à ne pas prendre inutilement ombrage des agissements de son mari (ou son amant). Ce qu'il aime, c'est les femmes au gros caractères. Plus elles le piqueront, plus il sera à courir. Ce qui inversera les rôles pour une fois.
Je pense objectivement que Paul est quelqu’un de bien organisé et donc susceptible de diriger. Toutefois, ne vous méprenez pas à son sujet, il n'est pas un tyran : si il aime être le leader, c’est simplement qu'il a conscience de savoir mener une équipe et un projet mais, en fait, il supporte assez mal que les autres se reposent sur lui et manquent d’initiative car il préfère fréquenter des gens dynamiques et ambitieux, un peu comme lui quoi.
Il a du goût, en tous les cas on lui dit souvent qu'il est bien habillé, que sa maison est bien décorée. D’ailleurs, il a des facilités pour tout ce qui concerne l’art, le beau, l’esthétique, le luxe. Le mot juste est « raffiné » mais cela fait pédant car je crois que nos sociétés modernes ont tendance à perdre le sens de la subtilité et il trouve le monde assez vulgaire. Sans doute peut-on dire de lui qu'il est un peu réactionnaire mais si c’est là le prix à payer pour défendre ses valeurs, et bien soit ! Un mot au sujet de l’orgueil, de la vanité dont on l’affuble si facilement? Certaines personnes tombent peut-être dans cet excès mais quant à lui, il ne pense avoir que de la fierté et, jusqu’à preuve du contraire, ce n’est pas un défaut. Cela peut en amener d’autres, c’est vrai et il sait par exemple être assez chatouilleux, susceptible et ne guère aimer qu’on le relègue au second plan ou que l’on lui donne des ordres - c'est bien pour cela qu'il est devenu chef - . Par dessus tout, il déteste être contredit en public ou plus encore être humilié. Mais c’est là la marque d’un caractère fort, n’en déplaise à autrui ! Et puis, cela permet de toujours rester digne et un peu plus de dignité dans ce monde serait sans doute profitable.
Son point faible, c'est son cœur et pas seulement au niveau physiologique comme le dit la tradition… L’amour est pour lui le centre de la vie : amour de la famille, du partenaire, de l’art, de son travail… Bref, c’est sans nul doutes ses sentiments qui lui permettent d’avancer, qui lui donnent ma force. Notez au passage que l’amour du travail le rend extrêmement consciencieux. Notez également que l’amour du luxe, du plaisir, des belles choses,... Il préfère posséder peu de belles choses plutôt que beaucoup de médiocres : la qualité prévaut sans nul doute pour moi sur la quantité.
On lui attribue parfois une certaine froideur, toutefois, j’aimerais finir en précisant que ce détachement émotionnel est une sorte de sécurité pour Paul : Il sait compatir sans s’effondrer. Bon, ok, je le concède, il est bizarre mais il n'est pas le seul !
✧ derrière l'écran
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Widow et j'ai 27 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à moi même. J'aime beaucoup ce forum, l'intégration est vraiment folle Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de Simon A. Rosenbach (Citizens) . J'utilise Tom Ellis comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Bazzart. Je fais environ 600 ou plus si je suis inspirée mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
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☾ <span class="pris">TOM ELLIS</span> ⊹ @"Paul A. Martens"
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