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Mark Underhill
feat. Jeffrey Dean Morgan
carte d'identité |
✧ love shot
Il a grandi à New York mais sa passion pour les vieilles motos et la feraille - ainsi que les difficultés à vivre de manière plus ou moins nomades dan les alentours de New York - lui ont donné envie de déménager dans une ville qui ait des publics plus variés. Le fait que la ville soit aussi très étudiante ne lui fait pas peur, il a encore une part d'enfant dans l’âme et il ne s'en cache pas.
✧ le caractère de con
Mark est un charmeur de première. Il n'est pas laid et il le sait ; et cela peut être agaçant. Cela ne veut pas dire qu'il est sûr de lui sur tous les points, bien au contraire. Il peut se sentir mal à l'aise, face à quelqu'un d'un autre univers social et sera peut-être un peu brutal pour s'en cacher. Il est impatient mais aussi très fier et ne se laisse pas marcher sur les pieds. Il est passionné par son travail et par les nouvelles rencontres. Il aime traîner dans les bars, jouer aux cartes,... et jouer de son sourire pour faire tomber les filles. Il a beau être un tombeur, son plaisir est davantage dans la rencontre humaine et physique que dans la consommation du corps de l'autre. Il est loyal, parfois un peu défensif et très aventureux.
✧ derrière l'écran
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle daughter of circe et j'ai 25 ans. Je suis belge et j'ai connu le forum grâce à une petite recherche. Alors j'ai décidé de m'inscrire parce que le forum a l'air très actif, que ça fait longtemps que je n'ai plus fait de rp et que j'ai très envie de m'y remettre à fond. J'utilise Jeffrey Dean Morgan comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par moi pour le moment. Je fais environ 500 (mais je m'adapte à la personne en face) mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
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- Code:
☾ <span class="pris">JEFFREY DEAN MORGAN</span> ⊹ @Mark Underhill
un jour, une histoire
The Markian
Mark est né à New York en 1976. Il a grandi entre Brooklyn et Manhattan, n’a jamais été un élève très assidu – plutôt bagarreur et dragueur que bon élève. Sa mère est morte lorsqu’il était encore jeune et il fut élevé par son grand-père qui lui transmit sa connaissance en mécanique.
Il s’est rapidement intéressé aux voitures et aux motos mais là où la plupart des jeunes de son âge disaient « oh la jolie voiture neuve », Mark s’intéressait plutôt aux complexités des grosses motos et aux allures intriquées des vieilles berlines que son grand-père chérissait tant.
Jeune loubard se prenant pour James Dean, il a fait toutes les bêtises possibles, tombant parfois dans ses situations législatives complexes que ce soit en étant un danger pour les autres - avec divers véhicules, pas toujours les siens ou simplement en fin de soirée à la force de ses poings - ou pour lui-même : étant de nature assez extrême, il aime à se pousser et parfois certaines substances sont entrées en jeu pour l'aider à se pousser.
Les mains majoritairement dans le cambouis, il a rapidement compris que ce ne serait ni par l’argent, ni par la culture qu’il brillerait auprès des filles et il s’est donc forgé ce personnage de garçon puis d’homme rugueux et séduisant. Il s’est pris pas mal de murs en draguant et il a donc perfectionné son art. Aujourd’hui, il ne cherche même plus une vraie relation tant le jeu est alléchant. Même si son but n’est pas de faire du mal ou de briser un cœur, rien ne l’amuse plus que de voir une jeune femme convaincue de pouvoir le changer. Il s'est fait traité de probablement tous les noms au cours de ses aventures en expliquant qu'il ne cherchait pas davantage qu'une aventure volage et instantanée : et pourtant, n'a-t-il pas au moins le mérite d'être sincère ?
Vivant dans une caravane aménagée – notre Mark chérirait-il sa liberté ? – les contraintes légales devenant trop chères aux alentours de New York, il décida de venir vivre à Boston où la vie estudiantine ne fut pas pour le gêner, loin de là. Harvard attire en effet des nouveaux visages chaque année et cela veut dire que son terrain de chasse est sans cesse renouvelé. D'ailleurs, la caravane est généralement très dissuasive pour les filles, il met donc un point d'ordre à aller chez la fille lorsqu'il obtient un franc succès - cette technique lui permettant par la même occasion de s'éclipser lorsqu'il le souhaite quoiqu'il ne soit pas du genre à partir dans la nuit, sauf grosse déception.
Maintenant qu’il est à Boston, indépendant, du haut de ses 43 ans, Mark se sent infiniment libre et aime à se promener sur sa Harley – malicieusement surnommée Quinn – et à la faire ronronner en ville pour venir faire vibrer les cœurs des jeunes étudiantes et faire trembler les fils à papa qu’il aurait sans doute envié à une époque mais qu’aujourd’hui il regardait avec plus de pitié de compassion.
Il s’est rapidement intéressé aux voitures et aux motos mais là où la plupart des jeunes de son âge disaient « oh la jolie voiture neuve », Mark s’intéressait plutôt aux complexités des grosses motos et aux allures intriquées des vieilles berlines que son grand-père chérissait tant.
Jeune loubard se prenant pour James Dean, il a fait toutes les bêtises possibles, tombant parfois dans ses situations législatives complexes que ce soit en étant un danger pour les autres - avec divers véhicules, pas toujours les siens ou simplement en fin de soirée à la force de ses poings - ou pour lui-même : étant de nature assez extrême, il aime à se pousser et parfois certaines substances sont entrées en jeu pour l'aider à se pousser.
Les mains majoritairement dans le cambouis, il a rapidement compris que ce ne serait ni par l’argent, ni par la culture qu’il brillerait auprès des filles et il s’est donc forgé ce personnage de garçon puis d’homme rugueux et séduisant. Il s’est pris pas mal de murs en draguant et il a donc perfectionné son art. Aujourd’hui, il ne cherche même plus une vraie relation tant le jeu est alléchant. Même si son but n’est pas de faire du mal ou de briser un cœur, rien ne l’amuse plus que de voir une jeune femme convaincue de pouvoir le changer. Il s'est fait traité de probablement tous les noms au cours de ses aventures en expliquant qu'il ne cherchait pas davantage qu'une aventure volage et instantanée : et pourtant, n'a-t-il pas au moins le mérite d'être sincère ?
Vivant dans une caravane aménagée – notre Mark chérirait-il sa liberté ? – les contraintes légales devenant trop chères aux alentours de New York, il décida de venir vivre à Boston où la vie estudiantine ne fut pas pour le gêner, loin de là. Harvard attire en effet des nouveaux visages chaque année et cela veut dire que son terrain de chasse est sans cesse renouvelé. D'ailleurs, la caravane est généralement très dissuasive pour les filles, il met donc un point d'ordre à aller chez la fille lorsqu'il obtient un franc succès - cette technique lui permettant par la même occasion de s'éclipser lorsqu'il le souhaite quoiqu'il ne soit pas du genre à partir dans la nuit, sauf grosse déception.
Maintenant qu’il est à Boston, indépendant, du haut de ses 43 ans, Mark se sent infiniment libre et aime à se promener sur sa Harley – malicieusement surnommée Quinn – et à la faire ronronner en ville pour venir faire vibrer les cœurs des jeunes étudiantes et faire trembler les fils à papa qu’il aurait sans doute envié à une époque mais qu’aujourd’hui il regardait avec plus de pitié de compassion.
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