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Anonymous

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Cela faisait environ deux semaines que l'université d'Harvard avait été parsemé de bombes qui avaient toutes explosées. De nombreux blessés, mais également de nombreux morts été à déplorer dans ce drame. L'université avait beaucoup été touchée et avait même fermée pendant de longues semaines. Ils étaient en train de tout reconstruire pour accueillir à nouveau les étudiants au sein des nouveaux bâtiments. Ricardo n'assista pas à cette reconstruction. Lors d'une explosion dans le Transept, le mur vers lequel il était avait volé en mille morceaux, éjectant Ric contre le mur par la même occasion. En retombant, Ric s'était violemment cogner la nuque, provoquant un été d'inconscience immédiat. Il s'était également prit une table qui lui avait retourné la jambe et de nombreux gravats lui étaient tombés dessus. Les secours l'avaient emmené d'urgence à l'hôpital pour éviter que son cas ne s'aggrave. Depuis deux semaines, il était toujours dans un sommeil profond. Il avait dû rater pas mal de chose en plus de cela.. Les médecins n'arrivaient pas à dire s'il pourrait un jour se réveiller ou non. Son état était stationnaire et pour l'instant il n'y avait aucun signe indiquant s'il allait finir par se réveiller. Sa mère avait fait le voyage avec son beau-père du Brésil pour venir lui rendre visite. Ils été restés chez des amis durant deux semaines mais avaient finalement dû repartir à cause de leur travail. Ricardo était allongé dans un lit du Cambridge Health Alliance Hospital, recouvert de bandages à plusieurs niveaux mais surtout au niveau de son crâne, son cou et évidemment de sa jambe droite. Il ne se réveillait toujours pas, et les médecins s'inquiétaient de plus en plus de son état...
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Un mois que cette putain de bombe avait explosé. Enfin ces bombes. Elles avaient semé le malheur sur le campus. On ne comptait même plus le nombre de morts tellement il était impressionnant. Tout aussi grand que le nombre de gens plongeaient dans le coma. J'en connaissais plusieurs dans ce cas là. Qu'ils soient aujourd'hui réveillés ou non. Ricardo faisait parti de la deuxième catégorie. Il avait beau ne pu être mather et on avait beau moins se parler en ce moment, il comptait encore et toujours pour moi.. Une fois par semaine j'allais à l'hôpital, dans sa chambre. Le nombre de minutes où je restais assise à le regarder ou bien à lui parler de tout et n'importe quoi variait. Aujourd'hui, j'voulais pas rester. Ca faisait cinq mois qu'Ethan était mort, j'pourrais pas supporter la vision de Ricardo sur un lit sans bouger c'était certain. Je posa les fleurs dans sa chambre avant de le regarder. Il était profondément endormi.. comme d'habitude en fait.. je me mordis la lèvre inférieure, songeuse. La vie.. quelle pute quand même.. Je soupira. J'reviens la semaine prochaine.. dis-je en murmurant.. Promis je resterai longtemps.. Puis je sortis de sa chambre. Fallait que je sorte de cet hôpital, je me sentais mal.

J'peux pas participer activement à ce rp alors j'fais une rapide apparition Combien de temps encore ? 2511619667
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Poppy ne pourrait jamais oublier ce fameux jour il y a un mois où Harvard avait été envahi de bombes à plusieurs endroits. Elle même avait été blessée, une bibliothèque lui était tomber dessus lui cassant la jambe par la même occasion. Mais tout ça restait plutôt superficiel quand on pensait à tous les morts que sa avait généré, il y en avait tellement, et c'était sans compter les nombreux blessés graves ou non. Franchement, elle se comptait chanceuse d'être encore vivante et surtout si peu touchée. Physiquement du moins, car émotionnellement c'était autre chose. Non seulement elle avait déjà beaucoup de choses en tête, mais en plus son meilleur ami Ricardo avait été fortement touché par l'une des explosions, se retrouvant ainsi dans le coma. Elle passait le voir chaque jour, lui parler, bien qu'il ne répondait pas elle restait persuader qu'il l'entendait et que sa l'aidait à trouver le courage de guérir. Aujourd'hui donc, Poppy se rendit à l’hôpital, s'assoyant sur la chaise près de son lit et lui prenant la main en le regardant, désespérément. Je t'en prie, m'abandonne pas Ric'. Je tiendrai jamais le coup sans toi, personne ne pourra.
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Comme toutes les semaines et ce depuis un mois, je me rendais à mon rendez-vous avec le psychologue. J'y allai deux fois par semaines pour parler ou parfois ne rien dire, suite à l'évènement qui nous avait profondément traumatisé nous étudiants. Je refusai d'admettre que je voyais un psychologue pour cela. Je ne voulais pas parraître faible, parce qu'en y repensant, certaines personnes avaient été beaucoup plus blessées physiquement comparé à moi mais de mon côté le moral en avait pris un coup. Je ne cessai de cauchemarder, de penser à la mort qui a bien failli me prendre mes proches et moi. Il était difficile d'avancer. Je venais de sortir de mon rendez-vous et sur le chemin du qui me menait à la sortie de l'hôpital, je me disai qu'il serait peut être temps que j'ai le courage nécessaire pour voir Ric. Un mois sans lui parler, sans même le voir, c'était affreusement long. Je me renseignai pour savoir où était sa chambre car oui je ne le savais pas tellement j'étais apeurée par la vision de le voir sur un lit d'hôpital en mode légume. Je me dirigeai donc vers sa chambre, et mon coeur ne cessait de faire boom dans ma poitrine au fil des pas qui me rapprochait de lui. Arrivée à hauteur de la chambre, je le vis une première fois à travers la fenêtre, voyant qu'un jeune femme était déjà à son chevet. J'hésitai un instant, ce n'était peut être pas le bon moement. Fermant les yeux quelques instant, je tachai de reprendre du courage. Je toquai faiblement à la porte avant de m'excuser." Désolée. Je dérange ? " demandai-je au seuil de la porte.
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