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Embrylla Lucrezia Riziero
feat Camila Cabello
carte d'identité |
✧ maison ou pas pour l'instant
embry elle aime qu'on la respecte. tant elle que ses idées. elle aime qu'on l'écoute, qu'on la suive et elle n'aime surtout pas qu'on tente de lui imposer certaines choses. embry elle est libre, elle le crie avec passion. elle ne veut plus qu'un homme la blesse, elle ne veut plus que sa famille vienne empiéter sur ses relations. elle sait ce qu'est bon pour elle et tout naturellement elle a demandé de rentrer à la dudley house.
✧ les petites anecdotes
petite princesse à la crinière de lionne. inspirée par un besoin de liberté. un échappatoire à la vie italienne. des parents ne supportant plus d’être cachés. à la roméo et juliette. deux noms puissants, à qui détient le plus puissant. t’as crée un chaos embrylla, une tornade dans ta famille.
t’es née sur le sol canadien. ils se cherchent. ils tâtent, à chercher où ils pourraient approcher le bonheur. loin de ces guerres inutiles à leurs yeux. tes parents sont des romantiques. ils rêvent. et leurs rêves le plus précieux était que tu ne grandisses pas dans ce milieu. loupé. t’as passé sept ans en italie. sept ans où tes grands-parents se crachaient dessus. devant tes yeux. compétition intempestive. t’as jamais compris pourquoi.
ils ont obtenu le droit de venir vivre sur ta terre de naissance. vous êtes simplement partis, comme ça. sans un mot. pas un regard à tes ascendants. pas un mot à quiconque. du jour au lendemain. comme si c’était si simple, pourtant ça semblait. ton père avait trouvé un poste comme ingénieur. ta mère elle un poste comme directrice d’hôtel. t’as jamais manqué de rien grâce à eux. princesse dans son palais protégée par un père sur-protecteur.
un jour tu étais la copie de ton père. l’autre celle de ta mère. un aspect masculin bloqué dans le corps d’une jeune fille tentant de grandir trop vite. à se battre avec ceux qui blessent tes proches, à gronder pour ta manucure détruite juste après. la seule chose qui t’appartenait c’était cette ambition. celle d’être parfaite, d’exceller dans tout ce que tu entreprenais.
pourtant l’intellectuelle se battait avec la rebelle. celle qui a besoin de liberté, de trouver ses limites. bloquée par une seule chose, une seule personne. zeph. le coeur scellé durant de nombreuses années.
puis un jour les chaines ont disparu. subitement, entaillant ton organe vital. si brutal. il est parti. t’abandonnant durant ton coma intervenu suite à un accident de voiture.
le soleil était caché par les nuages. la météo avait changé. l’anorexie arrivant, les frontières plaçaient entre chaque proches. tu devais te protéger. te réparer.
sans place pour toi au canada, t’as retrouvé tes racines. tentant de te ressourcer dans le pays qui t’a vu grandir. au près d’hommes et de femmes qui t’aimaient. du moins tu le pensais. il était mauvais & toi t’étais encore si faible. à te bloquer contre le mur alors à peine majeur, à glisser ses doigts sur ta peau en te fixant dans les yeux. à chercher ton désespoir afin de s’en nourrir et en s’apercevant que le regard ne devenait que plus noir. à te battre. ton corps au sol sentant encore son pied heurter ton estomac. ton cousin, l’ordure.
l’appel à l’aide. t’as demandé à suivre une thérapie. si tes proches ne pouvaient t’aider un professionnel le pouvait certainement. t’as loupé ta rentrée de première année. t’as commencé qu’au second semestre, plus forte que jamais.
tu as tourné le dos à certains de tes anciens amis. ils préféraient zeph, tu le savais. ils ne t’aidaient pas, ne t’avaient jamais dit où tu pouvais le trouver. ni pourquoi. sans savoir qu’ils le faisaient pour t’empêcher de détester tes parents. principalement ton père qui n’a pas supporté de te voir aimer, d’être aimé. peur que tu prennes ton envol. il l’a menacé, il a menacé zeph. tout le monde savait. personne ne te le disait.
un jour de printemps l’information était tombée. sa mère te l’avait chuchoté. il était à harvard et toi, toi t’étais bien trop loin de lui. tu devais savoir, il était la clef pour que tu ailles mieux. t’as fait ta demande de transfert, t’as menacé tes grands-parents de parler sur ton cousin s’ils ne t’adressaient pas un chèque. la douce était devenue dure. méconnaissable.
t’es née sur le sol canadien. ils se cherchent. ils tâtent, à chercher où ils pourraient approcher le bonheur. loin de ces guerres inutiles à leurs yeux. tes parents sont des romantiques. ils rêvent. et leurs rêves le plus précieux était que tu ne grandisses pas dans ce milieu. loupé. t’as passé sept ans en italie. sept ans où tes grands-parents se crachaient dessus. devant tes yeux. compétition intempestive. t’as jamais compris pourquoi.
ils ont obtenu le droit de venir vivre sur ta terre de naissance. vous êtes simplement partis, comme ça. sans un mot. pas un regard à tes ascendants. pas un mot à quiconque. du jour au lendemain. comme si c’était si simple, pourtant ça semblait. ton père avait trouvé un poste comme ingénieur. ta mère elle un poste comme directrice d’hôtel. t’as jamais manqué de rien grâce à eux. princesse dans son palais protégée par un père sur-protecteur.
un jour tu étais la copie de ton père. l’autre celle de ta mère. un aspect masculin bloqué dans le corps d’une jeune fille tentant de grandir trop vite. à se battre avec ceux qui blessent tes proches, à gronder pour ta manucure détruite juste après. la seule chose qui t’appartenait c’était cette ambition. celle d’être parfaite, d’exceller dans tout ce que tu entreprenais.
pourtant l’intellectuelle se battait avec la rebelle. celle qui a besoin de liberté, de trouver ses limites. bloquée par une seule chose, une seule personne. zeph. le coeur scellé durant de nombreuses années.
puis un jour les chaines ont disparu. subitement, entaillant ton organe vital. si brutal. il est parti. t’abandonnant durant ton coma intervenu suite à un accident de voiture.
le soleil était caché par les nuages. la météo avait changé. l’anorexie arrivant, les frontières plaçaient entre chaque proches. tu devais te protéger. te réparer.
sans place pour toi au canada, t’as retrouvé tes racines. tentant de te ressourcer dans le pays qui t’a vu grandir. au près d’hommes et de femmes qui t’aimaient. du moins tu le pensais. il était mauvais & toi t’étais encore si faible. à te bloquer contre le mur alors à peine majeur, à glisser ses doigts sur ta peau en te fixant dans les yeux. à chercher ton désespoir afin de s’en nourrir et en s’apercevant que le regard ne devenait que plus noir. à te battre. ton corps au sol sentant encore son pied heurter ton estomac. ton cousin, l’ordure.
l’appel à l’aide. t’as demandé à suivre une thérapie. si tes proches ne pouvaient t’aider un professionnel le pouvait certainement. t’as loupé ta rentrée de première année. t’as commencé qu’au second semestre, plus forte que jamais.
tu as tourné le dos à certains de tes anciens amis. ils préféraient zeph, tu le savais. ils ne t’aidaient pas, ne t’avaient jamais dit où tu pouvais le trouver. ni pourquoi. sans savoir qu’ils le faisaient pour t’empêcher de détester tes parents. principalement ton père qui n’a pas supporté de te voir aimer, d’être aimé. peur que tu prennes ton envol. il l’a menacé, il a menacé zeph. tout le monde savait. personne ne te le disait.
un jour de printemps l’information était tombée. sa mère te l’avait chuchoté. il était à harvard et toi, toi t’étais bien trop loin de lui. tu devais savoir, il était la clef pour que tu ailles mieux. t’as fait ta demande de transfert, t’as menacé tes grands-parents de parler sur ton cousin s’ils ne t’adressaient pas un chèque. la douce était devenue dure. méconnaissable.
✧ l'admission à harvard
t'as commencé à étudier à l'université de Toronto. elle te convenait, tes notes frôlaient la perfection. un père derrière toi pour te pousser à te surpasser et pourtant à ton tour, sans un mot, t'avais pris la décision de venir à Harvard en apprenant que Zeph était là. faisant les démarches à l'université de Toronto, tu as constitué un dossier plus que complet grâce aux recommandations de tes professeurs. les notes aux sats plus que satisfaisant, il ne suffisait plus qu'être convaincante. et si t'es là, c'est que tu l'as été.
✧ le caractère de con
emphatique, t’as toujours su te mettre à la place des autres. à tenter de les comprendre, à savoir pourquoi ils agissaient parfois d’une façon et pas d’une autre. - en apparence t’es sûre de toi, mais en vérité tu caches un manque de confiance en toi flagrante quand on te connait. - ambitieuse, tu sais ce que tu veux & tu fais tout ce que tu peux pour l’obtenir. - perfectionniste dans les études en dehors tu es assez bordélique, ironie du sort. - loin d’être jalouse, t’es assez possessive. peur que tes proches découvrent qu’il y a bien mieux que toi. - t’aimes avoir le contrôle et quand tu ne l’as pas ça a tendance à te rendre anxieuse. presque malade. - malgré que tu sois anxieuse, tu te considères comme une femme courageuse. - têtue. une vraie tête de mule. - manipulatrice que ce soit grâce à ton physique ou tes paroles. t’as compris ce que voulait l’homme et comment obtenir ce dont tu avais besoin. - malheureusement quand tu n’as pas ce que tu désires tu peux faire un caprice. sale gosse devenant froide. - compétitrice, après tout pour être parfaite il faut être première à tes yeux. - t’es très fière, te décoller un pardon relève presque de l’impossible si tu ne te considères pas en faute -même quand c’est le cas-.
✧ derrière l'écran
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle h et j'ai 21 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à ma présence dessus y a quelques temps. J'aimais et connaissais déjà le forum alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise camila cabello comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par rainbowsmile & iconscamila. Je fais environ 450 mots par RP et mon personnage est un scénario crée par Zeph Blythe.
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☾ <span class="pris">Camila Cabello</span> ⊹ @"Embrylla L. Riziero"
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