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always somewhere close
Ce matin, tu étais relativement de mauvaise humeur. Si, ce n’était pas la pression que ton paternel exerçait sur toi, tu croulais sous les travaux. Le plus difficile, dans tout ça, tu détestais la branche dans laquelle, tu étais. Tu n’aimais pas la politique. Tu ne voulais pas travailler dans ce domaine. Tu avais des rêves, mais tes rêves étaient bafoués par les désirs de ton père. Il voulait que tu deviennes une politicienne, il voulait que tu ais une carrière d’importance, mais ce n’était pas ton rêve. Mais, tu n’avais pas le choix. Tu n’avais le choix de rien dans ta vie, il décidait, de tout. Tu inspirais profondément, alors que tu étais en cours et que tu tentais vainement d’écouter les propos de ton enseignant, en vain. Tes traits étaient tirés, car tu étais fatiguée. Tu fixais l’horloge, impatiente, tu attendais la fin du cours. Lorsque le cours prit fin, tu fus l’une des premières à sortir de la pièce. Tu te hâtais à sortir de ce cours pour aller directement à la cafétéria de l’université. Tu avais un creux et puis, tu osais croiser une connaissance dans le but de te remonter le moral. Lorsque tu pénétras dans la cafétéria, tu posas un regard circulaire. Au loin, assis à une table seul, tu aperçus ton ami : Garrett. Rapidement, un sourire ornait ton visage, à la vue de ce dernier. Tu t’approchais furtivement de ce dernier, avant de l’enlacer par derrière et de déposer un baiser sur sa joue. Tu étais du genre tactile, mais avec lui, c’était un peu particulier. « Tu attends quelqu’un où je peux m’assoir avec toi? » Tu attendis son feu vert pour t’assoir à la table, tu déposais ton sac sur celle-ci, avant de retourner ton attention vers ton ami, un sourire égayait doucement ton visage. « Tu vas bien? » Demandais-tu, soucieuse de son bien-être. Tu attendais une réponse de sa part, alors que tu plaçais ta main devant ta bouche pour couvrir un bâillement. De toute évidence, tu étais claquée et tu avais besoin de sa dose d’amitié pour retrouver ton énergie et de donner le courage de terminer cette journée. Tu ne savais pas pourquoi ni comment, mais dès que tu étais avec lui, tu sentais un sentiment de plénitude, tu avais l’impression que tes problèmes te pesaient moins sur la conscience, lorsqu’il était là.
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