DARYL NICHOLSON ► dwayne johnson

ce que j'aime à boston ? mais tout, putain. cette ville est sacrément belle avec ses distractions, son architecture... à boston ? mais on y vit une vie, on a même pas le temps d'une vie pour tout voir, tout savoir. c'est là que vous trouvez la plus grande école du monde, la meilleure même... et je dis pas ça parce qu'il y a mes gamines dedans ou parce que j'ai commencé à bosser comme prof, hein ? un peu, mais faut pas l'dire.
non puis c'est facile de sortir, de faire les cons à boston, y a tellement de bars, de restos, je crois que le restaurant italien là, s'il faisait une carte de fidélité, il aurait déjà coulé la boîte. puis c'est la patate à boston, y a des gens du monde entier... non les gars, à boston on vit. c'est la vie qu'on veut tous avoir. et mes gamines, c'est là qu'elles vivront pour être heureuses. quitte à devenir le père gâteau qui regarde la télé en chaussons licornes pendant qu'elles feront la bringue, et qu'au moindre pépin je débarque le flingue en main... j'adore les licornes.

○ je suis né à sacramento, en californie. il faisait plutôt beau, il paraît. ça allait être le printemps, et je pense que c'est lié mais j'adore le printemps. j'ai des parents formidables qui m'ont inculqué énormément de valeurs, surtout beaucoup de culture. bien que je sois natif américain, je puise mes origines de polynésie. aussi les notions de famille, de dépassement de soi et de loyauté sont mes principaux principes de vie. j'aime mon pays et j'aime aussi mes origines, je trouve que les valeurs américaines se marient plutôt bien avec les valeurs polynésiennes, même si aux usa on a tendance à occulter la mère nature, contrairement à la polynésie qui la valorise.

○ autant vous dire que moi et l'école, on était pas méga copains. j'ai jamais été très assidu. on m'a diagnostiqué un trouble de l'attention assez jeune, je préférais faire le con que de vraiment écouter. ça ne m'a pas valu que des mauvaises notes, mais à force de ne pas écouter, j'ai fini surtout par prendre du retard sur mes camarades... et les devoirs, c'était l'horreur pour ma mère de me les faire faire. encore pardon maman.

○ aussi au collège, j'étais en échec scolaire. il fallait soit que je redresse la bar d'une manière ou d'une autre, soit que je change d'orientation. je me suis battu malgré mes difficultés de concentration et ma flemmardise pour obtenir mon diplôme collégial qui me donnait le droit à l'entrée au lycée. malheureusement, c'était beaucoup trop juste pour qu'on puisse espérer que je m'en sorte encore in extremis aux études supérieures. alors on s'est posés avec mon père, sur le canapé, et on a réfléchi à ce que je pouvais faire. qu'est-ce qui pourrait canaliser cette boule d'énergie que j'étais et qui me faisait, à moi-même, défaut ?

○ l'armée a été mon salut. je m'y suis engagé à l'âge de seize ans, l'âge minimum requis avec autorisation des tuteurs légaux. ma mère était réticente, envoyer son bébé à la mort c'était pas trop ce qu'elle espérait pour moi. mais mon père étant très patriotique l'a rassuré sur l'honneur que je leur faisais, et que je me faisais.
je n'étais pas du tout malheureux. le seul petit coup de blues a été d'être séparés de mes parents pendant un long moment. mais je me suis super bien intégré. ça m'a encadré, mis des limites là où on ne pouvait pas m'en mettre à l'extérieur et j'ai réussi à canaliser assez rapidement mon énergie.
il fallait être assidu, concentré. sauver ses camarades n'était pas une plaisanterie, il fallait que je me fasse violence pour ne pas m'éparpiller.
c'est aussi à cet instant que j'ai pris goût à la musculation et le sport en règle générale. mon exutoire se faisait à la salle de sport, ou sur le terrain. ça m'arrivait souvent de refaire encore et encore le parcours du combattant pour dépasser chaque fois mon temps record.

○ comme je suis arrivé à l'armée assez tôt, j'ai pu aussi me spécialiser dans plusieurs domaines. et contre toute attente, c'est la technologique informatique et robotique qui m'a attiré. je me suis rendu compte que j'avais des facultés mathématiques assez impressionnantes et une logique digne des plus grands hackers du monde. ouais même moi ça m'en bouche un coin.
j'ai donc perfectionné mon intellect pour devenir chargé de robotique au sein de l'armée.

○ ayant développé des engins et des logiciels avec les meilleurs scientifiques du monde, j'ai pu apprendre beaucoup auprès d'eux. même si beaucoup de choses étaient en vue et à des fins militaires, j'ai appris qu'on avait le pouvoir de détruire bien plus de vie rien qu'avec un clavier.
j'ai donc demandé ma mutation au sein du groupe élitiste du cyberterrorisme, j'ai eu l'accord. et le must dans tout ça ? je suis resté un membre à part entière du groupe de recherche robotique.

○ on en rencontre du monde à l'armée. à l'âge de 21ans, je rencontre ma femme debby. même si j'ai surtout ramé pour qu'elle tombe sous mon charme, j'ai découvert une nouvelle façon de voir la vie à travers l'amour. ah quand on est jeune, on en connait des histoires d'amour mais il faut toujours LA seule et unique pour que vous compreniez l'étendu du pouvoir de la lovestory.
elle était chargée d'administrer notre régiment.
pendant cinq ans, j'ai œuvré à ses côtés avant d'oser la demander en mariage. nous avions tout pour être heureux, une stabilité incroyable. mais nos métiers ne nous permettaient pas d'avoir d'enfants, alors on repoussait le jour où des marmots allaient encore égayer nos vies.
on s'est marié à lasvegas, dans un hôtel far qu'est le flamingo. deux jours de fêtes sans relâche, l'un des plus beaux jours de ma vie.

○ à l'armée, j'ai aussi rencontré plein de copains. ah, vous savez, on dit souvent que votre régiment c'est une seconde famille. et j'ai œuvré auprès de supers bons hommes... tout comme j'en ai vu périr dans des missions périlleuses. c'est pas facile de dire adieu dans ces conditions, où vous pensez à sauver la vie des autres et la vôtre en laissant derrière vous des hommes à qui vous teniez.
je me suis jamais vraiment octroyé le droit d'aimer outre mesure mes copains. sauf un gars. elijah hayes-morales. on est vite devenu un binôme, des bons potes bien soudés.
on a jamais fait la guerre ensemble, mais on s'est souvent retrouvé dans des missions d'infiltrations, de recherches d'informations ou tout simplement d'exercices. un super duo, les gars.
et on a évolué au sein de l'armée, chacun de son côté. il finit par devenir chef des 1ères forces armées et je deviens à l'âge de 30ans, commandant de mon escadron.

○ nous partons pour la guerre en irak en 2003. nous y passons du temps, tellement de temps que les horreurs de la guerre m'ont pas mal traumatisé. aujourd'hui encore, je fais beaucoup de cauchemars. je faisais survoler des drones spécialisés dans l'espionnage. j'ai eu pas mal de permission, notamment pour mon mariage et aussi celui d'elijah.
cependant j'ai passé plus de temps la tête dans la poussière à parfaire mes stratégies militaires, à perdre des hommes et des amis... qu'à profiter de la vie. c'était la pire expérience de toute ma vie... et je ne la souhaite à personne. même si nous avions eu des moments de cohésion, de fraternité... mes plus gros souvenirs restent les enfers.

○ je suis rapatrié au pays en 2011, et pour de bon. je demande mon transfert militaire, prenant ma retraite bien méritée pour rejoindre les services plus ou moins secrets du FBI. et vous vous demandez ce que je fous là-dedans, non ? c'est grâce à mon pote, elijah. malheur à lui, je suis son associé dans toutes les affaires sordides à traiter. heureusement pour lui que je passe plus de temps derrière un ordinateur que sur le terrain. car j'avais tendance à dédramatiser pour détendre et... ne jamais garder de trop mauvais souvenirs de ce que l'humain était capable de faire.

○ au sein du FBI, je trouve très vite ma place en tant que commandant du démantèlement de réseaux et recherches terroristes sur le sol américain. un honneur de servir mon pays à nouveau et d'être responsable d'un si grand domaine, qui sévit depuis plusieurs années. mon pays compte sur moi... et je ne le décevrai pas.
en parallèle, je crois que j'ai un peu trop forcé à la salle. je deviens vite une montagne de muscles et bien que ça plaise aux filles, ça fait surtout beaucoup rire les collègues.
la discrétion, on repassera.

○ en 2012, je suis chargé d'une grande affaire classée internationale, à savoir que les commanditaires de cette affaire sont américains, ce pourquoi je me suis retrouvé avec ce dossier en main. et ce n'est pas une mince affaire, puisqu'il s'agit d'un des plus grands réseaux de trafics humains au monde. des enfants orphelins, des femmes, des réfugiés de guerre, des malades mentaux, des personnes conditionnés, des prostituées... parfois associés au trafic d'organes.
c'est une nuit d'avril que nous agissons, et bien que certaines personnes nous aient échappé, le réseau a été coulé et plus de 1740 personnes sauvés de ce joug. je ne dis qu'ils seront tous réinsérés, beaucoup ont pris la fuite.
pour ma part, sur la mission, j'ai fait la rencontre d'une petite demoiselle du prénom de Lydia, sans nom de famille au moment des faits. une petite fille vive et pleine d'amour alors qu'elle vivait le cauchemar. on a tout de suite accroché, ou alors j'étais devenu une sorte de parent pour elle, je sais pas. mais je me résolvais pas à la laisser en allemagne, sans rien ni personne. surtout pas après ça. j'ai joué de mon statut, je ne vais pas mentir. et j'ai demandé l'adoption de lydia...
le temps que les papiers se fassent et qu'elle soit naturalisée américaine surtout, je vais devoir la confier à une famille d'accueil allemande. à laquelle je rends visite une fois par mois.

○ en 2013, l'adoption de lydia est acceptée et elle devient officiellement nicholson. elle s'intègre très vite à la famille, ma femme tombe littéralement en amour avec cette petite poupée blonde qui dit oui à la vie. c'est un bel exemple de courage. et elle sera même à l'origine de mon futur... car elle est inspirante.
elle nous appelle papa et maman, et je dois vous avouer que je suis un papa des plus fiers. je ne dis jamais que nous l'avons adoptée, les gens savent nul besoin de mettre le doigt dessus. quand bien même ce n'est pas mon sang qui coule dans ses veines, c'est ma fille.

○ en 2014, c'est un drame pour mon ami elijah. mais aussi pour ma femme, à moindre échelle mais c'est finalement un drame pour tout le monde. mon ami et associé devient veuf et nous pleurons encore la mort de notre amie.
c'est une épreuve qui l'a drôlement durci, mais j'ai fait mon possible pour rester positif. et adopté le comportement de lydia a été une bénédiction pour moi. j'ai pu réussir à travers des épreuves, et mon but n'était plus que je sois bien... mais de rendre les autres mieux. insuffler un petit quelque chose de positif là où il faisait drôlement sombre.

○ en 2015, je deviens lieutenant-colonel, une fierté pour papa dada'. oui, tout le monde est sommé de m'appeler dada. ça donne une certaine énergie positive au sein des bureaux, c'est assez amusant. si je peux être celui qui fait sourire myriam de la compta', ça me va.
nous sommes de nouveau mené à une grosse affaire de stups et de trafic de drogues en tout genre au sein de la virginie. une réputation déjà toute faite, je surveillais déjà depuis des années l'évolution de ce groupe devenu bien trop grand. j'ai fini par trouver les relais, les commanditaires... et même les teneurs de ficelles.
lors de l'arrestation du réseau, j'ai de nouveau eu la chance de croiser une gamine qui s'était retrouvé embrigadée là-dedans. connaissant la loi des quartiers et le chaos depuis toute jeune.
contraire à lydia, elle est bien plus fermée. son monde s'écroule, elle n'a vécu que là-dedans. aussi, j'apprends vite qu'elle a un mal fou à se faire accepter, à se créer une place, désobligeante... mais moi je le sais, cette gamine c'est pas du tout un calvaire. elle a besoin de temps. alors après une longue concertation avec ma femme, je décide d'entamer la procédure d'adoption et de communiquer avec aubrey. c'est pas évident, mais je finis par obtenir son attention en lui disant toute la vérité sur le réseau dans lequel elle baignait depuis sa naissance.
je sais pas vraiment ce qui l'a captée, mais j'ai fini par devenir son nouveau papa alors qu'elle n'a que 17ans.

○ début 2016, l'adoption d'aubrey se confirme et elle devient officiellement nicholson à son tour. la chercher à sa famille d'accueil a été une drôle d'épreuve, personnellement j'en rigole encore. je crois n'avoir jamais vu un vieux de soixante-dix balais être aussi heureux de se débarrasser d'une gamine. comme quoi, on peut être con à tout âge.
la vie à la maison est... assez compliquée. surtout entre les deux nouvelles sœurs, si lydia l'accepte sans soucis, c'est une autre histoire du côté d'aubrey. mais debby me dit que c'est à elles de gérer, de se gérer aussi. elles ont respectivement 16 et 17 ans, elles peuvent réussir à se faire leur place.
et ça se fera tout doucement... elles s'habituent à la présence de l'une et de l'autre. et nous ne faisons aucune différence entre les deux. ce sont mes gamines et je les aime tout pareil.
ça a fait quelques histoires dans le quartier résidentiel, à cause du passé d'aubrey. mais quand une montagne de muscle tape du poing sur le capot de votre voiture pour vous intimer d'arrêter de colporter, on vous y retrouve pas à le faire.

○ décembre 2016. je crois qu'un bout de ma vie a été arraché au monde. le temps a été drôlement lent, et c'était un hiver que je trouvais particulièrement froid.
j'étais parti chercher lydia et aubrey au lycée dans le 4x4. j'avais pas encore mis les chaines de neige parce que j'attendais toujours le dernier moment.
debby est parti chercher un gâteau ce jour-là, elle disait que c'était pour fêter les vacances. et je me suis pas inquiété qu'il n'y ait pas de chaînes sur ses pneus. après tout, la neige était arrivée que depuis la veille... je pourrai le faire le lendemain.
arrivés à la maison, aubrey appelle sa mère qui ne vient pas... normalement, elle aurait du arriver avant nous. pas de message, pas d'appel. alors moi, j'appelle. pas de réponse.
une heure. il aura fallu une heure d'inquiétude. au moment où nous allions mettre nos manteaux pour aller à la pâtisserie pour que l'on sonne à la porte. debby a eu un accident, qu'on nous dit. je demande si ça va, dans quel hôpital elle est, qu'on y aille sur le champ. c'est au moment où le policier enlève son chapeau que je comprends. avant même un mot. j'ai fermé les yeux très fort avant de me tourner vers mes gamines déjà en larmes pour les serrer dans mes bras. on allait être forts, les filles.
le lendemain de l'annonce du décès de ma femme, je prends en main tout l'administratif pour des funérailles digne de ce nom. arrivé à l'hôpital, le médecin en charge du corps de ma femme m'annonce une nouvelle des plus bouleversantes.
si ma femme allait chercher un gâteau, ce n'était pas pour les vacances... mais pour nous apprendre qu'elle était enceinte. j'ai perdu deux amours de ma vie.
heureusement que j'avais encore les plus belles perles du monde.
je ne leur ai jamais dit.

○ la vie dans cette maison est absolument austaire. j'ai un mal fou à me séparer de mes souvenirs, et à ne pas la voir à chaque coin de couloir. mes filles associent beaucoup de souvenirs aussi... et c'est souvent des larmes que j'entends à travers la porte de leur chambre.
il nous fallait un nouveau départ... une nouvelle vie sans l'oublier.
on déménage alors dans un grand appartement au centre de boston et j'adopte un chat. oui un chaton tout gris et blanc du nom de macarron. il a tout les pass droit, dormir avec moi, manger avec moi, aller à la salle avec moi, aller chercher les filles à l'université avec moi... au grand damn d'aubrey qui, déjà n'apprécie pas l'attention que je porte au chat, mais que je le laisse faire plus de choses qu'elles ne pourront jamais faire. en même temps, je les vois mal jouer dans les chaussures de papa...
la vie à trois est très explosive. beaucoup de rire, de cris... les émotions fois mille. je mange tout ce qu'aubrey fait à manger. les jours de cheatmeal c'est le st grâal. pizzas à volonté. lydia plus discrète mais ... quand c'est bataille de polochons, c'est la première à attaquer.
je leur fais honte parfois, apparemment les chaussons licornes c'est assez cringe. mais au fond, je sais qu'elles aiment ça. soirées netflix/popcorn.
c'est souvent qu'on fait des sorties tous les trois, où que je peux les emmener, où qu'elles veulent aller... tout pour mes princesses. je suis un vrai papa poule et c'est pas prêt de changer.

○ je finis par prendre ma retraite avec l'idée de devenir père au foyer. mais avec mon tempéramment, rester à rien faire à la maison, c'est pas trop mon truc. j'aime bien bouger, faire le ménage ça se résume à baisser la lunette des toilettes chez moi. autant dire qu'il ne faut pas y compter... en plus parfois j'oublie.
alors je reconditionne ma vie alors que mes gamines accèdent toutes les deux à harvard. une fierté pour le papa que je suis... si grosse fierté que.

○ je demande ma démission et prise de retraite auprès du FBI, mon rang de lieutenant-colonel me permet d'avoir une rente absolument viable pour nous trois. et je décide de rester près d'eux en consultance pour rester aussi à surveiller mon elijah préféré. des fois qu'il soit malheureux sans moi.
et au grand damne de mes gamines, je deviens professeur à harvard d'informatique en septembre 2019... héhé, bienvenue chez les nicholson.

○ patriote - autant dire que mon pays c'est aussi la femme de ma vie. j'ai servi dans l'armée et j'ai appris à aimer mon peuple, mon pays, la chance pour moi de vivre dans un pays comme les usa. bien que je ne pense pas que nous soyons supérieurs aux autres, je peux porter fièrement le drapeau américain sur l'antenne de la voiture. arrêtez, c'est super cool d'avoir le petite drapeau qui flotte quand vous roulez.

○ réfléchi - je réfléchis beaucoup avant d'agir. je ne suis pas de ceux qui explosent ou qui sont impulsifs. à l'armée, encore une fois, on nous apprend à adopter une attitude calme et parfois les prises de décisions qui se font sur le tas doivent être les meilleures pour tout le monde. il faut être stratège mais surtout réfléchir posément, rapidement... et ne jamais paniqué. aussi vous ne me verrez jamais taper sur quelqu'un sur un coup de sang.

○ intelligent - là, c'est drôle. car si on associe souvent la réussite scolaire à l'intelligence, je suis ce fameux contre exemple qui vous démonte la théorie. je déteste l'école et pourtant j'ai de grandes facultés d'adaptation et de logique qui me permettent d'appréhender les chiffres mais aussi la résolutions de problèmes informatiques, robotiques et mathématiques. une tête en somme, une tête nerd qui s'ignore.

○ minutieux - si parfois je donne l'impression d'être tête en l'air ou complètement à côté de la plaque avec mon grand sourire, je suis surtout très maniaque. mon travail doit être impeccable et la stratégie adoptée se doit d'être la meilleure solution possible. j'utilise énormément les probabilités pour gérer mon quotidien.

○ bon vivant - je croque la vie, j'aime la vie. je fais l'amour à la vie même. ayant vécu des évènements tragiques, je ne peux pas me permettre de vivre malheureux et dans le regret toute ma vie... sinon ça signifierait que je ne suis plus vivant mais surtout que j'ai décidé de mourir en même temps que les défunts. et ce n'est pas leur rendre honneur... ils veulent qu'on soit heureux. et je le serai.

○ drôle - un humour parfois assez lourd de bassesses tel que tirer sur le doigt pour qu'un pet sorte... je fais pourtant sourire et rire tous ceux que je croise. même ceux qui soupirent ou qui froncent les sourcils finissent toujours pas se laisser avoir par le phénomène dada. c'est de la bonne humeur en bar énergétique que j'offre moi.

○ raisonnable - bien que je puisse faire n'importe quoi pour mes filles et que je donne l'impression d'être dépassé. je sais être raisonnable et poser des limites. le pot de pâte à tartiner ? je visse le bouchon tellement fort qu'elles pourront jamais l'ouvrir.

○ gâteau - je suis complètement gaga de mes gamines, fier et toujours à louer leurs prouesses, même quand elles font des conneries. je ferai n'importe quoi pour elles. aussi je les noies souvent de cadeaux, de plats divers et variés... et j'ai un mal fou à les voir presque comme des adultes. pour moi, c'est encore mes bébés, mes gamines... même si je les ai eu tard.

○ gentil - très gentil et ce avec tout le monde. je ne porte aucun jugement, sur personne d'ailleurs. je suis très ouvert d'esprit et je juge que le bonheur réside surtout dans l'acceptation de l'autre. donc c'est toujours sourire que j'aborde la vie et les gens.

○ empathique - je comprends vite un comportement et je m'y adapte. je suis capable de voir au delà de ce qu'on veut me montrer. je ne dis pas que je suis un médium ou quoi, hein ? mais je suis capable de faire la différence entre une vraie colère ou une colère qui dissimule plus de tristesse que de haine. par exemple.

○et papa avant tout - je partage les passions de mes filles, je m'intéresse à tout ce qu'elles font. même le club de féminisme d'aubrey, je m'y sens investi.
j'emmène aussi mon chat partout, au travail, en courses... un jour on me traitera de fou au chat, et j'aurai atteint mon objectif de vie à 100%.

○ passionné - je joue de la guitare, je voyage et je m'acharne à la salle de sport. je ne fais jamais les choses à moitié, quand je suis impliquée, je vais au bout de mes objectifs.
c'est mon credo.