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Camelia Alba Escobar
feat amanda khamkaew
carte d'identité |
✧ maison ou pas pour l'instant
Camelia a toujours fait parti de la haute société. Elite est son deuxième prénom. Elle a toujours voulu être au-dessus des autres, gravir les échelons pour atteindre le sommet, toucher les étoiles. Pleines d'ambitions, la Pforzheimer House est la maison qui lui correspond en tout point. Malgré ses activités illégales en dehors de ses études, elle est prête à s'engager dans une confrérie. Surtout elle veut se faire ses contacts. Oui elle n'est pas assez stupide pour donner de son temps sans le moindre profit.
✧ les petites anecdotes
4 avril 1998, premier cris 3H47. Bogota accueille une nouvelle habitante, une habitante pourtant bien différente des autres. Pourquoi des hommes armés se tiennent devant la chambre d'hôpital ? Eh bien parce que ce n'est pas n'importe quelle femme qui accouche. Alba Marina Escobar, la soeur de Pablo Escobar. Lui même. Dernière de sa fratrie, Camelia agrandit un peu plus la famille et porte d'un nom les plus connus et redoutés au monde.
Élevée dans le luxe, elle n'a aucunes notions de l'argent. Entourée de domestique, elle vit comme une vraie princesse, ses moindres désirs comblés et elle en profite bien. L'argent dans lequel elle baigne depuis toute petite n'a rien de propre. Pourris par le trafic de drogue dont sa famille ne s'est jamais vraiment séparée. Oui la famille Escobar reste influente et sur le marché malgré la mort de tonton Pablo. Mais à sept ans elle a bien d'autres préoccupations que la cocaïne. Plus tard elle prend conscience de son patrimoine familiale, elle en apprend beaucoup, elle sait tout mais préfère fermer les yeux. Elle aime trop l'argent pour le contester.
Sa mère est en étroite relation avec plusieurs trafiquants. Loin d'être sur le terrain c'est plutôt elle qui gère le trafic. Elle a pris la relève de son frère quelques mois après sa mort, elle souhaite lui faire en honneur en gardant vivant le cartel de Medellín. Elle a vu comment agissait son frère, les choix qu'il a fait, les conséquences qu'ils ont engendré et à quel point l'opinion public pouvait jouer. Non elle n'est pas prête de refaire les mêmes erreurs que lui. Elle laisse tombé le marché de Miami et préfère opérer du côté de New York. Lieu très prisé par les revendeurs de coco, elle est prête à se battre pour s'y imposer en tant que premier fournisseur.
Camelia n'est jamais sortie seule, de près ou de loin elle était toujours surveillée, observée, protégée. Si elle bénéficiait d'un palace comme terrain de jeu grâce à son nom, il lui apportait aussi son lot de problèmes. Elle avait des ennemis. Menacée de mort à plusieurs reprises, pas facile à vivre pour une adolescente. Une protection permanente s'imposait. Malgré tous, les menaces proliféraient. La famille recevait des lettres piégées, deux domestiques en sont morts. Elle n'allait plus au collège, trop dangereux, elle restait dans la demeure familiale des mois entiers. Princesse emprisonnée dans sa cage dorée. Bloquée.
Malgré toutes les recommandations de sa mère, elle n'en faisait qu'à sa tête. Elle n'a toujours écouté qu'elle. Elle a trouvé une faille dans la forteresse et réussis à s'échapper de la demeure surprotégée. Elle n'aurait jamais dû. A peine une heure après sa sortie, elle est enlevée par les membres d'un cartel rivale. Retenue prisonnière, elle sert de monnaie d'échange. Sa vie contre New York, rien que ça. Le deal est inacceptable. Canon contre la tempe, yeux fermés, elle sue Camelia, elle voit la mort de près de très près. Mais Alba n'a pas hésité une seule seconde à envoyer une centaine d'hommes à l'abattoir pour sauver sa fille. La famille avant tout. C'est ainsi que l'adolescente se retrouve au milieu d'une fusillade. Une balle traverse son bras mais elle s'en sort vivante.
Elle a soif de vengeance la petite et elle ne comprend pas. Captive pendant à peine vingt-quatre heures, ça a largement suffis à ses détracteurs pour lui faire du mal. Ils ne l'ont pas ménagé, elle a essuyé coup sur coup, subis des attouchements. Et ça à cause des affaires de sa mère. Mais elle ne lui en veut pas, au contraire. Elle souhaite rejoindre le cartel, devenir assez menaçante pour qu'on ose plus toucher un seul de ses cheveux.
Mais ce n'est pas pour tout de suite. Camelia est contrainte de quittée le payer, pour son bien. A dix-sept ans elle prend place dans les quartiers huppés de New York. Elle baigne dans la mondanité, parfaitement dans son élément. Au lycée elle attire facilement les regards, vêtements de haute couture, bijoux dorés, long cheveux scintillants, visage de poupée, tâches de rousseur caractéristiques, elle a tout pour elle et ne se retient pas de le montrer aux autres. Elle aime les regards envieux posés sur elle, elle adore attiser la jalousie. Elle n'hésite pas à profiter de son nom quand il le faut, elle a trouvé la bonne combine pour obtenir tout ce qu'elle veut, une fois de plus.
Dix-huit ans, elle quitte New York et rejoint Boston pour intégrer Harvard. Aller à l'université n'a jamais été une option. Deux ans plus tard, sa mère lui fait une proposition : surveiller les arrivées de la marchandise à New York. Une offre qui ne se refuse pas et qu'elle n'aurait pas osé refuser dans tous cas. Ainsi en parallèle de ses études, Camelia enchaine les allées-retours entre Boston et New York pour garder un oeil sur les livraisons. Elle se sent puissante, importante et elle touche plus d'argent que jamais. Bien sûre, elle se montre très discrète sur ses activités. Difficile de la soupçonner de faire parti d'un réseau de drogue international avec son visage de poupée. Comme quoi les apparences sont trompeuses.
Élevée dans le luxe, elle n'a aucunes notions de l'argent. Entourée de domestique, elle vit comme une vraie princesse, ses moindres désirs comblés et elle en profite bien. L'argent dans lequel elle baigne depuis toute petite n'a rien de propre. Pourris par le trafic de drogue dont sa famille ne s'est jamais vraiment séparée. Oui la famille Escobar reste influente et sur le marché malgré la mort de tonton Pablo. Mais à sept ans elle a bien d'autres préoccupations que la cocaïne. Plus tard elle prend conscience de son patrimoine familiale, elle en apprend beaucoup, elle sait tout mais préfère fermer les yeux. Elle aime trop l'argent pour le contester.
Sa mère est en étroite relation avec plusieurs trafiquants. Loin d'être sur le terrain c'est plutôt elle qui gère le trafic. Elle a pris la relève de son frère quelques mois après sa mort, elle souhaite lui faire en honneur en gardant vivant le cartel de Medellín. Elle a vu comment agissait son frère, les choix qu'il a fait, les conséquences qu'ils ont engendré et à quel point l'opinion public pouvait jouer. Non elle n'est pas prête de refaire les mêmes erreurs que lui. Elle laisse tombé le marché de Miami et préfère opérer du côté de New York. Lieu très prisé par les revendeurs de coco, elle est prête à se battre pour s'y imposer en tant que premier fournisseur.
Camelia n'est jamais sortie seule, de près ou de loin elle était toujours surveillée, observée, protégée. Si elle bénéficiait d'un palace comme terrain de jeu grâce à son nom, il lui apportait aussi son lot de problèmes. Elle avait des ennemis. Menacée de mort à plusieurs reprises, pas facile à vivre pour une adolescente. Une protection permanente s'imposait. Malgré tous, les menaces proliféraient. La famille recevait des lettres piégées, deux domestiques en sont morts. Elle n'allait plus au collège, trop dangereux, elle restait dans la demeure familiale des mois entiers. Princesse emprisonnée dans sa cage dorée. Bloquée.
Malgré toutes les recommandations de sa mère, elle n'en faisait qu'à sa tête. Elle n'a toujours écouté qu'elle. Elle a trouvé une faille dans la forteresse et réussis à s'échapper de la demeure surprotégée. Elle n'aurait jamais dû. A peine une heure après sa sortie, elle est enlevée par les membres d'un cartel rivale. Retenue prisonnière, elle sert de monnaie d'échange. Sa vie contre New York, rien que ça. Le deal est inacceptable. Canon contre la tempe, yeux fermés, elle sue Camelia, elle voit la mort de près de très près. Mais Alba n'a pas hésité une seule seconde à envoyer une centaine d'hommes à l'abattoir pour sauver sa fille. La famille avant tout. C'est ainsi que l'adolescente se retrouve au milieu d'une fusillade. Une balle traverse son bras mais elle s'en sort vivante.
Elle a soif de vengeance la petite et elle ne comprend pas. Captive pendant à peine vingt-quatre heures, ça a largement suffis à ses détracteurs pour lui faire du mal. Ils ne l'ont pas ménagé, elle a essuyé coup sur coup, subis des attouchements. Et ça à cause des affaires de sa mère. Mais elle ne lui en veut pas, au contraire. Elle souhaite rejoindre le cartel, devenir assez menaçante pour qu'on ose plus toucher un seul de ses cheveux.
Mais ce n'est pas pour tout de suite. Camelia est contrainte de quittée le payer, pour son bien. A dix-sept ans elle prend place dans les quartiers huppés de New York. Elle baigne dans la mondanité, parfaitement dans son élément. Au lycée elle attire facilement les regards, vêtements de haute couture, bijoux dorés, long cheveux scintillants, visage de poupée, tâches de rousseur caractéristiques, elle a tout pour elle et ne se retient pas de le montrer aux autres. Elle aime les regards envieux posés sur elle, elle adore attiser la jalousie. Elle n'hésite pas à profiter de son nom quand il le faut, elle a trouvé la bonne combine pour obtenir tout ce qu'elle veut, une fois de plus.
Dix-huit ans, elle quitte New York et rejoint Boston pour intégrer Harvard. Aller à l'université n'a jamais été une option. Deux ans plus tard, sa mère lui fait une proposition : surveiller les arrivées de la marchandise à New York. Une offre qui ne se refuse pas et qu'elle n'aurait pas osé refuser dans tous cas. Ainsi en parallèle de ses études, Camelia enchaine les allées-retours entre Boston et New York pour garder un oeil sur les livraisons. Elle se sent puissante, importante et elle touche plus d'argent que jamais. Bien sûre, elle se montre très discrète sur ses activités. Difficile de la soupçonner de faire parti d'un réseau de drogue international avec son visage de poupée. Comme quoi les apparences sont trompeuses.
✧ l'admission à harvard
Aller à l'université a toujours été une évidence. Malgré sa situation plus que confortable, Camelia veut prouver qu'elle n'est pas bonne à rien. C'est pour son prestige qu'elle a décidé d'intégrer Harvard. Malgré ce qu'on pourrait penser elle n'a pas jouer de son nom pour être acceptée, elle avait largement le niveau pour l'université. Toujours excellente, elle n'a pas eu de mal à passer les SATs. L'entretien n'était qu'une formalité. C'est une très bonne oratrice Camelia, elle sait se faire écouter, elle sait quand s'opposer et quand rester en retrait. Elle aurait sans doute fait une très bonne politicienne. Des semaines plus tard, c'est sans grande surprise qu'elle trouve sa lettre d'admission.
✧ le caractère de con
Les facettes de Camelia sont multiples. Vrai caméléon elle s'adapte à tout le monde. Elle manipule sans la moindre honte pour obtenir tout ce qu'elle veut, ça a toujours marché comme ça. Très mystérieuse, on ne sait jamais ce qu'elle pense vraiment. Elle aime cultiver ce mystère autour d'elle qui lui donne un charme tout particulier. Camelia n'a pas la langue dans sa poche, elle n'hésite pas à mettre les point sur les i et souvent pas de la manière la plus douce. Elle aime l'argent, elle respire l'argent, habituée au luxe, elle aime son petit confort. Impossible de passer un séjour à l'étranger autre que dans un hôtel cinq étoiles. Fêtarde, Camelia ne rate pas une occasion de faire la fête, les boites de nuit sont sa deuxième maison, les carrés vip elle connait bien. Son plus grand défaut serait la rancune, elle n'oublie jamais rien, jamais. Si vous lui faites une crasse et qu'elle vous pardonne, méfiez vous. Personne n'a droit à une seconde chance avec elle. Camelia est une femme très entêtée, elle n'écoute qu'elle et a toujours raison, impossible qu'elle se remettre en question. C'est simple, soit on est avec Camelia, soit on est contre Camelia. Autrement dit, soit vous avez droit à la gentille Camelia adorable et généreuse, soit vous vous retrouvez avec la Camelia détestable, malveillante qui ne ratera pas une occasion de vous enterrez plus bas que terre. Choisissez bien votre côté et surtout n'oubliez pas quel nom elle porte. Généralement ça pèse beaucoup dans la balance.
✧ derrière l'écran
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle opmist et j'ai votre âge. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à moi puisque j'y suis déjà hehe. Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de Eddie Mayle (Currier House). J'utilise amanda khamkaew comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par la base des bases tumblr. Je fais environ 500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
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☾ <span class="pris">AMANDA KHAMKAEW</span> ⊹ @"Camelia Escobar"
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