ABOUT ME
Né le 12 Mars 1993 à Naples – Étudiant en ingénierie mécanique - Barman et occasionnellement je vends mon corps - Célibataire - Bisexuel - BORDERLINE
● Fils du commissaire irlandais Jordan Hood et de la mannequin italienne Martina Anzil. Après un coup de foudre, ma mère est tombée enceinte et mon père a quitté l’Irlande pour s’installer en Italie. Les premières années de ma vie furent parfaite. Je n’étais qu’un enfant plein de vie et d’énergie.
● À mon entrée en classe primaire, j’étais harcelé à l’école physiquement et moralement à cause de mon identité et de mon style. Maman et papa avaient alors commencé à se disputer violemment à longueur de temps. De ce moment jusqu'à mes douze ans, ma vie était entre deux mondes. Je vivais pleinement et avec douceur en compagnie de ma maman que j’aimais par dessus tout. Je survivais avec papa faisant des progrès chaque jour, m’endurcissant toujours un peu plus à cause des combats et des punitions.
● À douze ans, je fus témoin du meurtre de ma mère qui fut tuée une nuit par mon père. Papa prétendait que c’était des « méchants messieurs » sans se douter que je savais sa responsabilité. Mon père se mit à boire et à devenir un monstre. Il me haïssait. Je ressemblais trop à maman, mon comportement lui faisait honte. Papa me frappait avec sa ceinture, me brûlant avec son briquet, m’étranglant avec ses mains, m’enfermant dans une pièce de la maison pendant des jours sans manger. Je porte aujourd’hui encore de nombreuses marques de ce passé. Des marques physiques, des marques mentales.
● Je n’avais pas d’amis préférant la solitude. J’étais un élève assidu au mauvais comportement. Je me bagarrais souvent sortant vainqueur grâce à mes cours de boxe. Le plus redouté et le plus désiré des élèves, ce fut à mes seize ans que je fus interpellé par la bande. Quatre garçons, fils de la mafia italienne. Je tombais bien vite dans leur monde. Ce monde où ils connaissaient la vérité sur mon père que j’espionnais pour eux. À seize ans, j’étais membre de ce clan. Je fumais. Je me droguais. Je buvais. Je me battais. J’étais adepte des coups d’un soir. Et, je me détruisais.
● Quelques semaines après mes dix-huit ans, papa m’avait battu à mort et j’étais persuadé que c’était la fin. Je parvins à contacter mon plus proche ami de la bande et je me retrouvais chez son père. Antonio, quarante ans, membre influent de la mafia. Antonio me proposa une place dans leur famille. Mon second prénom devint mon premier et ma vie se retrouva totalement changée. Je tombais amoureux de lui. Ce n’était pas vraiment une histoire d’amour. Il veillait sur moi, il me gardait dans les parages et nous couchions ensemble.
● L’enfer s’approcha bien vite. Antonio avait en vérité remarqué mon potentiel et su user de ses cartes pour faire de moi sa marionnette. De mes dix-neuf ans à mes vingt-deux ans, j’étais son pion. La pièce maîtresse de toutes ses affaires. J’étais son petit joyaux. La marchandise qui lui permettait de mieux conclure ses affaires et de faire plus d’argent. Pendant ces années, je traversais l’Italie avec Antonio pour ses affaires. Je me pliais aux demandes des étrangers. Je les laissais m’utiliser.
● Mon trouble de la personnalité fut diagnostiqué durant cette période. J’étais trop instable, jonglant entre diverses humeur. Doux et soumis comme un agneau comme tout le monde le voulait. Agressif et violent comme un loup manquant de tuer des gens. Fermé dans une bulle sombre de dépression et d’autodestruction où je ne cessais jamais de me faire du mal. J’étais Borderline et le Doc de la mafia se contenta de donner des médicaments pour agir sur certaines de mes phases alors que je ne voulais plus être un esclave.
● Pour mes vingt-deux ans, Antonio et moi partirent sur un bateau pour une semaine. Juste lui et moi. Ce fut à ce moment que je jouais ma partie d’échec, ma partie de vainqueur. La troisième nuit de notre escapade, je tuais de sang froid Antonio de plusieurs coups de couteau avant d'envoyer son message de détresse via son téléphone. Puis, montant sur le pont du bateau, je me blessais par arme à feu pour faire croire à une embuscade. Je fus ramené à la mafia où je sus parfaitement jouer le rôle du gamin perdu qui ne se rappelait plus très bien et qui se sentait mal suite à la mort de l'homme qu'il aimait.
● Un mois après cette histoire, j'étais sur pied et très respecté dans la mafia pour avoir tenté de protéger Antonio. J'en avais profité soufflant que je ne pouvais plus rester en Italie, dans la mafia. De façon surprenante, tout le monde avait compris. J'avais signé des papiers de confidentialité avant de pouvoir m'enfuir.
● Pendant deux ans, je ne cessais jamais d’être sur la route. Même si ni la mafia, ni la police n'étaient à mes trousses, je ne me sentais pas en sécurité. J’avais voyagé dans divers pays ne restant jamais plus de quelques mois au même endroit. Je cumulais les petits boulots faisant même parfois le trottoir si je manquais d’argent. Une vie de fête, de liberté et de délice.
● En novembre 2018, je m’installais définitivement à Cambridge tombant sous le charme.
● Je vis seul dans un appartement miteux que j'ai pu acheter avec les restes de l'argent volée à Antonio. Je suis toujours accro à l’adrénaline, je me plais à tremper dans les affaires illégales. Depuis le meurtre d'Antonio, je n’ai tué personne d’autre même s’il m’arrive parfois d’aller trop loin dans les bagarres. Ma principale source de revenus est mon job de barman que j’adore pour observer et manipuler. Il m'arrive de vendre mon corps lorsque je suis en manque d'argent. Je pratique toujours la boxe. J'étudie la médecine seul chez moi.
● Rare sont les personnes à connaître mon second prénom. Rare sont les personnes à savoir quoi que ce soit sur mes parents même s’il est facile de me rapprocher de ma mère. Personne ne connaît toute mon histoire. Rare sont les personnes au courant de mon trouble Borderline. Je suis juste étrange pour le monde. Je ne passe d’ailleurs jamais inaperçu. Trop sûr de moi. Trop imposant. Je fais beaucoup trop jeune pour âge. Ma peau pâle. Mes prunelles sombres qui cachent trop de secrets douloureux. Mon corps marqués par ces coups de ceinture, ces brûlures et ces marques de mutilation. Mon air mystérieux et bad boy. Mon allure trop frêle et pourtant si différente. Je vis toujours dans les excès de drogue, de clope, d’alcool. Rare sont ceux à avoir une place dans ma vie.
Connard insolent et impatient - Beau parleur charismatique - Rebelle - Dangereux fêtard - Artiste énigmatique - Solitaire - Renfermé - Timide - Rancunier - Colérique - Autoritaire - Violent - Cinglé - Lunatique - Têtu - Débauché - Hypocrite - Mythomane - Galant - Respectueux - Joueur taquin et attentif - Protecteur - Loyal - Curieux - Persévérant - Discret - Franc - Concentré - Accro à bien des choses | |