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AHREUM ROSE MIN
date de naissance
03 09 95, 4:27AM
lieu de naissance
SEOUL, SOUTH KOREA
nom
MIN
prénom(s)
AHREUM ROSE
orientation sexuelle
HETEROSEXUELLE
statut amoureux
CELIBATAIRE
études
PREMIERE ANNEE DE DANSE (M) ET LITTERATURE (m)
bourse
OUI
statut social
RICHE
job étudiant
GAMINE A TOUT FAIRE
— en ce début d’année universitaire, belle ahreum se montre raisonnable. à choisir l’anonymat et la simplicité plutôt que de sauter dans le grand bain. elle se décide donc à n’être qu’une simple étudiante pour se faire à ce nouveau continent, ce nouveau système. mais, à se donner un an avant de se décider. parce que, grande enfant, elle s’est longtemps imaginé membre d’une maison lorsqu’elle regardait ces productions américaines sur la jeunesse et les confréries. ahreum s’est toujours montrée enthousiaste à l’idée de faire partie d’une maison, de partager les rêves, les idéaux, les colères, les bêtises aussi. de faire partie de quelque chose à part entière. lors de son inscription à harvard, elle s’était déjà renseignée sur ces dernières, au final, celles qu’elles convoitaient ont été remplacés par des nouvelles. ne touchant guère son cœur pour l’instant. néanmoins, ce n’est que temporaire. puis, elle a envie de voir comment se comportent ces nouvelles maisons cette année, avant de choisir sa future famille de cœur.
il faut l’avouer, dans le cas d’ahreum, harvard n’a jamais été un rêve. où alors un rêve très lointain, un truc seulement réservé à ses sœurs. parce qu’elle avait déjà son avenir tout tracé. aujourd’hui, harvard sonne plutôt comme une chance, un échappatoire. un moyen pour elle, de réclamer sa vie. le dossier a été rempli sur un coup de tête, sur un ‘pourquoi pas’ résonnant à trois heures du matin lorsqu’elle se décida à tout lâcher en france. dans la volonté de rejoindre ses petites sœurs, elles-mêmes étudiantes à harvard. au départ, elle n’y croyait pas vraiment ; le dossier est un peu bancal à ses yeux. pourtant, il est irréprochable, les notes sont impeccables depuis la primaire, les activités extra-scolaires effectuées au cours de sa jeunesse dans le but de faire gonfler l’image, au cas-où, sont appréciées. mais tout ça, n’est que le reflet d’une mère pointilleuse sur la perfection. (au cas-où). mais, qui aurait pu croire que cela mènerait à une acceptation ? à une lettre reçu un mardi matin, expliquant alors que le dossier est reçu, que l’essai écrit est remarquable, que l’entretien à l’oral se tiendra dans deux semaines ? pas elle. et pourtant, c’est le cas. alors il ne lui faut que quelques jours pour boucler ses valises, terminer la paperasse - soulagée d’avoir obtenu le visa américain quelques années auparavant. et c’est la veille de son départ, qu’elle laisse entendre la nouvelle à sa mère et son beau-père, sourire satisfait sur le visage lorsque sa mère explose en colère. elle n’est point atteinte par les menaces, ahreum, elle se sauve, valises en mains vers un futur encore incertain, en attente d’être gribouillé par ses sourires, ses rires et ses bêtises.
sage comme un carnage ; ahreum. c’est une pureté dissimulée sous ce rouge carmin. un rouge provocant. c’est un joyau, pur, étincelant, précieux, d’une l’innocence sans égale — ahreum, c’est beaucoup de secrets.
elle est souvent confondue pour un livre ouvert. on ne cherche pas à la connaître. ahreum min c’est du vu et du revue. pas besoin de s’intéresser à elle. ou, peut-être pour s’amuser un peu, s’afficher avec, sortir du quotidien avant de l’abandonner quand elle n’a plus rien à apporter. pour eux, c’est juste une préface, juste un truc. un « ah, encore une enfant de riche, tous les mêmes de toute façon. » et ahreum, ça la blesse qu’on puisse penser ça d’elle, sans la connaître. parce qu’elle a tellement à offrir, tellement à donner ; ahreum, c'est des blessures infimes, qu’on ne voit pas, comme elle, mais qui sont là. qui font mal. ahreum, elle souffre en silence, bien gardée, bien protégée par sa fureur de vivre, par un sourire ; les doutes et les soucis bien gardés.
ahreum, c’est un masque. ahreum, elle est un peu sauvage, un peu sur ses gardes envers le monde, elle se veut indomptable. fière comme le vent. un peu pocahontas. l’impatience qui vit au bout des doigts, le mystérieux dans les prunelles, pourtant, elle a le cœur enchanté, celui qui se gonfle à la simple idée du prince charmant. enfant joyeux, le teint lumineux. et quand elle ne rit pas, elle est apaisante ahreum.
ce n'est pas le silence gênant –
non, ahreum, elle ne fait pas dans le bizarre, elle fait dans le malaise. si ahreum est blessée, elle tente de le cacher. mais la voix n’est pas le regard. alors sa transparence n’est pas infaillible.
ses yeux, témoins d’une souffrance silencieuse d’être délaissée sur le côté.
alors elle ferme les yeux ahreum, geste anodin pourtant si instinctif. si répétitif.
c’est aussi le pas assez comme elle. le complexe qui revient, encore et encore. de n’être pas assez. mais elle ne veut pas être plus. elle veut juste être.
ahreum, c’est l’insolente insouciance d’une enfant, celle qui veut vivre comme bon lui semble. c’est celle qui veut être maître de son destin, celle qui veut vivre pour elle, pas pour les autres. pourtant, à ces autres, elle donne. elle est généreuse, donne sans compter, sans rien attendre en retour. parce qu'ahreum, que peut-elle demander de plus ? elle a déjà tout.
ahreum, c’est plus qu’un nom, plus qu’un compte en banque. c’est une âme, encagée dans une prison d’argent – c’est l’oiseau en cage. cette cage tellement grande qu’elle peut voler à sa guise, liberté mensonge. elle baigne dans une liberté illusoire. alors qu’importe, elle aura beau voler, elle sera toujours en cage. et ça elle le sait, elle s’en est rendue compte. et ahreum, elle se bat pour que la porte s’ouvre, pour qu’elle puisse enfin sortir. qu’elle puisse décider pour elle-même. l’indépendance qu’elle veut, pour laquelle elle se bat.
l’enfant, c’est l’ambitieuse, c’est l’autonome, la battante. elle ne cherche pas le plus, elle n’est pas de ceux qui veulent plus. elle veut ce qu’elle peut avoir, de ses propres mains. elle s’acharne, elle se fait, elle se façonne à sa manière ; elle rejette l’idéologie de la mère. elle désire être ce qu’elle veut. elle n’a besoin de personne pour avancer. ça continuera encore et encore. jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus marcher. et même là. elle continuera d’avancer, sans s’arrêter, sans se retourner. le futur, le but.
au fond, elle veut juste exister ahreum.
c’est le talent qui se cache, c'est une douceur dans le corps ; une souplesse, une grâce, une beauté divine -- c’est l’imagination débordante, enfouie sous le sourire d’une gamine. ahreum, c'est des mains en or, une vision cosmique d’un monde qu’elle seule peut voir. c’est le coup de crayon, c’est la pensée, c’est la passionnée, la perfectionniste. elle peut passer des heures sans boire, sans manger, sans se reposer juste pour terminer une oeuvre, puis écrire les ressentis. un texte, qui malheureusement, rejoindra ses compagnons dans une boîte sous son lit.
c’est la fidélité, la loyauté à toute épreuve. à se donner corps et âmes pour ceux qu'elle aime ; à vouloir les protéger. la franchise ; ce sont les mots qui peuvent blesser, qui enragent parfois. mais c’est aussi la bouche qui ment. qui cache. elle ment ahreum, quand elle doit se protéger, quand elle doit se cacher. elle ment comme elle respire, on croit aux ça va alors que son cœur hurle de souffrance. ahreum, c’est aussi la voix qui demande le respect, le regard qui se fait froid -- lorsqu'elle est mécontente, lorsqu'elle doit poser les mots. on se tait. autorité naturelle.
c’est l’amour pour ses soeurs, souvent mit à mal par la vie. c’est la tendresse d’une ainées à ses cadettes — ahreum, elle ferait tout pour elles.
elle manque. elle manque d’attention, elle manque de confiance en elle, elle manque de sûreté, elle est bourrée de complexes ahreum. le truc typique des filles, pas assez grande, pas assez jolie, trop ceci, trop cela. pourtant, elle a le mérite d’être naturelle, ahreum, elle est tout ce qu’il y a de plus vrai. sauf ses mensonges. elle veut juste être elle, le sourire sur les lèvres carmin, la gentillesse sans faille, il n’y a pas de méchanceté chez elle, juste de la maladresse, de la rancœur. la taquinerie qui fait rire, l’espièglerie d’une enfant, la curiosité d’une âme qui grandit.
elle est souvent confondue pour un livre ouvert. on ne cherche pas à la connaître. ahreum min c’est du vu et du revue. pas besoin de s’intéresser à elle. ou, peut-être pour s’amuser un peu, s’afficher avec, sortir du quotidien avant de l’abandonner quand elle n’a plus rien à apporter. pour eux, c’est juste une préface, juste un truc. un « ah, encore une enfant de riche, tous les mêmes de toute façon. » et ahreum, ça la blesse qu’on puisse penser ça d’elle, sans la connaître. parce qu’elle a tellement à offrir, tellement à donner ; ahreum, c'est des blessures infimes, qu’on ne voit pas, comme elle, mais qui sont là. qui font mal. ahreum, elle souffre en silence, bien gardée, bien protégée par sa fureur de vivre, par un sourire ; les doutes et les soucis bien gardés.
ahreum, c’est un masque. ahreum, elle est un peu sauvage, un peu sur ses gardes envers le monde, elle se veut indomptable. fière comme le vent. un peu pocahontas. l’impatience qui vit au bout des doigts, le mystérieux dans les prunelles, pourtant, elle a le cœur enchanté, celui qui se gonfle à la simple idée du prince charmant. enfant joyeux, le teint lumineux. et quand elle ne rit pas, elle est apaisante ahreum.
ce n'est pas le silence gênant –
non, ahreum, elle ne fait pas dans le bizarre, elle fait dans le malaise. si ahreum est blessée, elle tente de le cacher. mais la voix n’est pas le regard. alors sa transparence n’est pas infaillible.
ses yeux, témoins d’une souffrance silencieuse d’être délaissée sur le côté.
alors elle ferme les yeux ahreum, geste anodin pourtant si instinctif. si répétitif.
c’est aussi le pas assez comme elle. le complexe qui revient, encore et encore. de n’être pas assez. mais elle ne veut pas être plus. elle veut juste être.
ahreum, c’est l’insolente insouciance d’une enfant, celle qui veut vivre comme bon lui semble. c’est celle qui veut être maître de son destin, celle qui veut vivre pour elle, pas pour les autres. pourtant, à ces autres, elle donne. elle est généreuse, donne sans compter, sans rien attendre en retour. parce qu'ahreum, que peut-elle demander de plus ? elle a déjà tout.
ahreum, c’est plus qu’un nom, plus qu’un compte en banque. c’est une âme, encagée dans une prison d’argent – c’est l’oiseau en cage. cette cage tellement grande qu’elle peut voler à sa guise, liberté mensonge. elle baigne dans une liberté illusoire. alors qu’importe, elle aura beau voler, elle sera toujours en cage. et ça elle le sait, elle s’en est rendue compte. et ahreum, elle se bat pour que la porte s’ouvre, pour qu’elle puisse enfin sortir. qu’elle puisse décider pour elle-même. l’indépendance qu’elle veut, pour laquelle elle se bat.
l’enfant, c’est l’ambitieuse, c’est l’autonome, la battante. elle ne cherche pas le plus, elle n’est pas de ceux qui veulent plus. elle veut ce qu’elle peut avoir, de ses propres mains. elle s’acharne, elle se fait, elle se façonne à sa manière ; elle rejette l’idéologie de la mère. elle désire être ce qu’elle veut. elle n’a besoin de personne pour avancer. ça continuera encore et encore. jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus marcher. et même là. elle continuera d’avancer, sans s’arrêter, sans se retourner. le futur, le but.
au fond, elle veut juste exister ahreum.
c’est le talent qui se cache, c'est une douceur dans le corps ; une souplesse, une grâce, une beauté divine -- c’est l’imagination débordante, enfouie sous le sourire d’une gamine. ahreum, c'est des mains en or, une vision cosmique d’un monde qu’elle seule peut voir. c’est le coup de crayon, c’est la pensée, c’est la passionnée, la perfectionniste. elle peut passer des heures sans boire, sans manger, sans se reposer juste pour terminer une oeuvre, puis écrire les ressentis. un texte, qui malheureusement, rejoindra ses compagnons dans une boîte sous son lit.
c’est la fidélité, la loyauté à toute épreuve. à se donner corps et âmes pour ceux qu'elle aime ; à vouloir les protéger. la franchise ; ce sont les mots qui peuvent blesser, qui enragent parfois. mais c’est aussi la bouche qui ment. qui cache. elle ment ahreum, quand elle doit se protéger, quand elle doit se cacher. elle ment comme elle respire, on croit aux ça va alors que son cœur hurle de souffrance. ahreum, c’est aussi la voix qui demande le respect, le regard qui se fait froid -- lorsqu'elle est mécontente, lorsqu'elle doit poser les mots. on se tait. autorité naturelle.
c’est l’amour pour ses soeurs, souvent mit à mal par la vie. c’est la tendresse d’une ainées à ses cadettes — ahreum, elle ferait tout pour elles.
elle manque. elle manque d’attention, elle manque de confiance en elle, elle manque de sûreté, elle est bourrée de complexes ahreum. le truc typique des filles, pas assez grande, pas assez jolie, trop ceci, trop cela. pourtant, elle a le mérite d’être naturelle, ahreum, elle est tout ce qu’il y a de plus vrai. sauf ses mensonges. elle veut juste être elle, le sourire sur les lèvres carmin, la gentillesse sans faille, il n’y a pas de méchanceté chez elle, juste de la maladresse, de la rancœur. la taquinerie qui fait rire, l’espièglerie d’une enfant, la curiosité d’une âme qui grandit.
pseudo wonderland, kass.
âge bientôt vingt-sept ans, on se passe de commentaires, merci.
nationalité française, l'pays de taehyung
forum connu par... l'éternité.
ILH, j'en pense quoi ? moi j'aime pas.
autres comptes ? @cece wang @louis duchannes @jaehwa bahk
avatar utilisé lee hi
crédits images kelly & gizniie
nombre de mots par rp it depends.
type personnage inventé/pré-lien par @soojin min
code bottin
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