Jay T. Winston ► thad luckinbill

Jay Titus Winston

feat thad luckinbill

carte d'identité

Je suis né(e) le 19 avril 1979 à Chicago. J'ai actuellement 40 ans et je suis de nationalité américaine. Je suis attiré(e) par les les femmes et actuellement je suis marié. Niveau social je suis pas en manque de moyen, je dirais donc riche chef de bataillon dans une caserne de pompier, mais également co-propriétaire d'un bar.

✧ love shot

Qu'est-ce que tu aimes / n'aimes pas dans cette ville ? Une ville n'est jamais parfaite pour ses habitants. Alors racontez nous ce qui vous fait apprécier cette ville et/ou contraire la détester. Votre personnage a sans doute un endroit préféré. On veut tout savoir.

✧ les petites anecdotes

Cette partie est facultative. Disons que désormais, puisque l'histoire n'est plus obligatoire si tu choisis de ne pas la rédiger, il te faudra nous faire pas mal d'acnedotes sur ton personnage pour qu'on puisse le cerner. Si tu préfères rédiger l'histoire, dans ce cas, tu peux enlever cette partie et faire comme si elle n'avait jamais existé. C'est beau la vie ? minimum de quinze anecdotes à rédiger

✧ le caractère de con

Décris le caractère de ton personnage en minimum 10 points ou 5 lignes. Décris le caractère de ton personnage en minimum 10 points ou 5 lignes. Décris le caractère de ton personnage en minimum 10 points ou 5 lignes. Décris le caractère de ton personnage en minimum 10 points ou 5 lignes. Décris le caractère de ton personnage en minimum 10 points ou 5 lignes. Décris le caractère de ton personnage en minimum 10 points ou 5 lignes.

✧ derrière l'écran

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle scrat et j'ai 30 ans ~~non je suis pas vieux~~. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à top-site . ILH est de toute beauté alors j'ai décidé de m'inscrire OU Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de pseudos de vos comptes actuels (+ maison). J'utilise thad luckinbill comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par scrat. Je fais environ autant de mots qu'il en faut par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
  je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)

Je recense mon avatar ▲

Code:: ☾ <span class="pris">THAD LUCKINBILL</span> ⊹ @"Jay T. Winston"

(Invité)

un jour, une histoire

Les amis font partie de cette portion de l'humanité envers laquelle on peut se montrer humain

C’est avec un sourire sur ton visage que tu peux voir cette fille s’éloigner de toi. Plusieurs semaines qu’elle est arrivée dans cette université. Et après avoir réussi à venir te rapprocher d’elle, tu as réussi à avoir un retour positif sur cette proposition que tu viens de lui faire : le lendemain, vous allez vous retrouver autour d’un verre. Tu as beau avoir conscience que ce n’est pas bien ce que tu fais. Il est difficile pour toi de ne pas céder à la tentation. T'arrives, malgré ta réputation à faire craquer les filles, à jouer de tes charmes. Et tu ne te prives pas pour confirmer ce qui était connu de ton entourage, comme de ta promotion : Tu es un véritable séducteur. Tu ne peux pas t’empêcher de draguer, bien trop faible face aux courbes féminines. Je ne rêve pas ? Jules, la nouvelle vient d’accepter d’aller boire un verre avec JT le roi des play boy ? C'est en entendant la voix de Colton, ton meilleur ami, que tu viens détourner ton regard de cette fille. C'est pour venir le déposer sur lui, avec ton sourire s’accentuant encore un peu plus, devenant bien plus amusé qu’il ne l’était. Tu ne rêves pas ! Tu accompagne ta réponse d’une frappe légère contre son épaule. Elle n’a pas la moindre idée de ce qui l’attend. Non, mais demain Jules sera avec moi. Non ! Dans ton lit JT ! Nuance. Tu ne peux pas garder ce rire pour toi, il est sorti du fond du cœur. Tu ne peux pas masquer le fait que ce que vient de te dire Colton, est la plus grande des vérités. Avec moi… Dans mon lit, c’est la même chose. Demain elle va découvrir la meilleure partie de moi et elle en redemandera encore ! Une part de vérité, pour une part de plaisanterie, dans ce que tu viens de répondre. Plusieurs années que vous vous connaissez. Depuis le lycée en réalité et il est devenu quelqu’un de très important pour toi. Tu ne peux pas t’empêcher de te dire qu’il représente bien plus à tes yeux, que ton propre demi-frère. Ce garçon que ton père est venu avoir d’une première relation, avec lequel tu te retrouves incapable de t’entendre.

Ne me dites pas que ce problème est difficile. S'il n'était pas difficile, ce ne serait pas un problème

JT ? Ce n'est pas sans raison qu'Iliana, la petite sœur de Colton, est en train de prononcer ton surnom. Il y a plusieurs heures en arrière. Elle est venue te trouver, cette mine déconfite et apeurée. Elle est venue te demander ton aide. JT, qu’est-ce qu’il s’est passé ? Tu vas bien ? Tu n'as pas fermé la porte de ta chambre résidentiel, celle où tu habites. Que tu peux la voir se relever du lit qui est le tien, pour se rapprocher de toi. Depuis qu’elle est venue te retrouver, Iliana est restée ici à ta demande. Juste le temps que tu revienne, après l’avoir vu complètement en pleure. Ca va. La première réponse que tu viens donner à la sœur de ton meilleur ami. C'est de lui dire que tu vas bien. Malgré cette coupure que tu as au niveau de tes lèvres, qui laisse du sang s’y échapper et couler jusqu’à ton menton. Tu vas bien, mais tu n'as pas pu t’empêcher de fermer les yeux. Tu as même laissé une grimace se présenter sur ton visage, en sentant les doigts d'Iliana contre ce qui est un souvenir de cette journée. Je suis désolée. Je n’aurais jamais dû venir te voir, tout ça c’est ma faute… S’il te plait, ne dit rien à Colton. Quand elle est venue te voir tout à l’heure, ce sont déjà des propos qu’elle a su employer en te contant son problème. Pourquoi elle ne souhaite pas que son frère le sache ? Tu n'en sais trop rien, mais tu as accepté une première fois. Ce n’est pas pour revenir sur ta parole. Je ne lui dirais rien, mais à une seule condition. Arrête de dire que c’est ta faute ! Tu n’as rien à te reprocher dans cette histoire, tu n’as rien fait de mal Iliana. Ce connard n’est pas près de t’approcher à nouveau. Ta réputation n’est plus à faire, tu as fait ce qu’il fallait pour te permettre d’être vu comme un tombeur de ses dames. Et cette image ne te déplaît pas, au contraire. C'est quelque chose que tu apprécies, qui est bien loin du petit garçon que tu as été pendant ton enfance. Un brun timide, qui préfère rester dans son coin plutôt que d’aller vers les autres. Tu n'es plus ce garçon. Tu es un homme, tu es un tombeur. Mais ce n’est pas pour autant que tu peux accepter un comportement qui se rapprocher de bien trop près à un harcèlement sexuel. Qui aurait pu se diriger vers un viol, si elle n’avait pas réussi à s’enfuir des griffes de celui avec qui tu viens de régler tes comptes. Je suis désolée… Des excuses aux milieux de sanglots que tu parviens à entendre. Qui ne peuvent guère aller plus loin. La seule chose que tu peux faire, c’est de combler cet écart qu’il y a entre vous. De la prendre dans tes bras, de sentir sa tête trouver refuge contre ton épaule.

Le premier soupir de l'amour est le dernier de la sagesse

Iliana ? Hum… Ton cœur n’a pas eu de mal à venir cogner contre ta poitrine. Il te suffit de voir la petite sœur de ton meilleur ami ouvrir la porte de cette maison. Celle dans laquelle la famille Weaver vit. Elle est sa petite sœur, c’est ainsi que tu la vois. Du moins depuis plusieurs années. Après ce jour, celui où elle est venue demander ton aide. Quelque chose a changé et vous avez passé beaucoup de temps ensemble. Tu l'as fait volontairement, pour t’assurer qu’elle ailles mieux, qu’elle finisse de se remettre de ce qui lui est arrivée. Qu'elle ne pense pas à ce qui aurait pu lui arriver, si elle n’avait pas eu la chance un minimum de son côté. Avec le temps, c’est parce que tu apprécies être en sa compagnie. Tu n'as aucune envie de cesser tout contact avec elle, tu as l’envie, comme le besoin de la voir et de parler avec elle. C'est aussi quelque chose que tu as eu bien du mal à te l’admettre. Ce n’est pas sans raison que tu te retrouves sur le pas de la porte de la famille de ton meilleur ami. Face à une jeune femme que tu as de moins en moins de mal à voir comme une petite fille. Colton est ici ? C'est lui que tu es venu voir, tu as le besoin de parler avec lui, de lui faire part de ce qui est en train de t’arriver. Avec une appréhension certaine de ce qu’il peut bien te répondre. D’un côté tu as cet espoir qu’il vienne te remettre les idées aux claires. Elle est sa petite sœur, celle que tu as connu au début de son adolescence. D’un autre côté tu te surprends à avoir l’envie qu’il vienne accepter toutes ces idées saugrenues. Celles que tu te retrouves à avoir et auxquels tu ne peux pas t’empêcher de penser. Non. Il est à un match de base-ball avec papa. Tu veux entrer ? Ce n'est pas une idée qui est bonne. C’est ce que tu es en train de te répéter intérieurement, en détournant ton regard derrière toi. Comme pour t’assurer que ni Colton, ni même ses parents se retrouvent à arriver. Oui… Non ! Hum. Oui ? Ou non ? Ton regard est à nouveau sur elle. Elle qui arrive à te faire perdre tes moyens, ceux que tu as pourtant tellement l’habitude de savoir contrôler. C’est pas une bonne idée 'liana… D’entrer ? Ce n’est pas la première fois que tu viens ici tu sais. Tu en as bien conscience. Depuis que Colton est entré dans ta vie, tu as passé du temps dans cette maison. Il y en a eu de nombreuses soirées où tu es venu sans prévenir. Après t’être engueulé une fois de plus avec tes parents ou encore avec ton demi-frère. Mais ce n’est pas pour cette raison que tu sais que c’est une mauvaise idée que d'accepter sa proposition. Non… Ca ce n’est pas une bonne idée... Entre la conscience et l’envie, ce n'est pas la conscience qui se retrouve gagnante. Pas dans ce terrible duel dans lequel tu te retrouves. Des mots que tu prononces en t’approchant d'Iliana bien trop dangereusement. Jusqu’à marquer un arrêt lorsque tes lèvres frôlent les siennes. Comme une dernière prise de conscience, qui ne dure guère. Non, puisque tu viens l’embrasser, laissant la raison de côté.

(Invité)