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quelle chance de te revoir ici ; feat james & lénaïs.
Samedi, 19.30 heures.
Plantée devant son placard de cèdre clair, Lénaïs réfléchissait à toute allure quant à la tenue à porter pour la soirée. Car, en effet, une réunion-soirée de l'association Unicef, de laquelle elle était membre depuis quelques temps déjà, avait lieu dans une demi-heure, et elle était loin d'être prête. Son dîner à la cafétéria de l'université l'avait grandement retardé, étant donné le monde qu'il y avait. Alors, après avoir enfin réussi à gagner son dortoir dans la Dunster House, la blonde avait rapidement pris une douche, puis une serviette de bain jaune enroulée autour de son corps, elle tentait de trouver quelque chose à mettre. Sur un subite coup de tête, elle se décida finalement pour une robe blanche Oscar de la Renta, qu'elle avait acquise la semaine précédente, et qui lui avait d'ailleurs coûté une petite fortune. S'observant brièvement devant le miroir à pied après l'avoir enfilé, elle valida définitivement la tenue, puis s'occupa ensuite de ses cheveux naturellement bouclés, les attachant en une haute queue de cheval, exactement comme elle aimait. Une touche de maquillage, des créoles Bvlgari aux oreilles, sa nouvelle veste rouge ainsi que des talons aiguilles de la même couleur aux pieds, et le tour était joué. Pour finir, l'étudiante en médecine attrapa sa pochette Chanel posée sur le lit, vérifia que le strict nécessaire s'y trouvait, puis sortit alors hors de la chambre, puis de l'université Harvard.
Plantée devant son placard de cèdre clair, Lénaïs réfléchissait à toute allure quant à la tenue à porter pour la soirée. Car, en effet, une réunion-soirée de l'association Unicef, de laquelle elle était membre depuis quelques temps déjà, avait lieu dans une demi-heure, et elle était loin d'être prête. Son dîner à la cafétéria de l'université l'avait grandement retardé, étant donné le monde qu'il y avait. Alors, après avoir enfin réussi à gagner son dortoir dans la Dunster House, la blonde avait rapidement pris une douche, puis une serviette de bain jaune enroulée autour de son corps, elle tentait de trouver quelque chose à mettre. Sur un subite coup de tête, elle se décida finalement pour une robe blanche Oscar de la Renta, qu'elle avait acquise la semaine précédente, et qui lui avait d'ailleurs coûté une petite fortune. S'observant brièvement devant le miroir à pied après l'avoir enfilé, elle valida définitivement la tenue, puis s'occupa ensuite de ses cheveux naturellement bouclés, les attachant en une haute queue de cheval, exactement comme elle aimait. Une touche de maquillage, des créoles Bvlgari aux oreilles, sa nouvelle veste rouge ainsi que des talons aiguilles de la même couleur aux pieds, et le tour était joué. Pour finir, l'étudiante en médecine attrapa sa pochette Chanel posée sur le lit, vérifia que le strict nécessaire s'y trouvait, puis sortit alors hors de la chambre, puis de l'université Harvard.
Le temps était plutôt frisquet, ce qui était normal pour un mois de janvier, et elle se dépêcha donc de héler un taxi, n'ayant aucune envie d'utiliser et conduire sa propre voiture. Heureusement pour elle, l'un d'entre eux qui passait par là, s'arrêta à son signe, et Rockefeller grimpa à l'intérieur, demandant au chauffeur de le conduire dans la salle où se déroulait la soirée en question, qui se situait quelque part dans Harvard Square. La circulation étant fluide, elle y fut en un rien de temps, et après avoir payé, s'extirpa hors de la voiture, s'avançant à pas rapide à l'intérieur de la salle, où déjà, le monde commençait à affluer. Ajustant sa robe, Lénaïs salua toutes les personnes qu'elle connaissait, se servant au passage une coupe de champagne, puis opta pour aller s'asseoir sur un siège en attendant que les discours débutent. Mais avant de pouvoir s'y diriger, elle remarqua une tête – quasiment - familière. Celle de James. Tous deux s'étaient rencontré quelques temps auparavant, lors d'une association caritative, et le moins que l'on puisse dire, était que ça ne s'était pas très bien passé, de son point de vue du moins. Le jeune homme, lui, avait bien rigolé de la situation, l'énervant plus encore, elle qui perdait difficilement le contrôle d'elle-même. Elle se demandait d'ailleurs ce qu'il faisait ici aujourd'hui, et dans les associations de charité en général, étant donné qu'il n'y avait vraiment rien de « généreux « chez lui, du moins de tout ce qu'elle avait vu, jusqu'à maintenant. Mais bon, sans lui prêter plus d'attention, la jeune femme alla se poser sur une chaise, croisant ses jambes, se focalisant sur les messages reçus sur son Iphone.
code par (c) eylika. photo de tumblr.
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