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Caïlan Van Woodstern
feat haley lu richardson
carte d'identité |
✧ maison ou pas pour l'instant
Caïlan est une student, et elle le restera aussi longtemps qu’il le faudra. Elle n’a jamais été de ceux qui rejoignent des confréries pour faire comme tout le monde, ou se montrer trop magnifique. Elle ne veut pas intégrer une maison, parce qu’elle a peur de tout ce qui pourraient se cacher derrière. Elle a peur que, de rejoindre une des communautés de cette université ne la fasse devenir une autre, elle a peur de ne plus être juste le petit fantôme de l'université. Du moins, elle ne se sent pas assez à l’aise pour le moment, et pourrait un jour reconsidérer la question si on arrivait à la convaincre suffisamment.
✧ les petites anecdotes
« Dis, tu te souviens de la fois où nous sommes montés dans cet arbre chez grand-mère ? Ta cheville n’a jamais été aussi enflée et foulée que ce jour-là, et pourtant tu n’avais rien fait d’extraordinaire. Je m’en souviens comme si c’était hier. Tu as gardé le même sourire pendant toutes ces années. Il ne t’a jamais quitté. Tu n’avais même pas pleuré. Et j’avais dû te redescendre à l’aide d’une corde, comme si tu étais un sac de nourriture dans le temps de la guerre. Ça me manque. On avait six ans putain, et nous étions déjà de vraies petites terreurs. J’aime être ton frère juste parce que tu as des os dignes d’un oscar. Et j’apprécie qu’on soit jumeau car au moins je suis le seul à avoir le droit de te faire pleurer. Un petit peu. Pas beaucoup. »
J’ai un jumeau, et du plus loin que je me souvienne, on a toujours partagé la même chambre. Ce qui, en grandissant, n’est pas terrible pour une fille. ¬Un mec ça pue, croyez-moi, et plus qu’on ne l’imagine. Du moins, celui-là sentait très fort. Chose qui parfois me fait me demander s’il ne le fait pas juste pour m’entendre râler derrière lui. — Caësar a toujours été le jumeau le plus attentionné et délicat que je pouvais avoir. Il a frappé beaucoup trop de garçons justes parce qu’ils voulaient sortir avec moi. Du coup, c’était assez difficile de ne pas effrayer les potentiels nouveaux qui se dessinait à travers le temps. En fait vous savez quoi ? Il était tellement flippant que personne n’osait m’approcher au lycée. Génial le frère, non ? — Quand j’étais jeune, je me suis fait une frange. Ou plutôt, j’ai subi une frange. Ne vous coupez jamais les cheveux vous-même, vous éviterez une belle catastrophe. Et au moins vous n’aurez pas à vivre avec les pleurs et les rires de votre frère adorés.
« Caïlan ? Vous m’écoutez ? C’est important que vous sachiez que je suis là pour vous écouter. Et surtout pour vous aider. Ce n’est pas normal de frapper une de vos camarades de classes, et encore moins pour les raisons suivantes : elle l’a cherchée. Si elle n’avait pas commencé en disant n’importe quoi, sa dent n’aurait jamais eu un traumatisme tel qu’elle ne pouvait que se casser. Ce n’est pas toléré ici jeune demoiselle, vos parents vont devoir venir. J’ai besoin de leur parler de vous. »
Depuis très jeune je pratique les sports de combats. Mon père a toujours voulu que je sache me défendre au cas où quelque chose m’arrive dans le futur. Et je lui en suis très reconnaissante, car j’adore me battre. Donner des coups dans un sac peut parfois vraiment me vider la tête et m’aider à me concentrer sur ce qui est réellement important. — Pour mon douzième anniversaire, et donc celui de Caësar aussi, on a droit à une révélation qui, je vous le promets valait le détour. Ma mère était ivre, vous comprendrez donc assez vite la suite. Quand elle boit trop, disons qu’elle a la langue assez bavarde. Et quoi de mieux que de nous avouer qu’elle espérait à l’époque ne jamais avoir d’enfants, et que quand elle a su qu’elle attendait des jumeaux, elle a cru que son appareil génital n’allait jamais y survivre. Merci maman, je t’aime de tout mon cœur. — Je n’ai jamais eu de rapports sexuels. Autant l’avouer tout de suite. Tout comme je n’ai jamais eu de copain. Disons que je n’avais pas vraiment le choix et que maintenant, je ne sais même pas si je saurais comment être avec une autre personne. Est-ce qu’on reçoit une notification divine quand on tombe amoureux ?
« Caë, ouvre les yeux mon cœur. Ouvre les yeux. Ne t’endors pas, je t’en supplie mon ange. Tu ne peux pas faire ça à maman, il faut que tu te réveilles. Je ne pourrais pas vivre sans toi. Il faut que tu sois fort, pour moi. Ne me laisse pas avec eux. Ils ne me comprennent pas comme toi. »
Mon frère est mort il y a un an jour pour jour. Nous étions tous les deux à Harvard en étude de droit. C’était notre rêve après tout, faire nos études là-bas. Il pleuvait et on voyait à peine autour de nous. J’avais son blouson sur mes épaules. Si je n’avais pas traversée. Et s’il ne m’avait pas sauvé, il serait encore là, et ma mère ne me détesterait pas. — Mes parents ont divorcé il y a six mois. À croire que l’accident a détruit plus que ma vie. Je les revois encore se disputer comme si je n’existais pas, ou plus. Et parfois je me demande si je n’aurais pas mieux fait de mourir en même temps que ma moitié. — Mon père m’aime, je le sais. C’est sans doute pour ça qu’il m’emmène voir autant de match de baseball. Parce qu’il sait que c’était la passion de Caësar et non la mienne. Parce qu’il pense qu’une part de lui vivra toujours en moi. Quand ils agissent comme ça, j’ai l’impression de n’être plus qu’une ombre. Sincèrement, ses vieux matchs de baseball sont une blague de mauvais goût.
« Si tu prends ça, c’est clair que tu vas planer à deux milles et qu’après tu ne pourras plus jamais te passer de moi. Mais si tu veux je peux juste te passer à fumer et non à snifer. T’es mignonne, ça serait dommage qu’il t’arrive quelque chose ce soir, tu ne crois pas ? »
La drogue c’est mal, je le sais. Le monde le sait. Et pourtant tous les soirs j’avais besoin de cette ligne, ou de cette bouffée de fumée. Pour tenir. Pour ne plus y penser. Je me défonçais. Je me défonce toujours. Et je danse sur cette musique sans queue ni tête. Relâchant entièrement la pression à chaque fois. Oubliant jusqu’à son existence. Oubliant que je ne vaux rien toute seule. — L’école, c’est compliqué on dira. Je revois ce professeur me dire que je devais me ressaisir. Que le temps passait et qu’un jour je finirais à la rue si ça continuait. Je n’étais pas d’humeur à ce moment précis. J’en avais marre de l’entendre. Alors oui, j’avais seulement roulée des yeux avant de partir. Mais, mes notes étaient remontées. Je n’aimais pas être nulle, je détestais ça. Alors un minimum d’effort c’était dessiné sur le chemin.
J’ai un jumeau, et du plus loin que je me souvienne, on a toujours partagé la même chambre. Ce qui, en grandissant, n’est pas terrible pour une fille. ¬Un mec ça pue, croyez-moi, et plus qu’on ne l’imagine. Du moins, celui-là sentait très fort. Chose qui parfois me fait me demander s’il ne le fait pas juste pour m’entendre râler derrière lui. — Caësar a toujours été le jumeau le plus attentionné et délicat que je pouvais avoir. Il a frappé beaucoup trop de garçons justes parce qu’ils voulaient sortir avec moi. Du coup, c’était assez difficile de ne pas effrayer les potentiels nouveaux qui se dessinait à travers le temps. En fait vous savez quoi ? Il était tellement flippant que personne n’osait m’approcher au lycée. Génial le frère, non ? — Quand j’étais jeune, je me suis fait une frange. Ou plutôt, j’ai subi une frange. Ne vous coupez jamais les cheveux vous-même, vous éviterez une belle catastrophe. Et au moins vous n’aurez pas à vivre avec les pleurs et les rires de votre frère adorés.
« Caïlan ? Vous m’écoutez ? C’est important que vous sachiez que je suis là pour vous écouter. Et surtout pour vous aider. Ce n’est pas normal de frapper une de vos camarades de classes, et encore moins pour les raisons suivantes : elle l’a cherchée. Si elle n’avait pas commencé en disant n’importe quoi, sa dent n’aurait jamais eu un traumatisme tel qu’elle ne pouvait que se casser. Ce n’est pas toléré ici jeune demoiselle, vos parents vont devoir venir. J’ai besoin de leur parler de vous. »
Depuis très jeune je pratique les sports de combats. Mon père a toujours voulu que je sache me défendre au cas où quelque chose m’arrive dans le futur. Et je lui en suis très reconnaissante, car j’adore me battre. Donner des coups dans un sac peut parfois vraiment me vider la tête et m’aider à me concentrer sur ce qui est réellement important. — Pour mon douzième anniversaire, et donc celui de Caësar aussi, on a droit à une révélation qui, je vous le promets valait le détour. Ma mère était ivre, vous comprendrez donc assez vite la suite. Quand elle boit trop, disons qu’elle a la langue assez bavarde. Et quoi de mieux que de nous avouer qu’elle espérait à l’époque ne jamais avoir d’enfants, et que quand elle a su qu’elle attendait des jumeaux, elle a cru que son appareil génital n’allait jamais y survivre. Merci maman, je t’aime de tout mon cœur. — Je n’ai jamais eu de rapports sexuels. Autant l’avouer tout de suite. Tout comme je n’ai jamais eu de copain. Disons que je n’avais pas vraiment le choix et que maintenant, je ne sais même pas si je saurais comment être avec une autre personne. Est-ce qu’on reçoit une notification divine quand on tombe amoureux ?
« Caë, ouvre les yeux mon cœur. Ouvre les yeux. Ne t’endors pas, je t’en supplie mon ange. Tu ne peux pas faire ça à maman, il faut que tu te réveilles. Je ne pourrais pas vivre sans toi. Il faut que tu sois fort, pour moi. Ne me laisse pas avec eux. Ils ne me comprennent pas comme toi. »
Mon frère est mort il y a un an jour pour jour. Nous étions tous les deux à Harvard en étude de droit. C’était notre rêve après tout, faire nos études là-bas. Il pleuvait et on voyait à peine autour de nous. J’avais son blouson sur mes épaules. Si je n’avais pas traversée. Et s’il ne m’avait pas sauvé, il serait encore là, et ma mère ne me détesterait pas. — Mes parents ont divorcé il y a six mois. À croire que l’accident a détruit plus que ma vie. Je les revois encore se disputer comme si je n’existais pas, ou plus. Et parfois je me demande si je n’aurais pas mieux fait de mourir en même temps que ma moitié. — Mon père m’aime, je le sais. C’est sans doute pour ça qu’il m’emmène voir autant de match de baseball. Parce qu’il sait que c’était la passion de Caësar et non la mienne. Parce qu’il pense qu’une part de lui vivra toujours en moi. Quand ils agissent comme ça, j’ai l’impression de n’être plus qu’une ombre. Sincèrement, ses vieux matchs de baseball sont une blague de mauvais goût.
« Si tu prends ça, c’est clair que tu vas planer à deux milles et qu’après tu ne pourras plus jamais te passer de moi. Mais si tu veux je peux juste te passer à fumer et non à snifer. T’es mignonne, ça serait dommage qu’il t’arrive quelque chose ce soir, tu ne crois pas ? »
La drogue c’est mal, je le sais. Le monde le sait. Et pourtant tous les soirs j’avais besoin de cette ligne, ou de cette bouffée de fumée. Pour tenir. Pour ne plus y penser. Je me défonçais. Je me défonce toujours. Et je danse sur cette musique sans queue ni tête. Relâchant entièrement la pression à chaque fois. Oubliant jusqu’à son existence. Oubliant que je ne vaux rien toute seule. — L’école, c’est compliqué on dira. Je revois ce professeur me dire que je devais me ressaisir. Que le temps passait et qu’un jour je finirais à la rue si ça continuait. Je n’étais pas d’humeur à ce moment précis. J’en avais marre de l’entendre. Alors oui, j’avais seulement roulée des yeux avant de partir. Mais, mes notes étaient remontées. Je n’aimais pas être nulle, je détestais ça. Alors un minimum d’effort c’était dessiné sur le chemin.
✧ l'admission à harvard
Harvard a toujours été l’université de mes rêves. Je ne savais pas réellement pourquoi, mais quelque chose m’attirait entre ses murs. C’était étrange et excitant à la foi. Alors oui, j’avais eu du mal, mais le résultat de mes examens étaient suffisants, et de loin, ainsi que mon dossier scolaire au complet pour que je puisse passer aux étapes suivantes. L’entretien quant à lui était tout comme un rêve. Je m’étais vendue à l’université tel un produit rare d'Italie. J’avais venté l’une de mes plus grandes qualités : j’étais une bosseuse. Je pouvais travailler jour et nuit si j’aimais ce que je faisais, et je pense que mon discours face à la directrice lui a plutôt plu, parce que j’ai reçu cette lettre d’admission. Après, peut-être que mon essai a aussi joué dans la balance, mais je ne pense pas. Je pense au contraire qu’il était trop véridique pour plaire. J’avais écrit sur moi, sur la difficulté à s'imposer dans sa propre famille, sur la difficulté à accepter d'être l'ombre de quelqu'un d'autre. J’avais écrit sur la personne que j'aimais le plus au monde, mais qui me faisait le plus d'écart : mon frère.
✧ le caractère de con
maligne ; elle sait comment faire pencher les autres en sa faveur, elle sait comment se sortir d’histoires beaucoup trop compliquée. elle est maligne parce qu’elle est en quelque sorte cette fille ingénieuse qui n’a pas froid aux yeux. intègre ; lorsqu’elle donne sa parole elle s’y tient. les gens qui font partie de son entourage savent qu’elle ne les laissera jamais tomber malgré tout ce qu’ils pourraient lui faire en retour. spontanée ; elle ne planifie jamais rien, elle vie au jour le jour et pense que ne rien prévoir c’est un pas vers la liberté d’esprit et le fait de ne jamais pouvoir s’ennuyer dans sa vie. dynamique ; elle bouge sans arrêt et ne s’arrête qu’en cas extrême, ou pour dormir six bonnes heures. attachante ; son sourire est contagieux, ou alors il s’agit de sa bonne humeur infatigable qui ne cesse de l’habiter. elle a toujours cette petite attention qui fait la différence. timide ; elle n’aime pas quand le regard des autres se penche trop vers elle, et accepte le fait de parfois passer pour le « fantôme » de l’université (parce que ouais, elle est pas trop connue comme fille, et ça lui convient parfaitement). passionnée ; rien ne l’arrête quand il s’agit de ses études, la demoiselle aime se cultiver et faire de son mieux, elle n’arrêtera jamais car c'est une des choses qui l’anime depuis toute jeune. fragile ; quand on parle d’amour ou de sentiments, on touche à la corde sensible, caïlan n’a jamais été la meilleure pour ce genre de choses, et elle le sait très bien. maladroite ; nous dirons qu’une tasse de café renversée sur son chemin n’est pas si anodine que ça, c’est même plutôt quotidien.
✧ derrière l'écran
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle dirti.wave et j'ai 23 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à mon cervelet gauche si vous voulez tout savoir. ILH est définitivement l'un des meilleurs forums que j'ai connue et que je connaitrais toujours, alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise hailey lu richardson comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par rainbowsiri (avatar) et boxycons. (icons). Je fais environ 200 à 700 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
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