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HANAE "LOLA" CHOE
date de naissance
31 10 96
lieu de naissance
SEOUL, COREE DU SUD
nom
CHOE
prénom(s)
HANAE DITE LOLA
orientation sexuelle
BISEXUELLE
statut amoureux
CELIBATAIRE
statut social
BITCH, FILLE DE.
travail
DANSEUSE ET SERVEUSE AU CABARET HOTEL DEL LUNA (SECRET)
— boston — elle aime cette ville. cette ville et ses rues bondées de monde pressé, ses rues désertes où elle aime vagabonder tard le soir ; elle aime regarder la vie avec un sourire suffisant sur le visage. libératrice, mère adoptive, elle se sent renaître ici. refuge après l’abandon, elle aime se perdre des journées entières avant de rejoindre l’endroit préféré, son lieu de travail. cabaret secret, découvert lors d’une escapade nocturne où les décors et les costumes, ont fait chavirer son âme d’enfant. boston et ses parcs, boston et ses magasins. trop libre, c’est une fille d’air et d’aventure. s’amuse à traîner, juger les étudiants de Harvard, les jalouse presque d’avoir un avenir en vue tandis qu’elle est dans le flou. elle aime cette ville.
elle a dans son regard, la force de son coeur ⊱ words are my weapon ⊱ ambitchious ⊱ it takes a monster to destroy a monster ⊱ break up with your girlfriend, cause i’m bored ⊱ femme-enfant ⊱ anxiety ⊱ lolita ⊱ l’air de rien, on étouffe ⊱ thank u, next ⊱ vents contraires ⊱ scorpion ⊱ brown hair, red lips, black dress, high heels ⊱ j’aime la solitude, je déteste la trahison ⊱ races & adrenaline ⊱ meaner than my demons ⊱ HBIC ⊱ bonjour, motherfuckers ⊱ beautiful but destructive ⊱ waffles are just pancakes with abs ⊱ señorita ⊱ not a girl, a storm with skin ⊱ je te ferais les yeux doux avec du papier de verre ⊱ good girls sit, bad bitches ride ⊱ dear heart, why him ? ⊱ fire in her veins ⊱ no tears left to cry ⊱ bad ideas ⊱ moonchild ⊱ my mascara too expensive to cry over stupid boys like you ⊱ je pense donc je fuis ⊱ le silence est d’argent ⊱ broken angel
(lola; lola; lola)
ça sonne doux à l’oreille ; c’est mystérieux ; comme elle.
lola, c’est tout ; c’est rien ; un peu comme elle.
– gamine sans demi-mesure. un univers derrière le regard. une vague à l’âme. lola, c’est un jardin secret bien conservé, une gamine paumée dans ses pensées bazardées. elle pense trop, mais ne dit pas grand chose. (sage comme un carnage). c’est un peu de tout, un peu de rien (mais jamais assez, c’est toujours plus). elle vacille, ne sait pas ce qu’elle est réellement. elle nage à contre-courant. refuse l’identité qu’on a tenté de lui imposer, ne sait pas ce qu’elle est réellement (calme ou tempête, plus l'autre que l'un), aucune idée de ce qu’elle voudrait être. alors, elle s’invente, s’imagine. se dessine à sa façon. c’est l’insolence d’une innocence, c’est le haussement d’épaules quand on lui demande ce qu’elle veut faire plus tard. c'est le claquement de langue dédaigneux.
elle est désabusée. trop nonchalante. trop méfiante, confiance brisée.
lola, c’est le rêve de devenir tout (à la fois).
se glisse un peut-être incertain entre les lignes.
lola, c’est une couleur, puis une autre. et encore une autre, puis un coup de pinceau, un coup de crayon. un doigt qui efface ; qui recommence. ça ne s’arrête jamais. elle est composée de différentes teintes ; comme les couleurs d’une aquarelle qui ne cesse d’être retouchée.
un jour trop ci, un jour trop ça. il n’y pas de balance. c’est beaucoup de secrets. lola, c’est un masque. trop sauvage, trop méfiante envers le monde, indomptable. elle est fière, elle est connasse. l’impatience qui brûle au bout des doigts, le mystérieux dans les prunelles, le cœur désenchanté, qui se veut pourtant croyant d’un si. mais la désillusion est son marionnettiste. elle est sombre. elle est en colère. souvent. lola, elle est blessée, les ailes arrachées. pourtant, il y a cette faible étincelle flamboyante dans le regard détourné. le rire cristallin qui sait se faire assassin. les mots si doux qui réussissent à poignardés. gamine aux contrastes frappant. une façade mensongère, trompeuse. elle est mignonne, elle semble si douce, comme son prénom. c’est un mensonge. libertée touchée du doigt, c’est le cardiogramme toujours en mouvement, sans constantes. elle vacille, évolue aux grès du vent ; des journées s’accumulant. elle vit pourtant, à sa manière. c’est pas millimétré, pas calibré. trop de place pour l’imprévu. lola, elle se plaît à danser avec la vie. une valse envoûtante, pourtant si brûlante. qui ne cherche qu’à la faire tomber. à tous ces rires, ces petits bonheurs la chance, s’ajoute, se colle, la désillusion d’une vie. lola, c’est la gamine qui se plaît à avoir des rêves qu’on écorche si vite qu’ils sont pensés. mais, lola, si soudainement tombée, si vite relevée. les claquements de ses talons détonnant dans l’air saturé
gamine à la langue bien maniée. elle manie le tact comme une arme. vacille entre la courtoisie et le venin ; elle sait poser les mots pour faire mal. mais pas que. lola, c’est le silence, trop souvent présent. (peu calme, souvent posé, trop rancunier, si blessé surtout menaçant) elle ne fait pas dans le bizarre, elle fait dans le malaise. si elle est blessée, elle tente de le cacher. elle est rancunière, alors au lieu de hausser le ton, elle se terre dans un silence. mais la voix n’est pas le regard. alors sa transparence n’est pas infaillible. ses yeux sont la porte ouverte sur son âme.
ils sont témoins d’une souffrance silencieuse
rejetée. manipulée. poupée de chiffon qu’on se plaît à piétiné.
parce qu’elle n’était pas attendue, parce qu’elle n’est pas voulue – la cicatrice reste a jamais gravé en elle. elle ne s’efface pas et quand les questions de l’existence sont trop nombreuses, elle se dit qu’elle devrait partir. qu’elle n’est pas attendue alors elle ferme les yeux lola, inspire, expire, cri silencieux avant de revenir.
lola, elle irradie – c’est la légèreté dans tous le corps. (parfois ça envoûte, parfois ça énerve – parce qu’on a toujours l’impression qu’elle s’en fout). y a les mouvements qui sont fluides, gracieux. féline, passionnée, envoûtante. et lola, quand elle marche. on a l’impression qu’elle danse. un pas (rêveur), un pas décidé – c’est le talent qui se cache, c’est l’imagination débordante, enfouie, gardée sous clefs, révélés à la nuit tombée.
lola, elle ne sait pas où elle va. elle marche à l’aveugle, un pas après l’autre. le destin qui s’amuse à tracer son chemin. elle veut vivre, exister, elle est forte (juste fissurée, mais loin d’être brisée) ; démarche d’une gamine qui rencontre une possible fin au bout du chemin. lola, elle avance. jamais elle ne recule ; le passé reste passé, le présent se mêle à ce futur encore incertain et l’impatience de vivre y réside constamment.
lola. histoire sans fin.
chaque jour est une page vierge ; qui n’attend que d’être souillée
(lola; lola; lola)
ça sonne doux à l’oreille ; c’est mystérieux ; comme elle.
lola, c’est tout ; c’est rien ; un peu comme elle.
– gamine sans demi-mesure. un univers derrière le regard. une vague à l’âme. lola, c’est un jardin secret bien conservé, une gamine paumée dans ses pensées bazardées. elle pense trop, mais ne dit pas grand chose. (sage comme un carnage). c’est un peu de tout, un peu de rien (mais jamais assez, c’est toujours plus). elle vacille, ne sait pas ce qu’elle est réellement. elle nage à contre-courant. refuse l’identité qu’on a tenté de lui imposer, ne sait pas ce qu’elle est réellement (calme ou tempête, plus l'autre que l'un), aucune idée de ce qu’elle voudrait être. alors, elle s’invente, s’imagine. se dessine à sa façon. c’est l’insolence d’une innocence, c’est le haussement d’épaules quand on lui demande ce qu’elle veut faire plus tard. c'est le claquement de langue dédaigneux.
elle est désabusée. trop nonchalante. trop méfiante, confiance brisée.
lola, c’est le rêve de devenir tout (à la fois).
se glisse un peut-être incertain entre les lignes.
lola, c’est une couleur, puis une autre. et encore une autre, puis un coup de pinceau, un coup de crayon. un doigt qui efface ; qui recommence. ça ne s’arrête jamais. elle est composée de différentes teintes ; comme les couleurs d’une aquarelle qui ne cesse d’être retouchée.
un jour trop ci, un jour trop ça. il n’y pas de balance. c’est beaucoup de secrets. lola, c’est un masque. trop sauvage, trop méfiante envers le monde, indomptable. elle est fière, elle est connasse. l’impatience qui brûle au bout des doigts, le mystérieux dans les prunelles, le cœur désenchanté, qui se veut pourtant croyant d’un si. mais la désillusion est son marionnettiste. elle est sombre. elle est en colère. souvent. lola, elle est blessée, les ailes arrachées. pourtant, il y a cette faible étincelle flamboyante dans le regard détourné. le rire cristallin qui sait se faire assassin. les mots si doux qui réussissent à poignardés. gamine aux contrastes frappant. une façade mensongère, trompeuse. elle est mignonne, elle semble si douce, comme son prénom. c’est un mensonge. libertée touchée du doigt, c’est le cardiogramme toujours en mouvement, sans constantes. elle vacille, évolue aux grès du vent ; des journées s’accumulant. elle vit pourtant, à sa manière. c’est pas millimétré, pas calibré. trop de place pour l’imprévu. lola, elle se plaît à danser avec la vie. une valse envoûtante, pourtant si brûlante. qui ne cherche qu’à la faire tomber. à tous ces rires, ces petits bonheurs la chance, s’ajoute, se colle, la désillusion d’une vie. lola, c’est la gamine qui se plaît à avoir des rêves qu’on écorche si vite qu’ils sont pensés. mais, lola, si soudainement tombée, si vite relevée. les claquements de ses talons détonnant dans l’air saturé
gamine à la langue bien maniée. elle manie le tact comme une arme. vacille entre la courtoisie et le venin ; elle sait poser les mots pour faire mal. mais pas que. lola, c’est le silence, trop souvent présent. (peu calme, souvent posé, trop rancunier, si blessé surtout menaçant) elle ne fait pas dans le bizarre, elle fait dans le malaise. si elle est blessée, elle tente de le cacher. elle est rancunière, alors au lieu de hausser le ton, elle se terre dans un silence. mais la voix n’est pas le regard. alors sa transparence n’est pas infaillible. ses yeux sont la porte ouverte sur son âme.
ils sont témoins d’une souffrance silencieuse
rejetée. manipulée. poupée de chiffon qu’on se plaît à piétiné.
parce qu’elle n’était pas attendue, parce qu’elle n’est pas voulue – la cicatrice reste a jamais gravé en elle. elle ne s’efface pas et quand les questions de l’existence sont trop nombreuses, elle se dit qu’elle devrait partir. qu’elle n’est pas attendue alors elle ferme les yeux lola, inspire, expire, cri silencieux avant de revenir.
lola, elle irradie – c’est la légèreté dans tous le corps. (parfois ça envoûte, parfois ça énerve – parce qu’on a toujours l’impression qu’elle s’en fout). y a les mouvements qui sont fluides, gracieux. féline, passionnée, envoûtante. et lola, quand elle marche. on a l’impression qu’elle danse. un pas (rêveur), un pas décidé – c’est le talent qui se cache, c’est l’imagination débordante, enfouie, gardée sous clefs, révélés à la nuit tombée.
lola, elle ne sait pas où elle va. elle marche à l’aveugle, un pas après l’autre. le destin qui s’amuse à tracer son chemin. elle veut vivre, exister, elle est forte (juste fissurée, mais loin d’être brisée) ; démarche d’une gamine qui rencontre une possible fin au bout du chemin. lola, elle avance. jamais elle ne recule ; le passé reste passé, le présent se mêle à ce futur encore incertain et l’impatience de vivre y réside constamment.
lola. histoire sans fin.
chaque jour est une page vierge ; qui n’attend que d’être souillée
choe hanae ; née le 311096 - enfant non désiré, détesté ; elle n’était pas prévue, tâche de sang sur le tapis ⊱ elle est la cadette d’un couple qui n’aura d’yeux que pour l’aîné de la famille, minsik. ⊱ une enfance dès plus clichée, laissée sous la surveillance d’une nanny, souvent à l’écart, elle est sous l’obligation d’une bonne tenue et d’un cv d’activités important, hélas, elle refuse chaque choses ce qui entraîne le mécontentement constant de ses parents ⊱ elle entretient une relation conflictuelle avec son paternel. fût une période où il ne lui adressa pas un regard ⊱ relation complexe avec l’aîné, elle ne sait si elle l’aime ou si elle le déteste, jalousie de le voir briller alors qu’elle est dans le noir ⊱ déception constante pour sa mère ⊱ elle est envoyée à l’âge de quatorze ans chez un oncle, troisième frère de sa mère, à boston ⊱ dépaysement total pour la jeune rebelle, se terre dans un mutisme pendant deux mois à son arrivée, brisée par l’abandon de ses parents ⊱ petit à petit, la gamine s’ouvre peu à peu. hanae devient lola — entente cordiale, un peu bancale avec l’oncle jusqu’à ce que son milieu face briller une flamme dans son regard ⊱ tombe sous le charme du monde des voitures grâce à lui ; lola, elle est calée carrosserie, courses et tout le bordel ; petit secret qu’elle aime entretenir dès lors qu’elle rentre chez elle ⊱ les études ne l’intéressent pas, enfant trop vivante, trop bruyante, ses professeurs ne la supportent pas ⊱ lola, elle a 14 ans, quand elle rencontre roméo ; amour de jeunesse qui grave en elle quelque chose qui bourgeonne sans qu’elle ne s’en rende compte ⊱ les études, c’est bancal, obtient son diplôme avec justesse, juste ce qu’il faut pour ne pas être défaillante aux yeux de la société ⊱ lola, elle a 17 ans, elle est volage, sauvage, elle se découvre ⊱ elle a 19 ans, quand son monde s’écroule. fierté, innocence piétinée par un bourreau ⊱ honteuse, peinée, lola, elle passe deux mois dans le noir jusqu’à ce qu’elle revienne à la lumière pour faire trembler les murs. en colère, elle se revêt d’un masque de cire pour cacher les cicatrices, chaussent des stiletos pour briser des cœurs à son tour ⊱ les études, c’est fini. elle veut vivre, faire ce qu’elle veux, être ce qu’elle veux ⊱ c’est à l’âge de 21 ans, que sa vie prend un tournant, audition un peu fortuite ; dans un lieu qui restera son secret ; belle demoiselle devient serveuse dans un cabaret de dragqueen dans le centre de boston, c’est récemment qu’elle a commencé à monté sur scène ⊱ depuis peu, elle est en couple avec ezra landrum ⊱ les fêtes, l’alcool, la drogue sont des petits plaisirs coupables, tout est bon pour (se) détruire
pseudo wonderland, kass
âge vingt-sept ans.
nationalité française, l'pays de taehyung
forum connu par... l'éternité
ILH, j'en pense quoi ? meh
autres comptes ? @chan-sung bae @cece wang @ahreum min
avatar utilisé seo soojin
crédits images morning rain & tumblr
nombre de mots par rp ça dépends l'inspiration
type personnage inventé
code bottin
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