Lewis Maxwell Scott ► Kenny Wormald

C'est le 13 juin 1994 à Jacksonville, Floride aux USA, que les membres de la famille Scott m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Lewis Maxwell. Je suis célibataire (pour le moment) et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de Relations Publiques et de FrançaisEliots ou les Dunsters.

Mystérieux ▲ Réservé ▲ Pourri gâté malgré moi ▲ Froid ▲ Préfère rester seul ▲ Intelligent ▲ Curieux ▲ Intéressé par tout ▲ Fidèle ▲ Fêtard (lorsque je suis bourré).

▲Bah… Qu’est-ce que vous en avez à faire de toute façon ? Ah vous voulez vraiment savoir? Bah c’est sûrement quand j’étais avec mes parents et qu’ils m’ont emmené de force à une fête mondaine… C’était affreux. Pourquoi ? J’étais bourré… Voilà, vous êtes content ? Je vous en dirais pas plus….

Les Mathers organisent une soirée arrosée, t'y vas, t'hésites ?

J’hésite, ça dépend de qui vient aussi… Mais ça serait plutôt oui, surtout si ça peut faire chi** mes parents.

Les Quincy ont planifié un voyage humanitaire, participeras-tu ? Ou qu'en penses-tu ?

Oui, mais ça dépend de qui aura organisé le voyage, s’il est bien organisé, si y’a pas trop de « dépravés », si c’est propre. Mais si on s’amuse bien, alors je viens.

Les Lowells ont annoncé un talent show, auditionneras-tu ? Si oui, pour quoi faire ?

Sûrement pas, quelle idée…

Une Cabot t'approche, elle est belle et très gentille... Parfaite, quoi ! (Pour les garçons) Comment tu la trouves ?

Je la laisse observe mon magnifique corps et ma magnifique face et c’est elle qui viendra, puisqu’elle me trouvera magnifique.

Les Winthrops font une enchère tous les ans. (Pour les garçons) Aimerais-tu un jour y participer?

Sûrement pas non plus…

Tu vois un Eliot arriver en Ferrari, lunettes de soleil et fringues de marque, tu en penses quoi ?

Je me dis que sa voiture, c’est de la m**** et je ramène ma Lamborghini pour lui prouver que ce que c’est, une belle voiture.

Une série de conférences de 3h sur la littérature anglaise à l'époque Victorienne est organisée à Harvard par les étudiants de la Dunster House tous les soirs pendant une semaine. Serais-tu du genre à y aller ?

Oui, bien sûr. Surtout si je peux apporter un peu de mon savoir à cette réunion.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Liam ou Nicko et j'ai 15 ans et demi. Je suis français et j'ai connu le forum grâce à une amie, une future harvardienne. La forum change carrément de ce que j’ai pu faire jusqu’à présent et il a l’air tellement bien organisé et beau que j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, je m'en sors bien/j'aurais besoin d'aide, je sais pas trop en fait…. J'utilise Kenny Wormald comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par une amie (le même que plus haut). Je fais environ je sais pas, je dirais 900 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ Je voulais vous mettre une petite musique que j'aime bien mais j'y suis pas arrivé... ._. J'ai encore pas mal de choses à apprendre.

Les gens disent que je suis gâté, d’autres disent que je suis pourri gâté, moi je pense que je suis les deux. Dès que je suis né le 13 juin 1994 de toute façon, on m’a collé une étiquette sur le front. J’étais catalogué comme un fils de riche, un fils à papa. Ce que je ne n’accepte plus…


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Tout ce que les gens disent, au fond, on s’en fout. Mais c’est vrai généralement. Un fils de riche ? Bien sûr que je le suis ! Et j’ai pas le droit de l’être peut être ? J’suis né de l’union de mes deux parents (non sans blague !), Rick Scott et Anna Maria Scott. Vous connaissez sûrement mon père ? Qui ne le connait pas aux Etats-Unis aussi ! C’est le gouverneur de Floride ! Bah oui, bien sûr que c’est vrai, vous avez qu’à vérifier… Un vrai homme politique, qui ne pensait qu’à ses campagnes la plupart du temps, mais consacrant toujours un temps pour ses enfants. Ma mère, elle, dirige une agence immobilière à Jacksonville qui connait bizarrement un grand succès, surtout lorsqu’elle rappelle à ses clients comment s’appelle son mari. Une femme dénouée de tous sentiments, qui n’a pas hésité à tromper son mari plusieurs fois, à utiliser ses enfants pour inviter de jeunes hommes, technique qu’elle jugea parfaitement inefficace… On peut le comprendre. En tous cas, elle n’a jamais pris le temps de jouer ou de discuter avec ses enfants. Elle ne faisait rien pour eux, pourquoi le faire, il y avait des domestiques de partout. Seul Mr Scott profitait d’eux. C’est d’ailleurs comme cela que je suis devenu un fils à papa. J’ai jamais été capricieux, mais j’avais tout ce dont je rêvais, et même ce dont je n’avais même pas besoin. L’argent, c’est fait pour être dépensé non ? Autant en profiter. Mais je ne suis pas le seul à en profiter. Outre ma mère grosse voleuse et dépensière à fond, mon petit frère Roy n’était pas délaissé. Mais je m’arrangeais toujours pour que j’ai le plus grosse partie. Il n’aurait jamais su quoi en faire de toute façon. Mais passons, j’ai pas une vie super intéressante…


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« Mes petits Loulous ! Nous avons reçu une formidable lettre, je te laisse la lire Marissa. »

La voix de ma mère qui retentissait dans toute la salle à manger. Heureusement qu’on se trouvait ici. Dans notre chambre, ses paroles seraient passées inaperçues. J’aurais limite préféré. Je venais à peine de finir mes études que je devais déjà la supporter pendant les vacances… J‘étais sûrement maudit. Mais bon, à chaque fois qu’elle nous appelait « ses petits Loulous », c’était qu’il y avait une grande occasion, ou peut être un mec à la maison. Ce qui était fort peu probable, puisqu’elle était restée à la maison toute la journée. Donc, avec mon frère, on se dirigeait vers la table où ma mère était posée tranquillement, accompagnée par Marissa. Cette femme était notre gouvernante, elle était sûrement la personne la plus proche de moi. Ce qui était rare d’être proche de moi… Cette latino-américaine était celle qui s’était occupé de toute mon enfance et mon éducation, je lui devais beaucoup. Mais c’était une domestique, et on ne dit rien au domestique chez nous. Ils sont là pour nous servir, pas pour devenir nos amis.
Quoiqu’il en soit, elle s’était tenue debout, un léger sourire sur les lèvres, un papier à la main. On était en juin, ou juillet. Impossible à dire, je sais juste que c’était les vacances. Ma mère fit un signe à Marissa, qui enclencha la lecture. Je ne vais pas tout vous réciter, mais en gros, cette lettre indiquait que j’avais été pris à Harvard. Comment j’avais fait ? Je ne doutais pas que mes parents y étaient pour quelque chose, mais je pense que mon intelligence avait compté aussi. Bref, j’étais content, peu importait la manière dont j’y étais entré, j’avais réussi. C’était l’important.

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Malheureusement pour moi, cette inscription portait beaucoup d’inconvénients. Et la plupart de mes parents. C’était devenu une sorte de course à la meilleure maison qui m’accueillera. Et il était « évident » pour eux que j’intègre Eliot. Si je n’intégrais pas cette maison, alors mon père ferait en sorte que tous les élèves se redirigent vers d’autres écoles, en voyant la « médiocrité » de l’université. Une phrase culte de ma mère à présent. Elle ne savait en rien de ce que mon père ferait ou pas, je savais évidemment qu’il ne ferait rien, il ne pouvait pas s’attaquer à une école d’une telle influence que Harvard. Beaucoup de fils et filles de personnalité mondiale avait élu résidence dans l’internat. Et tout le monde semblait approuvé le fonctionnement de l’école, donc le directeur était sûr qu’ils ne partiraient pas. C’était évident. Voilà comment je fonctionne. Un peu comme mon père, j’analyse avant de parler. Tout ce que je dis est calculé à l’avance, et je ne parle pas pour rien dire de toute façon. Pour ce qui est de ma mère, elle agit en utilisant ses contacts. Médiocre… Elle a beau être ma mère, elle ne vaut rien pour moi. Je me sens à chaque fois supérieur à elle de toute façon. Mais j’agis avec ma tête, et je la laisse diriger. Je la laisse croire qu’elle peut me mener à la baguette et se servir de moi. Elle croit qu’elle peut avoir confiance en moi comme cela…

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Mais qu’est-ce que je viens de faire ? Je viens de vous raconter ma vie ?! Non, ce n’est pas possible ! C’est de votre faute ça ! Ne vous inquiétez pas que mon père va en être informé !