TARAM L. MCGILLIAN ► tanner patrick

C'est le 17 septembre 1994 à Dublin, que les membres de la famille McGillian m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Taram Luka. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale moyenne. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de musique depuis même pas un an. OU je travaille en tant que métier depuis nombre d'années ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Qunicy ou les Lowell.

je ne suis pas gay malgré les bruits qui courent ▲ je mange bio ▲ j'aimerais vivre à Los Angeles plus tard ▲ j'aimerais pouvoir vivre de ma musique ▲ mon frère ne sait pas qui je suis réellement ▲ j'ai eu une enfance pour le moins étrange ▲ je suis contre la guerre et la maltraitance envers les animaux ▲ j'ai dormi avec un doudou jusqu'à l'âge de douze ans ▲ j'ai plus d'amies que d'amis ▲ je suis toujours vierge

▲ J'ai été amoureux de la même fille pendant des années. A vrai dire pendant tout le collège, puis pendant tout le lycée. Complètement, fatalement amoureux d'elle, au point de supporter d'entendre tous ses problèmes de coeur, de la réconforter quand on le lui mettait en miettes sans rien attendre en retour. Un jour, après une autre rupture avec son petit ami, elle m'a avoué qu'elle me considérait comme le mec parfait avec qui elle rêverait d'être. Mais que comme j'étais gay, ce n'était pas possible. Je ne suis pas gay. Elle m'a pas cru. VDM

Les Mathers organisent une soirée arrosée, t'y vas, t'hésites ?

Je sais pas trop. J'aimerais bien faire la fête mais je suis de nature assez timide. Alors à tous les coups je vais me retrouver assis dans un coin tout seul.

Les Quincy ont planifié un voyage humanitaire, participeras-tu ? Ou qu'en penses-tu ?

Carrément ! J'aime beaucoup ce genre de démarche et ça ne me fait pas peur de me salir un peu les mains pour venir en aide aux autres.

Les Lowells ont annoncé un talent show, auditionneras-tu ? Si oui, pour quoi faire ?

Oui pourquoi pas. J'aimerais pouvoir prouver que j'ai du talent au reste du monde (enfin de la fac) et ce serait le moment ou jamais.

Une Cabot t'approche, elle est belle et très gentille... Parfaite, quoi ! (Pour les garçons) Comment tu la trouves ? (Pour les filles) Voudrais-tu lui ressembler ou tu t'associes déjà à elle ?

Ben magnifique, évidemment. Mais pas question de tenter quelque chose. Si c'est pour qu'elle me considère comme son petit frère gay qu'elle aime cajoler ...

Les Winthrops font une enchère tous les ans. (Pour les garçons) Aimerais-tu un jour y participer ? (Pour les filles) Serais-tu du genre à acheter un homme afin qu'il soit à ton service ?

Absolument pas mon genre de participer à ce genre de trucs ! Je suis pas spécialement à l'aise avec mon apparence et tout ce qui s'y rapporte donc non, vraiment ça ira, je m'en passerais.

Tu vois un Eliot arriver en Ferrari, lunettes de soleil et fringues de marque, tu en penses quoi ?

Vive le coût en CO2 ....

Une série de conférences de 3h sur la littérature anglaise à l'époque Victorienne est organisée à Harvard par les étudiants de la Dunster House tous les soirs pendant une semaine. Serais-tu du genre à y aller ?

Sûrement oui. Je pense que la culture est un des points essentielles que notre société a tendance à laisser de côté.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle marie et j'ai 20 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à mon DC. Ce forum tue du gnou à mains nues alors j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, je m'en sors bien. J'utilise Tanner Patrick comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par tumblr. Je fais environ 400-600 mots par RP et mon personnage est un scénario.

Mot de la fin ? ▲ ASORRYYYYY FOR PARTY ROCKIIIIIN"

Vous pensiez avoir connu toutes les histoires les plus tristes du monde grâce à cette merveille qu'est la télévision et ses télé-réalités mélodramatiques ? Eh bien, tout cela, c'était avant de connaître la vie chaotique du pauvre petit Taram, enfant unique supposé, mais finalement, pas tant que ça.

La vie de ce petit ange blond commence un 17 septembre 1994 à Dublin. Sa mère semble heureuse de le voir mais en fait .... non. Dès sa naissance, c'est à son père que le petit sera confié. Il passe toute son enfance dans les montagnes écossaises, baigné par les légendes parlant de lutins, de druides et d'autres formules magiques étranges. Oui, Taram était heureux. Quand on venait le chercher à la maternelle, il avait vraiment l'impression d'être aimé, chéri, par ce père, qui a toujours été son seul parent présent. Bien sûr, ce n'était pas pareil que pour les autres enfants. Il n'avait pas de maman. D'ailleurs, on ne lui en parlait que quand il posait des questions à propos des rares photos qu'il dénichait dans les tiroirs, du haut de toute son innocence d'enfant.

Mais comme rien ne peut être parfait ou normal dans une vie digne des feux de l'amour, à ses 6 ans, la vie de Taram prit un virage pour le moins inattendu. Après six années, oui six longues années, d'absence et de silence radio, sa mère biologique débarque en Ecosse, décidée à ramener son fils à la maison. Enfin, sa maison. Car il est clair pour le gamin que SA maison à lui, c'est ici, avec son papa. Les voilà donc dans l'avion. Le gosse tient la main de cette femme qu'il voit pour la première fois mais que maintenant, il devra appeler maman. D'ailleurs, il ne connaît pas son prénom. Quand on les a présenté dans la maison de son père, c'était déjà Maman. Comme si sur ses papiers d'identité, c'était ça son vrai prénom. Mais soit, il n'avait pas posé de question, tenant sa girafe-doudou contre son coeur sans dire un mot.

Dans sa nouvelle maison dublinoise, il n'osait rien faire, rien toucher, comme si tout cela n'était pas à lui. Sa "mère" passait souvent des coups de téléphone, parlant sans cesse d'un "Rory". Un jour il osa poser la question, demander qui était ce "Rory" mais vu le regard terrifié et infiniment triste de la femme, il avait vite arrêter de s'interroger sur l'identité de cet inconnu qui pourtant semblait avoir une part très importante à jouer dans leur vie. A l'école, Taram a toujours été un petit garçon timide, réservé, préférant rester à l'écart qu'avec ses camarades. D'ailleurs ses cheveux blond-roux et son apparence chétive lui avaient vite valu des moqueries de la part de ses camarades les moins empathiques.

A ses seize ans, Taram n'avait pas tellement changé. Certes, il était plus grand, moins apeuré que le gamin écossais d'il y a dix ans, mais restait le bouc émissaire de ses camarades d'école. Après les moqueries sur les roux, on avait fini par le qualifier de "gay" de manière peu flatteuse car il ne sortait avec aucune fille, se contentant d'apprécier leur compagnie et leur amitié. Et vice et versa. D'ailleurs, c'est sûrement cette complicité qu'il était capable d'entretenir avec les femmes qui avaient motivé la moquerie de la gente masculine à son égard. Malgré tout, cette réputation d'homosexuel incapable de s'assumer avait fini par lui coller aux basques. Son seul refuge, il l'a trouvé dans la musique, véritable échappatoire à tout ce qu'il pouvait endurer au quotidien. La guitare était devenue une prolongation de son corps et même si il n'osait pas se produire en public, il était déjà sûr d'une chose : il n'était plus question de passer une seule seconde de sa vie sans la musique.

C'est lors de son anniversaire que sa mère a fini par cracher le morceau à propos de Rory. Son grand frère. Un grand frère absent, inconnu. Heureusement, Google aidant grandement à pallier le manque d'informations sur une personne, il avait réuni un grand nombre de renseignements, d'articles. Son frère était un artiste, tout comme lui, un étudiant aussi. Et c'est ainsi qu'il fit son choix d'université, poussé par la volonté de rencontrer ce frère qui ignorait tout. Son plan était simple : le trouver, le connaître, tout faire pour être apprécié, et quand ce serait le cas, alors, lui dire la vérité.