AARON D. KINGSTONE ► Alex Pettyfer

C'est le deux septembre 1991 à Cambridge, que les membres de la famille Kingstone m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Aaron Derek. Je suis en couple et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale moyenne voir pauvre, mais on s'est toujours débrouillé. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études d' histoire (majeure) et de français (mineure) depuis trois ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les dunster ou les quincy.

Est très proche de sa famille. Depuis qu'il est gamin, il ne s'est jamais aussi bien ouvert aux autres qu'en présence de celle-ci. Perdre son petit frère dans un accident de voiture l'a énormément bouleversé. Il a pleurer en voyant le corps de son petit frère être mis sous terre, hors il est rare de le voir pleurer en publique. Ce jour là, il n'a pas été capable de retenir ses larmes. Il s'est remit à pleurer quelques jours plus tard, quand sa mère a décidée de quitter la maison familiale, le laissant tout seul avec son père. ▲ Il est d'ailleurs très proche de son géniteur et lui raconte quasiment tout. Il est la personne qui ne l'a jamais laissé tombé. Il peut toujours s'appuyer sur lui. Après le décès de son frère et le départ de sa mère il y a trois ans, il a emménagé avec son père chez les parents de ce dernier, ces grands parents. Il leur est reconnaissant et le montre en essayant de leur apporter son aide au quotidien. Aaron travaille en parallèle avec ses études dans la librairie de son grand père. Il a toujours aimé les livres. ▲ Un brin solitaire, plutôt casanier bien que, depuis qu'il a fait la connaissance de Poppy et est tombé amoureux d'elle, il fait des efforts, il n'a pas besoin d'être sans arrêt entouré de gens pour se sentir bien. Il n'est pas très démonstratif et ne supporte pas d'être au centre de toutes les attentions. ▲ Il est de nature passionnée. Il est tombé amoureux de la France et lit beaucoup d'ouvrages sur ce pays ou il rêve de vivre un jour. Il étudie cette langue à Harvard et la parle plutôt bien, presque couramment. Sa première passion demeure cependant l'histoire qu'il étudie en majeure. Il mémorise les dates avec facilité et aime à imaginer sa vie s'il était né à une autre époque. ▲ Il ne passe pas un jour sans qu'il pense à son petit frère et à sa mère. Il aurait aimé que les choses puissent être différentes et avoir toujours sa famille intacte. Ses grands parents sont des gens formidables et il les aime énormément, mais et ce même s'il ne le dirait pas à voix haute, il pense souvent qu'il aurait bien besoin d'une maman. Quand à son frère, il était la personne qui le comprenait, qui le faisait se sentir moins seul. ▲ Poppy est devenue essentielle pour lui, il a tout bonnement besoin d'elle au quotidien. Il est très amoureux d'elle et a emménagé avec elle il y a peu dans un appartement. Elle sait lire en lui mieux que personne, le connait sans doute mieux que tout le monde. ▲ Il voit tout les jours sa famille et ce même depuis qu'il vit avec Poppy. En apprenant que cette dernière ne pourrait pas avoir d'enfants, il ne peut pas nier avoir été déçu mais apprendre cela ne l'a pas pour autant bouleversé. Il l'aime, elle est sa famille, le reste n'est pas important. ▲ Ses proches demeurent tout à ses yeux. C'est grâce à eux qu'il se reconstruit, qu'il apprend à vivre avec ses pertes, avec la douleur qui se trouve en lui. ▲ Il se défoule grâce au sport. ▲ Il est intelligent et porte beaucoup d'importance à ses études. Il aspire toujours à décrocher d'excellentes notes. Une façon de rendre son père et ses grands parents fiers, mais également de se sentir bien. Sa curiosité naturelle et le sérieux dont il fait toujours preuve font de lui un très bon élève et ce depuis l'enfance.

▲ Le jour ou sa mère lui a prit la main dans un réflexe pour traverser la route en prenant aussi celle de son petit frère et ce quand il avait seize ans et qu'il se souciait plus que jamais du regard des autres se sentant déjà différent car il demeurait un des seuls élèves de sa classe à lire pour le plaisir et à travailler sans que ses parents eussent à le punir pour cela.

Les Mathers organisent une soirée arrosée, t'y vas, t'hésites ?

Sauf si Poppy insiste car elle veut s'y rendre et dans ce cas il l'accompagnera, sinon non ou alors, c'est qu'il a vraiment besoin de se vider la tête.

Les Quincy ont planifié un voyage humanitaire, participeras-tu ? Ou qu'en penses-tu ?

Il n'est pas égoïste, mais la distance le dérangerait. Il n'est pas encore capable de partir très loin de son père, de ses grands parents, de Poppy.

Les Lowells ont annoncé un talent show, auditionneras-tu ? Si oui, pour quoi faire ?

Non, très peu pour lui de se donner en spectacle, il préfère être discret, qui plus est il ne se considère pas comme ayant un talent artistique.

Une Cabot t'approche, elle est belle et très gentille... Parfaite, quoi ! (Pour les garçons) Comment tu la trouves ?

Jolie et gentille mais il ne pense qu'à Poppy.

Les Winthrops font une enchère tous les ans. (Pour les garçons) Aimerais-tu un jour y participer ?

Ca ne l'attire pas vraiment, non.

Tu vois un Eliot arriver en Ferrari, lunettes de soleil et fringues de marque, tu en penses quoi ?

Que sa maman et son papa doivent avoir un compte en banque bien remplit.

Une série de conférences de 3h sur la littérature anglaise à l'époque Victorienne est organisée à Harvard par les étudiants de la Dunster House tous les soirs pendant une semaine. Serais-tu du genre à y aller ?

Oui, quand il est passionné, plus rien ne l'arrête.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle fishing girl et j'ai dix-huit ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à la publicité postée sur bazzart. Ce forum c'est le meilleur :dance: alors j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, tout va bien. J'utilise Alex Pettyfer comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par 'tumblr' (heavens-only-devil). Je fais environ quatre cent mots par RP et mon personnage est un scénario, celui de Poppy.

Mot de la fin ? ▲ merci d'avoir accepté ce double compte, j'ai hâte de rp avec ce personnage et surtout avec toi Poppy.

Elle est partie ? Maman est partie ? Pourquoi serait-elle partie ? Papa ! Insista Aaaron en suivant son père tandis qu'il regagnait le salon. Ils étaient tous deux livides, les traits tirés par leur fatigue. Plus que jamais, leur ressemblance semblait soulignée : leurs chevelures blondes étaient décoiffés, leur regard fuyant, ils semblaient tous deux prêt à s'écrouler tout en se révélant incapable de le faire. Le monde était en train de s'écrouler sous ses pieds et Aaron ne voulait que trouver quelque chose à quoi se raccrocher. Son père devait jouer ce rôle sinon il n'allait guère tarder à s'effondrer et le résultat ne serait pas joli à voir. Elle va revenir, chaton. Répondit son père mais il n'était pas convaincant. Aaron ne le croyait pas, il mentait très mal, visiblement moins bien que sa mère dont il n'avait pas soupçonné le départ une vingtaine d'heures plus tôt. Tu mens, tu ne crois pas qu'elle va revenir. Réponds moi, elle va revenir ? Reprit Aaron. Il s'était appuyé contre un vieux fauteuil, sa main se refermant sur l'accoudoir. Les deux hommes se firent face un instant. Le père portait une vieille chemise aux couleurs délavées et un pantalon tâché. Quand à Aaaron, il ne s'était pas 'bien habillé' depuis qu'il avait apprit que sa mère avait préférée partir. Il était partagé entre l'envie de la détester de toutes ses forces ou celle de faire des recherches, de lui courir après pour la supplier de ne pas partir. Comment peut on seulement laisser son fils et son mari seuls, après avoir perdu un enfant ? Cela semblait inconcevable de la part de cette femme si douce et maternelle qu'on voyait sur les clichés au dessus de la cheminé, ces deux garçons dans les bras. Aaron n'arrivait plus à regarder ces photos. Le visage de son frère. Celui de sa mère. Cette vue lui donnait envie de pleurer comme un bébé. Je ne sais pas, mon chéri. Je ne sais pas. Alors, le monde s'écroula.

Il a les yeux de sa mère. Souffla sa grand mère très doucement mais les mots parvinrent aux oreilles d'Aaron malgré tout. Ce dernier se raidit. Les conversations étaient difficiles. Ces grands parents faisaient pourtant tout pour le mettre à l'aise : en apprenant que leur fils avait été laissé par sa femme, seul avec son aîné de dix-huit ans, ils n'avaient pas hésiter, leur offrant de venir vivre avec eux. Leur maison n'était pas bien grande mais elle respirait la douceur et la gentillesse. Chaque pièce regorgeait de souvenirs ayant chacun une histoire. Histoires qui passionnaient Aaron. Son père et ses grand parents le savaient et aborder sans arrêt ce genre de sujets pour lui changer les idées mais ce n'était guère une véritable réussite. Aaron ignora la remarque de sa grand mère et tourna la page du livre qu'il était en train de lire, tâchant de se plonger dans l'histoire que contait ce dernier. La voix de son père l'interrompit dans sa lecture. Les cours reprennent bientôt mon grand. Je ne te demande pas si tu est prêt, mon fils est toujours prêt. Il le glorifia d'un sourire confiant auquel Aaron répondit d'un regard. Assit à côté de lui, son grand père lui pressa doucement l'épaule. C'est devenu rare, des garçons aussi travailleurs, tu devrais voir ton fils à la librairie. Tout le monde l'y adore déjà. Ces compliments étaient destinés à le mettre à l'aise, à lui rendre le sourire. Merci souffla Aaron tout en adressant un sourire à son grand père, pour lui faire plaisir. Je vais sortir prendre un peu l'air dit-il brusquement. Sa grand mère acquiesça de la tête et le couva du regard tandis qu'il quittait la pièce. Aaron ne leur en voulait pas, il n'aurait jamais put lui en vouloir. Ils ne voulaient pas l'embêter, simplement le rendre heureux et il ne les aimait que davantage encore pour cela.

J'ai cours dans quelques minutes, je dois y aller. Informa Aaron tout en attrapant quelques livres. Sa petite amie se tenait auprès de lui. Constance était belle et il l'aimait, vraiment. Elle semblait toujours si gentille, tout bonnement parfaite. Ils sortaient ensemble depuis un petit moment à présent. Au début, ce n'était pas sérieux. Cette relation n'était alors pas vraiment importante, une simple distraction en quelque sorte. Puis, les choses avaient pris de l'ampleur et ils étaient désormais vraiment en couple comme il le disait. Je t'aime lui dit Constance en guise de réponse avant de lui donner un baiser, pressant ses lèvres contre les siennes. Il enroula un bras autour d'elle, la serrant brièvement contre lui avant de relâcher son étreinte quand le baiser prit fin. Une fois une légère distance mise entre leurs deux visages, elle sembla attendre quelque chose de lui. Finalement, Aaron comprit. Je t'aime aussi, on se voit tout à l'heure répondit-il en lui adressant un sourire un peu crispé avant de s'éloigner. Il n'était pas fier de lui car il n'aurait pas dut en être ainsi. Il était en couple avec Constance, il l'aimait, ils s'aimaient tous les deux. Pourtant, il ne parvenait plus à se sortir Poppy de la tête.

Je t'aime, je t'aime Poppy. C'est tout, c'est comme ça, ce n'est pas plus compliqué. Avant de sortir avec elle, prononcer ses mots lui semblait difficile. Peu démonstratif, il peinait toujours à faire ce genre de déclarations pourtant les mots se déversaient naturellement quand il s'adressait à Poppy. Car c'était ainsi. Constance et lui, c'était terminé. Il avait finit par y mettre fin en réalisant que si ses sentiments pour la douce blonde s'estompaient avec le temps, ceux qu'il ressentait pour Poppy s'avéraient de plus en plus difficile à ignorer. Elle semblait si vulnérable soudain. C'était étrange car c'était lui, d'ordinaire, le plus 'faible des deux'. Elle venait de l'apprendre : elle ne pourrait pas avoir d'enfants. C'était comme cela et évidemment, une telle nouvelle la bouleversait. Aaron le comprenait. Cependant, il ne pouvait pas imaginer qu'elle puisse penser le décevoir. C'était là son rôle : la rassurer. Car rien ne lui ferait cesser de l'aimer et sûrement pas cela. Il ne l'aimait que davantage de l'aimer à ce point et de souffrir de ne pas pouvoir porter d'enfants. Il se pencha vers elle, leurs visages se frôlaient se presque. Il s'avança encore légèrement et lui donna un baiser sur le nez. Il les enchaîna ainsi, lui en couvrant le visage, puis lui en fit quelques uns sur les mains, dans le cou, avant de retrouver enfin le chemin de ses lèvres. Tout ira bien, Poppy, je te le promet. Dit-il, une fois le baiser terminé puis il l'étreignit.