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S. Ocyllie Nicolson ► Willa Holland

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Swan Ocyllie Nicolson
19 ans ▲ Anglaise ▲ Célibataire





Mon profil
C'est le 14 avril 1993 à Liverpool, que les membres de la famille Nicolson m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Swan Ocyllie. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis bisexuelle et j'en suis fiere. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études d'art depuis deux ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Lowell ou les Dunster.

10 choses à propos de moi
Je hais les enfants ▲ J'aime cuisiner ▲ Je hais la campagne ▲ J'aime râler ▲ Je hais les parasites ▲ J'aime faire la fête ▲ Je hais les gens pudiques ▲ J'aime le thé ▲ Je hais les chats ▲ J'aime mon indépendance

Vie de merde
▲ Après une soirée un petit peu trop arrosé, alors que j'étais encore au lycée, je me suis retrouvé, un matin, dans le lit de mon professeur de mathématiques. Je ne me souvenais de rien, du coup j'ai pris la fuite sans rien dire à personne et par chance le gros porc était tellement bourré qu'il ne se rappelle de rien du tout.



Tu passes au cash ! ~ Harvardiens seulement
Les Mathers organisent une soirée arrosée, t'y vas, t'hésites ?
    Une soirée ?! […] Mais bien évidemment que j’y ramène mon jolie petit cul. Je n’en rate aucune. Toutes mes connaissances pourront vous le dire je suis la nana la plus fêtarde qu’il puisse exister sur cette planète. Si je le pouvais je passerais mes nuits entières à bouger mon corps sur le dancefloor, un verre d’alcool à la main, une clope – voire un petit joint – dans l’autre avant de baiser le mec le plus jouissif de la soirée. Pardon ?! Si j’ai peur des mathers et de leur réputation à la noix ?! […] Laisse-moi t’expliquer quelque chose mon mignon. Les mathers rêvent de me voir intégrer les rangs de leur putain de confrérie, mais il est hors de question que je me mélange avec des ratés qui vont finir sous les ponts à force de sniffer de la coke pour faire les malins. Crois-moi mon tout doux je leur fait déjà l’honneur de ma présence lors de soirées, c’est déjà pas mal du tout et c’est la seule chose dont ils devront se contenter venant de ma part.

Les Quincy ont planifié un voyage humanitaire, participeras-tu ? Ou qu'en penses-tu ?
    Ce n’est pas que je hais les Quincy ou un truc du genre hein, mais c’est juste que les voyages humanitaires, les galas de charités et la pitié des autres je n’en ai strictement rien à foutre. […] Oui la faim dans le monde cela ne devrait pas exister. Oui les enfants qui ne savent ni lire, ni écrire c’est malheureux. Bien entendu que les clochards qui meurent d’hypothermie dans les rues en plein mois de janvier c’est horrible. Et bien évidemment que le sida est une maladie dévastatrice qui brise la vie des millions de personnes. Et puis après tout ce n’est pas moi qui ai décidé d’un tsunami vienne balayer toute une ville japonaise. Je vais même vous faire une confidence. […] Je ne suis pas non plus la nana qui a eu la bonne idée d’affoler le monde en criant haut et fort que la fin de notre civilisation allait se produire dans peu de temps. Dédicace aux Mayas. […] Pour tout vous dire je trouve que les Quincy sont un peu plat là, toujours avec leurs causes où tout le monde a envie de pleurer, de se suicider. Crois-moi mon petit canard des îles que s’ils commençaient à s’engager contre de véritables causes comme le mariage homosexuels, la guerre en Palestine ou encore la légalisation des substances illicites sur la planète entières alors OUI je serais prête à me rendre à toutes les activités qu’ils ont la bonne – ou la mauvaise c’est à voir – idée de créer. Mais pour le moment j’ai bien mieux à faire que de pleurer en chœur avec eux.

Les Lowells ont annoncé un talent show, auditionneras-tu ? Si oui, pour quoi faire ?
    Alors mon mignon, je vais t’apprendre quelque chose sur ma petite personne. Tu vois ce corps de bonnasse qui se trouve devant toi et qui m’appartient ? Et bien c’est le corps d’un ancien petit rat de l’opéra de Paris donc autant te dire que la danse n’a aucun secret pour moi. Je suis sur le point de devenir une étoile, j’en suis certaine et je ne loupe jamais une occasion pour le montrer et histoire de parfaire le tout je pousse aussi la chansonnette et, sans me vanter bien évidemment vu que ce n’est pas mon style – ouuuuuh la grosse blague -, Mariah Carey, Beyonce, Christina Aguilera et toutes les autres poufiasses en talons aiguilles ne font pas le poids face à moi. Je suis une diva mec. Certes une diva à ma sauce, mais une diva tout de même. Il m’arrive même de jouer les modèles photos pour des potes et je joue même la comédie à la perfection, mais cela n’est qu’un détail. Crois-moi je vais montrer à tout Harvard qui est la patronne lors de ce talent show. Mon petit tableau de danse et de chant risque d’en faire baver plus d’un et d’en faire jalouser d’autres. Après tout je n’y peux rien si j’ai du talent.

Une Cabot t'approche, elle est belle et très gentille... Voudrais-tu lui ressembler ou tu t'associes déjà à elle ?
    Tu vois la nana qui se trouve sur ton trottoir le soir et qui attends bien sagement de se faire sauter par le premier mec qui lui donnera du cash ? Autrement dit, tu vois la prostituée qui traîne en bas de chez toi ? […] Autant dire que j’ai plus de respect pour cette nana que pour les saintes nitouches de la Cabot House. Ces nanas se prennent pour des princesses, mais au final elles ne sont rien d’autre que de pauvres filles désespérées. Je suis certaine que lorsque elles étaient plus jeunes c’était le genre à vouloir se tailler les veines pour se faire remarquer ou à cause d’un garçon. Elles sont prêtes à tout pour se faire remarquer. Autant dire qu’elles sont pathétiques.

Les Winthrops font une enchère tous les ans. Serais-tu du genre à acheter un homme afin qu'il soit à ton service ?
    Même pas en rêve. […] Jamais je ne mettrais un seul centime pour obtenir les faveurs d’un homme. Je n’ai pas besoin d’un esclave qu’il soit sexuel ou non. Pour dire vrai je n’ai pas besoin d’obliger un homme à être à mes pieds, ces idiots viennent seuls et puis de toute façon je n’ai qu’à battre des cils devant l’objet de mes désirs pour avoir ce que je veux. […] Une féministe dans l’âme ? Certainement, mais j’assume totalement mon indépendance et mon côté battante. Je suis certaine que cette mise aux enchères n’est qu’un moyen de plus que les mecs du campus se sont trouvés pour se prouver que les femmes ne peuvent pas vivre sans eux et qu’elles sont prête à tout pour se retrouver avec un mâles à leurs côtés. […] Enfin c’est mon point de vue, maintenant je n’irais pas blâmes celles qui payent pour se retrouver aux bras d’un beau mâles toute une journée. […] Tiens, peut-être qu’un jour j’irais y faire un tour, juste pour ajouter un nom de plus à mon tableau de chasse.

Tu vois un Eliot arriver en Ferrari, lunettes de soleil et fringues de marque, tu en penses quoi ?
    Honnêtement ? […] Je n’en pense rien du tout et je me mets à rire. En général les personnes qui aiment se faire voir de la sorte sont des gens avec un avenir tout tracé, un passé tout rose et dont les parents ont oubliés de cocher l’option intelligence lors de la conception. […] Bon d’accord, je ne peux pas te mentir plus longtemps mon chaton, j’adore m’entourer de personnes comme ça rien que pour me comparer à eux et surtout pour me conforter dans l’idée que je n’ai pas besoin de me la péter pour exister. […] Moi ? Hypocrite ? Même pas. Je me contente uniquement de me mettre à leur niveau pour qu’il puisse s’imaginer être supérieur à moi durant quelques secondes. Je vais d’ailleurs arrêter tout de suite de parler d’eux, je ne voudrais pas qu’ils pensent que je suis en train de leur donner de l’importance étant donné que ce n’est pas mon style de valoriser les autres.

Une série de conférences de 3h sur la littérature anglaise à l'époque Victorienne est organisée à Harvard par les étudiants de la Dunster House tous les soirs pendant une semaine. Serais-tu du genre à y aller ?
    Je risque de t’étonner mon cher, mais bien entendu que j’y vais à cette conférence sur la littérature anglaise à l’époque victorienne. Premièrement, je ne pourrais jamais rater quelque chose qui parle de mon pays, de mon patrimoine. Ce n’est pas que j’ai le mal du pays, mais presque. Deuxièmement, je ne vais pas louper une occasion de me mélanger avec des gens qui ont un poil de jugeote. C’ets toujours agréable d’être entouré de personne qui peuvent suivre une conversation sans aborder le sujet du dernier magasin à la mode ou encore du nouveau mec qui vient de débarquer sur le campus. Troisièmement, je suis le genre de nana un peu louche qui se passionne pour des choses carrément barbante et je le vis très bien.



Derrière l'écran
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Neon Bitch et j'ai 19 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à mon petit chou d'amour. Le design déchire sa maman; Il y a l'air d'avoir une ambiance du tonnerre; & puis un forum qui vit plus de deux mois quoi alors j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, je suis une timide moi & ouai même sur les forums, donc un peu d'aide serait la bienvenue. J'utilise Willa Holland comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Tumblr. Je fais environ + de 700 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ RAS MEC !!

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Mon parcours

Chapitre un.
Le silence est pesant, voire étouffant. Personne n’ose bouger. Personne n’ose prononcer le moindre mot. Assise dans un coin de la pièce, les jambes contre mon buste, je me contente d’observer une à une les jeunes filles qui se trouvent avec moi. L’espace d’un instant j’en viens même à me demander ce que je fais là. J’ai envie d’abandonner. Elles sont toutes en train de s’échauffer, de s’étirer alors que moi je reste sagement dans mon coin en jouant les adolescentes sûre de moi. Je ne prends même pas la peine de refaire mon chignon pour qu’il soit impeccable et je me fiche royalement de remettre du fard à paupière pour plaire aux membres du jury. J’ai envie de vomir. J’ai envie de m’enfuir. J’en veux plus que jamais à mes parents d’avoir eu le culot de me laisser passer cette maudite audition alors qu’il s’agit de ma toute dernière chance pour être admise dans cette prestigieuse école. Mes doigts viennent serrer mon poignet comme par automatisme. Je sens le fin bracelet en or qui orne mon membre tout en fermant les yeux et en expirant le trop plein d’air qui se trouve dans mes poumons. Au fond du vestiaire deux pintades s’agitent alors qu’une porte s’ouvre à peine quelques secondes plus tard. Instinctivement je me redresse sans pour autant prendre la peine de lever mes fesses du parquet. Une femme d’un certain âge, mince, droite comme un i et aux cheveux grisonnant tirés en un chignon se tient devant nous. Une étoile. L’une de mes idoles. Mes yeux se mettent à briller et je tremble d’émotion. J’ai envie de pleurer, de me jeter dans ses bras et de lui dire que nous sommes toutes les deux pareils, que moi aussi un jour je resplendirais autant qu’elle sur la scène de l’un des plus grands opéra du monde. Peut-être même à New York ou ici même, à Paris. Pourtant, je suis incapable de bouger et je reste là comme une idiote à écoute ce qu’elle est en train de dire. Alors comme ça les trois premiers groupes ont été excellents et il ne reste plus qu’une seule et unique place pour rejoindre la prestigieuse école de danse de l’opéra de Paris. Une boule se coince dans ma gorge. Je n’y arriverais jamais. Une première larme coule le long de l’une de mes joues, puis une seconde et enfin une troisième. Tout est encore possible. Moi, je suis certaine que c’est déjà joué d’avance. Elle vient d’adresser un magnifique sourire à une blondinette aux yeux clairs. Je suis certaine que c’est elle qui va être prise. J’ai envie de me lever et de jeter mes pointes à la figure de cette vieille peau qui vient soudainement de perdre toute l’admiration que j’avais pour elle. J’ai envie de lui cracher à la figure et de prendre le train pour traverser la manche et retourner chez moi pleurer toutes les larmes de mon corps. J’ai envie de tirer un trait définitif sur la danse et de me résoudre à ne devenir qu’une avocate parmi tant d’autre. La mégère annonce que nous sommes toutes attendus dans la salle de danse dans dix minutes au plus tard. Je passe la porte la dernière comme si j’étais certaine de devoir faire mes valises ce soir pour retourner dans mon Angleterre natale. Je suis moche comparé aux autres candidates et je suis sûre que c’est la seule chose dont va retenir le jury à mon sujet. Je ne trouve une place tant bien que mal dans le studio et voilà que le cours commence. A cet instant, j’ignore totalement que je suis cette dernière jeune fille à rejoindre les rangs de l’école de danse de l’opéra de Paris, que je vais devenir un petit rat de l’opéra et que je vais réaliser mes rêves, danser et apprendre auprès des plus grands. Je ne suis pas encore au courant que ma vie va radicalement changer, tout comme mon caractère.

chapitre deux.
« J’aime la sincérité Nicolson et vous êtes tous ce que j’ai toujours détesté chez la nouvelle génération. » Je ne compte même plus le nombre de fois où j’ai eu l’occasion de me retrouver dans le bureau de la directrice à l’écouter me sermonner, me complimenter, voire me dire qu’elle m’admire au plus haut point. « Vous êtes d’une arrogance qui me donne envie de vomir Nicolson. Vous ne vous rendez même pas compte à quel point vous êtes odieuse avec les autres élèves et parfois même avec vos professeurs. » Cause toujours ma poule tu m’intéresses. Un maigre sourire hypocrite vient se poser sur mes lèvres alors que je plante mes yeux bleus dans ceux de cette vieille femme que j’ai tant admiré un jour. « J’aimerai beaucoup retrouver cette douce demoiselle que j’ai eu la chance d’accueillir ici même il y a quatre années de ça et qui est arrivé avec des rêves pleins la tête et non avec l’envie d’écraser les autres pour y arriver. » Elle continue de débiter son flot de bêtise et moi je suis toujours là à lui sourire tout en la fixant. Si elle savait à quel point je n’en ai rien à faire de ce qu’elle est en train de me raconter. Je suis la meilleure élève de l’école. Je suis sur le point de finir mes études ici et je compte bien partir pour conquérir de nouveaux horizons avant de remettre les pieds dans cette ville en véritable héroïne pour narguer la totalité des gens qui n’ont jamais eu le force de croire en moi et en mes capacités. J’ai déjà hâte de revenir pour le voir se traîner devant moi, pour le voir souffrir. De mes lèvres s’échappe un rictus jubilatoire alors que la vieille peau assise en face de moi tape sur son bureau pour me sortir de mes rêveries, mais sa voix est en train de se radoucir. « Je ne serais pas seule à prendre la décision Ocyllie, mais sache que la quasi-totalité de tes professeurs veulent que te voir partir à cause de ton insolence. Si ton comportement ne change pas d’ici la fin de la semaine je me verrais dans l’obligation de te mettre à la porte. Laisse-moi te dire que rater un diplôme aussi prestigieux que celui que tu prépares à quelques semaines à peine de la fin de ton cursus ici serait une véritable erreur. » Alors comme ça mes professeurs veulent me voir quitter les lieux ? Je me redresse très légèrement sur ma chaise tout en décroissant mes jambes et en posant mes mains sur les accoudoirs de la chaise sur laquelle je me trouve. « Je ne vais pas vous embêter plus longtemps madame, il me semble que vous avez un cours à donner dans quelques minutes. » Je lui adresse un énième sourire angélique complètement hypocrite avant de me retirer pour rejoindre l’un des nombreux studios vides à cette heure-ci. Je m’installe en boule dans un coin de la pièce sans même prendre le temps d’allumer la lumière. Je pleure toute les larmes de mon corps tout en allumant une cigarette qui traîne dans un vieux paquet présent dans l’une des poches de mon jeans. Je ne cherche pas le bâton pour me faire battre, mais seulement à attirer les regards sur moi. Je suis prête à tout pour briller, même à ce que l’on me déteste. Il est hors de question que je change pour leur faire plaisir.

Chapitre trois.
Ne me parlez plus jamais du charme à la française où je serais capable de vous arracher les yeux à l’aide d’un crayon à mine avant de vous égorger avec un hachoir mal aiguisé avant de vous verser de l’acide dans les narines pour finir par vous laisser agoniser au soleil durant de longues heures dans un endroit glauque du désert mexicain. D’ailleurs c’est ce que je rêve de faire à ce gros con qui m’a brisé le cœur. Soit disant que les français sont romantiques, doux et tendres. Foutaise. Les français ne sont que de stupides animaux qui ne pensent, comme la plupart des hommes d’ailleurs, qu’avec ce qu’ils ont entre les jambes et qui flanche dès qu’une femme se pavane dans la rue avec une jupe qui laisse plus de place à l’imagination d’un film pornographique. Je ne compte pas en rester là. La vengeance est un plat qui se mange froid et je suis certaine qu’il finira par revenir en se traînant à mes pieds comme une vulgaire loque.

Chapitre quatre.
Ils doivent très certainement penser que je n’entends pas ce qu’ils sont en train de dire, mais malheureusement pour eux je ne suis pas sourde. Alors que je suis en train de ranger quelques livres dans mon casier, avant de me rendre à mon prochain cours, la bande de garçons qui se trouve non loin de moi est en train de polémiquer sur mon physique. Tout y passe. L’un a l’envie de me toucher la poitrine, un autre pense à glisser ses doigts dans mon intimidé pendant qu’un dernier s’imagine déjà en train de me faire hurler de plaisir pour reprendre ses propos. Je ne sais pas si je dois rire ou bien si je dois courir aux toilettes pour vomir tellement ils sont stupides. Finalement, après quelques secondes d’hésitation, je décide de tomber dans leur jeu et de m’amuser à les provoquer un petit peu, à les allumer. La porte de mon casier se ferme d’un coup sec. Je ne prends pas la peine de ranger ce que je tiens à la main dans mon sac et faisant mine de regarder l’heure sur mon portable je me mets à marcher d’un pas pressé. Il ne m’en faut pas plus pour simuler une chute et me retrouver sur le sol juste devant eux. Mes feuilles de cours s’étalent un petit peu partout autour de moi. Sans attendre quoi que ce soit l’un se penche pour récupérer mes feuilles, un autre pour ramasser mon téléphone alors que le dernier m’adresse un sourire tout en s’agenouillant à mes côtés. Je pousse le vice jusqu’au bout et attrape ma cheville droite entre mes mains tout en faisant une petite grimace. « Rien de cassé ? » Avant même que je n’ai le temps de dire quoi que ce soit, voilà que le jeune homme s’empare de ma cheville et essaye de jouer les docteurs en la bougeant légèrement vers la droite, la gauche, en la tournant. Je continue à jouer mon rôle en effleurant ses mains pour lui dire de ne pas me toucher tout en poussant un bref gémissement qui n’a rien à voir avec un cri de douleur. Je vois les yeux du jeune homme qui s’éclaire légèrement et sans me demander mon avis voilà qu’il passe l’un de ses bras sous mes genoux tout en posant sa main libre dans mon dos avant de me soulever avec facilité. « Je peux savo … » et bien non je ne vais rien savoir. Enfin si, mais pas directement. « Je vais amener la demoiselle à l’infirmerie les mecs. On se retrouve en cours. » Il ne laisse pas le temps à ses potes de répondre que déjà il s’élance dans les couloirs tout en me portant telle une princesse de Disney. De peur de me retrouver les quatre fers en l’air sur le sol je passe mes bras autour du cou du garçon. Les regards se tournent vers nous et quelques murmurent se propagent. Je ne parle pas. Lui non plus. Au bout de quelques minutes, durant lesquelles j’ai longuement observé mon compagnon, voilà qu’il ouvre une porte avant de m’asseoir sur une table. L’endroit ne ressemble en rien à une infirmerie et pendant que j’analyse la pièce monsieur s’amuse à fermer le verrou avant de s’approcher dangereusement de moi, posant ses mains à plat sur la table de chaque côté de mes cuisses. J’arquais un sourcil alors qu’un sourire provocateur s’emparait de mes lèvres. « Ocyllie, enchanté. » Je murmure à son oreille d’une voix suave et mielleuse avant qu’il ne prenne la parole. « Et bien Ocyllie tu mérites le prix de la plus grande comédienne de tous les temps. » Il finit sa phrase en posant ses lèvres sur les miennes alors que l’une de ses mains vient de poser sur ma cuisse et remonte lentement, mais surement vers mon ventre. « Et surtout bienvenue à Harvard. » Effectivement, je ne pouvais pas espérer meilleur accueil.
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Oh Willa te voilà S. Ocyllie Nicolson ► Willa Holland 3850463188

Bienvenuuuuuuuuuuuuue hanwii
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owh bienvenue officiellement S. Ocyllie Nicolson ► Willa Holland 3850463188
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Willaaaaaa S. Ocyllie Nicolson ► Willa Holland 4205929361
BIENVENUE! S. Ocyllie Nicolson ► Willa Holland 2727399354
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ravie que tu ais choisi Willa S. Ocyllie Nicolson ► Willa Holland 3850463188
Bienvenue S. Ocyllie Nicolson ► Willa Holland 1153642411
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Bienvenue parmi nous S. Ocyllie Nicolson ► Willa Holland 3400909363
Bonne chance pour ta fiche and have fun S. Ocyllie Nicolson ► Willa Holland 185272391
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Heeeeeeyyyy S. Ocyllie Nicolson ► Willa Holland 3997999705 Bienvenue officiellement hanwii Et bon courage pour ta fiche S. Ocyllie Nicolson ► Willa Holland 2511619667
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Quel accueil 🤧

Merciiiiiii à tous les loulous S. Ocyllie Nicolson ► Willa Holland 1001568715
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Bienvenueee!
Bon courage pour ta fiche & bonne chance pour l'avatar S. Ocyllie Nicolson ► Willa Holland 1508216586
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