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Ameerah Al Saud
feat Tristin Mays
carte d'identité |
✧ maison ou pas pour l'instant
Ses talons hauts claquent sur le pavé de la route alors qu'elle regarde ce bâtiment se dressant devant elle. Ses dents qui se déposent sur sa lèvre du bas pour l'apporter vers l'intérieur de sa bouche. Cette haine qu'elle sent en s'imaginant ne pas être la reine de la ruche. Elle qui avait l'habitude de diriger les lycées comme une bonne dirigeante ou plutôt la garce qu'elle était. Si elle ne pouvait être la présidente alors elle ne serait rien. Peut-être celle du dortoir ? Amee fait signe à ses larbins de la suivre juste qu'au dortoir. Elle doit se convaincre qu'elle y restera deux semaines voir un mois. Il faut attendre que son futur condo terminer....Un mois d'enfer. L'idée d'appartenir à une fraternité la dégoute au plus haut point. En fait, elle n'apprécie pas l'attachement qu'elle doit entretenir avec ce lien invisible. Amee préfère de loin la liberté. Elle ne fait pas partie d'aucune maison. Ameerah n'a pas l'idée d'intégrer une fraternité dans l'avenir.
✧ les petites anecdotes
1- De la fenêtre de sa chambre, Amee contemplait le jardin noyé de pluie. Son dos contre le mur, ses jambes allonger le long de la fenêtre, ses mains tenant son roman. Son regard qui se détourne des écrits pour observer cette scène paisible. Sous ses yeux, des employés accouraient pour se mettre à l'abri l'averse qui touchait ce château arabe. Une villa trop grandiose pour cette région de pays. Au loin, un chien au poil gorgé d'eau creusait un trou dans la boue. Souhaitant cacher ce petit os, qui retient entre ses dents. Il relevait la tête à quelques reprises pour regarder devant lui. Agitant la queue, avant de recommencer a gratté furieusement.
En cette fin d'été, j'attends la voix de ma mère de retour. Encore une soirée de thé avec l'impératrice. Sa demi-soeur. Elle qui approuvait cette relation. Et, moi qui rejetais la loi de la cour. Je détourne le regard sur l'homme se réveillant de mes draps. Un ami, un ennemi, un cauchemar ambulant. Cet homme ayant quelques cellules manquantes. Encore une fois, il devra quitter sans être vu de la demeure. Sans aucun regard rempli de curiosité. Je ne pourrais encore supporter d'être sur les magazines à scandales.
Nahil Al Thani, ce mec qui rend dingue. Une complétion constante. Pourtant on se déteste, même une haine sans changement depuis toujours. Apercevoir ses fesses et son dos musclés me donne envie de déposer à nouveau mes mains contre son corps. Un désire que je doive refouler, car, dans quelques heures, je dois me retrouver à la table avec ma famille. Je soupire en reposant mes yeux sur mon roman ignorant cet homme au loin. J'attends sa voix répondre au téléphone alors que la porte claque derrière lui. Voilà ! Il est parti.
2-Amee (Ameerah) El Hiriri n'est pas une femme heureuse. Cacher derrière ce masque d'argile, elle se cache pour parvenir à surir dans l'enfer de cette famille. Se créant une personnalité, inspirée de la caricature de l'univers des riches. Elle respire avec difficultés, de petites bouffées d'air sortent de sa bouche, mais la santé mentale n'est pas ce qu'elle considère comme un plan grand problème. Elle avait été si belle dans sa jeunesse, un esprit calme étant non affecté par le poids de sa famille. Elle avait eu du mal à s'imprimer d'eux. Il a fallu être patiente et bien évoluer parmi eux.
Être l'unique fille de cette famille n'a jamais eu rien de bien. À l'époque l'air si doux, aimant et un peu timide lui convenait parfaitement. Aujourd'hui toute a changé. Ayant été surprotégé, voir étouffer par la protection qui avait autour d'elle, sa véritable nature n'a pas pris de temps à sortir. Pour le plaisir des médias internationaux. Elle devient rapidement la Kim Kardashian Arabe de ce monde. Mais Amee possède un secret. Au fond d'elle, sa haine personnelle l'apporte dans les bas-fonds de son âme. Cette noirceur qui l'apporte peu à peu dans la folie des grandeurs.
3- Dans son coeur, il y a un règlement bien strict qui ne cesse de là pour suivre. Sept règles d'or qu'elle applique chaque jour de sa vie. Celle qui l'aide à marcher sur cette route montagneuse.
1- Ne jamais prendre les responsabilités au sérieux. Vivre sans respecter la loi des adultes.
2- Ne jamais laisser le poids d'un mensonge lui empoisonner la vie. Afficher tout et ne rien cacher. Que les magazines ou cette ''gossip'' dévoilent tout pour que son rire moqueur fait surface.
3- Ne jamais s'attacher à une personne plus de deux/trois jours. Évitant toutes histoires sérieuses ou douleurs
4- Ne jamais fréquenter un homme qui est coincé de la vie ou qui essaie de la diriger. Un homme qui règle ses problèmes avec ses poings sont plutôt intéressant ou un homme aux traits sévères peut lui apporter un petit plaisir à courte durée.
5- Un homme sans avenir stable peut être amusant. Mais, un homme avec une stabilité serait préférable pour un futur.
6- Ne jamais céder à leurs contrôles, mais les faire céder à son contrôle.
7- Ne jamais tomber amoureuse.
Amee a créé ses règlements après sa première relation amoureuse catastrophique. Une histoire sérieuse ayant tourné au drame lorsqu'elle a surpris son compagnon avec une autre femme. Cette imagine qui lui restera en tête. Lui et sa meilleure amie. Deux amants, deux ennemis. Elle qui a ri lorsque son ex-compagnon fut retrouvé à l'hôpital blesser grièvement.
4- Voilà ! Une folle débarque à Boston. Une femme qui parle trop. Une idiote qui aime détruire ceux qui osent aller contre elle. Une reine des abeilles, une vipère dangereuse, une femme dont le pied vous écrasera comme le vulgaire cafard que vous êtes. Une cinglée. C'est officiel la pire des it's Girl est arrivée.
Amee -Ameerah- Al Saoud s'assit sur le banc à côté de son dortoir de l'université. Ses valises à roulettes et son bagage à main auprès d'elle. Ses bras croiser contre sa poitrine, les relève un peu, elle regarde d'un regard noir ses gardes du corps qui essaient de la convaincre de rentrer dans ce dortoir mixte. Cette idée la répugne. Elle s'efforce d'ignorer leurs paroles, des gargouillis pénibles. Pour cette jeune princesse, il était hors de question que sa personne traverse ses couloirs. Elle préfère de loin un hôtel luxueux aux draps de coton égyptien que du coton à bas prix. Elle soupire de colère alors que cesse de contempler bouche bée les hommes devant elle. Sous l'impatience, un d'entre eu la soulève tel qu'un sac de pommes de terre pour la faire rentrer de force. Dévaster, son postérieur atterrit sur ce lit usager. Elle qui devrait supporter cette chambre pour les mois à venir. Avant qu'elle quitte ce logement louer pour son condo.
Ce qu'elle fit quand ses gardes quittent la chambre. Contacter son père pour lui faire une crise. Mais, rien. Elle devra supporter ce logement pour quelques mois.
5- Amee avala son verre d'une traite et attendit que son deuxième verre fasse effet. En vain. Il lui faudrait plus qu'un peu d'alcool pour se libérer de cette pression qui l'étouffe. Elle qui venait d'apprendre, il y a quelques semaines qu'elle devrait se marier à l'homme qui la dégoute. Délaissant le bar, Amee se mêle à la foule. Papotant d'histoires idiotes, échangeant des sujets scandaleux. En fait, elle s'ennuyait royalement. Trouvant les soirées mondaine dérangeante. La musique classique la perturbait. Elle s'ennuie des bruits assourdissants, la vibration des basses si puissante qui rend toutes les conversations impossible. Voilà ce qu'elle aime. Ce remuer le popotin sur la piste de danse.
Mais, la voilà ici. Dans cette grande salle de bal. S'affichant avec une robe d'une valeur, exagérer. Elle poussa un long soupir lorsque son père prend le micro en compagnie de son ami de longue date. Elle s'approche à sa demande en rejoignant ce futur fiancé. Ce mec qui lui avait pris sa première fois et la seconde.
Amee afficha un large sourire. Prenant son rôle d'actrice à coeur. Elle qui ne voulait pas être prise dans la prison du mariage. Voilà que son visage et celui de son fiancé seront sur tous les journaux. Quel enfer.
6- Dire qu'elle avait passé plusieurs années de son adolescent à voyager afin d'étudier à l'étranger lors des vacances d'été. Aujourd'hui, elle avait du mal à le croire. À son arrivée à Boston, le choc avait été plutôt rude ! Pour cette gamine étrangère, le Massachusetts lui paraissait étrange. Bien qu'elle était déjà venue visiter cette cité dans le passé. Venir étudier à Harvard lui semblait bien étrange. Elle croyait qu'il s'agissait d'un véritable cauchemar. Apercevant les gens préférant une vie de paresse et les restaurants rapides que la vie saine et active. À dix-neuf ans, cette future étudiante devait survivre dans cette région du monde inconnue. Les lois lui semblaient étranges. Pourtant, cette milliardaire était venue ici pour changer de vie. S'éloigner du brouhaha de son pays d'origine. En réalité, Amee s'efforçait de masquer son irritation devant la présence de tous ces inconnus en âge de vivre. Elle qui n'était pas encore majeure et la voila dans le pays de la dépravation. Bien qu'elle pouvait observer discrètement l'envie de s'évader, elle contacta rapidement le marcher noir pour une fausse pièce d'identité. Qu'avait-elle reçu en échange ? Une soirée arroser et un lit vibrant puis un mal de tête le lendemain. Elle commençait sa vie de débauche.
Dire qu'elle est ici depuis quatre ans.
7- Le visage rouge, en sueur et stressé, Ameerah couvre son corps de son drap blanc. S'appuyant vers la tête de son lit, la main contre sa poitrine laissant sa voix se propager sauvagement dans sa chambre. Elle regarda à peine l'homme à ses côtés, perdu entre la crise d'hystérique et la honte. Elle cria des insultes à son frère qui ne supportait pas son attitude volatile de sa soeur. La pauvre, l'idée aussi d'avoir donné la clef de son appartement à son frère. Amee espérait pouvoir prendre une nouvelle position en laissant sa voix gémir sous les coups de hanche de son partenaire. Toutefois, l'idée qui lui traversait l'esprit était de s'en aller. Trouvant ainsi, une porte de sortie loin de cette vie de merde qu'elle déteste. Elle cria le nom de la dame compagnie, mais celle-ci s'excusa. L'insultant, elle débarque du lit en repoussant son frère qui la retenait. L'empêchant de bouger. Gêner par la scène son partenaire débarque du lit, prend son jean et quitte l'appartement au plus vite. Amee avait malheureusement une crise de larmes qui n'arrangeait pas les choses. Elle qui voulait baiser sans problèmes, mais son frère à encore une fois tout gâcher.
Il vivait peut-être au-dessus d'elle, mais il n'était pas obligé de la surveiller autant. Pourtant, Amee aurait bien préféré vivre sa vie tranquillement tout en profitant de l'argent de son père. Au moins, elle pouvait le remercier de la protéger et de lui pourrir la vie. Tristement, cette mésaventure arrive trop souvent à son goût.
8- Quel abruti a eu l'idée saugrenue de l'invité à naître après la folie des grandeurs. Celle qui la surpasse par sa présence. Quatre frères ! Une stupidité pardon quatre stupidités qui ne cesse de la surveiller depuis sa naissance. Elle méritait bien mieux ou elle se suppliait intérieurement qu'on l'exécute sur la place publique. Car, il lui était difficile de respirer sous cette surveillance constante. Amee croyait échapper à ses espions infernaux lors de son arrivée sur le sol américain, mais à sa grande surprise son frère ainé se trouve enseignant à Harvard. Elle qui voulait respirer sans se sentir étouffer par le poids de sa famille, elle doit maintenant supporter de nouveau cette corde contre son cou. Malgré tout rien de va l'empêcher de foncer tête baisser.
9- Le jour de ses vingt-et-un était un jour merveilleux ! La voilà majeure dans cette contrée américaine. Et, elle ne pouvait s'empêcher de sourire en repensant à celui de ses 16 ans. Son ''fiancé'' avait pu toucher son corps jamais effleurer. Son frère lui avait préparé une journée parfaite. Qui a terminé au lit avec le meilleur ami de celui-ci. Il lui avait payé un concert privé, une soirée entre amies dans l'hôtel de la ville. Rien n'aurait pu la détourner de la festivité de ses 16 ans, mais elle vivait ses 21 ans. Est-ce que la maturité était à jour ? Non ! Son goût évolue, sa passion est dangereuse, son plaisir n'est jamais satisfait. Toutefois, l'absence de sa famille lui été bénéfique. Elle allait pouvoir vivre comme jamais. Ce qui était le problème. Car, elle termina sur le bar dansant en retirant le haut montrant son soutif. C'est un ami qui la prend sur ses épaules avant qu'elle retire son soutif. La pauvre, elle ne sait pas comment boire...
10- Assaillie par la foultitude de sentiments aussi divers que contradictoires, je tourne et retourne mon téléphone cellulaire et j'essaie d'u trouver une excuse...une raison...une réponse. Un an a disparu de sa vie alors que ses lèvres la parcouraient alors que son membre me pénétra. Il s'agissait d'un simple pari perdu, une petite aventure qui n'a rien de malheureux. Si seulement le mot malheureux pouvait se transformer en : était monstrueux.
Amee est toujours là, à profiter de sa vie. Craignant de tomber sous le charme des hommes. Pourtant, il y a un an, elle tomba sous le charme cet étudiant. Un homme grand, brun et sa voix aussi sévère que le whisky que nous buvons. Il était tout de l'homme qu'elle rêvait de fréquenter. Celui qu'on apercevait dans ses livres qu'elle lit avant d'aller au lit. Mais, il sait jouer d'elle. Un pari malsain pour la blesser. Il avait parié sur le nombre de temps qu'elle le ferait attendre. Amee a été patiente, deux semaines. Cette demoiselle voulait confirmer qu'il était le bon. Malgré l'attente, c'était un échec. La vidéo de cette relation d'un soir tourne sur certains sites web et partager sur certains réseaux sociaux.
11-Ce n'est pas rare d'apercevoir une femme bien vêtue de beaux vêtements et d'accessoires. Mais, cette petite perle du Moyen-Orient n'a que des yeux pour la luxure. Son corps ne touche aucun tissu à bas prix. Les noms, les marches, les stylistes populaires marqueront chaque jour l'étiquette de son haut. Amee ne ratera jamais un défilé de mode. Ce lui cause souvent des soucis. Car, elle n'a malheureusement plus de place pour ses vêtements. Elle devra sous peu envoyer quelques vêtements dans un entrepôt malgré que l'idée qu'ils touchent un bout de métal rouiller la dégoute.
12-Elle cligna des yeux une fois. Puis une autre.
L'homme assis face à elle derrière le bureau se répéta. Et elle, Amee continuait à le dévisager, bouche bée. Son père venait de l'aborder pour cette nouvelle catastrophique. Elle avait donc bien entendu la première fois. Elle qui avait demandé qu'il se répète. Mais, il avait bien prononcé chaque syllabe des mots de sa phrase. Amee comprenait chaque mot pris individuellement, mais les accoler ensemble la rendait nerveuse. Comment pouvait-elle accoler ensemble, en cet instant, la perturbait. S'imaginer avec une bague au doigt et une robe traditionnel en marchant vers la sortie de l'église lui laissa un arrière-goût dans sa bouche. Un immonde rappel de son statut dans cette société prospère. Ses lèvres laissa échapper, un long soupire, sous le regard réprobateur de son père. Amee s’appuyait contre le dossier de la chaise et observai son père, les bras croiser contre sa poitrine. La colère monta en elle et l'envie de cris la taquina. Pour une jeune femme de son cadre, marier un homme aussi imposant était le rêve de toute jeune femme. Sauf quand l'édite homme était la source de touts ses malheurs. Un homme riant de sa petite personne sans oublier l'horrible pari qui a entouré sa perte de sa cerise. Un décile de quelque temps avant qu'elle comprenne que son corps était victime d'un pari malheureux. C'était normal d'après son caractère. Il avait que ses amis et lui qui connaissait sont statue de petite vierge ou saints. Le pari : La plus belle fille du lycée pour perdre ton pucelage, tu as six mois. Et, elle avait perdu son âme ce soir-là.
Enfin, bon, son père n'est pas aussi mauvais. Un petit coeur sur pattes, mais à cet instant...non. Elle se leva en glissant les bras le long du bureau en criant. Les insultes ne cessent de sortir de cette bouche colorée. Amee sort rapidement de la pièce en criant le mot ''maman''. C'était fini. Son père l'avait vendu.
13-Son réveil afficha les neuf heures passées depuis dix minutes.
Neuf minutes. Cela fait neuf minutes qu'elle devrait être sortie du lit et être sous la douche. Mais, le sommeil lui manque depuis quelque temps. Elle qui vivait depuis quelque temps dans cet appartement de luxe dans le centre-ville de Boston. Son alarme aurait dû sonner plus fort afin de la réveiller rapidement, mais cette demoiselle a une tête de cochon. Ça, pour être réveillée, elle l'est ! Quant à son éveil, la boîte se trouva au sol. Elle s'assoit au doucement au bord du lit. Aie...sa tête lui fait mal. Très mal. Saleté d'alcool. Sa voix cris le nom de cette bonne à tout faire. Diana. Une vielle femme au ventre bien rond. Elle soupire et crie de nouveau. Aucun regret, cela faisait du bien de sortir. Je sors du lit en marchant vers le lit. Ma voix accompagner de cet accent lui ordonna de m'apporter des médicaments alors que j'enfile une robe de chambre. Dieu merci, cette bonne femme est à mon service.
14- Il y a des règles à respecter lorsqu'on fréquente Amee Al Saoud. Du moins quand son image lui est importante. On doit s'habiller à la mode, il faut être élégant à chaque jour, il faut qu'on lui laisse la meilleure place, hors de question que vous avez les mêmes accessoires qu'elle ou les vêtements. Il faut manger léger si elle mange léger. En fait, Amee à l'habitude d'être une reine chez elle. Contrairement à ici. L'ambiance ne lui appartient pas. Cet environnement la dégoute À ses yeux, les Américains sont étranges.
15-Amee est une petite diablesse. Elle fait tout pour que ses futurs beaux-parents ne l'apprécient pas. Elle joue les rebelles et cherchent à faire réagir les paparazzi. À ses yeux, si elle possède une mauvaise réputation, la famille de son fiancé ne l'approuvera pas. Elle fait tout pour briser, ce contrat grotesque qui lui fait vivre un cauchemar. Une promesse personnelle qu'elle a bien l'intention d'accomplir.
En cette fin d'été, j'attends la voix de ma mère de retour. Encore une soirée de thé avec l'impératrice. Sa demi-soeur. Elle qui approuvait cette relation. Et, moi qui rejetais la loi de la cour. Je détourne le regard sur l'homme se réveillant de mes draps. Un ami, un ennemi, un cauchemar ambulant. Cet homme ayant quelques cellules manquantes. Encore une fois, il devra quitter sans être vu de la demeure. Sans aucun regard rempli de curiosité. Je ne pourrais encore supporter d'être sur les magazines à scandales.
Nahil Al Thani, ce mec qui rend dingue. Une complétion constante. Pourtant on se déteste, même une haine sans changement depuis toujours. Apercevoir ses fesses et son dos musclés me donne envie de déposer à nouveau mes mains contre son corps. Un désire que je doive refouler, car, dans quelques heures, je dois me retrouver à la table avec ma famille. Je soupire en reposant mes yeux sur mon roman ignorant cet homme au loin. J'attends sa voix répondre au téléphone alors que la porte claque derrière lui. Voilà ! Il est parti.
2-Amee (Ameerah) El Hiriri n'est pas une femme heureuse. Cacher derrière ce masque d'argile, elle se cache pour parvenir à surir dans l'enfer de cette famille. Se créant une personnalité, inspirée de la caricature de l'univers des riches. Elle respire avec difficultés, de petites bouffées d'air sortent de sa bouche, mais la santé mentale n'est pas ce qu'elle considère comme un plan grand problème. Elle avait été si belle dans sa jeunesse, un esprit calme étant non affecté par le poids de sa famille. Elle avait eu du mal à s'imprimer d'eux. Il a fallu être patiente et bien évoluer parmi eux.
Être l'unique fille de cette famille n'a jamais eu rien de bien. À l'époque l'air si doux, aimant et un peu timide lui convenait parfaitement. Aujourd'hui toute a changé. Ayant été surprotégé, voir étouffer par la protection qui avait autour d'elle, sa véritable nature n'a pas pris de temps à sortir. Pour le plaisir des médias internationaux. Elle devient rapidement la Kim Kardashian Arabe de ce monde. Mais Amee possède un secret. Au fond d'elle, sa haine personnelle l'apporte dans les bas-fonds de son âme. Cette noirceur qui l'apporte peu à peu dans la folie des grandeurs.
3- Dans son coeur, il y a un règlement bien strict qui ne cesse de là pour suivre. Sept règles d'or qu'elle applique chaque jour de sa vie. Celle qui l'aide à marcher sur cette route montagneuse.
1- Ne jamais prendre les responsabilités au sérieux. Vivre sans respecter la loi des adultes.
2- Ne jamais laisser le poids d'un mensonge lui empoisonner la vie. Afficher tout et ne rien cacher. Que les magazines ou cette ''gossip'' dévoilent tout pour que son rire moqueur fait surface.
3- Ne jamais s'attacher à une personne plus de deux/trois jours. Évitant toutes histoires sérieuses ou douleurs
4- Ne jamais fréquenter un homme qui est coincé de la vie ou qui essaie de la diriger. Un homme qui règle ses problèmes avec ses poings sont plutôt intéressant ou un homme aux traits sévères peut lui apporter un petit plaisir à courte durée.
5- Un homme sans avenir stable peut être amusant. Mais, un homme avec une stabilité serait préférable pour un futur.
6- Ne jamais céder à leurs contrôles, mais les faire céder à son contrôle.
7- Ne jamais tomber amoureuse.
Amee a créé ses règlements après sa première relation amoureuse catastrophique. Une histoire sérieuse ayant tourné au drame lorsqu'elle a surpris son compagnon avec une autre femme. Cette imagine qui lui restera en tête. Lui et sa meilleure amie. Deux amants, deux ennemis. Elle qui a ri lorsque son ex-compagnon fut retrouvé à l'hôpital blesser grièvement.
4- Voilà ! Une folle débarque à Boston. Une femme qui parle trop. Une idiote qui aime détruire ceux qui osent aller contre elle. Une reine des abeilles, une vipère dangereuse, une femme dont le pied vous écrasera comme le vulgaire cafard que vous êtes. Une cinglée. C'est officiel la pire des it's Girl est arrivée.
Amee -Ameerah- Al Saoud s'assit sur le banc à côté de son dortoir de l'université. Ses valises à roulettes et son bagage à main auprès d'elle. Ses bras croiser contre sa poitrine, les relève un peu, elle regarde d'un regard noir ses gardes du corps qui essaient de la convaincre de rentrer dans ce dortoir mixte. Cette idée la répugne. Elle s'efforce d'ignorer leurs paroles, des gargouillis pénibles. Pour cette jeune princesse, il était hors de question que sa personne traverse ses couloirs. Elle préfère de loin un hôtel luxueux aux draps de coton égyptien que du coton à bas prix. Elle soupire de colère alors que cesse de contempler bouche bée les hommes devant elle. Sous l'impatience, un d'entre eu la soulève tel qu'un sac de pommes de terre pour la faire rentrer de force. Dévaster, son postérieur atterrit sur ce lit usager. Elle qui devrait supporter cette chambre pour les mois à venir. Avant qu'elle quitte ce logement louer pour son condo.
Ce qu'elle fit quand ses gardes quittent la chambre. Contacter son père pour lui faire une crise. Mais, rien. Elle devra supporter ce logement pour quelques mois.
5- Amee avala son verre d'une traite et attendit que son deuxième verre fasse effet. En vain. Il lui faudrait plus qu'un peu d'alcool pour se libérer de cette pression qui l'étouffe. Elle qui venait d'apprendre, il y a quelques semaines qu'elle devrait se marier à l'homme qui la dégoute. Délaissant le bar, Amee se mêle à la foule. Papotant d'histoires idiotes, échangeant des sujets scandaleux. En fait, elle s'ennuyait royalement. Trouvant les soirées mondaine dérangeante. La musique classique la perturbait. Elle s'ennuie des bruits assourdissants, la vibration des basses si puissante qui rend toutes les conversations impossible. Voilà ce qu'elle aime. Ce remuer le popotin sur la piste de danse.
Mais, la voilà ici. Dans cette grande salle de bal. S'affichant avec une robe d'une valeur, exagérer. Elle poussa un long soupir lorsque son père prend le micro en compagnie de son ami de longue date. Elle s'approche à sa demande en rejoignant ce futur fiancé. Ce mec qui lui avait pris sa première fois et la seconde.
Amee afficha un large sourire. Prenant son rôle d'actrice à coeur. Elle qui ne voulait pas être prise dans la prison du mariage. Voilà que son visage et celui de son fiancé seront sur tous les journaux. Quel enfer.
6- Dire qu'elle avait passé plusieurs années de son adolescent à voyager afin d'étudier à l'étranger lors des vacances d'été. Aujourd'hui, elle avait du mal à le croire. À son arrivée à Boston, le choc avait été plutôt rude ! Pour cette gamine étrangère, le Massachusetts lui paraissait étrange. Bien qu'elle était déjà venue visiter cette cité dans le passé. Venir étudier à Harvard lui semblait bien étrange. Elle croyait qu'il s'agissait d'un véritable cauchemar. Apercevant les gens préférant une vie de paresse et les restaurants rapides que la vie saine et active. À dix-neuf ans, cette future étudiante devait survivre dans cette région du monde inconnue. Les lois lui semblaient étranges. Pourtant, cette milliardaire était venue ici pour changer de vie. S'éloigner du brouhaha de son pays d'origine. En réalité, Amee s'efforçait de masquer son irritation devant la présence de tous ces inconnus en âge de vivre. Elle qui n'était pas encore majeure et la voila dans le pays de la dépravation. Bien qu'elle pouvait observer discrètement l'envie de s'évader, elle contacta rapidement le marcher noir pour une fausse pièce d'identité. Qu'avait-elle reçu en échange ? Une soirée arroser et un lit vibrant puis un mal de tête le lendemain. Elle commençait sa vie de débauche.
Dire qu'elle est ici depuis quatre ans.
7- Le visage rouge, en sueur et stressé, Ameerah couvre son corps de son drap blanc. S'appuyant vers la tête de son lit, la main contre sa poitrine laissant sa voix se propager sauvagement dans sa chambre. Elle regarda à peine l'homme à ses côtés, perdu entre la crise d'hystérique et la honte. Elle cria des insultes à son frère qui ne supportait pas son attitude volatile de sa soeur. La pauvre, l'idée aussi d'avoir donné la clef de son appartement à son frère. Amee espérait pouvoir prendre une nouvelle position en laissant sa voix gémir sous les coups de hanche de son partenaire. Toutefois, l'idée qui lui traversait l'esprit était de s'en aller. Trouvant ainsi, une porte de sortie loin de cette vie de merde qu'elle déteste. Elle cria le nom de la dame compagnie, mais celle-ci s'excusa. L'insultant, elle débarque du lit en repoussant son frère qui la retenait. L'empêchant de bouger. Gêner par la scène son partenaire débarque du lit, prend son jean et quitte l'appartement au plus vite. Amee avait malheureusement une crise de larmes qui n'arrangeait pas les choses. Elle qui voulait baiser sans problèmes, mais son frère à encore une fois tout gâcher.
Il vivait peut-être au-dessus d'elle, mais il n'était pas obligé de la surveiller autant. Pourtant, Amee aurait bien préféré vivre sa vie tranquillement tout en profitant de l'argent de son père. Au moins, elle pouvait le remercier de la protéger et de lui pourrir la vie. Tristement, cette mésaventure arrive trop souvent à son goût.
8- Quel abruti a eu l'idée saugrenue de l'invité à naître après la folie des grandeurs. Celle qui la surpasse par sa présence. Quatre frères ! Une stupidité pardon quatre stupidités qui ne cesse de la surveiller depuis sa naissance. Elle méritait bien mieux ou elle se suppliait intérieurement qu'on l'exécute sur la place publique. Car, il lui était difficile de respirer sous cette surveillance constante. Amee croyait échapper à ses espions infernaux lors de son arrivée sur le sol américain, mais à sa grande surprise son frère ainé se trouve enseignant à Harvard. Elle qui voulait respirer sans se sentir étouffer par le poids de sa famille, elle doit maintenant supporter de nouveau cette corde contre son cou. Malgré tout rien de va l'empêcher de foncer tête baisser.
9- Le jour de ses vingt-et-un était un jour merveilleux ! La voilà majeure dans cette contrée américaine. Et, elle ne pouvait s'empêcher de sourire en repensant à celui de ses 16 ans. Son ''fiancé'' avait pu toucher son corps jamais effleurer. Son frère lui avait préparé une journée parfaite. Qui a terminé au lit avec le meilleur ami de celui-ci. Il lui avait payé un concert privé, une soirée entre amies dans l'hôtel de la ville. Rien n'aurait pu la détourner de la festivité de ses 16 ans, mais elle vivait ses 21 ans. Est-ce que la maturité était à jour ? Non ! Son goût évolue, sa passion est dangereuse, son plaisir n'est jamais satisfait. Toutefois, l'absence de sa famille lui été bénéfique. Elle allait pouvoir vivre comme jamais. Ce qui était le problème. Car, elle termina sur le bar dansant en retirant le haut montrant son soutif. C'est un ami qui la prend sur ses épaules avant qu'elle retire son soutif. La pauvre, elle ne sait pas comment boire...
10- Assaillie par la foultitude de sentiments aussi divers que contradictoires, je tourne et retourne mon téléphone cellulaire et j'essaie d'u trouver une excuse...une raison...une réponse. Un an a disparu de sa vie alors que ses lèvres la parcouraient alors que son membre me pénétra. Il s'agissait d'un simple pari perdu, une petite aventure qui n'a rien de malheureux. Si seulement le mot malheureux pouvait se transformer en : était monstrueux.
Amee est toujours là, à profiter de sa vie. Craignant de tomber sous le charme des hommes. Pourtant, il y a un an, elle tomba sous le charme cet étudiant. Un homme grand, brun et sa voix aussi sévère que le whisky que nous buvons. Il était tout de l'homme qu'elle rêvait de fréquenter. Celui qu'on apercevait dans ses livres qu'elle lit avant d'aller au lit. Mais, il sait jouer d'elle. Un pari malsain pour la blesser. Il avait parié sur le nombre de temps qu'elle le ferait attendre. Amee a été patiente, deux semaines. Cette demoiselle voulait confirmer qu'il était le bon. Malgré l'attente, c'était un échec. La vidéo de cette relation d'un soir tourne sur certains sites web et partager sur certains réseaux sociaux.
11-Ce n'est pas rare d'apercevoir une femme bien vêtue de beaux vêtements et d'accessoires. Mais, cette petite perle du Moyen-Orient n'a que des yeux pour la luxure. Son corps ne touche aucun tissu à bas prix. Les noms, les marches, les stylistes populaires marqueront chaque jour l'étiquette de son haut. Amee ne ratera jamais un défilé de mode. Ce lui cause souvent des soucis. Car, elle n'a malheureusement plus de place pour ses vêtements. Elle devra sous peu envoyer quelques vêtements dans un entrepôt malgré que l'idée qu'ils touchent un bout de métal rouiller la dégoute.
12-Elle cligna des yeux une fois. Puis une autre.
L'homme assis face à elle derrière le bureau se répéta. Et elle, Amee continuait à le dévisager, bouche bée. Son père venait de l'aborder pour cette nouvelle catastrophique. Elle avait donc bien entendu la première fois. Elle qui avait demandé qu'il se répète. Mais, il avait bien prononcé chaque syllabe des mots de sa phrase. Amee comprenait chaque mot pris individuellement, mais les accoler ensemble la rendait nerveuse. Comment pouvait-elle accoler ensemble, en cet instant, la perturbait. S'imaginer avec une bague au doigt et une robe traditionnel en marchant vers la sortie de l'église lui laissa un arrière-goût dans sa bouche. Un immonde rappel de son statut dans cette société prospère. Ses lèvres laissa échapper, un long soupire, sous le regard réprobateur de son père. Amee s’appuyait contre le dossier de la chaise et observai son père, les bras croiser contre sa poitrine. La colère monta en elle et l'envie de cris la taquina. Pour une jeune femme de son cadre, marier un homme aussi imposant était le rêve de toute jeune femme. Sauf quand l'édite homme était la source de touts ses malheurs. Un homme riant de sa petite personne sans oublier l'horrible pari qui a entouré sa perte de sa cerise. Un décile de quelque temps avant qu'elle comprenne que son corps était victime d'un pari malheureux. C'était normal d'après son caractère. Il avait que ses amis et lui qui connaissait sont statue de petite vierge ou saints. Le pari : La plus belle fille du lycée pour perdre ton pucelage, tu as six mois. Et, elle avait perdu son âme ce soir-là.
Enfin, bon, son père n'est pas aussi mauvais. Un petit coeur sur pattes, mais à cet instant...non. Elle se leva en glissant les bras le long du bureau en criant. Les insultes ne cessent de sortir de cette bouche colorée. Amee sort rapidement de la pièce en criant le mot ''maman''. C'était fini. Son père l'avait vendu.
13-Son réveil afficha les neuf heures passées depuis dix minutes.
Neuf minutes. Cela fait neuf minutes qu'elle devrait être sortie du lit et être sous la douche. Mais, le sommeil lui manque depuis quelque temps. Elle qui vivait depuis quelque temps dans cet appartement de luxe dans le centre-ville de Boston. Son alarme aurait dû sonner plus fort afin de la réveiller rapidement, mais cette demoiselle a une tête de cochon. Ça, pour être réveillée, elle l'est ! Quant à son éveil, la boîte se trouva au sol. Elle s'assoit au doucement au bord du lit. Aie...sa tête lui fait mal. Très mal. Saleté d'alcool. Sa voix cris le nom de cette bonne à tout faire. Diana. Une vielle femme au ventre bien rond. Elle soupire et crie de nouveau. Aucun regret, cela faisait du bien de sortir. Je sors du lit en marchant vers le lit. Ma voix accompagner de cet accent lui ordonna de m'apporter des médicaments alors que j'enfile une robe de chambre. Dieu merci, cette bonne femme est à mon service.
14- Il y a des règles à respecter lorsqu'on fréquente Amee Al Saoud. Du moins quand son image lui est importante. On doit s'habiller à la mode, il faut être élégant à chaque jour, il faut qu'on lui laisse la meilleure place, hors de question que vous avez les mêmes accessoires qu'elle ou les vêtements. Il faut manger léger si elle mange léger. En fait, Amee à l'habitude d'être une reine chez elle. Contrairement à ici. L'ambiance ne lui appartient pas. Cet environnement la dégoute À ses yeux, les Américains sont étranges.
15-Amee est une petite diablesse. Elle fait tout pour que ses futurs beaux-parents ne l'apprécient pas. Elle joue les rebelles et cherchent à faire réagir les paparazzi. À ses yeux, si elle possède une mauvaise réputation, la famille de son fiancé ne l'approuvera pas. Elle fait tout pour briser, ce contrat grotesque qui lui fait vivre un cauchemar. Une promesse personnelle qu'elle a bien l'intention d'accomplir.
✧ l'admission à harvard
Les mots réussite, pouvoir, gloire, succès, avantage, reconnaissance et perfection ne cessent d'effleurer les lèvres de son père. Aux yeux de cet homme, ce dictateur, le passage à l'université est une obligation. Ses enfants sont donc éduqués d'une manière stratégique. Le matin au réveil, cours de chant après le lycée. À la fin de journée les activités étaient déjà organisées tels que:
- lundi, l'équitation.
- Mardi, natation
- Mercredi, soccer
- Jeudi violon & piano
- Vendredi, anglais, français.
- Samedi, ballet
- Dimanche, tire à l'arc.
Des activités parascolaires destinées à la facilité d'admission pour les plus grandes universités de ce monde. Sans oublier les heures de bénévolats qu'elle accomplit. Pour lui, l'échec est une interdiction. La perfection scolaire lui est prioritaire. Amee n'a jamais connus la maladresse d'échouer. Une note trop basse lui sera fatale. Elle a toujours fait partie du top 5.
Ameerah a postulé et passé l'examen de plusieurs universités telles que: Harvard, Princeton, Oxford,Stanford, Yale, ETH Zurich, Strasbourg. Elle a reçu cinq annonces positives et deux négatifs. Elle choisit donc Harvard pour s'éloigner de ce fiancé de merde qui lui colle à la peau.
- lundi, l'équitation.
- Mardi, natation
- Mercredi, soccer
- Jeudi violon & piano
- Vendredi, anglais, français.
- Samedi, ballet
- Dimanche, tire à l'arc.
Des activités parascolaires destinées à la facilité d'admission pour les plus grandes universités de ce monde. Sans oublier les heures de bénévolats qu'elle accomplit. Pour lui, l'échec est une interdiction. La perfection scolaire lui est prioritaire. Amee n'a jamais connus la maladresse d'échouer. Une note trop basse lui sera fatale. Elle a toujours fait partie du top 5.
Ameerah a postulé et passé l'examen de plusieurs universités telles que: Harvard, Princeton, Oxford,Stanford, Yale, ETH Zurich, Strasbourg. Elle a reçu cinq annonces positives et deux négatifs. Elle choisit donc Harvard pour s'éloigner de ce fiancé de merde qui lui colle à la peau.
✧ le caractère de con
Cette femme d’origine émirienne laisse sortir une personnalité bien ordinaire. Il y a chez elle une facilité qui facilite l’approche et la communication. Bien que Ptrue soit une femme aux traits angélique, sa maturité reste à déterminer. Sa jalousie de la vie est un de ses pires défauts, car, bien qu’elle a la beauté et l’argent, il lui manque ce petit ‘,’je ne sais quoi ‘’. Étant la preuve vivante que la beauté n'a pas, ça place dans ce monde. Appréciant toute foi son apparence et ne gêne pas pour le montré, cette jeune demoiselle n’a aucune gêne. Étant une femme d’une nature terre-à-terre, ses paroles seront directes. Son franc-parler laisse les gens de glace, mais en aucun moment elles ne deviendront blessantes. Car, bien que son côté réservé soit présent,elle est une femme au grand cœur. Son entourage ou sa famille passera les premiers. Depuis ses premiers amours, la demoiselle a établi dans sa vie une pyramide qui n’est toujours pas passée à l’histoire. Vous savez monument historique ? Dans ce bâtiment égyptien imaginaire, on retrouve au sommet sa famille suivie de ses amis, son conjoint, ainsi de suite. Cet aspect peut paraitre invraisemblable, mais à tout moment elle vous répondra simplement ‘’ des petits amis, ça se trouve partout ! Mais, de véritables amis non’’. Bien quand, en amour, elle ne soit pas la meilleure. Très conservateur, l’amour est un sentiment secondaire chez elle. Ameerah de son vrai prénom, croit que l’amour est un sentiment que deux bons amis ont entre eux. Ce sentiment est infecté par le désir sexuel et le besoin de l’avoir toujours près de nous. Il faut dire cette fausse diva est une femme très peu romantique préférant rester elle-même et ne pas jouer les innocentes. Son corps réagit avec la cellule s’étant développée en elle. L’Émirienne sera chaleureuse, attachante, souriante, une petite joie de vive. Cependant la crainte de se faire tromper ou délaisser la submergera à la première chicane ou parole blessante. Des paroles blessantes qui feront sortir en elle une violence qu’on n’aurait jamais cru apercevoir, un jour. Bagarreuse et fêtarde, l’alcool ne lui fait pas un bon mélange. Sa capacité à boire n’a pas de limite, mais sa patiente disparait peu à peu. Une patiente qu’on lui facilite d’avoir normalement. La demoiselle se comporte comme une reine se croyant le nombril du monde. Par contre, elle aime s'amuser et rire des gens. On ne cesse de la comparer à des personnages emblématiques de série télés. (Blair, Chuck, Brooke ect...).
Malgré ses défauts et qualités, cette frimousse reste quelqu’un ordinaire appréciant les dépenses monstrueuses dans les vêtements de luxe. À ses yeux l’apparence compte énormément. On ne la verra jamais au grand jamais sortir son maquillage ni vêtement griffer. Ce qui lui veut le second surnom de Dash Girl. Comique non ? Ses amis ne cessent de la critiquer lorsqu’ils la voient arriver de vêtement coûteux. Acheteuse compulsive, elle a même dû transformer une chambre d’invité en garde de robe ! Certes, les tissus ne sont pas bons marcher, mais les centres d’entraînements non plus. Ne supportant pas d’avoir un surpoids, elle s’entraîne quarante-huit heures par semaine, commençant par un jogging à cinq heures le matin. Il faut dire que son alimentation est très stricte. Végétarienne, elle ne mange aucune viande ou substitue, mais elle dévore les friandises sucrées comme un loup devant un steak saignant.
L’avoir auprès de vous est une chance comme une malédiction !
Malgré ses défauts et qualités, cette frimousse reste quelqu’un ordinaire appréciant les dépenses monstrueuses dans les vêtements de luxe. À ses yeux l’apparence compte énormément. On ne la verra jamais au grand jamais sortir son maquillage ni vêtement griffer. Ce qui lui veut le second surnom de Dash Girl. Comique non ? Ses amis ne cessent de la critiquer lorsqu’ils la voient arriver de vêtement coûteux. Acheteuse compulsive, elle a même dû transformer une chambre d’invité en garde de robe ! Certes, les tissus ne sont pas bons marcher, mais les centres d’entraînements non plus. Ne supportant pas d’avoir un surpoids, elle s’entraîne quarante-huit heures par semaine, commençant par un jogging à cinq heures le matin. Il faut dire que son alimentation est très stricte. Végétarienne, elle ne mange aucune viande ou substitue, mais elle dévore les friandises sucrées comme un loup devant un steak saignant.
L’avoir auprès de vous est une chance comme une malédiction !
✧ derrière l'écran
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Annia ou DD et j'ai votre âge. 26 ansnationalité et j'ai connu le forum grâce à Un ami. J'ai eu un coup de coeur alors j'ai décidé de m'inscrire . J'utilise Tristin Mays comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par lilousilver. Je fais environ 300 à 1000 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
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si personnage inventé:
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[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u9613]☆[/url] ☆ <span class="pris">Tristin Mays</span> ◊ “Ameerah Al Saoud”[/size]
(Invité)