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Lorsqu'on ne peut pas changer les choses, il faut faire avec. ❞

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Lorsqu'on ne peut pas changer les choses, il faut faire avec.
Ft. June and Leo
Il était tout juste 16h quand j'étais sorti de mon chez moi pour prendre l'air. J'avais besoin de m'accorder une pause, de profiter et de découvrir ce nouvel univers dans lequel j'avais mis les pieds pour la première fois quelques il y a quelques jours auparavant. C'est pour cette raison que j'avais décidé de dépenser mon argent gagné ce mois-ci au resto dans de nouveaux vêtements, uniquement pour mon plaisir personnel et bien entendu pour celui des futures femmes que je rencontrerai ici.

Tiens ! En parlant de jeunes femmes, une avait particulièrement attiré mon attention ces derniers temps. Elle ne ressemblait à aucune autre nana que j'avais l'habitude de fréquenter. Elle m'intriguait. Je ressentais un besoin déconcertant de la revoir. Elle n'avait pas l'air de m'apprécier plus que cela pourtant, frustrant je dirais mais tellement excitant.

En reprenant mes esprits, je me rendis compte de l'endroit où je me trouvais. Au milieux de boutiques de fringues plus impressionnantes les unes que les autres certes, mais certainement pas à ma taille.

Putain mais qu'est-ce que j'fous là...

Pensais-je d'un air lasse avant de m'agiter en vain pour trouver une issue de secours. L'idée d'élever des gosses me répugner, me déconcerter même.
© Belzébuth
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Lorsqu'on ne peut pas changer les choses... feat Leonel-Davon Simmons


Cela faisait un mois et demi que j’étais enceinte, le temps passait de plus en plus vite. Même si je me faisais énormément de soucis pour le bébé que j’attendais j’étais super contente, depuis que je portais la vie je me sentais bien dans mon corps. Paradoxalement c’était le bizarre depuis que j’avais appris ma grossesse, entre mon petit-ami qui m’avait quitté pour un homme, cet homme qui pensait que j’avais inventé un mytho pour le garder…J’avais l’impression d’être entrain de louper ma vie comme si je voyais un film mais que j’étais incapable de rentrer dedans pour agir…Je ne comprenais plus River, River qui était une personne adorable et responsable. J’avais l’impression qu’il avait changée depuis qu’il m’avait quitté, comme si il n’en avait rien à foutre du bébé que je portais ou de la vie qu’on avait pu avoir ensemble. Pour oublier tout cela, je sortais beaucoup et je couchais avec des mecs que je ne connaissais…pas du tout. Je ne me reconnaissais pas, je n’étais pas ce genre de fille mais j’avais l’impression d’avoir les hormones en folie depuis l’annonce de ma grossesse et qu’il fallait que je couche pour satisfaire mes besoins primaires. Après mes cours et ma répétition de danse j’avais décidé d’acheter quelques affaires pour le bébé, je préférais ne pas vraiment me précipiter mais je voulais voir un peu les ensembles qu’ils pouvaient proposer…et surtout les prix. Ouai j’allais avoir des difficultés financières, j’en étais certaine, je ne sais même pas comment je pourrais faire pour subvenir aux besoins de ma future famille monoparentale. Alors que j’étais entrain de regarder une petite robe de princesse et un pyjama bleu je vis un jeune homme que je connaissais bien. Il était très attirant, très beau garçon mais jusque là j’avais refusé de coucher avec lui car il m’était insupportable, il mettait les nerfs à vifs même si son physique me faisait rapidement tout oublié. Je m’approchais alors de lui, plus pour l’embêter qu’autre chose avant de lui dire avec un sourire : « Hey ! Tu veux acheter des affaires pour le petit, c’est vraiment adorable ça ! ». Mon ventre n’était pas encore suffisamment gros pour qu’on sache que j’étais enceinte mais la façon dont je me comportais à toujours vouloir toucher mon petit bébé laisser pensé qu’il y avait anguille sous roche. Je lui demandais ensuite, un peu curieuse : « Tu as engrossé une fille ou…tu avais une envie subite de paternité ? ». Je savais que ce n’était pas son genre de se rendre dans ce genre de boutique, surtout si il n’avait rien à y faire…
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Lorsqu'on ne peut pas changer les choses, il faut faire avec.
Ft. June and Leo
J'étais encore en train de réfléchir à la manière dont je pourrais me sortir le plus rapidement de cet endroit -pasdutoutfaitpourmoi- lorsqu'une voix me héla. Quand on pense au loup justement... Hey ! Tu veux acheter des affaires pour le petit, c’est vraiment adorable ça ! Je serais plutôt tenté de t'en racheter à toi mademoiselle Moires. Alléguais-je d'un ton dérouté, comme un gamin qui venait de se faire prendre la main dans le sac à friandises. C'était là la parfaite occasion d'amadouer ma proie. Je fermais les yeux quelques secondes pour réfléchir, très rapidement. Quand je les ouvris à nouveau, June m'observait avec attention, telle une radieuse jeune femme enjouée. Cette pensée me fit sourire et celui qu'elle m'adressait en retour, me fascinait. Je plaisante, tu es bien assez divine comme cela. Déclarais-je d'une voix rocailleuse alors que je l'invitais à me suivre. De longs lampions roses étaient suspendus au-dessus de nous. Je ne me sentais pas à l'aise ici mais la vie de séducteur supposait parfois quelques concessions pour parvenir à ses fins. Je t'accompagne.
© Belzébuth
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Lorsqu'on ne peut pas changer les choses... feat Leonel-Davon Simmons


Un léger sourire ornait mon visage depuis que j’avais vu Leonel dans ce magasin, pourtant je crois que nos rapports étaient loin d’être au beau fixe, même pire, nous n’arrêtions pas de nous prendre le bec mais de mon côté cela cachait surtout une grande attirance envers lui. Il était le seul à se comporter de manière aimable avec moi et le bébé et c’est pas le genre de truc qu’une femme enceinte est prête d’oublier, cependant ma raison me disait souvent d’arrêter de penser à lui…Je me mis à rire quand il me dit que ce serait plutôt à moi de me racheter des fringues, il pouvait y avoir pire comme remarque ! Je grinçais des dents avant de répondre : « Ouai, je sais, je suis mal habillée pour Monsieur le fashion, mais t’inquiètes pas mon petit je ne vais pas me faire belle pour te plaire… ». Je n’étais pas forcément gentille mais il devait en avoir l’habitude. Après tout j’étais un peu irritable quand il s’agissait de s’adresser à une personne de sexe masculin. Je le regardais de nouveau de haut en bas avant de lui murmurer dans l’oreille, pour le provoquer : « Divine avec les habits alors imagine sans… ». Ouai imaginer seulement car il ne serait pas prêt de me voir dans le plus simple appareil…Enfin j’aimerais être assez forte pour pouvoir le repousser le plus longtemps possible car je savais que si je cédais à ses avances, j’allais souffrir. J’étais vraiment super contente quand il me proposa de venir avec moi pour acheter des affaires, tout le monde se fichait de mon gosse mais lui, il semblait faire des efforts, cela me touchait énormément. Pourtant je ne pouvais m’empêcher de lui répondre, presque sèchement : « Dommage, je t’ai pas invité ! ». Je ne pouvais tenir mon sérieux plus de quelques secondes et je lui répliquai presque aussitôt : « Bon, viens, tu me fais pitié là… ». C’est vrai que tout seul et sans enfant dans un magasin de bébé il avait l’air tâche, autant être à mes côtés, il aurait l’excuse d’être le futur papa parfait même si ce n’était pas le cas.
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Lorsqu'on ne peut pas changer les choses, il faut faire avec.
Ft. June and Leo
Ouai, je sais, je suis mal habillée pour Monsieur le fashion, mais t’inquiètes pas mon petit je ne vais pas me faire belle pour te plaire… Monsieur le fashion ? Ah non non non...! Classe, bien fringué, soigné sur moi, voir même coquet mais surement pas "fashion". Je n'étais pas le genre de mec qui se mêlait dans la foule, qui suivait le rythme. Non, c'est moi que l'on calque et non l'inverse. Je suis unique voyez-vous. Divine avec les habits alors imagine sans… Baba, je fixais la jeune silencieux, les yeux ronds comme des ballons. Quel tact ! June, tu me surprendra toujours. Calmement, j'avançais désormais à ses côtés ne prenant pas en compte sa dernière remarque. Moi faire pitié ? Tss laissez-moi rire, de nombreuses femmes se battraient pour s'afficher avec moi. Désinvolte, je repris la parole. June, sérieux... qu'est-ce tu fou enceinte ? T'imagine, dans moins de neuf mois adieu la liberté... Adieu les soirées arrosées, les sorties improvisées et les baises récurrentes.

© Belzébuth
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Lorsqu'on ne peut pas changer les choses... feat Leonel-Davon Simmons


Je me mis à rire lorsqu'il me répondit que je le surprendrais toujours, mais pourquoi, franchement j'étais sûre que cette pensée lui avait traversé l'esprit ne serait-ce qu'une seconde. Quoi il faisait toujours des commentaires pervers à mon égard, il avait bien une idée derrière la tête ! « Franchement, fais pas l'innocent, ça te vas pas trop comme rôle...». Je marchais alors, lui tenant le bras, je profitais un peu de la situation mais franchement j'avais besoin d'un avis masculin, d'une présence masculine que j'essayais de combler du mieux que je pouvais. Soit avec des aventures d'un soir soit avec des amis que je sollicitais pas mal ces derniers temps...« Sept mois et demi, tu as encore sept mois et demi avant de supporter un mini moi sautant et courant partout ! ». Je lève les yeux au ciel lorsqu'il me parle de toutes ses distractions futiles, qu'avant je délaissais complétement mais depuis que River m'avait laissé tomber, j'avais pris ma carte d'abonnement. Cependant sa remarque m'avait irrité, comme tout chez lui sauf sa gueule de beau gosse...« Ben tu vois, c'était un accident cette grossesse mais je vais pas avorter, je vais pas tuer mon bébé pour pouvoir baiser ou me saouler la gueule. Parce que dans dix ans je pourrais le regrettais et aussi...parce que c'est mon bébé, je l'aime, c'est tout...».
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Ft. June and Leo
Ben tu vois, c'était un accident cette grossesse mais je vais pas avorter, je vais pas tuer mon bébé pour pouvoir baiser ou me saouler la gueule. Parce que dans dix ans je pourrais le regrettais et aussi...parce que c'est mon bébé, je l'aime, c'est tout... Etonné de voir June vociférer ainsi, un léger rictus vint loger sur mes lèvres. Cela m'amusait, d'autant plus que la pensée d'une femme énervée et en colère après moi suffisait à faire monter ma libido. Je te sens bien échauffée June, il va falloir que tu te détende. Pour toi et ton bébé, c'est fort conseillé. Ma voix devenait lascive et délectable, j'en venais enfin au but. Doucement, je dirigeais ma bouche et le son qui en découlait vers son oreille avant de chuchoter calmement. Tu sais, j'ai de quoi t'apaiser...

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Lorsqu'on ne peut pas changer les choses... feat Leonel-Davon Simmons


C’est vrai, je m’étais passablement énervé contre lui, il faut dire qu’ils m’énervaient tous à croire qu’avorter c’était comme passer chez le coiffeur. Non, je voulais garder mon bébé, je n’avais jamais parlé d’avortement même si le père du bébé ne voulait pas d’enfant. Je m’en fichais, j’avais mon idée en tête. Ce qu’il me dit m’énervait un peu plus encore, comme si je ne savais pas ce qui était bon pour moi, j’avais l’impression d’être une petite cocotte minute prête à exploser : « Je sais encore ce que je dois faire Leonel, fais pas comme si ce qui pouvait m’arriver ou ce qui pouvait arriver au bébé t’intéressais… ». Si mon énervement faisait monter sa libido il allait être servit car je n’arrêtais pas d’hurler et de me mettre dans un état pas possible pour pas grand-chose…Il finit par s’approcher de moi pour me murmurer une proposition à l’oreille. Il croyait vraiment qu’il allait m’avoir comme ça, mauvaise pioche. Mais je voulais m’amusait suffisamment avec lui. J’approchais alors mes lèvres des siennes, un frisson parcourut mon corps, j’avais envie de lui mais non, je devais résister. Je m’approchais encore presque jusqu’au point de l’embrasser avant de lui répondre : « Je suis sûre que tu es bien équipé en effet… ». Je descendis ma main sur son torse jusqu'à son entre jambe, mais si je craquais maintenant ce serait trop facile, en plus je n’avais pas envie d’être le jouet avec lequel il pouvait s’amuser. Des filles il pouvait en avoir pleins d’autres quand il voulait, c’était pas la peine de s’attacher sur moi, j’étais pas du genre à baiser sans conséquence, enfin en temps normal…Je répondis alors enlevant brutalement ma main même si la température avait monté d’un degré : « Tu ne croyais pas que j’allais céder comme ça, tu te prends pour qui ? »..
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Je sais encore ce que je dois faire Leonel, fais pas comme si ce qui pouvait m’arriver ou ce qui pouvait arriver au bébé t’intéressais… Dieu comme cette fille pouvait être emmerdante. Ahh les femmes, toujours les bons mots pour contredire un homme. Bon sang quand arrêterait-elle de crier ? C'est dans mon lit que les femmes hurlent et non pas en pleine rue. Je suis sûre que tu es bien équipé en effet… Bingo, June avait vu juste pour une fois. Lui tardait certainement de vérifier. Conscient pourtant que le défi n'était pas relevé, je demeurais à présent satisfait de sa réaction. Elle me désirer, c'était inévitable et cela se devinait dix kilomètres à la ronde. Tu ne croyais pas que j’allais céder comme ça, tu te prends pour qui ? Un bref soupir s'échappa, cette réaction ne me surpris même pas. Toutefois, bien décidé à continuer sur ma lancée et à obtenir ce à quoi j'aspirais, je lui pris fermement le bras gauche afin de l'entrainer dans une petite rue perpendiculaire à la grande avenue. Très bien, ici il n'y avait plus beaucoup de passages. Machinalement, je repris mon petit manège et d'une voix pour le moins moelleuse et alléchante je chuchota tranquillement : Je me prends pour le mec dont tu rêves chaque nuit June.

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Lorsqu'on ne peut pas changer les choses... feat Leonel-Davon Simmons


Il m'énervait, il m'énervait de plus en plus avec ses grands airs, comme si il pouvait tout avoir et tout contrôler. Pourtant j’étais irrémédiablement attiré par lui et je ne devais pas céder. Non, parce que j’étais complètement idiote et si je commençais à coucher avec un mec comme lui je finirais forcément par m’attacher et par pleurer. Il voulait simplement du sexe, moi aussi, mais contrairement à lui j’avais cette impression que quelque chose d’autre pouvait nous lier. Je respirais un bon coup avant de pouffer quand il osait prétendre que je rêvais de lui, j’approchais à mon tour afin de coller mes lèvres à son oreille maintenant qu’il m’avait forcé à venir dans une ruelle : « Tu sais…quand je rêve de toi, en général, je fais des cauchemars… ». Mes répliques étaient de moins en moins percutantes car j’avais de plus envie de céder à cette belle tentation, pourtant je devais résister mais entre devoir et pouvoir, il y avait une marge. Je l’attaquais alors plus sérieusement m’approchant du mur je l’entrainais vers moi pour soulever son t-shirt afin de caresser son bassin tandis que j’embrassais son cou. Je voulais vraiment qu’il rentre dans mon jeu et qu’il soit au final, l’arroseur arrosé. J’ouvris doucement sa braguette avant de poser ma main refroidit par la température hivernale sur son sexe. C’est sûr que j’aurais voulu aller plus loin avec lui mais je retirais de nouveau ma main avant de lui répondre : « Tu crois vraiment que tu vas arriver à tes fins…Désolé, je ne couche pas sans sentiments… ». Je savais qu’en lui résistant je ne faisais qu’accroitre cette attirance entre nous, cette tension qui faisait que dès que je le voyais j’avais envie de le déshabiller.
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