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one drink - let me try to introduce myself. |
Je souris quand je constate que l'on est sur la même longueur d'onde concernant cette guerre des maisons. Néanmoins, j'étais quand même un précurseur... je donnais des idées de blagues ou de bizutages en impliquant parfois les autres houses, sans me rendre compte, naïvement quoi, que je déclarais la guerre d'une autre façon. Je sais que les Currier sont très mal considérés chez nous. On ne les nomme même pas, comme s'ils n'existaient pas alors qu'on est censé haïr les Adams. Heureusement qu'ils n'appliquent pas ça à la lettre sinon plus de sœur, plus de copine.
Fort heureusement, je parle très peu de monde et personne ne s'amuserait à faire du mal à Elvia... elle fait parfois très peur.
Elle parle des anciens confréries et je souris. « c'est celle que j'aurais intégré si je m'étais décidé plus tôt. » car fallait se l'avouer, les houses c'était pas pour moi. je préférais rester solitaire, entourés de mes potes du MIT sans me fondre dans la masse Harvardienne. Mais tout avait changé cette année, cinq ans que je suis là et à part deux trois amis, je n'avais pas de liens solides.
Une nouvelle fois, et à croire, que je ne peux pas décrocher ce sourire reconnaissant de mes lèvres, je ne peux m'empêcher de sourire en coin, légèrement gêné. « Merci de comprendre. » et de ne pas juger, même en soi, d'être de mon côté en confirmant mes doutes. Fallait que j’aille de l'avant, mais pour ça il fallait être honnête... honnête à blesser, à faire mal... peut-être à pleurer.
le feeling passe si bien qu'on passe par toutes les émotions en si peu de temps, à la compréhension, la compassion, l'amusement, le ralliement, la tristesse, la gêne, la confidence et l'excitation... Je crois que c'est la première fois que je me libère sans avoir peur d'être jugé par une impression maladroite. La voir s'animer sous mes yeux est des plus amusants. La voir sourire, rire et bienveillante me donne du baume au cœur. Vraiment. je ne regrette pas d'être sorti de ma tanière. Le monde n'est peut-être pas si merdique finalement. « Yea, mes copains vont être vert de jalousie. » riant à m'en faire mal aux joues. Ça faisait si longtemps ça aussi... depuis le début de l'été en vrai.
Nous partons sur le sujet qui nous avait tout de suite rapprocher : les jeux vidéo. et je l'écoute attentivement, notant tous les jeux mentalement et me promettant de lui offrir des clefs pour la voir jouer à des jeux qui sortent de son registre. « GTA ? j'aimerais vraiment te voir y jouer, faut que je checke ça en rentrant. » que je dis le sourire amusé. « Les sims ? J'y ai joué un peu mais c'est pas trop mon truc. » même si j'adhère sur le concept du jeu, les jeux de gestion ont vite fait de m'ennuyer. « Et tu fais des vidéos découvertes ? genre sur des jeux d'horreur ou des sorties récentes de triple A ? » car si elle était ouverte à la proposition, j'avais tout un panel de jeux d'horreur à lui proposer, et j'étais même prêt à lui proposer de rester avec elle si elle avait peur d'y jouer seule.
Fort heureusement, je parle très peu de monde et personne ne s'amuserait à faire du mal à Elvia... elle fait parfois très peur.
Elle parle des anciens confréries et je souris. « c'est celle que j'aurais intégré si je m'étais décidé plus tôt. » car fallait se l'avouer, les houses c'était pas pour moi. je préférais rester solitaire, entourés de mes potes du MIT sans me fondre dans la masse Harvardienne. Mais tout avait changé cette année, cinq ans que je suis là et à part deux trois amis, je n'avais pas de liens solides.
Une nouvelle fois, et à croire, que je ne peux pas décrocher ce sourire reconnaissant de mes lèvres, je ne peux m'empêcher de sourire en coin, légèrement gêné. « Merci de comprendre. » et de ne pas juger, même en soi, d'être de mon côté en confirmant mes doutes. Fallait que j’aille de l'avant, mais pour ça il fallait être honnête... honnête à blesser, à faire mal... peut-être à pleurer.
le feeling passe si bien qu'on passe par toutes les émotions en si peu de temps, à la compréhension, la compassion, l'amusement, le ralliement, la tristesse, la gêne, la confidence et l'excitation... Je crois que c'est la première fois que je me libère sans avoir peur d'être jugé par une impression maladroite. La voir s'animer sous mes yeux est des plus amusants. La voir sourire, rire et bienveillante me donne du baume au cœur. Vraiment. je ne regrette pas d'être sorti de ma tanière. Le monde n'est peut-être pas si merdique finalement. « Yea, mes copains vont être vert de jalousie. » riant à m'en faire mal aux joues. Ça faisait si longtemps ça aussi... depuis le début de l'été en vrai.
Nous partons sur le sujet qui nous avait tout de suite rapprocher : les jeux vidéo. et je l'écoute attentivement, notant tous les jeux mentalement et me promettant de lui offrir des clefs pour la voir jouer à des jeux qui sortent de son registre. « GTA ? j'aimerais vraiment te voir y jouer, faut que je checke ça en rentrant. » que je dis le sourire amusé. « Les sims ? J'y ai joué un peu mais c'est pas trop mon truc. » même si j'adhère sur le concept du jeu, les jeux de gestion ont vite fait de m'ennuyer. « Et tu fais des vidéos découvertes ? genre sur des jeux d'horreur ou des sorties récentes de triple A ? » car si elle était ouverte à la proposition, j'avais tout un panel de jeux d'horreur à lui proposer, et j'étais même prêt à lui proposer de rester avec elle si elle avait peur d'y jouer seule.
(c) AMIANTE
@Crystal Carvalho
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