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Jane Morales ► Monica Ollander

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Jane Morales

date de naissance
29 mars 1998
lieu de naissance
Chicago, IL, USA
nom
Morales, née Monroe
prénom(s)
Jane
orientation sexuelle
hétéro probablement
statut amoureux
en couple
études
journalisme + langue slaves
bourse
non
statut social
aisé
job étudiant
bibliothèque du campus


Jane fait partie des students pour au moins un moment, si ce n'est pour toute la durée de ses études. De premier abord parfois timide, elle n'a pas comme premier réflexe de se joindre à un groupe. Qui plus est, c'est sa première rentrée universitaire, alors ce sera un pas à la fois.
Jane était depuis petit plus d'un an à Boston avant d'intégrer Harvard. Suivant déjà des cours par correspondance lorsqu'elle était à Chicago, elle a poursuivi ce chemin après s'être installé en ville. Suivant les suggestions de ses demi-frères et du père de ceux-ci, elle a été puisé pour trouver de nouveaux cours lui donnant un maximum de crédit et faisant bonne figure pour la filière qu'elle voulait, doublant le tout de quelques cours privés ou stages d'été ici et là pour le plaisir, gratouillant d'un sourire charmant et d'attitude enjouée et délicate pour avoir quelques lettres de recommendation. Aidée des trois membres masculins de la famille, elle s'est étoffée un dossier en bonne et due forme, suivant également les directives de certains contacts du sénior pour la guider (aucun pot de vins ou passe-droit n'a été fait, mais des conseils c'est toujours bien, qu'en dites-vous?). Les demandes envoyées à quelques universités ont finalement portés fruits et c'est avec joie qu'elle s'est vu accepté à Harvard afin de faire des études en journalisme, voulant découvrir le monde, n'ayant pas nécessairement peur de se salir pour connaître le fond d'une histoire ou ses différents points de vue et pour satisfaire cette curiosité qui l'habite sur bien des sujets.


Enjouée * Souriante * Parfois timide de premier abord * Curieuse * Réservée sur sa propre histoire * De bonne écoute * Aidante * Humble * Pleurnicharde à un certain point * Somme toute rêveuse * Maladroite parfois avec des stupidités * Aime danser et fredonner quand elle est seule * Lis beaucoup et sur des sujets bien différents si ça pique sa curiosité * N'a parfois aucun scrupule à mentir et le fera sans sourciller * Facile à faire sursauter * Attention certains aspects de la vie ne l'impressionne plus et peuvent même la rendre dédaigneuse

1- Si ça n'avait été que le nom de famille "Monroe" était déjà inscrit sur les papiers, elle se serait probablement nommé Jane Do par défaut. Elle n'est pas ce qu'on pourrait appelé "une enfant désirée" et sa mère n'aurait pas hésité à la laisser à l'hôpital. // 2- Le nom de "Monroe" est le nom que sa mère a adopté lorsqu'elle est arrivé aux États-Unis et qu'il lui a fallu refaire ses papiers. Ce n'est pas le véritable nom de sa famille, mais sa mère n'a jamais voulu lui dire ce que c'était. // 3- Jane ne connaît pas son père et bonne chance pour que quelqu'un puisse le lui indiquer un jour! // 4- Ses demi-frères et elle ne partagent aucun lien de sang. Cependant, les Morales l'ayant toujours acceptée comme l'une des leurs, il est difficile de le deviner lorsqu'on les voit intéragir. // 5- Elle a fait une demande de changement de nom pour devenir une Morales à part entière lors de son 22ième anniversaire. Les documents approuvés par la famille sont probablement le cadeau qui l'a le plus boulversé dans sa vie, lui tirant des larmes de joie incontrôlable. // 6- Ayant vécu dans des quartiers peu recommendable de Chicago, elle n'est pas habituée d'avoir beaucoup d'argent. Elle prend donc tranquillement le rythme avec celui que lui verse sans compter son frère ainé ou Papa Morales, mais garde certaines vieilles habitudes et n'est pas particulièrement dépensière. // 7- Ses notes de cours étant probablement incompréhensible pour ses camarades, variant entre l'anglais, le tchèque, le russe et l'espagnol, elle refuse farouchement de les faire passer. Son agenda/journal est aussi une pièce sur laquelle personne n'a le droit de poser les doigts. // 8- De par sa mère, elle parle tchèque (celle-ci maitrisant très mal l'anglais). Ayant été entouré de russes depuis son plus jeune âge, son cerveau à imbiber les notions de cette autre nationalité. Depuis que les Morales sont dans sa vie, Jane apprend l'espagnol, mais son accent plus slave, hérité de sa mère complique les choses pour la prononciation. // 9- Elle ne cherche pas nécessairement à parler l'une des langues avec tout le monde, se montrant même parfois bornée à parler anglais, mais certaines expressions ou paroles peuvent lui échappé sans qu'elle n'en aie réellement conscience. // 10- Jane a une tendance à évité les personnes avec un fort accent slave, russe plus particulièrement. De la même façon, elle a une réticence envers toute personne avouant venir de Chicago. // 11- Faire la cuisine est un plaisir pour elle si elle n'y sent pas d'obligation et qu'elle peut y faire ce qu'elle veut. Elle n'est cependant pas des plus douée. // 12- Appréciatrice de thé, elle peut se laisser guider et tenté par l'odeur alléchante de l'un d'eux. C'est d'ailleurs l'une des rares choses pour lesquelles elle dépense sans réfléchir. // 13- Les fruits, les croissants et le chocolat sont également un point faible pour elle. Le chocolat plus particulièrement. On aura vu pire comme faiblesse, vous direz, mais elle pourrait ne survivre que sur ces aliments si ce n'était que d'elle. // 14- Elle ne touche pas à la drogue, mais ce n'est pas pour autant qu'elle n'en a jamais vu. // 15- Elle boit rarement de l'alcool et ne le tient que très mal lorsqu'elle le fait. // 16- Sans tatouage, elle ne tient pas à orner ainsi sa peau, restant encore avec l'idée qu'un tel signe distinctif est une mauvaise idée pour passer inaperçue. // 17- Il lui arrive de paniquer, de se sentir traqué et il est parfois bien difficile de la raisonner à se sujet. // 18- La musique a une grande place dans sa vie et c'est l'une des choses qui peut la remettre sur pieds aisément.


pseudo joemaw
âge 30 ans
nationalité canadienne
forum connu par... un top site, je crois. Puis je fais partie des perdus et retrouvés.
ILH, j'en pense quoi ? toujours un plaisir d'y être
autres comptes ? @Nixon Sherwood
avatar utilisé Monica Ollander
crédits images Monica Ollander (insta)
nombre de mots par rp 500-600 en moyenne, mais négociable
type personnage inventé, puis a été lié à @Elijah Hayes-Morales

parrainage non merci
code bottin
Code:
☾ <span class="pris">Monica Ollander</span> ⊹ @"Jane Morales"
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<!-- Jane Morales --><div class="grid-item fem harv student america hetero pan art other"><figure><img src="https://i.imgur.com/DqZkaR9.jpg" /><img src="https://i.imgur.com/vvuO1X9.jpg" class="cover" /></figure><div class="content"><div class="name"><h2>Jane<br />Morales</h2></div><div class="info"><div class="face">Monica Ollander</div> · <div class="age">22 ans</div><div class="activity">Étudiante en journalisme et littérature slave</div><div class="more"><a href="https://www.i-love-harvard.com/u9586">mon profil</a></div></div></div></div>
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Un jour, une histoire


Une nouvelle fois, je cogne à la porte sans obtenir de réponse. Après avoir essayé l'intercom à l'entrée pendant plusieurs minutes, j'ai réussi à trouver un vieux monsieur à qui raconter un petit mensonge pour qu'il me laisse entrer avec un sourire doux. Le genre de mensonge simple comme "Mon frère devait venir me chercher au terminus d’autobus, mais il doit s'être endormi." La version pure et délicate qui les laisseront avec un sentiment de culpabilité s'ils laissent vos yeux de biche innocente dans ce hall froid toute la nuit parce que personne ne répond à la sonnette. Un grand sourire, de gentils remerciements en assez grande quantité et des souhaits de bonne soirée après la capitulation et tout va bien. Les pas soudainement plus légers et enjoués pour aller rejoindre le dit-frère aide à la crédibilité.

Mais la vérité est un peu différente, juste assez pour perdre le sourire qui n'était pas si difficile à acquérir, juste assez pour perdre les derniers éléments de confiance qui nous reste. Il ne savait pas que j’étais pour arriver, il n'est donc pas là. Probablement parti pour l'une de ses nombreuse missions quelque part au pays ou à l'étranger. Le tout pouvant durer un weekend rapide ou plusieurs semaines. C'est impossible à calculer sans connaître le planning de son agenda. Il n'y aura donc pas de sourire accueillant, pas de regard amusé, pas bras ouverts et de voix chaude aux paroles rassurantes. Il n'est pas là.

Parcourant le chemin en sens inverses, je m'en retrouve bientôt à frotter la semelle de mes baskets sur le bitume en un geste inconscient qui trahi l'anxiété qui me gagne. Qu'est-ce que je suis censé faire? Revenir à tous les jours en espérant pouvoir à nouveau me glisser et ou qu'il réponde à l'intercom? Combien de temps, c'est censé durer? Une nuit? Trois jours? Deux semaines? Ou est-ce que j'irai en attendant? Mon maigre portefeuille, déjà amputé par le trajet, suffira-t-il à me nourrir d'ici son retour? Si je rationne à un repas par jour, est-ce que ça fonctionnera? Je pourrais peut-être passé les journées dans une bibliothèque publique, assez tranquille pour grappiller quelques heures de sommeil et rester au sec si le climat s'emballe. Le métro, sinon? Toute seule, c'est risqué de s'y endormir… Et si...

- Poussin?

Sa voix me fait lever la tête, croisant son regard étonné de me trouver sur le parvis devant l'immeuble abritant son appartement.

- Qu'est-ce que tu fais là? Me questionne-t-il, tentant de comprendre peut-être pourquoi je suis planté ainsi, comme un chien errant, à attendre son retour que je commençais à croire trop lointain.

Mes dents se plantant dans ma lèvre inférieure, mes doigts se resserrent machinalement sur la bandoulière du sac de sport qui croise mon torse. Le voir ainsi, devant moi, à portée, alors que son étonnement commence à devenir inquiétude, fait fondre l'énergie qui m'a porté jusqu'ici, en songeant qu’il pourrait m’aider. Sa voix murmurant à nouveau mon surnom me fait venir les larmes aux yeux, lâcher les derniers fils d'adrénaline qui me tenait debout et les événements des derniers jours remontent avec leur lots de stress et de douleur. Pour qu'il les voit; pour qu'il les efface; pour que je retrouve le bien-être qui ne me quitte jamais lorsque je suis avec lui.

***
And all those things I didn't say
Wrecking balls inside my brain
I will scream them loud tonight
Can you hear my voice this time?


***

- Tiens, bois ça, ça te fera du bien, m'assure-t-il en me tendant ce que je devine être un tasse de thé aux fleurs d'hibiscus, deux sucres, avant même que l'arôme ne m'effleure les narines.

Depuis des années, il s'assure d'avoir cette sorte de thé à disposition quand je viens lui rendre visite, m'assurant que ce n'est que pour moi puisque c'est la première saveur que j'aie vraiment apprécier. Chaque fois, c'est aussi réconfortant. Chaque fois, il arrive à me tirer un sourire.

- Et maintenant, tu peux m'expliquer la raison de ta présence? Me questionne-t-il. Non pas que tu m'embêtes; tu es toujours la bienvenue et tu le sais, mais normalement tu demandes ou avertis avant de venir, remarque-t-il, me faisant baisser le nez dans ma tasse.

Il a raison, normalement quand j'arrive, c'est prévu depuis quelques semaines. En partie parce qu'il doit bloquer ce temps dans son agenda pour être sûr d'être là. Et il vient normalement me chercher au terminus d'autobus. Même si je lui dis que je serai correct. Il y met un point d'honneur à chaque fois.

Son père et ma mère se sont fréquentés pendant quelques mois, il y a plusieurs années de ça. Et avec eux, je n'ai jamais senti que je ne faisais pas partie de leur famille. Au contraire, c'est probablement les plus beaux souvenirs "familiaux" que j'ai. Son père est d'ailleurs l'une des rares personnes décentes que ma mère a pu fréquenté. Allez savoir ce qu'il lui trouvait. Elle, par contre, c'est simple : son portefeuille bien garni. Et si vous pensez que je prête de mauvaises intentions intentions à ma mère, je vous dirai simplement que vous ne la connaissez pas.

- Je suis partie, soufflais-je timidement. Elle…

Hésitante, je laisse le début de ma phrase en suspens un instant, tentant de trouver la force de lui dire ce qui s'est passé.

- Elle a dit qu'à mon âge, je devais commencer à rapporter plus d’argent ou foutre le camp, expliquais-je faiblement.
- Elle a voulu que tu travailles au bar, encore? Hypothèse-t-il.
- Pas… pas juste le bar, fis-je en secouant la tête, faisant virevolter quelques mèches tandis que mes doigts se resserrent sur la tasse. Ulric est venu …"m'évaluer", hésitais-je sans pouvoir affronter son regard.
- Ulric?
- Le… Le "gérant de contrats privés", l' "agent de spectacle", spécifiais-je, reprenant les termes pompeux d'un métier qui n'a rien de magnifique, vendant des corps vidées de leurs âmes pour amuser des clients friqués l'espace de quelques heures.

Un silence répond à mes aveux. Long. Dégouté aussi, probablement.

- Il t'a… touché? Finit-il par demander cherchant comment s'exprimer alors que l'idée même doit le rebuter.

Une nouvelle fois, je secoue la tête. Avec plus d'énergie, cette fois.

- Non, assurais-je. Il... Non... commençais-je sans trouver les mots d'abord avant de continuer : On était dans la chambre de ma mère, j'ai agrippé la lampe sur la table de chevet pour le frapper et le globe a éclaté près de ses yeux. Je me suis enfui dans ma chambre, j'ai mis les verrous. J'ai ramassé des trucs vite fait pour les mettre dans le sac de sport que tu m'as offert, j'ai attrapé mon sac d'école et je suis passée par la fenêtre pour atteindre l'escalier de secours. J'ai couru les ruelles jusqu'au terminus d'autobus et j'ai pris la première longue distance qui partait.
- Et t'as atterri ici? S'étonne-t-il.

Un léger rire m'échappe tandis que j'essuie les larmes qui perlaient à nouveau aux coins de mes yeux.

- Non, j'ai atterri à Nashville, riais-je, dans un mouvement nerveux, alors que l'idée d'avoir autant de chance me paraît ridicule. Ça m'a pris quelques correspondances pour venir ici, expliquais-je.

J'avais toujours peur de quitter le bus, mais chaque nouveau départ me disait qu'ils ne seraient plus derrière moi. Et déjà, lorsque j'ai réalisé que le premier que j'avais pris me menait un peu au milieu de nul part, une grande part du stress qu'ils essaient de me rattraper s'est envolé et les battements de coeur se sont calmés.

- Mais depuis combien de temps es-tu partie!? S'exclame-t-il. Et pourquoi ne m'as-tu pas appelé avant?
- Heu... je ne sais plus, avouais-je.

Depuis ma fuite, le temps est des plus confus, je ne pourrais pas dire si c'était hier ou il y a une semaine. Et si c'était clair dans ma tête que je voulais le voir et que je ne me sentirais en sécurité qu'avec lui, l'idée de l'appeler avant d'arriver n'a effleuré mon esprit que lorsque je n'ai reçu aucune réponse après avoir cogner à plusieurs reprises, m'affirmant qu'il était trop tard pour l'avertir.

- Tu restes ici, déclare-t-il. Hors de question qu'elle ou ils remettent la main sur toi. Tu restes avec moi.

***
I Will Never Surrender
Crush My Heart Into Embers
And I Will Reignite...
I Will Reignite


***

M'étirant comme un chat en sortant du lit, je ne prends même pas la peine d'enfiler un short, le grand chandail me servant de pyjama couvrant ma culotte convenant encore pour un petit moment. Mes pieds nus sur le plancher de bois, j'esquisse quelques pas de danse, syntonisant d’un geste devenu habituel sur le système stéréo les musiques qui me propulseront dans la nouvelle journée.

Le verdict est tombé depuis un an déjà. Celui que je considère et qui se considère comme mon frère aîné a passé plusieurs jours à me couver, allant ensuite jusqu'à faire les démarches pour que j'aie un passeport et que je puisse les accompagner (lui, mon autre demi-frère et leur père), si nécessaire. Les règles sont venues par la suite. Habiter avec lui était accompagné de conditions et compromis. Rien à m'en tordre un bras.

1- Faire des études universitaires. C'était non-négociable, mais j'ai eu champ libre pour m'inscrire dans la filière que je voulais. Ils m'ont même aidé à préparer mon dossier et mon entrée.
2- Tout serait payé, argent de poche fourni par mois également, à condition que je m'acquitte de tâches ménagères que j'aurais, de toute façon, probablement fini par faire par habitude. Et pas besoin de préciser que son appartement quasi immaculé est beaucoup moins difficile à entretenir que ceux où j'ai grandi.
3- Authorisation d'avoir un petit boulot pour les extras si l'argent de poche ne suffit pas. Interdiction que ça pose conflit avec mes études.
4- Obligation de garder contact au moins une fois par jour pour s'assurer que tout va bien. Une note sur le frigo, un appel, un texto, n'importe.
5- Pas de drogue. Mais bon, j'en ai assez vu passer et vu les conséquences pour que ça ne m'attire pas.
6- La plus importante : je dois sourire. Et que ce soit véridique. En gros, je dois être heureuse. Et si je ne le suis pas, on doit trouver pourquoi et y remédier.

Ouvrant la porte du réfrigérateur pour récupérer de quoi petit déjeuner, je ne peux éviter de voir le message retenu par un magnet.

Bonne chance pour ta première journée Poussin,
- big bro

***
Don't you know I'm still standing better than I ever did
Looking like a true survivor, feeling like a little kid
I'm still standing after all this time
Picking up the pieces of my life without you on my mind
I'm still standing yeah yeah yeah


***

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Coucou toi Jane Morales ► Monica Ollander 3997999705 Bienvenue hanwii
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Merci mon cher Jane Morales ► Monica Ollander 73120010
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bienvenue Jane Morales ► Monica Ollander 3850463188
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Merci! Jane Morales ► Monica Ollander 4046487928
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rebienvenue :heaart:
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Merci! Jane Morales ► Monica Ollander 4046487928
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yo
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bienvenuuue chez toi :heaart: .
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