CORNELIA WARHOL ► nicola peltz

Cornelia Warhol

feat nicola peltz

carte d'identité

Je suis née le trente-et-un février 1998. à miami, floride. J'ai actuellement vingt-et-un ans, la majorité enfin atteinte. et je suis de nationalité américaine. Je suis attirée par les hommes et leurs muscles parfaitement bien dessinés. et actuellement je suis célibataire et bien heureuse ainsi.Je suis étudiante en droit et philosophie. et pour entrer à Harvard je n'ai pas eu de bourse. Niveau social je suis pas à plaindre. mais tranquille je gère je travaille à mi-temps comme professeure de soutien en littérature pour des lycéens de la ville.

✧ maison ou pas pour l'instant

Après ta propre expérience familiale, tu n’approuve pas tellement les groupes. Étant à Harvard pour te concentrer sur tes études, tu n’as pas envie d’intégrer une confrérie. Disons que tu préfères faire cavalier seul de ton côté, révisant et sortant avec tes potes sans avoir besoin d’un quelconque groupe supplémentaire. Donc tu es une simple student, et c’est mieux ainsi.

✧ les petites anecdotes

Tu es née à Miami, cette sublime ville de Floride – Tu ne sais pas grand chose de tes parents, si ce n'est que ta mère était une femme de chambre qui avait eu une liaison d'un soir avec un client de l'hôtel. N'ayant ni les moyens ni la motivation de s'occuper d'un enfant du haut de ses vingt ans, elle décida de te confier dés ta naissance à l'orphelinat de la ville – C'est ici que tu as passé tes premières années, dans cet immense bâtiment qui ressemblait plus à un hôpital qu'à un orphelinat. Mais tu ne t'en rappelles pas non plus puisqu'en 2001, tu as été adoptée par le couple Warhol – Tu ne fus pas le seul enfant àaêtre pris. Ils ont adopté quatre autres enfants du même âge que toi : Amiral, Gustave, Taystee et Pearl – Vous vous êtes retrouvés dans cet énorme manoir, au plein cœur du quartier riche de Miami. Tes parents se présentaient comme gérant d'une boîte informatique, mais c'est quelques années plus tard que vous avez comprit que ce n'était pas vrai – Les Warhol étaient des tueurs à gage. Ils étaient payés par un groupuscule chargé d’éliminer des personnes comme vous et moi, assassinant dans la plus grande discrétion les ennemis des clients. Ils ne vous l'ont jamais vraiment dit. Ils disaient juste faire la loi face aux méchants, alors que bien souvent, ils ne tuaient pas que les bad guys des histoires – Votre enfance était douce et mielleuse, dans l'innocence la plus totale. Les Warhol n'étaient pas très présents pour vous, c'est pourquoi ils ont embauché une nounou qui logeait sur place – Tout tourna au drame un certain vingt-cinq novembre 2008, mais je ne vais pas m'étaler sur le sujet puisqu'il se situe ci-dessous – Dés ce jour, vos parents vous expliquèrent tout. Qu'ils étaient des tueurs à gages et qu'ils obéissaient aux ordres de leurs clients. L'homme que tu avais tué devait sûrement être un homme de main d'une future victime. Désormais, vous étiez compté dans la brigade des Warhol, épaulant vos parents dans leur mission commando – Vous n'étiez pas inclus dans les crimes ni quoi que ce soit. Vous étiez juste des petits moineaux, comme ils aimaient vous appeler. Vous aidiez à faire tomber les proies dans les griffes de vos parents. Tout ça n'était qu'un jeu pour vous – Tout bascula en 2015 lorsque vos parents furent attrapés par la police. Un grand procès s'en suivit et tes parents finirent par prendre perpétuité. Tes frères, tes sœurs et toi n'eurent rien. Vous avez été jugé comme ayant été manipulé psychologiquement et moralement parlant par vos parents. Vous êtes désormais sous surveillance juridique – Tout les cinq, vous avez décidé de prendre un nouveau départ. À Miami, tout le monde vous connaissait. La fratrie tueuse – C'est ainsi que vous êtes arrivés ensembles à Boston, prenant un magnifique loft où vous habitez désormais tous ensembles.
(en +) tu es passionnée de lecture et de littérature – tu es bénévole dans une association de soutien pour détenus en réinsertion sociale – tu pratiques la peinture et le dessin depuis ton plus jeune âge – tu passes tes dimanches à visiter des galeries d'art ou des musées – très minutieuse, tu prends soin de ton apparence – ton dressing est aussi remplit que celui de kim kardashian – tu as un dalmatien nommé azur, rappelant ainsi ton prénom – tu pratiques le golfe depuis ton plus jeune âge – fumeuse depuis de nombreuses années, on te voit souvent la clope au bec – amatrice de photographie, tu te trimbales souvent avec ton appareil autour du cou.

✧ l'admission à harvard

Comment as-tu fait pour être acceptée à Harvard avec ton passé familial si effrayant ? Avec de la détermination. Pour toi, les études ont toujours été quelque chose de primordial. Tu sais pertinemment que pour t'en sortir dans la vie, tu devais avoir des diplômes sous ton bras. Avec ce qui t'es arrivée, certains auraient totalement abandonné leur parcours scolaire pour sombrer dans la délinquance. Harvard est une université prestigieuse, tout ce dont tu voulais. Grâce à ton parcours scolaire en or, ils acceptèrent ton dossier d'admission et tes résultats des SATs frôlèrent l'excellence. Ton student essay's fut très apprécié. Ta dissertation traita à propos de ton passé, comment gérer la vie d'une lycéenne pendant un tel drame. Tu y mis tout ton cœur dedans. Résultat, l'université l'adora au point de te faire passer l'entretien. L'étape qui te faisait le plus peur, sans aucun doute. Tu avais peur qu'ils te posent des questions bien trop placées par rapport à tes parents. Bien que tu avais réussis à surmonter tout ça la tête haute, parler d'eux resterait à jamais un sujet sensible pour toi. Heureusement pour toi, l'entretien se déroula à merveille. L'homme te posa tout de même des questions sur ta famille, du moins si tu allais réussir à supporter le fait que les autres étudiants te portent un regard critique par rapport à l'affaire qui t'avait tourné autour. Tu réussis à tout répondre, de ton fameux calme olympien. Et voilà, tu étais à Harvard, comme une lettre à la poste.

✧ le caractère de con

Rêveuse, râleuse, persévérante, imaginative, possessive, jalouse, polie, respectueuse, fidèle, énigmatique, confiante, autonome, téméraire, passionnée, franche, bavarde, maladroite.

✧ derrière l'écran

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle pillsnpotions et j'ai dix-neuf ans. Je suis nationalité et j'ai connu le forum grâce à top-site. Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de laïa leeuwen (adam house) clyde erickson (pfo house) shay cunningham (currier house). J'utilise nicola peltz comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par tumblr. Je fais environ 500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Je souhaite ▲
 je veux être parrainé

Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:

Code:: [size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u9504]☆[/url] ☆ <span class="pris">NICOLA PELTZ</span> ◊ “ Cornelia Warhol ”[/size]

(Invité)

un jour, une histoire

don't call me angel

vingt-cinq novembre 2008

Un coup de feu retentit dans tout le manoir des Warhol. Tu te réveillas en sursaut, le souffle court. Tes yeux mirent quelques secondes avant de s'adapter à la pénombre de ta chambre. À tes pieds, tes doudous te regardaient silencieusement, d'un air rassurant. ━ Je reviens, je vais juste vérifier si tout va bien, leur chuchotas-tu d'une voix naïve.
Tu descendis doucement de ton lit, enfilas tes pantoufles roses bonbon et rejoignis à pas de loup ta porte de chambre. Tremblant, ta main s'avança vers la poignée mais s'interrompit lorsqu'un nouveau coup de feu retentit. Tu pris ton courage à deux mains et saisis la poignée, ouvrant la porte.
L'immense couloir à la tapisserie ancienne était lui aussi dans le noir le plus obscur. De toutes les portes, tu pouvais voir tes quatre frères et sœurs. Vous vous échangiez des regards intrigués, ne sachant quoi faire.
Des bruits de pas dans l'escalier. Quelqu'un arrivait. Tu fus soulagée de découvrir votre nounou, Judith. Elle était paniquée. Ses yeux étaient exorbités et du sang était étalé sur son tablier anciennement blanc. ━ Vous cinq, vous venez tous avec moi, ordonna-t-elle d'une voix paniquée. Voyant que l'on restait tous figé, elle se mit à crier. ━ Maintenant ! Hurla-t-elle. Tu sursautas, surpris d'une telle colère. Tu finis par la rejoindre au milieu du couloir, tout comme tes frères et tes sœurs.
Judith vous fit signe de la suivre. Elle descendit les escaliers quatre à quatre. Tu fermais la marche. Tu ne comprenais pas ce qu'il se passait. Absolument pas. Une fois dans la majestueuse entrée du manoir, Judith se stoppa net. Tu déboulas derrière elle, talonnée par les quatre autres gamins. Face à vous se tenait un homme, armé d'un pistolet. Il le braqua sur Judith, qui resta immobile, la tête fièrement levée. Ses poings étaient tellement serrés contre sa paume que du sang en coulait. ━ Courrez. TOUT DE SUITE, hurla-t-elle. Tu reculas, apeurée.
Tes frères décampèrent, suivis par tes deux sœurs. Tu les rattrapas rapidement. Un nouveau coup de feu, cette fois-ci plus proche. Un bruit sourd contre le vieux parquet. Judith, sans aucun doute. Des larmes glacées coulaient le long de tes joues tandis que tu traversais en hâte le salon.
━ Dans la cave, on sera en sécurité, suggéra Amiral. Tu hochas d'un signe de la tête. ━ Où est papa ? Et maman ? se plaignit Pearl. Taystee la serra contre elle, lui murmurant des paroles rassurantes. Près de toi, Gustave enroula ses doigts contre les tiens. Tu lui souris faiblement.
Amiral ouvrit la porte de la cave, vous laissant passer devant lui. Tu descendis en tête les escaliers, talonnée de près par Gustave. Il faisait sombre. Beaucoup trop sombre. Une fois que l'aîné ferma la porte, vous n'arriviez plus rien à voir.
Tu les attendis en bas de l'escalier et tu leur proposas de tous se prendre la main. ━ On sera introuvable si l'on se met dans le placard à balais, suggéras Taystee. Amiral vous fit signe de le suivre à taton jusqu'au fameux placard. C'était un endroit que tu détestais par dessus tout. C'était là où ton père te punissait à chaque fois que tu faisais une bêtise. Mais là, tu n'allais pas avoir peur. Tu étais avec tes deux frères et deux sœurs. Tu n'avais rien à craindre.
Gustave ferma délicatement la porte du placard à balais. Vous étiez serrés. Plus que serrés même. ━ Qui sont ces gens ? demandas Pearl d'un souffle. ━ Des ennemis de papa et maman, sans aucun doute, déclaras Amiral d'une voix assurée. Ils sont venus s'en prendre à nous pendant que nos parents sont absents. Quelle bande de …
Il se stoppa net lorsque la porte de la cave s'ouvrit. De la lumière l'éclaira de toute part. Plus personne ne parlait dans ce placard. Ni même respirait. Quelqu'un descendait les escaliers. Tu fermas les paupières, priant pour qu'il ne vous trouve pas. ━ Les bébés tueurs, où êtes-vous ? murmuras-tu une voix masculine, particulièrement rauque et pâteuse. ━ Oh, vous voulez jouer à cache-cache ? Très bien.
Un coup de feu. Tout le monde sursauta dans le placard. Des bruits de pas. Un nouveau coup de feu. Cette fois-ci, Pearl émit un petit cri, rapidement étouffé par la main moite de Taystee. ━ Ah, je savais que les coups de feu allaient vous faire chouiner, ricanas-tu en s'avançant vers le placard à balais. Sa lampe torche était braquée sur la porte. Il l'ouvrit d'un seul coup. Pearl hurla. Taystee hurla. Gustave se blottit contre toi. Tu ne bougeas pas. Amiral s'avança courageusement en direction de l'homme. ━ Qu'est-ce que tu crois que tu vas faire avec ce bâton ? pouffa le brun. Amiral ne ralentit pas et sauta sur l'agresseur, qui l'assomma d'un coup de pistolet dans la nuque. Sonné, l'aîné s'écroula par terre. ━ Un de moins, qui est le suivant ? Il braqua son flingue sur vous, vous forçant à sortir. ━ Allez, on sort, et que ça saute. Personne ne bougea. Il plaqua son pistolet sur la tempe d'Amiral, qui ne bougeait toujours pas. ━ ON SORT OU JE LE BUTTE ! MAINTENANT ! hurla-t-il si fort que vous êtes tous sortis d'un seul coup.
Tu restas derrière ton frère et tes sœurs, qui sanglotaient tous en cœur. Tu repéras une grande barre de fer métallique, à quelques centimètres de toi. Tu te décalas lentement, mais non. Il t'avait vu. ━ Eh la blondinette, tu crois que j'te vois pas ? Avance, et que ça saute !
Tu attrapas discrètement la barre, la cachas derrière toi et t'avanças docilement. Un léger rictus se dessina sur tes lèvres. ━ Pourquoi tu rigoles, hein ? Ça te fait rire ? Vous allez tous crever et toi, tu rigoles. Quelle insolente tu n'as pas eu assez de claques dans ton enfance toi. J'vais te donner ta première. Il s'avança dangereusement de toi, le regard menaçant. Il leva sa main et toi, tu poussas un hurlement, enfonçant brutalement la barre métallique en plein ventre de l'homme.
Un grand silence s'en suivit. L'agresseur s'écroula au sol, formant rapidement une marre de sang. Tu ne bougeais pas, le regard braqué sur l'homme que tu venais de tuer.
Pearl fondit de nouveau en larmes. Taystee décida de la monter à l'étage. Gustave s'approcha d'Amiral, réussissant à la réveiller.
La mâchoire serrée, les lèvres tremblantes, tu essuyas ton visage couvert de sang d'un revers de la main. Tu traversas la marre de sang sans daigner le moindre coup d'œil et remontas à l'étage. Tu te rendis dans le hall, où la nourrice Judith était étalée par terre dans une autre marre de sang. Tu saisis le téléphone fixe et composas le numéro de portable de ton père. ━ Oui papa. On a eu un petit problème à la maison. Non, tout le monde va bien. Sauf Judith. D'accord, à tout de suite.
Tu raccrochas et t'installas sur les marches, ton regard figé sur la porte d'entrée tandis que les larmes de Pearl berçaient tes oreilles et que la marre de sang de ta nounou ne cessait d'accroître.

(Invité)