LEO-D SIMMONS ► Jon Kortajarena (finish ma biche)

C'est le 5 juillet 1989 à Rhode Island, que les membres de la famille Simmons m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Leonel Davon. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexy et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale plutôt aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études d'ingénierie depuis 6 ans. ET je travaille en tant que serveur dans un p'tit resto sympa depuis 2 ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Winthrop House ou éventuellement les Mather House.

totalement arrogant ▲ carrément orgueilleux ▲ parfaitement franc ▲ sur de moi au possible ▲ profondément irrésistible▲ tout à fait conscient de mon charme fou ▲ à tendance dominant ▲ simplement récalcitrant ▲ méga chiant ▲ malgré cela, respectueux.

▲ Mon chat est mort écrasé. Il s'appelait Compote. VDM

Les Mathers organisent une soirée arrosée, t'y vas, t'hésites ?

J'y vais sans hésiter ! Encore une bonne occasion pour séduire, défier et ne pas finir la nuit seul

Les Quincy ont planifié un voyage humanitaire, participeras-tu ? Ou qu'en penses-tu ?

C'est cool, c'est bon... je n'ai rien contre mais sans moi.

Les Lowells ont annoncé un talent show, auditionneras-tu ?

Pour quoi faire ? Je me fais bien assez remarquer comme cela.

Une Cabot t'approche, elle est belle et très gentille... Parfaite, quoi ! (Pour les garçons) Comment tu la trouves ? (Pour les filles) Voudrais-tu lui ressembler ou tu t'associes déjà à elle ?

Je la trouverai encore plus belle nue dans mon lit.

Les Winthrops font une enchère tous les ans. (Pour les garçons) Aimerais-tu un jour y participer ? (Pour les filles) Serais-tu du genre à acheter un homme afin qu'il soit à ton service ?

Bien sur, en plus d'être une occasion amusante c'est un parfait moyen de montrer ma supériorité physique les amis.

Tu vois un Eliot arriver en Ferrari, lunettes de soleil et fringues de marque, tu en penses quoi ?

Je lui pisse dessus. Je l'ignore, pauvre garçon...

Une série de conférences de 3h sur la littérature anglaise à l'époque Victorienne est organisée à Harvard par les étudiants de la Dunster House tous les soirs pendant une semaine. Serais-tu du genre à y aller ?

Très franchement ? Ouais, pourquoi pas.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle BLU Notte et j'ai 18 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à je sais plus qui/ou quoi mais faut dire qu'il est tellement connu. Ce forum est beau, propre, organisé, actif, cool, se prend pas la tête avec les lignes itout itout... alors j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, je vais essayer de me débrouiller. J'utilise Jon Kortajarena comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par mistaken/tumblr. Je fais environ 50/100/300/500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé de toutes pièces.

Voila en bref ce forum claque le string de mémé et dieu sait comme il est résistant, je me magne donc les fesses pour finir au plus vite les poulets ! :7: ▲ Ajout libre.

Moi c'est Leonel. Je me présente. Je suis la réincarnation de héliocentrisme voyez-vous, tout tourne autour de moi. Je suis la quintessence du passionnant. Je suis ivre de moi, et vous aussi vous l'êtes. Je n'aime que moi, les autres ne sont qu'un passe-temps avec qui je m'amuse et j'assouvie mes désirs les plus intenses. Tout ce que je vis est profond. Je suis pleinement décalé, je ne réside pas dans votre monde c'est vous qui séjournez dans le mien. En parlant de détention, je possède la totalité. Je ne supporte pas que l'on me refuse quelconque chose. Vous l'aurez deviné, j'ai tout... sauf les pieds sur terres. Je ne connais pas plus capricieux et égocentrique que moi. Je le vis bien, tant pis pour les autres. Mon amour propre est tel que je me suffis à moi-même. Je vous aime, vous mes semblables, parce que vous m'êtes utiles. J'ai besoin de vous non pas pour m'enrichir et me développer mais pour m'égayer, me faire vibrer. Je suis séduisant, inébranlable et même cultivé voir doué. Je suis divin à ma manière, ma perfection. Je demeure le plus emmerdant, le plus étriqué, le plus mesquin, le plus déséquilibré, le plus halluciné, le plus absurde, le plus schizophrène de tous les hommes ici présents. Défauts qui dans mon jargon sont synonymes de qualités. Je peux le dire : je suis spécial, je suis orgueilleusement unique.

Maintenant que vous me connaissez un peu mieux, que avez cerné mon caractère, je suis sur que vous aimeriez savoir d'où me vient cette orgueil imparable. A l'inverse de mon cachet bien trempé et compliqué, mon histoire demeure plutôt simple, plutôt douce. Effectivement, je viens d'une famille passablement aisée et attentionnée. Fils unique, j'ai toujours eu ce que je souhaitais de la part de mes parents. Tiens mes parents, parlons-en justement de mes parents. Ces êtres tout à fait lucides et sans prétention. Ils travaillaient dignement pour gagner leur vie, ma mère étant cadre dans un hôpital et mon père directeur d'une grande école d'art. Ma mère, cette grande femme qui croit tant en moi. Elle m'aime d'un amour immodéré, m'idolâtre même. Je l'aime aussi d'ailleurs. J'étais ainsi un garçon seul avec ses parents attentifs, dans une école assez prestigieuse de Rhode Island, plus ou moins populaire au lycée. J'avais quelques amis qui me suffisais, cependant déjà désireux de ma situation, de tous mes désirs assouvis. Seulement voilà, c'est bien connu : tout beau récit à une fin. Et la mienne, précoce, est parvenue avant ma majorité : à 16 ans. Pourquoi ? Je ne sais pas, ou du moins je ne veux pas l'entendre. Mes relations se détérioraient, mes habitudes aussi, mes passe-temps étaient devenus impurs et crapuleux... Je n'étais plus le jeune homme gâté et encore bienveillant non, j'étais à présent un odieux garçon égocentrique et colérique. Je fumais, je buvais, je baisais. N'importe quand, n'importe où. Quand l'envie me prenait à midi, à 16h, à 20h, à minuit, à 4h. Aucunes limites ne m'encadraient. C'était ma loi, c'était mes choix. Malgré cela je restais une personne dotée d'une certaine intelligence. J'aime la musique et maîtrisais le piano et la guitare presque parfaitement. J'aurais aimé rentrer au conservatoire de New-York mais mes très chers paternels me prédisent un autre grand avenir. Mes proches ne me reconnaissaient plus. J'ai la vague impression que mon père me déteste, et moi aussi je le haïs. Seule ma mère croit toujours en moi, son seul enfant. Lui, il me descendait, me fusillait, m'aspergeait de remarques, de blessures profondes. Sans doute fait-il ça pour mon bien mais personne je dis bien personne n'a le droit et le pouvoir de m'affronter. Après tout, c'était de sa faute si j'étais devenue un tel môme. Il n'aurait pas fallu me choyer et me protéger autant. Dès lors, papa était devenu mon pire ennemi, mon plus grand rival. Face à qui ? A ma mère pardi. Il la détourne, la monte contre son propre gosse. Et elle, rationnelle et désolée, tentait de me résonner chaque jour. Je n'en fis rien. L'alcool se cachait dans mes placard, les joints, les filles. A savoir tout de même que je reste absolument révérencieux avec les femmes, ma mère en étant une elle-même. Je les aime tellement. J'étais irrespectueux envers mon paternel, intolérant, une enflure, une tête de pioche. Je vivais ma vie comme bon me semblais ne craignant aucunement le fait de me retrouver à la porte. D'ailleurs c'est en quelque sorte ce qui arriva. Maman ne voulant m'envoyer dans un quelconque foyer d'arriérés dérangés pensant que je valais bien mieux que ça, prit la décision de me faire prendre l'air, de me faire voyager. Voila pourquoi je me trouve actuellement dans cet université. L'idée qu'elle se faisait de cette école semblait être une parfait alternative pour me faire réfléchir, pour me bonifier.
Dieu merci, je suis intelligent et j'arriverai donc à sauver ma peau.