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Zander McMillan
feat dacre montgomery
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✧ maison ou pas pour l'instant
Je ne suis pas quelqu’un qui aime se foutre dans une case, même si j’aime les compétitions, les défis. Je n’ai jamais réellement apprécié le principe de ces confréries à la con. Non mais sérieusement, me faire pousser à faire de la merde en bizutage pour que potentiellement, je sois accepté dans un cercle, dans une maison peu importe pour qui j’en aurai rien à foutre… Très peu pour moi. Je suis là pour étudier, fuir mon passé. Non rester libre de mes faits et geste sans suivre les « règlements » des confréries, c’est un truc qui me ressemble mieux. Après, ça ne veut pas dire que je ne ferai pas ce qu’il faut pour me faire inviter à leurs fêtes…
✧ les petites anecdotes
(1) Je suis né un matin pluvieux et froid du mois d’avril, plus précisément le 9 avril 1996 à l’hôpital de Glasgow en Écosse, mais ma famille demeurais à Ayr est une ville portuaire située sur le Firth of Clyde, dans le sud-ouest de l'Écosse. À un peut moins 1 h de Glasgow. (2) Plus jeune d’une famille de quatre, j’ai deux sœurs et un frère. Mon frère m’a tout appris et sans doute que c’est un peu grâce à lui parce que mon père, je ne le connais pas. Il est parti avec une femme plus jeune quelques semaines après ma naissance. Selon les dires de ma mère, ça faisait tout de même longtemps que ça n’allait plus entre eux et que j’étais l’essai, l’ultime chance pour que leur couple fonctionne. Ma mère nous a donc tous élevée, mon frère et ma sœur, comme elle le pouvait sans rien d’autre que l’aide financière (3) Depuis mon plus jeune âge, je déplace de l'air. Je ne tiens jamais en place, une vraie pile électrice avec une impulsivité grandissante. Un voisin m'a pris sous son aile pour me faire pratiquer des sports de combat de tout genre dans l'espoir de canaliser mon agressivité. Chose qui a bien entendu fonctionné, puisqu'au lieu de me battre avec les gamins de mon école ou de mon quartier, je faisais vriller mes poings sur le punching bag de ce voisin qui m'a consacré tant de temps au grand plaisir de ma mère, qui me trouvait beaucoup trop turbulent. (4) La leucémie, ce foutu cancer qui te traîne à la peau. C’est à mes huit ans, que j’ai appris alors que je revenais de l’école, que l’une de mes sœurs était atteinte de ce cancer du sang. Sous le choc d’apprendre cette horrible nouvelle, j’ai disparu pendant trois jours. Je vous épargne les retrouvailles, lorsque j’ai retourné à la maison. Une mère en pleure et un frère qui m’en a fait voir de toutes les couleurs avec ses reproches qui me disaient égoïste et je vous épargne le reste. (5) C’est vraiment à partir de ce moment que je crois que ma vie à changée… C’est dès ce jour que j’ai commencé à me rebeller à devenir peu à peu cette personne que je suis aujourd’hui. J’en voulais à tout le monde que ma sœur soit malade. Le traitement ne fonctionnait pas, la leucémie gagnait du terrain. J’avais peur, j’étais affolé de perdre ma sœur. Je suis donc devenu le petit caïd du bac à sable. Ce petit garçon impoli qui cherche la bagarre à l’école, bien vite calmé par encore une fois un grand frère. À ce moment-là, je le détestais, mon frère. Il m’empêchait de vivre mes émotions, le libre expression. Mais dès que je faisais un truc de travers, je recevais ses représailles, sois disant vouloir faire de moi un homme et que je devais respect aux autres. (6) Douze ans, âge où j’ai rencontré mes potes, une bande de mecs complètements débiles avec qui je ne pouvais que m’entendre. Ceux-là, on se comprend sans ne rien dire. C’est avec eux que j’ai fait mes premières expériences. Faire l’école buissonnière, faire le mur, la drogue, cigarette, tout y a passé. On était, des gamins sans cervelle, toujours près à se donner les pires défis pathétiques. Tout ce qui nous passait par la tête était autorisé, absolument tout et si on refusait de réaliser ce défi en question, une conséquence nous pendait au bout du nez. Nous étions peut-être des gamins, mais nous étions toujours loyaux les uns envers les autres. Toujours là pour sortir nos potes de la merde dans laquelle il s’était fourré. (7) L’un de mes plus beaux souvenirs d’adolescent remonte à mon été 2011. J’ai été invité par un bourge à un pool party non loin de Glasgow. C’est là que je l’ai vu pour la première fois et c’est là qu’elle allait entrer dans ma vie pour ne plus jamais en sortir. Encore aujourd’hui, j’ai du mal à penser à quelqu’un d’autre, et ce, pour plusieurs raisons, qui ne sont pas toujours très positives. Roxane Nesbitt aka. La femme parfaite. La seule et unique fille que j’ai réellement aimée dans ma vie. Elle était là, dans son bikini blanc qui laisse assez peu de place à l’imagination, étendu de tout son long sur une bouée licorne en plein milieu de la piscine creusée à parfaire son bronzage, jusqu’à ce qu’un de mes potes fasse une bombe tout prêt d’elle, l’éclaboussant. Lorsque nos regards se sont croisés, j’ai tout de suite su que cette femme allait devenir mienne. Je la voulais et j’allais l’avoir. Ça serait mentir si je disais que je n’avais pas eu de mal à obtenir mes désirs, mais notre histoire a durée sept ans. (8) Maddie, Maddie, Maddie… La copine d’un de mes potes. Bon, copine est peut-être un grand mot, en fait, je ne sais pas trop comment il se compare eux deux. Tout ce que je sais, c’est que j’ai été ce petit coin qui a ruiner leur couple. En fait, pour dire vrai, je ne sais même pas s’il l’a déjà aimé. À la façon dont il nous parlait d’elle, ça ne me surprendrait même pas que non, ou alors il se donnait un genre pour ne pas qu’on se moque de lui. Bref, peu importe. Le fait est qu’avec Roxane, ma désormais petite-amie, on a lancé un défi à cet imbécile. Prendre la virginité de cette Maddie dans un lieu insolite, n’importe lequel. Quelque part où un couple normal ne couche pas ensemble pour la première fois pour ensuite la larguer. Et il lui a fait ce con. J’étais certain qu’il allait se défiler. Mais non, il l’a baisé sur un banc d’église et lorsqu’il est venu nous voir par la suite, il s’en est vanté, nous disant même que le prête les a surpris. (9) Cela faisait plusieurs fois que le père de Roxane venait me voir pour me demander de l’argent pour que je laisse sa fille. Que je quitte l’Écosse pour ne plus jamais lui parler. Il prétextait que je n’étais assez bien pour elle, pas assez sophistiqué, que je n’avais pas de bonnes manières et que jamais je n’aurais d’avenir sérieux avec sa fille. Qu’elle était prédestinée à vivre de grande chose, qu’elle irait loin dans la vie et que moi, je n’en faisais pas partie. J’ai refusé à mainte et mainte reprise de la quitter. Je l’aimais, j’en étais réellement amoureux. Je lui ai même demandé de s’enfuir avec moi, de toute laisser derrière nous. Elle m’a trouvé bizarre, je pense, mais elle m’a demandé d’être sérieux une fois dans ma vie. J’en ai dégluti… C’était vraiment beaucoup d’argent. Moi qui songeais à aller faire des études, je devais y penser sérieusement. J’ai dû faire la pire bêtise de ma vie, puisque sous l’influence de son daron, ses menaces et tout ce qu’il était en mesure de faire, j’ai accepté son offre. Il était content le bourge, je lui donnais raison. Je n’étais pas assez bien pour sa fille. J'ai perdu celle que je croyais être la femme de ma vie cette journée-là. Parce que la semaine suivante, j'étais en direction les États-Unis. (10) « J’ai été accepté à Harvard. Mon vol part dans trois jours… Je t’aime Roxane, ne l’oublie jamais, peu importe ce qui se passera. » Voilà les derniers mots que je lui ai prononcés. Les trois jours qui ont suivi, je n’ai pas répondu à ses coups de téléphones, ni à ses textos. Non, disons que j’étais beaucoup trop enragé pour lui parler. Je m’en voulais, ô oui, je m’en voulais d’une façon inhumaine. Je me sentais tellement con d’avoir accepté ce magot d’argent. J’ai failli faire demi-tour. Redonner l’argent à Monsieur Nesbitt, tout annuler et serrer Roxane dans mes bras, mais je ne l’ai pas fait. J’étais parti en direction de Boston ou une nouvelle vie m’attendait. (11) Ma rupture avec Roxane n'a pas été facile, malgré les apparences. J’ai resté cloîtrer comme un Ermite pendant deux semaines en arrivant à Boston. J’ai même négligé mon apparence pendant ces jours-là, oubliant même de me doucher. J’étais en mode larve, tout simplement. Des boîtes de pizza, des cannettes de bières vides jonchaient le sol. Un mec que j’avais rencontré à mon arrivée m’a sortie de force de mon appartement, voulant que je vois du monde, que je pense à autre chose. Alors nous sommes allé à une fête, la dernière de l’été, celle avant la rentrée. C’est en revenant le soir après cette fête, nous avons pris la voiture même si nous avions bu. Nous étions là comme des cons assis en train de parcourir les kilomètres qui nous séparaient de nos appartements, bouteilles de bière à la main, chantant à tue-tête des vieux tubes à la mode. Et nous l’avons heurté, cette pauvre fille. De plein fouet! Sous le choc ! Elle ne bougeait plus. J’ai voulu sortir pour aller voir si elle allait bien, mais mon pote m’en a empêché. Délit de fuite à mon actif. En date d’aujourd’hui, nous ne savons même pas ce qui est arrivé de cette femme, mais nous avons promis d’emmener avec nous ce secret dans notre tombe. (12) Les jours suivants, j’ai complètement dérapé. Je ne savais pas où donner de la tête. Drogue, alcool, fête, sexe, tout y passait. J’avais plusieurs choses à oublier et j’avais besoin de m’évader, puisque j’étais littéralement en train de me noyer. Je ne me reconnaissais même plus, j’étais devenu une toute autre personne. Même un jour, j’ai appelé Roxane malgré le décalage horaire, simplement pour entendre sa voix. Je n’ai pas parlé, juste écouté jusqu’à ce qu’elle raccroche me traitant de noms. Ça m’a fait du bien, énormément de bien. C’est comme si une cicatrice venait de se refermer à ce moment. J’ai pu commencer à m’envoyer en l’air avec d’autres, avoir du plaisir avec d’autres. Hommes comme femmes, ils y passaient tous. Les fêtes, je n'en ai pas manqué une. En date d’aujourd’hui, je me suis un peu calmé, certes, mais je suis toujours le même au fond. Et ça m’amuse cette vie. Je sais que je plais. J’excite les femmes, même les hommes et tant qu’ils sont capables de me donner du plaisir, je prends ! S’ils n’y arrivent pas ? Ils n’entendent plus jamais parler de moi. (13) À faire la fête tous les jours, boire et m’amuser au bout d’un moment l’argent vient à manquer. Certes, j’avais un bon petit pactole dans mon compte en banque, mais usage réservé à mes études. Elles passaient encore en premier. J’ai donc commencé à vendre pour un mec et il m’a même hébergé puisque je n’avais plus de toit sur la tête. Plus d’argent pour payer, est synonyme de ne plus avoir d’appartement, vous savez. Sauf que tout ça n’a pas duré longtemps. En effet, je ne sais pas pour quel con, il m’a pris, mais le mec, il a cru que j’étais sa pute. Il voulait que je baise avec lui en échange d’un toit. J’ai décidé de tout laisser de côté que j’allais me démerder comme je le pouvais. Étant débrouillard, j’ai squatté les fêtes jusqu’aux petites heures de la nuit, m’endormant généralement sur les canapés. J’ai réussi comme j’ai pu jusqu’à ce que je me trouve un boulot de serveur dans un restaurant. J’avais du charisme, et une bonne prestance. (14) J’ai rapidement repris le poil de la bête, une confiance en moi en béton. Beaucoup trop de haine à l’intérieur, j’ai décidé de me remettre au sport de combat, du moins, quelque chose pour extérioriser ma violence, mes pulsions. La boxe a été la meilleure stratégie pour moi. Ça me permet de me défouler et aujourd’hui je n’hésite pas à frapper dans le sac dès que j’en ressens le besoin. En plus, ça m’aide pour garder ma shape d’enfer. (15) Pas plus tard qu’hier, j’ai cru voir Roxane, mon ex sortir d’un café avec un gobelet à la main. Rapidement, je me suis caché derrière une poubelle pour l’épier. Être certain qu'il s’agissait bien d’elle. Et sa voix, je la reconnaîtrais parmi toutes les autres. C’est là, c’est à ce moment bien précis que j’ai compris que je me retrouvais dans la merde. Je ne sais même pas si elle est au courant des magouilles de son père. Ni même que j’ai accepté un deal que je n’aurais jamais dû connaître. Je ne sais pas non plus si elle se rappelle que je suis à Harvard. QU’EST-CE QU’ELLE FOU À BOSTON, BORDEL???
✧ l'admission à harvard
Ça s’est fait plus rapidement que je l’aurais cru. Heureusement que j’ai toujours eu les cours dans le sang et que mes notes ont toujours été assez élevées. Ça ne paraît peut-être pas, mais je suis un petit génie, qui fous sa vie en l’air certes, mais un petit génie tout de même. N’empêche qu’Harvard ait toujours été l’université dans laquelle j’ai voulu étudié. Cependant, vu mon milieu, jamais je n’aurais pensé pouvoir l’intégrer. Miraculeusement, une opportunité s’est vue offerte à moi et je n’ai pas pu y résister. Mes notes étaient satisfaisantes, de même que pour mon résultat au SATs. L’essay et l’entretien, on fait en sorte de pouvoir me faire une place dans cette brillante et prestigieuse université. Pouvoir étudier où Matt Damon ou même Natalie Portman ont étudié.
✧ le caractère de con
Zander a un caractère assez fort. Forgé à partir d’une enfance assez difficile pour lui, il a développé une certaine ambition pour arriver le plus loin possible dans la vie, tout en étant prétentieux, vaniteux, présomptueux. Il se croit fort, beau et diablement sexy. Par contre s’il ne t’aime pas, c’est fichu pour toi, tu auras du mal à lui faire changer d’avis même si ce n’est pas impossible. La rancœur fait partie de ses péchés. Il ne faut JAMAIS blesser son égo sous peine de goûter à ses représailles et il fera tout pour vous nuire. C’est un impulsif dans l’âme, ce n’est pas pour rien qu’il pratique fréquemment la boxe. Quand il est énervé, il va frapper dans le sac, parce qu’en général, il préfère les coups à la parole. Il s’énerve pour rien et très facilement. Oui, c’est un susceptible. Par contre, il est sociable et dans les fêtes, il ne passe pas inaperçus, il aime parler à tout le monde. Cependant, Zander est mystérieux, très mystérieux. Il parle très peu de lui et de sa vie surtout depuis l’an dernier. Personne ne sait pourquoi il agit de cette façon, mais beaucoup parle que c’est à cause de son ex, Roxane. Cependant, on ne connaît pas les raisons, ni le pourquoi du comment.
✧ derrière l'écran
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Karma et j'ai l'âge que tu veux. Je suis québécoise et j'ai connu le forum grâce à moi-même pour le coup. Je suis déjà présente sur le forum sous les traits de Davi Carvalho (+ love shot). A. Ciara Ferrari (+ dudley) Ayana Morello (+ Adams)J'utilise dacre montgomery comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par tumblr et bazzart. Je fais environ 200 + mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
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