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AYANA MORELLO
FT. CAMILA CABELLO
carte d'identité
maison ou pas.. pour l'instant.
Je n'ai jamais réellement souhaité faire partie d’une maison. Je trouvais que c’était un cercle trop fermé qui m’empêche de faire mes propres choix et que je devais me plier à leurs règles en toutes circonstances. Lors de mes premières années d’université, j’ai décidé de me la jouer cool, de me concentrer sur mes études et d’aller faire la fête ici et là. Toutefois, les mois ont passés et je me suis finalement dit qu’il serait bon de pouvoir entrer dans une maison, que celle-ci allait devenir une deuxième famille et que je pourrai toujours compter sur ces membres pour me supporter peu importe ce que l’avenir pourra me réserver.
admission à harvard
Mon dossier d’admission a été assez ardu à remplir. Pas que je n’avais pas les notes pour intégrer cette merveilleuse université, même que ça c’est assez le contraire, mais plus parce qu'au moment de mettre en place mon dossier, je ne savais pas trop à qui demander les lettres de recommandation. Heureusement, ancien employeur et même un de mes professeurs au lycée s'est prêté au jeu, ce qui m’a étrangement surpris. Côté résultats aux Sats, c’était bien cette partie qui me faisait la moins peur. Et comme prévu, tout se passa pour le mieux. Après tout, c’était les lettres de recommandation que je redoutais. L’essai, a pu montrer le pourquoi j’avais l’intention de faire des études en journalisme. Ils ont vu que je ne plaisais pas avec ça à l’entretien. Je suis une personne sérieuse qui ne recule pas devant les difficultés et c’est une qualité qu’ils recherchent. Ils m’ont trouvé passionné et enjoué et que j’allais être un atout pour l’université, même s’ils ont légèrement plissé le nez lorsque je leur aie tout dire de mon passé. Est-ce que cela a pesé dans la balance, lorsque je me suis montré complètement transparent? Sans doute, je ne sais pas je ne suis pas dans leur tête. Dans tous les cas ce n'est pas ce qui est le plus important, puisque cela a réussi. Je suis étudiant à Harvard depuis trois ans.
les anecdotes
Je suis née à Madrid en Espagne d’un viol. Effectivement, ma mère s’est fait violer par un crétin de service après lui avoir mis du GHB dans son verre lorsqu’elle était de sortie avec ses copines. (2) Elle était en couple et après mainte et mainte discutions, ils ont décidés de me garder. Même que son copain du moment, qui est rapidement devenu son mari a décidé de m’adopter. De faire de moi sa seconde héritière. (3) Effectivement seconde, puisque j’ai également une demi-sœur, seul enfant illégitime de mon père d’adoption. Disons qu’elle et moi ce n’est pas l’amour four. Nous sommes toujours en train de se chamailler pour des broutilles. Broutilles qui prennent des proportions énormes par moment. Sauf ce qu’elle n’a pas compris, c’est que je la nargue le plus possible, puisque je sais qu’elle va tout de suite se braquer. Et ça me fait rire, plus elle est en colère et plus je kiff. C’est physique, je n’y peux rien. (4) Lorsque j’avais 16 ans, j’ai passé deux ans dans un foyer d’accueil pour avoir été condamnée pour coups et blessures. Heureusement, j’ai été jugée comme une mineur et que mon père a réussi, par je ne sais quel moyen de tout fait effacé, jusqu’à la dernière trace en échange d’une bonne conduite de ma part. (5) Pour être certaine que je respecte ce qui a été dits, ma mère m’a envoyé en France, plus précisément à Calais, ville d’origine de mon grand-père. Mes grands-parents allaient pouvoir m’apprendre les bonnes manières, me dicter la marche à suivre. C’est du moins ce que ma mère espérait à ce moment-là, mais moi, j’en avais décidé autrement. J’avais à présent dix-neuf ans et sincèrement, plus personne ne pouvait me dicter quoi faire. Dans ma tête, j’étais majeure et vaccinée, donc libre de faire mes propres choix. (6) C’est à ce moment que j’ai commencé à sortir plus que de raison dans les bras, drogue, sexe, alcool et j’en passer. C’est également à cette époque que j’ai découvert ma bisexualité. J’ai compris que le corps humain était bien fait et que tant que la personne savait comment s’y prendre pour me donner du plaisir, c’est tout ce que je demandais. (7) Au bout de quelques mois de débauche, mon grand-père s’est fait beaucoup plus, trop autoritaire. Il m’a interdit de sortir dorénavant. Je me suis sentie comme un enfant de cinq ans qui se faisait punir. Incapable d’accepter son choix, j’ai décidé de quitter, fuguer le refuge, la ville, et même le pays. J’ai décidé de quitter avec le strict minimum sans même savoir où j’allais aller… (8) L’Angleterre a été mon choix, mais je l’ai bien rapidement regretté. Je ne parlais pas un seul mot anglais, ayant comme langues maternelles l’espagnol et le français. Je me suis demandé comment j'allais faire pour survivre. Étant une personne débrouillarde qui réussit généralement tout ce qu’elle entreprend dans la vie, je n’avais pas peur. Je n’ai pas hésité à mendier, à vendre mon corps pour subvenir à mes besoins. (9) C’est à peine quelques semaines, voire maximum deux mois plus tard que j’ai rencontré par hasard, un jeune homme qui me plaisait spécialement. Tu ne savais pas du tout ce qui me prenais avec lui, mais il dégageait quelque chose qui me rendrait accro à sa présence. Je n’avais encore jamais ressenti ça pour une personne. Nous avons appris à nous connaître et à mon plus grand plaisir, je me suis aperçu que ce que je ressentais pour lui était en réalité réciproque. (10) Nous avons vécu une belle histoire pendant près de deux ans. On s’était même fiancé quelques jours avant qu’un coup de fil eut l’effet d’une bombe. Une tornade qui a tout détruit sur son passage. L’hôpital venait de m’appeler pour m’annoncer que Simon, mon fiancé s’est fait happer par une voiture à une intersection. Un chauffard en état d’ébriété a grillé un feu rouge. Il me dit par la suite qu’il serait important que je me rende à l’hôpital. (11) Le coeur en charpi, je l’ai vu tout de bleu vêtue, plusieurs fils le reliant à des machines. Des ecchymoses sur le visage. Quelques minutes après mon arrivée, un long et insistant bip sonore se fit entendre dans la pièce. C’est à ce moment que j’ai perdu le nord. Mon coeur s’est arrêté en même temps que Simon. Les infirmières m’ont demandé de sortir d’aller patienter dans la salle d’attente et que l’on me donnera des nouvelles de son état prochainement. Incapable de bouger, sous le choc le plus total, il a fallu que ce soit le gardien de sécurité qui m’escorte jusqu’à l’endroit demandé. (12) De longues minutes à attendre, voire heures, je ne sais pas trop. Je tremble de tout mon long. Ce que je peux trouver ça long. Je vois arriver le médecin qui s’occupait de lui et je me lève précipitamment pour venir à sa rencontre, mais à voir sa mine détruite et désolée je tombe à genoux, en pleur. Il n’est plus de ce mode, ce chauffard en état d’ébriété me l’a enlevé. (13) Partir d’Angleterre allait être la meilleure chose à faire. C’était mon opportunité. Partir, recommencer ma vie et pourquoi ne pas retourner aux études ? Je me suis rendu aux États-Unis, sous la recommandation de ma mère pour aller trouver ma demi-sœur, Joy. En échange, elle allait me verser dans mon compte en banque à tous les mois un bon montant d’argent. J’ai accepté, évidemment. Quoi de mieux que d’aller embêter Joy pour me changer les idées ? (14) Je me suis tout de même cherché un emploi même si je n’en avais clairement pas besoin et une femme d’un certain âge avait besoin d’une personne charismatique pour vendre des produits sexuels. Ce n’était clairement pas l’emploi recherché, mais pourquoi pas ? (15) En arrivant à Boston, je me suis promis de ne plus tomber amoureuse, ou du moins de ne plus m'attacher à quiconque pour ne pas perdre quelqu'un de nouveau. Si cela devait arriver, à m'attacher à quelqu'un, je m'étais promis de fuir de passer à autre chose et c'est exactement ce que je compte faire. Cependant, je sais tout aussi bien que personne que je ne suis pas à l'abri de rien. (16) Le mois dernier, mon père adoptif est décédé et j'ai été nommé co-directrice de la chaîne d'hôtels mondiale avec Joy. Cette dernière n'est clairement pas contente de mon titre, puisqu'elle sait qu'elle devra travailler en étroite collaboration avec moi. Qu'elle ne pourra malheureusement, pour elle, rien fait sans que je donne mon accord. Sachant que je suis née pour la narguer, vous devez bien vous douter que je me ferai un plaisir de lui mettre des bâtons dans les roues.
le caractère
Ayana est une jeune femme mystérieuse. Elle aime parler de la pluie et du beau temps, mais reste discrète sur sa vie privée. Elle se méfie des personnes qu’elle ne connaît à peine et ne se confie qu’à un cercle restreint de personnes. Séductrice, elle aime attirer l’attention des hommes sur elle. Sa coquetterie la pousse à mettre en avant sa féminité et à prendre soin de sa personne de son allure. Elle consacre même un budget mensuel au shopping. Elle considère les rendez-vous chez le coiffeur comme quelque chose d’obligatoire une fois par mois, également. Ayana est une femme de caractère. Elle ne se laisse pas facilement manipuler et garde le plus possible les pieds sur terre. Ambitieuse, elle n’hésite pas à remuer ciel et terre pour obtenir ce qu’elle veut. Tout le confort dont elle a besoin. Patiente, elle est capable d’attendre le temps qu’il faut certaines choses de la vie, mais attention de ne pas la pousser à bout. Puisque ses crises de colère peuvent être parfois violentes. Se sentant trahie ou poussée à bout, elle peut devenir agressive. Elle n’aime pas l’hypocrisie et préfère dire directement les 4 vérités d’une personne en face, puisqu’elle peut tout aussi bien garder sa souffrance pour elle, afin de se venger au moment où on s’y attend le moins. Malgré ses quelques aventures, elle recherche une relation stable, au fond, mais pas à n’importe quel prix. De ce fait, elle se montre exigeante dans la sélection de l’homme qui partagera sa vie. Seul un homme attentionné, tendre et qui sait ce qui veut pourra espérer avoir sa place à ses côtés. Étant une femme active, elle a toujours besoin de nouveaux défis pour se sentir vivante. La paresse est un mot qui ne fait pas partie de son dictionnaire. Elle assume ses erreurs et se remet souvent en question pour s’améliorer. Malgré tout, elle a un grand sens de l’humour. Elle partage sa bonne humeur autour d’elle. Sa grande ouverture d’esprit l’aide à s’adapter à presque tout.
derrière l'écran
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Karma et j'ai plusieurs années à mon actif. Je suis québécoise et j'ai connu le forum grâce à un lamacorne qui faisait des crottes en arc-en-ciel. Je suis déjà présente sur le forum sous les traits de Davi Carvalho (+ love shot)m Zander McMillan ( + student) , A. Ciara Ferrari ( + futur dudley). J'utilise célébrité comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par plusieurs magnifiques et merveilleuses personnes. Je fais environ 200 + mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
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