CAMILLE HARRINGTON ► Luke Grimes

JE SUIS NE(E) LE 12 août 1989 en Irak. J'AI ACTUELLEMENT 30 ans ET JE SUIS DE NATIONALITÉ américaine JE SUIS ATTIRÉ(E) PAR les femmes et les hommes ACTUELLEMENT JE SUIS célibataire depuis toujours. JE SUIS ÉTUDIANT EN médecine, spécialisation pédiatrique ET POUR ENTRER À HARVARD JE N'AI pas eu de bourse. NIVEAU SOCIAL JE SUIS plus qu'aisé.

Faire partie d'une fraternité n'a jamais été la préoccupation de Camille. Cependant, avec le temps et l'expérience de son meilleur ami, il décida de tenter l'expérience. Celle qui correspondrait le mieux à Camile serait la Dudley House. Rebelle, anti conformiste... Des mots qu'il connaissait par coeur. On reviendra plus tard sur le côté tolérant... Il ne l'était pas du tout. Au contraire... Cependant, c'est celle fraternité qui fit écho en lui comme la terre et le soleil. Peut-être qu'il aura l'occasion d'en apprendre plus sur lui et sa manière de fonctionner...

Au talent. C'est ainsi que Camille espérait entrer dans la prestigieuse école d'Harvard. Les études n'ont jamais posées problème à Cam, par contre la motivation à se lancer dans un projet est une autre histoire... Il s'est vite rendu compte que son seul talent à mémoriser une tonne d'informations dont on n'en a rien à foutre ne l'aiderait point. D'ailleurs, c'est en remplissant son dossier d'admission - avec mamy évidemment -qu'il du choisir une spécialité, une voie, un chemin, une prison dans laquelle s'enfermer? Bien évidemment que la médecine le fit vibrer. Mais il en était hors de question. Hors de question de suivre les pas d'un père au bout du monde et d'une mère qui... Bref. C'est vers la psychologie qu'il se dirigea. Ajouter quelques armes à son emblème. L'humain était passionnant. Débile mais passionnant. Mais la flemme. La flemme de remplir cette putain de dissertation. Quelle connerie allait-il pouvoir raconter... Faire pleurer. Bingo. C'est l'histoire de sa mère qu'il raconta dans le moindre détail, pas parce que ça le touchait mais que ça allait lui faire gagner un maximum de points. Les débiles allaient pleurer. Ils espéraient sincèrement tomber sur une femme. Plus fragile, plus amadouable. Ce n'est pas que ça lui plaisait, mais la manipulation pour arriver à son but était une stratégie comme une autre.
Après trois années de psychologie, trois années aux résultats médiocres, l'homme de tout juste 21 ans se rendit bien compte que ce n'était pas sa voie... Pourtant, on l'avait prévenu. Trop de fois. Depuis quand il écoutait les gens? Il quitta Harvard pour prendre une année sabbatique, se poser les bonnes questions et partir à l'étranger avec l'argent de papa. C'est à Bali qu'il découvrit ce qui le faisait vibrer depuis toujours. Dans le déni depuis trop de temps, il assuma enfin le fait de vouloir devenir médecin. Pas pour son père. Pas pour sa mère. Pour quelque chose de beaucoup plus grand, plus profond, quelque chose qui grandissait de plus en plus en plus en lui.
Une première année ratée. Bordel. Il faut avouer que les fêtes, l'alcool et la drogue ne font pas bon ménage avec une première année. Les quatre années suivantes se déroulèrent sans trop d'accro, malgré la passion qui ne vibrait pas assez en lui. Puis vint l'internat où il se sentit comme une frite dans son sachet malgré quelques problèmes avec la hiérarchie et quelques pétages de plombs. Puis vint un événement qui bouleversa son monde intérieur mais décupla un sentiment en lui qui ne cessa de grandir, encore et encore, atteignant son paroxysme dans ses séances de méditation... Vous savez? Vous le connaissez ce sentiment? Lorsque vous être tellement certain d'être sur le bon chemin? Cet événement ne quittera jamais son cœur, son corps et son âme mais sa voie était maintenant tracée : la pédiatrie. Les années suivirent vers cette voie toute tracée. Un futur pédiatre exerçant sa spécialisation en tant que résident. Il lui restait encore quelques années devant lui mais qu'import, sa passion lé dévorait. Passion qu'il n'assumait pas toujours. Vous savez... Les enfants... Camille... Peu savait ce qui l'animait réellement. Beaucoup demandait ce qu'il foutait là.  

►Morte en couche. Evidemment, ce n'est plus l'expression utilisée mais tel est le nom du premier chapitre. Camille, premier et dernier né d'une famille devenue incomplète. D'ailleurs, connaissez-vous l'origine de ce prénom androgyne? Une fille, un garçon? Ils s'en moquaient platement donc ils décidèrent d'attendre le jour J et de l'appeler Camille qu'importe le sexe du survivant. ►C'est en Irak qu'elle trouva la mort, rapatriée bien trop tard à l’hôpital le plus proche. Ses parents travaillaient pour un organisme humanitaire, parcourant les pays sans se poser, déballant leur maigre bagage composé d'un maximum d’antibiotique, bandage, anti-douleur et divers outils médicaux. Eleonore  disait apparemment souvent "quand le monde entier reste silencieux, une seule voix peut faire la différence.” et c'est dans cet état d'esprit qu'ils étaient là où ils devaient être, suivant leur mission de vie, ce qui les faisaient vibrer. Jusqu'au jour où elle tomba enceinte -une grosse découverte sur le tard, omnibulée par le dramatique quotidien- jusqu'au jour où les douleurs apparaissent, jusqu'au jour où tout explose, jusqu'au jour où c'est le début de la fin de sa vie. ►Le survivant - non pas Harry Potter - ressemblait physiquement beaucoup à sa maman : la couleur de ses cheveux - de l'or cuivré comme disait son père -, le regard exprimant une perspicacité presque inquiétante accompagné de la lueur d'un joueur de poker avec 3 coups d'avance mais aussi l'étincelle d'une profonde tristesse cachée depuis trop longtemps. Il lui ressemblait beaucoup. Extérieurement. Intérieurement. Une détermination humaniste à faire trembler une montagne. Bon... Entre temps, tout a foiré. Il se sent guidé par elle... sans suivre aucun de ses signes.  ►Résumons. Une mère morte et un père tout le temps à l'étranger. Le rejeton rappelant la mort de la femme aimée fut ramené à sa grand-mère maternelle, une riche héritière forte de caractère mais au cœur tellement gros que Camille pu ressentir ce drôle de sentiment d'être aimé. Il grandit avec les valeurs et les normes de ce monde qui l'avait vu grandir. Un monde de faux semblant, de principes, de règles absurdes mais avec la sécurité d'être dans les bras de sa grand-mère tant aimée. L'enfance se passa sans difficulté, Camille répondant à chacun des critères demandée par la société. Cependant, les années passèrent et l’instinct rebelle héritée de sa mère grignotait de plus en plus son côté bon garçon... Je vous laisse deviner la suite. ► En rébellion constante, contre le monde, contre les gens, contre les riches, contre les pauvres, contre les cathos, contre les fans de raclette et les plateaux de charcuterie, enfin vous voyez un peu le tableau. Surtout en colère contre lui. Seule sa grand-mère trouvait la bonne intonation pour tenter de le remettre sur le droit chemin... Il grandit en se forgeant une carapace de plus en plus épaisse et tente toutes les expériences que la vie puisse lui offrir, les bonnes et surtout les mauvaises et le voilà à suivre un premier cursus à Harvard, avec les encouragements d'une grand-mère qui vibre l'espoir et la déception d'un père qui voulait le voir devenir médecin. Mais ceci est une autre histoire... ►Cam a eu de nombreuses aventures sentimentales, que ce soit avec des filles ou des mecs. Il n'a aucune gêne à apprécier la présence des deux genres. Parfois en même temps. Bref. Un cumul d'expériences, de plans, de rencontres furtives. Il est tombé amoureux une fois. Elle était tellement.... parfaite. Trop parfaite. Tellement parfaite qu'il prit peur. Histoire classique. Son soutien, son ancre, son emplâtre. Elle dégageait une telle joie de vivre qu'il eut peur de la transformer en quelque chose qu'il ne pouvait accepter. Il parti donc lâchement, la queue entre les jambes tel un chien blessé par la vie. Trente années de fausses relations amoureuses, trente année sans dire je t'aime. Son âme sœur quittée, il se promit de ne plus s'attacher à une fille, un gars. Trop de chance de souffrir. Trop de chance de propager ses ombres sur un cœur pur. ►Lors de son internat en médecine, il y a eut un horrible événement qui changea radicalement sa vie et le choix de sa spécialisation. Imaginez. La nuit, de garde. Camille dans les bras d'un infirmier -enfin pas exactement dans ses bras-, un beeper non chargé et l'interne responsable d'appeler son supérieur en cas de problème. Une enfant. Huit ans. En phase terminale. Morte entourée d'infirmières et d'un médecin appelé trop tard. C'est le genre d'expérience qui remet tout en question. Qui détruit. Qui affirme le choix d'une spécialisation. Une expérience qui l'a totalement détruit mais également construit, dans un sens. Cela fait maintenant des années que ce visage hante ses rêves. L'argent donné anonymement à la famille ne rend pas la blessure aussi vive que le premier jour. Les personnes au courant de cet événement se comptent sur les doigts d'une main... Enfin trois doigts. ► Il a une passion pour les fêtes, l'alcool, les drogues, quel homme parfait. Parfois c'est plus simple de se déconnecter de soi. ► Il est haut potentiel mais n'en fait pas toute une affaire. Cela ne le définit pas. Tout ce qu'il faut savoir... c'est que dans sa tête c'est le bordel. Une bonne psychanalyse ne serait pas superflue mais que voulez-vous faire avec quelqu’un qui ne veut pas être aidé? ► Les personnes dites "solaires" sont attirées par lui et inversement. Quand l'ombre rencontre la lumière. Mais cela se termine toujours de la même façon. L'ombre se propage, se multiplie et finit par cacher le soleil. ► Il n'a aucune confiance en l'être humain. Par contre, il y a une poignée de personnes qui sont dans son cœur même s'il ne se l'avoue pas. Ces personnes comptent tellement pour lui qu'il serait capable du pire si on leur faisait du mal. Avec eux, il se montre avec plus d'authenticité. Un humour décalé, fun, bon vivant... Il vibre bien plus que seul, perdu dans les ténèbres de sa vie. ►Tout le monde se fout de sa gueule et c'est un sujet qui l'énerve assez vite, mais Cam est végétarien. Par conviction, personne n'a a connaître les raisons. ► Le sport a pris une grande place dans sa vie. Moment d’échappement, une bulle permettant la déconnexion totalement avec le monde. Inutile de dire qu'il s'entraîne seul et qu'il hais au plus haut point se taper d'autres personnes qui ne cesseraient de déblatérer des conneries. ► Le rejeton ne parle quasiment pas à son père. Aujourd'hui, il est à la retraite et la communication se fait rare. Des regrets sont là mais parfois le temps ne suffit à la cicatrisation de la blessure. ► Parfois, Camille craque. C'est un sentiment détestable. Comme si tout d'un coup, tous les masques s'effaçaient, toutes les émotions sortaient en même temps pour former une nouvelle émotion tellement intense que l'homme en devient ingérable. Dans ces cas là, il boit pour oublier et laisse les étoiles cicatriser la plaie béante. ► Cam considère cette année comme l'année du changement. Il vient d'avoir trente ans, n'a pas terminé sa spécialisation, est célibataire depuis toujours et a toujours autant de mal à se mêler à des personnes qui ne laissent indifférent.

Distant au premier abord, il se dévoile quand il accorde sa confiance à quelques rares privilégiés. Il a une forte tendance à casser rapidement les personnes qu'il ne connait pas. Les animaux ont développé au fil des siècles des manières de de se protéger... La fuite était la sienne. La fuite par l'attaque. Cependant, lorsqu'il a un objectif précis à l'esprit, inutile de lui mettre des barrières car il arrive toujours à un résultat. Pareillement dans ses "relations amoureuses" où la chasse est devenue un vrai sport. Plus elles résistent, plus il adore. Jusqu'au jour où il tombe sur cette personne si spéciale. Une vibration qui se réveille, un nœud dans l'estomac, des émotions qui ne demandent qu'à sortir... En de rares occasions, des fissures se rouvrent et Camille se renferme immédiatement. Camille es un hypersensible qui le cache bien, préférant se montrer totalement apathique qu'importe l’événement qui se présente. Une manière de ne plus ressentir. D'être coupé de ses émotions. Malgré toutes les ombres de notre irakien de naissance, il peut se monter totalement autre en présence de personnes de confiances -ou lorsqu'il a beaucoup bu- : drôle, fun, enthousiaste, presque sympathique.
Protecteur anonyme, Cam ne peut s'empêcher de s'inquiéter pour les gens qui logent dans son coeur. Son côté sauveur est présent depuis longtemps et il ne peut s'empêcher d'agir pour le mieux, qu'importe les conséquences... Sa franchise légendaire fait encore trembler les murs d'Havard... Il peut être perçu comme quelqu'un de froid, presque glacial...
Alors dites-moi, aujourd'hui quel masque met-on?

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Jonathan et j'ai beaucoup plus que toi   . Je suis belge et j'ai connu le forum grâce à Jasper   . Vos impressions sur le forum J'étais déjà là il y a très très longtemps, écrire me manquait puis il y a deux personnes que je ne citerais point qui m'ont légèrement donné envie de rp, alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Luke Grimes comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par cofee time. Je fais environ 300-500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.



Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
 je ne veux pas être parrainé
 je ne veux pas participer au Summer Camp !

Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:  

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[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u9527]☆[/url] ☆ <span class="pris">LUKE GRIMES</span> ◊ “ Camille Harrington ”[/size]