Réanimation, cabane, plaide et Netflix. (Fauve)

Réanimation, cabane, plaide et Netflix.  ★ ─ w/ @Fauve Woodstock

Netflix c’est la vie, Tinder c’est…pas vraiment ce qu’il pensait. En réalité, il s’était inscrit sur un coup de tête, juste parce qu’il s’ennuyait et qu’il n’avait rien à faire d’autre. Tuer l’ennuie est devenu un mobile pour faire des bêtises et sa team est éparpillée à l’heure actuelle, sa meilleure amie est encore en voyage et lui, il est seul avec ses plaids et sa télévision. Néanmoins, il n’aurait jamais pensé inviter une fille chez lui aussi rapidement, lui proposer de partager ses plaides, sa bouffe, son canapé et sa télévision. En-même temps, la jeune demoiselle qui se prénomme Fauve – original – semblait assez…sympathique. Puis, la conversation avait été assez naturelle, plutôt amusante. Elle partait dans les mêmes délires que lui, elle avait du répondant et n’avait pas peur de dire autant de conneries que lui. C’était juste parfait. Si Fauve, selon elle, n’est pas sociale, lui l’est assez pour prendre l’initiative de la faire venir chez lui sans pour autant avoir dans l’idée de la foutre dans son lit. Ce n’est pas vraiment son style, pas vraiment, mais qui vivra verra. D’ailleurs, en parlant de connerie…Monsieur a prit soin de dégager le salon en amenant la grande table en bois noir au milieu de la pièce, des couvertures étalées autour, des coussins, des plaides et des chaises…Et lui, il est allongé sur le sol comme un mort avec écrit sur le front à l’aide d’un post-il « Je suis tombé dans les vapes à force d’attendre mon BK, c’est de ta faute, faut me réanimer maintenant…fais ça bien, c’est carrément une question de vie u de mort ! Ps : Je n’ai pas la rage. Double ps : je n’ai pas de chaussettes t’as vu ? » Si il s’écoutait, il aurait probablement ajouté un triple PS, néanmoins, il n’y avait pas assez de place sur le post-it du coup, il avait abandonné l’idée. Bon, une fois le mot collé sur son front, les pieds en évantailles il s’était allongé en évidence sur le sol et…il s’est mit à attendre. Ben oui, au final, il relève n’importe quel défi et ça elle va très vite s’en rendre compte. Heureusement, il avait opté pour une tenue décontractée. Training noir, t-shirt blanc à courtes manches, il n’était pas en tenue de ville mais davantage en tenue qui indique : je flemmarde chez moi.

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Réanimation, cabane, plaide et Netflix.  ★ ─ w/ @Hazael Moontlight

Tinder, cette application où tu te réfugies quand t'as besoin d'attention ou bien de distraction. Depuis quelques temps, tu te sens seule sans doute de ta faute parce que tu repousses tout le monde depuis que ton père à envoyé Chris pour te tabasser. C'est sûre que t'as compris la leçon pas d'attachement et pas d'affectif. Ton père te le répétait chaque fois qu'il te frappait ça rend faible. Pourtant, t'as besoin de ça parce que tu caches au fond de toi un besoin de tendresse et d'affection. Le gang se fou de toi parce que t'es en manque et en même temps t'es pas du genre à t'envoyer tout ce qui bouge. Alors, tu t'es dis allé je vais sûr tinder et on verra bien. Seulement, t'avais pas prévue de rencontré Hazael, prénom peu commun, mais t'es qui pour juger t'as vu le tien. Ce mec, il a réussi à te faire rire, il a réussi à t'emporter ailleurs que dans ta vie misérable et ouais t'as eu envie de prendre au jeu. Tu t'es laissé allé pour une fois et vous êtes parties dans vos délires. Maintenant, t'es au burger king en train d'attendre ta commande avant de débarquer chez toi. T'as ton téléphone qui sonne application tinder et le message de Hazael qui te fait marrer. Ouais les gens te matent et te trouve chelou, mais ça changera pas de d'habitude. T'entends ton numéro et tu prends le sac et t'accélère parce que t'es pas très loin de chez lui et qu'il va sans doute y rester le pauvre si tu te dépêches pas. Tu grimpes les marches deux par deux et tu finis par arriver devant. Poussant la porte qu'il t'avait dit être ouverte tu le découvres sur le sol. Ton regard sur le tas au milieu du salon et ouais ça te touche qu'on puisse avoir une attention envers toi. Ton regard sur le post-it collé sur son front et tu pouffes de rire. La rousse prends le temps de retirer ces tongs, en mode moi aussi j'ai pas de chaussettes et elle se mets à quatre patte pour être proche de son visage. Le gars est plutôt séduisant alors ça n'est pas une corvée de lui sauver la vie. Tu viens alors poser tes mains sur ses joues et tu déposes tes lèvres sur les siennes. Joli remake de blanche neige, sauf que tu joueras les princes pour cette fois et que t'as rien d'une princesse. Tu sens ses lèvres qui répondent au tienne et malgré toi t'as envie de faire durer les choses encore un peu. Tes yeux finissent par s'ouvrir quand tu reprends ton souffle et tu le regardes un léger sourire sur les lèvres : « Est-ce que tu te sens mieux ? » Peut-être qu'il pourrait dire non et que tu pourrais recommencer, mais là tu le dévisages parce que c'était bien, même carrément bien et ça te laisse sur le cul.

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Il entend la porte s’ouvrir et, directement, il ne bouge plus. Il fait le mort, du moins, pendant une seconde vu que déjà, il tente de trouver la télécommande rapidement pour mettre son épisode sur pause. Une fois fait, il balance la télécommande qui va percuter une chaise et refait le mort. Nveau discrétion, y’a quand même vachement mieux non ? Mais qui a dit qu’il était doué pour ça ? Personne, absolument et radicalement personne. Il est même carrément l’opposé de discret, on ne va pas se mentir. Bref. Le revoilà les yeux fermés, se disant qu’il aurait dû mettre sept peluches autour de lui pour se la jouer les sept nains, mais malheureusement, ce n’est pas un mec à peluches. Dommage, ça aurait bien servi. Déjà, l’odeur de la mal bouffe vient remplir ses narines et il en saliverait d’avance. Pour l’heure, il se contente de tendre l’oreille et d’entendre pouffer la demoiselle qui semble avoir pris connaissance du mot. Ne pas sourire…ne pas sourire…ne pas sourire. Il fait un effort colossal pour ne pas flancher, pour rester dans le personnage du mec inanimé. Un mouvement sur sa gauche, un léger frottement prouve qu’elle a enlevé ses sandales, du moins, elle a dit qu’elle allait en mettre. Une ou deux secondes passent avant qu’il ne sente des cheveux caresser son visage, puis deux mains se poser sur ses joues. Une fois encore, il ne fait aucuns mouvements du moins, jusqu’à ce qu’il sente des lèvres se poser sur les siennes. Il aurait dû ne pas bouger…mais tant pis, il répond sans tarder au baiser et merde, ce n’est franchement pas désagréable. Le baiser se prolonge jusqu’à ce qu’ils manquent de souffle et a sa question, il garde les yeux fermés et prends une moue réfléchie. « J’sais pas, j’ai encore l’air mort…je pense qu’il va falloir une deuxième dose pour le coup…Juste histoire d’être sûr que je revienne bien à moi… » D’accord, il abuse un peu à en redemander, mais qu’est ce qu’il peut y faire ? Il aime bien les bonnes choses, or, là, c’était vraiment très bon. D’ailleurs, il ouvre un œil. « T’as vu, le deuxième veut pas s’ouvrir, c’est à cause des déplacements des meubles ça…ça m’a épuisé, je mérite un deuxième. » Toutes les excuses sont bonnes pour s’en servir, je sais, mais…je n’attends pas vraiment sa réponse vu que, je me redresse légèrement rapidement, assez pour cette fois-ci, venir moi-même chercher ce que je veux avoir. Autant faire le deuxième pas, au moins, comme ça s’est fait non ? Néanmoins, il en profite pur glisser ses doigts dans la nuque de Fauve et prolonger le baiser une fois de plus avant de détacher leurs lèvres et retomber en arrière. « Voilà ! LA, je suis bien réveillé…Bonjours, enchanté, moi c’est Hazael sans chaussettes. »

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Franchement, y avait combien de chance pour que ça t'arrive aujourd'hui, un mec drôle, agréable et mignon qui te laisse pas de marbre. Un mec qui en plus prend plaisir à être simplement chez lui devant Netflix. Alors ouais, t'as pas envie de faire la dure comme d'habitude, toi t'as juste envie de passer un bon moment et de te laisser porter par le moment. Ce qui t'entraîne jusqu'à chez lui, une fois sur place, t'as une part de toi qui est troublé de voir qu'il a vraiment décidé de faire une cabane pour que tu découvres comment c'est. Parce que toi t'as eu une enfance horrible en soit et t'as toujours été curieuse de ces choses là. Maintenant, qu'il est là étendu sur le sol, tu le trouves craquant et tu peux deviner qu'il a très envie de sourire à te savoir là avec le burger king. L'odeur est partout dans la pièce et t'en salive d'avance, bien que toi tu penses à le réanimé avant tout. Tu vas jouer les héroïnes d'un jour et quand tu l'embrasses t'as juste pas envie que ça s'arrête en faite. Tu luttes pour y mettre un terme parce qu'à la base, tu devais juste regarder netflix sous un plaid et pas te laisser emporter par ce baiser incroyablement bien. Tu te mords la lèvre finissant par lui demander si il va bien, si le traitement a été efficace et ça te fait sourire la réponse qu'il te donne. Ouais y a pas à dire ce mec il te plaît bien. « Hm, maintenant que tu le dis tu m'as l'air tout blanc.. » Tes mains viennent se poser sur les siennes et tu fais mine d'être parcourus d'un frisson. « Et tu es si froid, il va falloir te réchauffer. » Tu as envie de rire quand tu le vois ouvrir un œil, puis l'excuse est tellement nul seulement tu sais que tu dois rester sérieuse parce que le moment est juste parfait. Sa main qui finit dans ta nuque pour presser tes lèvres contre les siennes, tu te laisses aller et tu l'approfondis, ta langue qui frôle les siennes seulement tu te retiens et tu reprends ton souffle, alors que ton esprit est ailleurs. Lui, il se laisse tomber et tu en fais de même étendue sur le sol à ses côtés tournant la tête dans sa direction et tu te pinces les lèvres. « Bonjour Hazael, Fauve pour te servir et accessoirement infirmière sans chaussette. » Un large sourire sur tes lèvres, t'as envie de rire.

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Il ne se force jamais…que ça soit avec elle, ou avec une autre personne. Hazael aime ce qu’il est, mais davantage, ne se soucie guère de ce que les autres peuvent penser. Il est riche et alors ? Il aime mélanger des aliments improbables ça fait quoi ? Il fu deux chaussettes différentes quand il ne trouve pas la paire, ça dérange ? Il s’en fou…Il n’est pas coincé, ne se prend pas la tête, mais n’est pas un Don Juan pour autant. Il est comme tout le monde, il a ses travers, ses défauts – il est même bourré de défauts – mais semble plaire. Alors oui, quand elle l’embrasse, il répond, ne se gêne pas pour le faire. Puis il balance des conneries et ce qu’il aime, c’est qu’elle joue le jeu jusqu’au bout. Il fait mine de gémir quand elle dit qu’il est blanc « J’étais rouge avant…la fin est proche ! » Seigneur, autant de conneries dans une seule personne, c’est presque désolant. Quand elle lui prend la main, lui disant qu’il est froid, il balance. « Pour ça que les plaides sont là, mais je suis sûr que ça manque de chaleur humaine, ça va finir par m’achever ! » Et enfin, il ouvre un œil et revient l’embrasser, ne bronche pas quand leurs langues se frôlent, que du contraire, il apprécie délicieusement ce contact qu’il ne trouve pas dérangeant. Un baiser trop court à son gout, même si au final, c’est lui qui y met fin. Elle se laisse aller à ses côtés et il rit doucement à ses mots. « La femme parfaite quoi. T’apporte la bouffe, tu réanime et le plus important, tu ne portes pas de chaussettes ! Mais où étais-tu passés toutes ces années dis-moi ! » Dit-il en prenant un air un peu sérieux en venant planter son regard dans le sien, du moins, jusqu’à ce que l’odeur de la nourriture revienne le faire saliver. « D’ailleurs, en parlant de King, je pense que y’a l’odeur de la bouffe qui nous appel… » Il lui offre un petit clin d’œil avant de se relever, bien qu’il stoppe brusquement son geste. « NON ! On va faire les choses bien…la cabane et puis on mange dans la cabane…sinon ce n’est pas drôle. Allez debout belle rousse, tu vas faire ta première cabane ! » Qu’il sourit avec enthousiasme en lui attrapant les bras pour l’obliger à se lever. « C’est simple, faut commencer pas disperser les coussins sous la table…puis, on la recouvre des couvertures…les plaides sont pour en dessus… » Ouai, il a déjà pensé à tout, la preuve, le voilà en train de s’activer tout en balançant un coussin sur Fauve en riant. « Je m’occupe du dessus, tu passes en dessous… » Putain le jeu de mot foireux !

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Tu le sais, sans doute que si il savait qui t'es vraiment, il te verrait différemment. Peut-être que si il savait que tu es loin d'être un ange, tout serait différent, mais quel importance. Chez lui, ça peut être une bulle, un univers différent du tiens où pour une fois tu pourrais te comporter de façon normal. Où tu aurais le droit de rire, de t'amuser et de te sentir proche d'une autre personne. Hazael te fait rire, il te donne l'impression d'être comme les autres et ça il ne sait pas combien ça peut compter pour toi. Tu te passes la main dans les cheveux pour retrouver le contrôle de tes émotions une fois que tu es allongée sur le sol. Tu le regardes, plantant ton regard dans le sien. Du coup, quand il te compare à la femme parfaite, toi tu sais que c'est pas vrai, t'as trop merdé, fait des trucs pas net pour que ce soit le cas. T'as tellement pas envie de le décevoir pourtant alors tu souris tendrement. « J'étais cachée, il fallait simplement que tu me trouves. » C'est vrai que tu lui avais toi-même fait cette remarque tout à l'heure, parce que vous aviez beaucoup en commun et ça accrochait bien. Naturellement, le feeling passait et pas que en vue de ces deux baisers échangés. Il se lève attiré par l'odeur de la nourriture tout en t'informant que tu devras attendre encore avant de manger. Ton regard sur la cabane et tu souris telle une enfant toute excitée. Tu viens attraper des oreillers pour obéir aux instructions tandis qu'un coussin t'arrive en pleine face. Tu le regardes avec malice et tu viens en faire de même. « Attention à toi, je vais te bondir dessus tu vas voir. » Tu commences à mettre les oreillers correctement en place et tu te concentres tu fais ça bien quand tu l'entends, sa phrase douteuse te fait rire et tu lèves les yeux vers lui. « Et je te laisse prendre les commandes en mode étoile de mer ? » Tu luttes pour rester sérieuse alors que tu te baisses pour vous préparer un nid douillet sous la table. La cabane commence à prendre forme et toi tu adores.

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Sincèrement, il n’avait pas prévu que ça tourne ainsi en l’invitant chez lui. De base, il avait des pensées tout à fait innocentes, n’étant pas du genre à entraîner des femmes chez lui pour coucher avec et basta. Ce n’est pas son style, non, il avait vraiment pensé faire une cabane, lui faire passer un bon moment et voilà. Mais oui, l’embrasser c’était carrément une option qu’il acceptait avec plaisir, davantage en sachant qu’elle embrasse vachement bien et que ce n’est pas négligeable. Quand elle lui annonce qu’elle était cachée et qu’elle attendait juste qu’il le trouve, il se surprend à sourire avec une certaine tendresse avant de dire « Trouvé… ». C’est rare, mas ça existe, deux personnes chez qui le feeling passe naturellement bien, rapidement, sans contrefaçons. C’est quelque chose qu’il a rarement expérimenté, parce que chaque personne est différente, mais la preuve, ça existe. Parce que là, les choses sont évidentes, ça smatche bien et c’est vraiment agréable. Mais avant toutes choses, Hazael veut tenir ses promesses, ne pas faire les choses dans le désordre et donc, l’incite à se lever pour se mettre au boulot. Il attrape le coussin au vol en prenant un air outré, bien qu’un petit sourire en coin prenne place sur ses lèvres. « Mh…je ne suis pas sûr que ça serait pour me déplaire tu sais. » Il ne peut s’empêcher de rire un peu tout en commençant à placer les couvertures sur la table, coinçant celles-ci avec des bouquins de médecine vétérinaire, des dictionnaires et des objets lourds pour ne pas qu’elles tombent dès qu’il y aurait un mouvement quelconque. Aux paroles de la jolie rousse, il secoue la tête d’une façon virulente. « Non merci ! Je préfère les femmes qui savent s’imposer. A quoi bon avoir une étoile de mer sérieux ? Les femmes sont aussi douées que les hommes pour être aux commandes…parfois même plus douées si tu veux mon avis ! » Il était totalement sincère, étant en soit, un grand défendeur des droits des femmes et de l’égalité des sexes. Il n’est donc pas macho, même si il aime quand même protéger les gens qui l’entourent. Une fois les couvertures bien placées, il glisse sous la table, le sachet de Burger King dans les mains pour voir le travail de Fauve. « Et bien, t’es douée pour les cabanes toi ! Un vrai petit nid douillet…ça mérite bien une récompense… » Dit-il en secouant la nourriture sous le nez de la belle, ayant en même temps ramené son ordinateur ouvert sur la page netflix. « C'est ça ou un bisou, bien que les deux sois également négociable. »

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Cette rencontre, elle est sortie de nul part, tu cherchais de la compagnie et il est apparut. Tu te laissais une opportunité de ne pas faire fuir le prochain qui oserait liké ton profil et il sortait du lot. Faut croire que ça devait se produire votre rencontre. Toi, tu sais pas trop dans quoi tu te lances à te retrouver sous le charme, mais t'as juste pas envie que ça s'arrête pour l'instant parce que t'es trop faible. Le bien-être qu'il te fait ressentir n'a pas de prix à cette instant. Quand, il te regarde avec ce regard tendre ça te fait fondre toi et tu te pinces les lèvres comme une adolescente. Ton père t'aurais sans doute giflé en te voyant faire ça, mais il était pas là puis t'avais le droit à une bulle de joie dans ta vie. Puis alors que tu es motivée à faire la cabane, une complicité s'installe, vous vous cherchez tous les deux alors que tu le menaces de l'attaquer et tu vois son sourire qui veut tout dire. Évidemment, qu'il aimerait ça et toi aussi comme si toute excuse serait bonne pour vous retrouver à nouveau l'un contre l'autre. « Me dit pas ça, tu sais que je le ferais. » Parce que toi tu es joueuse et en plus tu as découvert le plaisir d'être prêt de lui, de sentir ses lèvres contre les tiennes. Difficile de ne pas y penser d'ailleurs alors tu te focalises sur la cabane parce que t'as faim aussi et que les frites froides c'est pas ouf. Tu l'écoutes t'expliquer comment il apprécie un rapport avec une femme et tu te mords la lèvre parce que c'est ce que tu penses toi aussi. « Voilà qui est bien parlé, ton compteur de poing est plutôt en hausse. » Finalement, la cabane prends forme et elle a la classe pour une première tu t'en ais bien sorti. Tu te mets dedans et tu vois Hazael arrivé avec le sachet de bk et toi tu louches dessus. Seulement, il te regarde et te propose un baiser comme récompense pour le travail que tu as fais. « Qui a dit qu'il y avait négociation ? » Que tu lâches avant de venir l'embrasser pour la troisième fois. Bon sang, ça deviendrait addictif ce genre de chose. Ouais toute excuse est bonne pour le sentir à nouveau proche de toi. Tu le dévisages en souriant et attrape le sachet. « Voilà de parfaite négociation vois-tu. Bon appétit. »

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Oui, il sait qu’elle le fera, parce qu’elle semble aussi joueuse que lui. Lui aussi est capable de faire n’importe quoi, c’est un joueur dans l’âme, il aime les défis complétement loufoques ou déplacés. C’est probablement pour ça qu’il partage ses conneries avec sa team, bien que durant les vacances, ils soient tous éparpillés ici et là. D’ailleurs, ça lui manque de pas être entouré de Harry, Cece, Elliot, Ciara et Ian…Une fois qu’ils sont réunis ils deviennent une bande de tarés et il se surprend à se dire que Fauve pourrait bien être aussi cinglée qu’eux l’air de rien. Mais ça, ça lui plait vraiment, son côté joueur, son répondant, mais aussi cette petite étincelle qu’elle a dans le regard. « Mais je n’attends que ça…attends juste qu’on aille mangés, les frites froides ça crains et ça ne se réchauffe pas au four à microonde…et ouai, la bouffe c’est sacré. » Qu’il annonce dans un air totalement solennel… Il ne joue pas avec un BK, absolument pas ! D’ailleurs, si il pouvait se nourrir que de ça, il le ferait sans se poser de questions. « J’ai un compteur de points ? J’en suis à combien ? Je suis plus haut que le précédent j’espère, sinon je vais devoir redoubler d’efforts… » Dit-il d’un air sérieux et souriant à la fois, tout en s’appliquant à construire la cabane avec la jeune femme. D’ailleurs, une fois finie, il attrape son ordinateur et la nourriture. Déposant l’ordinateur sur les coussins, il agite la bouffe sous le nez de Fauve en annonçant qu’elle pouvait manger un bout ou l’embrasser…sauf que la négociation ne se passe pas comme prévue vu que, à peine les paroles ont-elles fusées, qu’elle vient l’embrasser de nouveau. Il répond directement, un sourire amusé sur les lèvres. Ça devient un peu trop répétitifs, agréables, c’est pas…il n’en sait rien, mais il a pas vraiment envie d’arrêter. Du moins, jusqu’à ce qu’elle lui arrache le paquet des mains et qu’il lâche un couinement. « ET ! T’es suicidaire toi de m’arracher ma bouffe des mains ! » Et sans prévenir, il saute dessus pour la bloquer contre les coussins et lui reprendre le sachet comme si ça vie en dépendait. « Je suis pour l’égalité des femmes, mais c’est bien connu, ne jamais, au grand jamais, laisser la bouffe aux femmes sous peine de rien avoir pour sois… » Qu’il rit en déposant un baiser sur le bout de son nez avant de se redresser et ouvrir le sachet pour disperser la bouffe autour d’eux.

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Toi, tu sais ce que sait de voir sa bande dispersé un peu partout parce que c'est ce qui se passe en ce moment. Le gang à beau avoir une quinzaine de personnes, et bien il faut croire qu'ils ont tous déserté Boston en ce moment et ouais il te manque. Tu peux pas vivre sans eux, c'est ta famille et là et bien sans le savoir Hazael te permet de passer un bon moment. Au moins quelques heures, tu ne seras plus seule et en plus tu découvres une personne avec qui tu t'entends bien et y a une complicité naturelle. Forcément, tu le vois qui sourit parce qu'en joueur que vous êtes, vous vous pousser l'un l'autre constamment. Partageant les mêmes délires, tout semblait simple, à croire qu'ils ne venaient pas de faire connaissance tout les deux. « Je retiens parce que j'ai super faim et le burger king ça passera toujours en premier pour moi, mais attends qu'on est fini. » Tu passes un agréablement moment jusqu'ici du coup, tu t'es prise au jeu de la cabane jusqu'à ce que tu mentionnes les points qu'il aurait gagné depuis votre discussion. Evidemment que ça l'intéresse le brun. « Pour tout te dire, y a personne avant toi. Personne à part mes amis ne m'a vu tel que tu me vois maintenant. » Tu baisses le regard quelques instants, parce que lui il est chanceux comme tu lui a dis plus tôt. Tu déconnais pas tu lui as vraiment laissé une opportunité de te découvrir et de te laisser séduire. Il a parfaitement joué son coup puisque tu revenais prendre possession de ses lèvres en guise de récompense. Tu passes ta main pour récupérer le sac. Visiblement affamé, tu te retrouves contre les coussins son corps au dessus du tien et tu souris en lâchant le sachet. « Vraiment c'est ce qu'on dit ? Je pense surtout qu'il faut laissé la bouffe au mec sous peine de se faire écraser sauvagement. » Tu ris avant de te redresser pour manger parce que ouais depuis le temps faut le manger ce burger king. « Tu voulais qu'on regarde quoi ? » Que tu demandes ne sachant pas qu'elle était le programme netflix qu'il avait prévue.

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