Accueil
Ottis Heimann
est en ligne
PFORZHEIMER HOUSE › prestige redefined
Fiche de présentation : 
Répertoire rps : 
Fiche de liens : 
Profil meetsachussets : 
Répertoire rps : Fiche de liens : Profil meetsachussets : 
Nellah "Nell" Davies
FT. Emilia Clarke
carte d'identité
maison ou pas.. pour l'instant.
Sans hésiter, je penche plus pour la Pforzheimer House. Je ne me vois que là-dedans et je pense que je peux bien m'y sentir comme un poisson dans l'eau. Depuis toute petite, ma famille a toujours décrété que je serai une personne de grande importance avec de l'ambition qui arrivera à faire de grandes choses. Et c'est bien ce que j'espère. Je suis populaire, souvent entourée d'élites.
admission à harvard
Harvard, et bien disons que c'était un rêve, ou plutôt le rêve de mes parents. Tous deux se sont rencontrés à Harvard, ont eu leur histoire d'amour là-bas et j'ai même été conçue dans une chambre de la Eliot House svp ! Dommage qu'elle n'existe plus, j'en aurais été honorée de voir tout ça. Enfin soit, c'est pas le sujet. Mon admission à Harvard a été stressante, très stressante. J'avais le poids de mes parents plus le mien, je ne pouvais pas les décevoir. J'ai toujours été une fille brillante et débrouillarde et toujours autant fascinée par la sociologie. J'ai passé mes SATs sans trop de difficulté et l'entretien avec le doyen de l'époque s'est bien déroulé. J'étais confiante, sûre de moi, et lorsque je suis comme ça, je peux ravager des maisons et tout péter.
les anecdotes
~ Je suis née à San Francisco et j'y ai vécu pratiquement toute ma vie avant mon arrivée à Boston. Cette ville me tient à coeur et j'y retourne souvent pour voir ma famille et mes amis d'enfance
~ fille unique, fille chouchoutée et trop maternée, je dépends beaucoup de mes parents. Comme je n'ai pas eu de frères et soeurs, j'ai eu toute l'attention qu'un enfant pouvait avoir. Je ne prends jamais une décision sans avoir l'avis de mes géniteurs, ils sont de précieux conseillers pour moi
~ à l'école, j'étais la petite fille parfaite, la première de classe, la chouchoute des professeurs et l'élève que les autres ne voulaient pas approcher, sauf pour me demander des infos sur les cours.
~ je pensais avoir des amis mais c'est en secondaire que j'ai eu de l'harcèlement moral et physique à l'école. On me trouvait trop bizarre, un peu fofolle, une maturité décalée, je me croyais dans le pays des merveilles à sauter sur des licornes
~ à force de recevoir de la violence mentale, je me suis finalement enfermée dans la nourriture. c'était mon seul confort. quand je mangeais, je me sentais bien, quelques secondes... puis je me sentais mal. j'ai fini par attraper des troubles de l'alimentation. je suis devenue boulimique
~ en pleine adolescence, quand ton corps change et qu'en plus tu deviens grosse, forcément, les moqueries ne font que s’amplifier. Lorsqu'on m'approchait pour m'aborder, j'étais toujours sur la défensive en me mettant en tête que personne ne voulait être amie avec moi. mes parents ont été très présents pendant cette période où j'ai bien failli mettre fin à mes jours
~ lors de ma dernière année, en terminale, j'ai rencontré un garçon qui a radicalement changé ma vision de me voir. c'était un petit nouveau, sans amis, sans personne, lui aussi avec une différence car il avait la morphologie d'un corps de fille et qu'en plus, il était secrètement attiré par les garçons. on s'est lié d'amitié, il a été ma force, il m'a convaincue que j'étais belle et que si je voulais changer, je le pouvais
~ les vacances avant de rentrer à harvard, j'ai perdu du poids, beaucoup de poids. j'ai mangé sainement, je me suis mise à courir avec lui tous les matins et je me sentais beaucoup plus épanouie
~ un an plus tard, lors de mes vingt ans, j'étais métamorphosée. j'ai commencé à attirer le regard des garçons, chose dont je n'avais pas l'habitude et j'ai compris que je voulais plaire
~ mon caractère s'est forgé, je suis devenue plus sûre de moi, avec de l'assurance et les mois qui passèrent, j'étais devenue populaire, désirée, je me trouvais un nouveau super pouvoir : séduire
~ j'en ai profité, c'est comme si toute ma souffrance du passé, je la refourguais aux hommes que je fréquentais. je les torturais, en douceur évidemment. je n'en faisais qu'à ma tête, jouant avec eux comme bon me semble.
~ des exs, j'en ai eu, mais rien de sérieux pour ma part. l'amour n'est jamais venu frapper à ma porte. en même temps, compliqué d'aimer quand on ne reçoit que l'amour de ses parents en retour
~ aujourd'hui, je suis une femme pleine d'assurance même si les plaies du passé ne sont pas totalement refermées. peu de personnes sont au courant de la souffrance que j'ai endurée par les autres durant mes années scolaires
~ je voulais au départ étudier la psychologie mais on dit souvent que ceux qui veulent faire ces études c'est parce qu'ils ont eux-mêmes un problème psychologique. j'avais peur que ça me touche de trop. alors j'ai choisi la sociologie. les comportements humains et la société, ça me fascine. les effets de foule, les étiquettes que l'on donne à une population, ect.
~ j'essaye de prendre la vie du bon côté. je ne suis pas quelqu'un de très optimiste, je vois le mal partout mais je décide quand même de croquer la vie à pleines dents avec un peu de folie par-ci, par-là.
~ fille unique, fille chouchoutée et trop maternée, je dépends beaucoup de mes parents. Comme je n'ai pas eu de frères et soeurs, j'ai eu toute l'attention qu'un enfant pouvait avoir. Je ne prends jamais une décision sans avoir l'avis de mes géniteurs, ils sont de précieux conseillers pour moi
~ à l'école, j'étais la petite fille parfaite, la première de classe, la chouchoute des professeurs et l'élève que les autres ne voulaient pas approcher, sauf pour me demander des infos sur les cours.
~ je pensais avoir des amis mais c'est en secondaire que j'ai eu de l'harcèlement moral et physique à l'école. On me trouvait trop bizarre, un peu fofolle, une maturité décalée, je me croyais dans le pays des merveilles à sauter sur des licornes
~ à force de recevoir de la violence mentale, je me suis finalement enfermée dans la nourriture. c'était mon seul confort. quand je mangeais, je me sentais bien, quelques secondes... puis je me sentais mal. j'ai fini par attraper des troubles de l'alimentation. je suis devenue boulimique
~ en pleine adolescence, quand ton corps change et qu'en plus tu deviens grosse, forcément, les moqueries ne font que s’amplifier. Lorsqu'on m'approchait pour m'aborder, j'étais toujours sur la défensive en me mettant en tête que personne ne voulait être amie avec moi. mes parents ont été très présents pendant cette période où j'ai bien failli mettre fin à mes jours
~ lors de ma dernière année, en terminale, j'ai rencontré un garçon qui a radicalement changé ma vision de me voir. c'était un petit nouveau, sans amis, sans personne, lui aussi avec une différence car il avait la morphologie d'un corps de fille et qu'en plus, il était secrètement attiré par les garçons. on s'est lié d'amitié, il a été ma force, il m'a convaincue que j'étais belle et que si je voulais changer, je le pouvais
~ les vacances avant de rentrer à harvard, j'ai perdu du poids, beaucoup de poids. j'ai mangé sainement, je me suis mise à courir avec lui tous les matins et je me sentais beaucoup plus épanouie
~ un an plus tard, lors de mes vingt ans, j'étais métamorphosée. j'ai commencé à attirer le regard des garçons, chose dont je n'avais pas l'habitude et j'ai compris que je voulais plaire
~ mon caractère s'est forgé, je suis devenue plus sûre de moi, avec de l'assurance et les mois qui passèrent, j'étais devenue populaire, désirée, je me trouvais un nouveau super pouvoir : séduire
~ j'en ai profité, c'est comme si toute ma souffrance du passé, je la refourguais aux hommes que je fréquentais. je les torturais, en douceur évidemment. je n'en faisais qu'à ma tête, jouant avec eux comme bon me semble.
~ des exs, j'en ai eu, mais rien de sérieux pour ma part. l'amour n'est jamais venu frapper à ma porte. en même temps, compliqué d'aimer quand on ne reçoit que l'amour de ses parents en retour
~ aujourd'hui, je suis une femme pleine d'assurance même si les plaies du passé ne sont pas totalement refermées. peu de personnes sont au courant de la souffrance que j'ai endurée par les autres durant mes années scolaires
~ je voulais au départ étudier la psychologie mais on dit souvent que ceux qui veulent faire ces études c'est parce qu'ils ont eux-mêmes un problème psychologique. j'avais peur que ça me touche de trop. alors j'ai choisi la sociologie. les comportements humains et la société, ça me fascine. les effets de foule, les étiquettes que l'on donne à une population, ect.
~ j'essaye de prendre la vie du bon côté. je ne suis pas quelqu'un de très optimiste, je vois le mal partout mais je décide quand même de croquer la vie à pleines dents avec un peu de folie par-ci, par-là.
le caractère
autoritaire + boudeuse + marrante + grain de folie + immature + bosseuse + brillante + rêveuse + solidaire + nerveuse + maladroite + autodidacte + dragueuse + mystérieuse
derrière l'écran
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle leftovers ou zozo 
et j'ai 24 ans 
. Je suis belge et j'ai connu le forum grâce à moi-même 
. Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de Laszlo Griggs + Jill Oberyn + Quito Lannister. J'utilise Emilia Clarke la queen 
comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par lunaeye. Je fais environ 350 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé. Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
je veux participer au Summer Camp ! (voir les explications, pas besoin de poster pour s'inscrire)
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
- Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u1156]☆[/url] ☆ <span class="pris"> EMILIA CLARKE</span> ◊ “ Nell Davies ”[/size]
- Code:
[size=10][url=lienversvotreprofil]☆[/url] [url=URL DU SCÉNARIO ICI]☆[/url] <span class="pris">AVATAR</span> • “ Pseudo ”[/size]
(Ottis Heimann)
✧. ❛ love on top. i know nothing's perfect but it's worth it after fighting through my tears and finally you put me first. it's you .
