RAFA JANUÁRIO ► lucas bernardini

RAFA JANUÁRIO

FT. LUCAS BERNARDINI

carte d'identité

JE SUIS NE(E) LE 13/03/94 À los angeles J'AI ACTUELLEMENT vingt cinq ans ET JE SUIS DE NATIONALITÉ américaine mais avant tout d'origine brésilienne JE SUIS ATTIRÉ PAR les femmes, toutes. et particulièrement celles qui sont trop bien pour moi ACTUELLEMENT JE SUIS célibataire. j'étais ailleurs quelques temps faut dire. JE SUIS ÉTUDIANT EN physique appliquée (doctorat) et sciences environnemental (maîtrise) ET POUR ENTRER À HARVARD J'AI EU une bourse. NIVEAU SOCIAL JE SUIS pauvre. mais élevé parmi la crème de la crème. MAIS TRANQUILLE JE GÈRE des petits bails qui te regardent pas.

maison ou pas... pour l'instant.

t'es pas un petit nouveau à Harvard. t'as passé ton bac ici et t'es parti il y a un peu plus de deux ans pour un "échange" scolaire au Brésil. t'as eu ta maîtrise de physique appliquée les doigts dans le nez et te revoilà à nouveau. deux ans plus tard et tu découvres que tout a changé. les gens ont changés. les maisons aussi et tu sens que cette rentrée va être fort intéressante.

admission à harvard

grandir dans cette famille, parmis cette fratrie t'as pas forcément donné un ticket d'entrée pour Harvard. tu détestes les traitements de faveur. tu préfères crever plutôt que de devoir quelque chose à quelqu'un. surtout dans ce milieu là. tu t'es crevé le cul pour avoir une bourse. sous tes airs de connard suffisant et ennuyé, t'étais juste une tête en physique. et t'étais pas mauvais sur les terrains. les notes et le sport. voilà ce qui a payé ton ticket d'entrée. ta sueur. toi. tout seul. comme un grand. tu t'es donné les moyens d'y rentrer et même si t'es pas forcément le plus réglo des étudiants, que t'es pas sûr de la valeur réelle d'un diplôme, tu sais que t'as besoin de ceux là pour la suite. pour espérer un nouveau cycle. et au final, t'aimes plutôt ça être un étudiant. pour le moment.

le caractère

au delà du physique, duquel tu joues beaucoup il faut l'avouer, t'es loin d'être con. tu te fais passer pour quand ça t'arranges mais t'es pas juste un petit con imbu de sa personne. t'es ce mec qui sait pas fermer sa gueule quand quelque chose le dérange, ce mec qui est toujours fourré dans des histoires sombres et qui s'en sort toujours. rebelle, chanceux et intelligent. c'est les trois mots qui pourraient te définir réellement, si tu laissais les gens te percer à jour. si t'arrêtais certaines de tes conneries avant qu'elle tourne mal. engagé, avec des valeurs et toujours à prendre les devants. casse couille, c'est vrai mais juste un gamin sans (re)pères au final. coeur d'artichaud aussi. t'aimes un peu trop les filles. toutes les filles. surtout celles qui sont trop bien pour toi et que tu brises sans le faire exprès. t'es pas prêt pour te donner réellement à quelqu'un. te mettre à nu et ça te perdra toujours rafa.

derrière l'écran

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Dory ou XVII.X.VI et j'ai 27 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à son ouverture, il y a déjà bien trop longtemps :rio:. J'suis du genre chiante et indécise alors j'étais déjà présent sur le forum sous les traits de LRW. J'utilise Lucas Bernardini comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Cheyenne pour l'avatar et Solsken pour la jolie image sur le côté. Je fais environ 250/1000 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:

Code:: [size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u9392]☆[/url] ☆ <span class="pris">LUCAS BERNARDINI</span> ◊ “ Rafa Januário ”[/size]

(Invité)

tuer le père

1. ne jamais trop espérer.
2. ne pas trop y croire.
3. et surtout, ne pas rêver.

j'ai jamais su suivre mes propre règles.

je me suis mis à espérer. puis, j'ai fini par y croire. ~~j'ai même prié.~~ pour finir par toucher mon rêve du bout des doigts. j'l'ai juste frôlé aux débuts, en fermant les yeux. j'avais peur qu'elle s'en aille, avant que j'ai finis de faire le tour de la question. j'osais pas y croire, me faire trop d’espérances. j'étais qu'un gamin. qu'un gamin égoïste et agaçant. têtu, trop intelligent et un putain de rebelle. qui ne rêvait que de tuer son père. dans tout ses rêves et ses cauchemars. dans le plus littéral des termes qui puissent exister.

le rayer de cette existence.

inhaler, exhaler, respirer.
inhaler, exhaler. respirer.
inhaler. exhaler. respirer.

✗✗✗

► t'es né à los angeles. et t'as jamais su qui était ton père avant de longues années. c'était juste toi et ta mère. toi et ta mère au milieu des vautours. c'était la gouvernante/femme de ménage d'une grande famille américaine, avec laquelle t'as vécu les plus longues années de ta vie et les personnes que tu détestes le plus au monde. après ton père. ce vilain secret de famille. cet homme à qui tu ne veux jamais ressembler. ce violeur en liberté. heureusement ta mère n'est plus à son contact depuis que tu le sais et que tu t'occupes d'elle aujourd'hui. estimant qu'elle assez donné pour toi durant toute ces années de calvaire. et toi tu vis avec tes envies de meurtre et de voir disparaître la seule personne que tu as jamais cessé de chercher.

► tu as passé ta vie scolaire à te faire passer pour un cancre. le petit couillon de service. celui qui récoltait plus d'heures de colles pour bastons que de A. mais t'étais loin d'être un con et ils le savaient tous autour de toi. tu voulais juste leur fais payer le fait que t'avais pas ta place au milieu de tout ça. dans ces écoles de bourges. ta mère payait pour une école que tu ne supportais pas et tu ne savais pas t'exprimer autrement qu'en étant violent. jusqu'au lycée.

► le lycée a été un vrai changement pour toi. à cause de certains profs qui ne voulait pas te lâcher et d'elle. elle savait que t'étais pas qu'un looser, elle croyait en toi et toi aussi, tu t'y mettais doucement. tu pensais plus à essayer de t'extraire de ce genre de système. tu décidais alors de t'en servir. pour t'en sortir. pour prouver aussi à ta mère et elle, que t'étais pas juste que ce petit connard imbu de sa personne, qui traînait avec les mauvaises personnes et qui voulait pas rentrer dans des cases. mais t'as jamais pu réellement cacher qui tu étais, te battre contre cette nature destructive.

► tu l'as perdu la dernière année. elle ne supportait plus tes sorties sans fins, tes secrets et tes histoires qui ne tiennent pas debout. elle a fini par te laisser et s'envoler à la poursuite de ses rêves. loin de toi. mais tu ne l'as jamais oublié. elle fera toujours partie de toi. où qu'elle soit. même si tu tais son nom, tu l'oublies pas.

► à force de courir après ton père, t'imaginer tout et n'importe quoi. t'as finis par savoir qui il était et t'es descendu de ton nuage. les rêves et fantasmes que tu t'étais fais autour de ce père, cet homme qui n'existait pas, ce sont brisés au moment où t'as su qu'il avait toujours été là toute ta vie. et qu'il n'avait engendré que le mal autour de lui. que tu n'étais au final que le fruit d'un viol. ça t'as rendu tellement ouf qu'il a failli en mourir. t'aurai pu le crever. vraiment. mais t'as finis par retrouver la raison et sauver la seule personne qui compte réellement pour toi : ta mère.

► c'était juste avant ton départ d'harvard. il y a maintenant plus de deux ans. presque trois. et c'était donc l'occasion pour toi de renouer avec les terres de naissance de ta mère, pour elle de retrouver les siens. trois années passées à reconstituer un passé que tu ne connaissais pas, à découvrir tout ces gens que tu ne connaissais pas. et à continuer de faire n'importe quoi à côté de tes études. peut être que le retour aux usa calmera les choses de ce côté. t'en doutes. mais tu te dis que ta mère va finir par découvrir ce que tu caches et qu'il est temps de prendre ta retraite de ce côté là, avant que ça t'éclates au visage et que tu ne sois plus crédible pour la suite.

(Invité)