Baxter L. Wayland ► Jesse Williams

C'est le 19 novembre 1984 à New York, que les membres de la famille Wayland m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Baxter Lovell. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale moyenne. Sinon, dans la vie de tous les jours je travaille en tant que professeur d'éducation sportive depuis moins d'un ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les les citizens.

Je suis né et j'ai vécu jusqu'à mes 18 ans à New York. Je suis ensuite parti à Cambridge et je n'ai plus jamais remis les pieds à New York, principalement à cause de mon père. ▲ Je viens d'une famille aux revenus moyens. Je n'ai jamais vraiment eu de relation avec mon père, il est un alcoolique violent et vulgaire, il travaille depuis son plus jeune âge comme maçon. Ma mère elle, est celle avec qui je m'entends le mieux. Malgré la distance nous gardons contact et elle passe quelques semaines de temps en temps chez moi, elle travaille comme femme de ménage. Et enfin, j'ai un jeune frère qui suit les traces de mon père, malheureusement. ▲ Je suis à Harvard depuis mes 18 ans, j'ai fait des études de sports et d'éducation scolaire. Aujourd'hui après neuf années d'études et un doctorat en poche, je suis devenu professeur d'éducation sportive à Harvard. ▲ Lors de mon arrivée à Harvard, j'étais bien différent de l'homme que je suis aujourd'hui. La première confrérie que j'ai rejoint n'était nulle autre que la Mather House, mais après seulement quelques mois, j'étais à deux doigts de me faire renvoyer de l'université. On m'a donné une seconde chance et j'ai décidé de rejoindre la Quincy House, depuis ce jour je ne regrette pas mon choix. ▲ Je suis proche de mes élèves, un bon nombre d'entre eux sont des élèves que j'ai fréquentés durant ma scolarité, d'anciens amis entre autres. ▲ Je suis un grand romantique, je n'ai jamais vraiment eu de relation durable dans ma vie mais j'ai toujours été fidèle. ▲ Je suis le premier à aider les élèves dans le besoin, quelque soit sa confrérie. Quand un élève a besoin de moi je suis toujours présent et cela, avec grand plaisir. ▲ Même si j'ai été durant quelques mois un ancien Mather, je n'ai jamais touché à la drogue. D'ailleurs au fond de moi je n'ai jamais vraiment été un mather. Je ne suis pas un grand fêtard, même si j'aime être en compagnie de mes amis. Je bois quelques verres avec modérations et je fume que très peu. Si j'ai rejoint la mather house quand j'étais jeune, c'est uniquement parce que j'étais perdu. Maintenant je suis devenu quelqu'un de bien, de respectable et de sympa, grâce à Harvard. ▲ Je n'ai aucune préférence pour les confréries, cependant j'adore la Quincy House. J'ai été membres de Quincy pendant presque 9 ans. Encore aujourd'hui en tant que professeur je participe aux sorties humanitaires des Quincy, c'est quelque chose qui me tient énormément à cœur. ▲ Je suis une personne très sociable qui a la joie de vivre.

▲ Mon petit frère enchaîne conneries sur conneries depuis qu'il a rejoint Harvard. Je veux l'aider, mais à chaque fois que je le vois, il me reproche de l'avoir laissé tomber en partant de New York, sans jamais y remettre les pieds.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Daff et j'ai 19 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à top-site. J'aime beaucoup ce forum et les membres étaient tellement sympa lorsque j'ai eu besoin d'aide alors j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, je m'en sors bien. J'utilise Jesse Williams comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par tumblr dédié à Jesse Williams. Je fais environ 300 à 700 même si c'est variable mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ Je vous aime déjà. <3

J'ai grandi dans une famille qui ne roulait pas sur l'or, mais qui n'était pas pour autant tous les mois dans le rouge. Nous vivions dans un petit quartier de New York, pour tout vous dire ce n'était pas réellement un quartier fréquentable. Cependant lors de mes dix-huit je suis parti pour Havard et depuis ce jour je n'ai pas remis les pieds à New York. Je ne me suis jamais vraiment bien entendu avec mon père et mon petit frère, moi je voulais seulement vivre tranquillement et aller en cours comme tout le monde. Mais il voulait faire de moi un petit con, il voulait faire de moi ce qu'il est devenu. Un homme que personne ne respecte. Je m'entendais uniquement avec ma mère. J'ai donc passé toute mon adolescence à New York, j'étais un élève plutôt bon mais à cause de mon père et ses fréquentations j'ai vite dérapé. J'ai enchaîné les conneries et je me suis fait renvoyer de plusieurs collèges et lycées. Ma vie a changé du jour au lendemain, le jour où j'ai décidé de quitter cette ville et ma famille par la même occasion. Je n'ai dit au revoir à personne, personne sauf ma mère, la seule qui voulait faire de moi quelqu'un de bien et de respectable, tout le contraire de mon père. C'était donc décidé, je partais pour de bon de New York à seulement dix-huit pour rejoindre Harvard.

Me voilà donc à Harvard, ce jour-là je ne savais pas que ces lieux vont faire de moi quelqu'un d'autre. Ma première année n'était pas la meilleure que j'ai pu avoir. J'ai rapidement rejoint les Mathers, pourtant je n'avais pas grand-chose à voir avec eux. Je ne prenais aucune drogue, j'étais perdu avec moi-même. Un vrai petit con, je n'avais de respect pour personne. Au milieu de l'année j'ai fait quelque chose de grave, j'ai frappé l'un des surveillants. C'était la goutte d'eau qui a fait déborder le vase. Le doyen voulait me renvoyer d'Harvard, moi je ne voulais pas retourner chez moi. Je ne voulais pas retourner chez ce père qui a fait de moi le petit con que j'étais à ce moment-là. C'est alors qu'un homme est venu, l'homme qui a changé ma vie et qui m'a remis dans le droit chemin. L'ancien professeur de sport de l'époque, il était le professeur principal de la Quincy House. Il a plaidé pour moi, il voulait me donner à tout prix une seconde chance. J'ai obtenu cette seconde chance. C'est alors qu'il m'a demandé une seule et unique chose pour le remercier. Que je quitte la Mather House pour rejoindre sa confrérie, la Quincy House. Il voyait en moi ce que personne d'autre n'avait vu auparavant. Quelqu'un de bien, quelqu'un qui voulait aider et qui aime les gens, ce que j'étais vraiment. J'ai donc rejoins la Quincy House, le meilleur choix que j'ai pu fais de ma courte vie. Le Baxter de la Mather House n'était plus là, mais celui qui voulait rendre fier sa mère était belle et bien revenu. J'ai passé presque neuf ans dans la Quincy House. J'ai participé à quasiment tous les voyages humanitaires de la confrérie, j'en ai même organisé. Lors de ma cinquième année, j'ai même organisé un tournoi de basket inter-universitaire avec quelques universités voisines. L'intégralité des revenus gagnés suite à ce tournoi a été renversée aux familles pauvres d'Afrique. J'avais beaucoup d'amis, j'étais quelqu'un qu'il était bon de connaître. Plus personne ne se souvient du Baxter de la Mather House. Tout le monde voyait en moi le sportif au grand cœur, celui qui est là pour aider ses amis mais aussi donner un coup de main aux personnes dans le besoin.

Neuf ans se sont passé depuis que j'ai quitté New York pour rejoindre Harvard. Depuis ce jour je n'ai jamais quitté la ville, même si ma mère venait me voir de temps en temps. Aujourd'hui je vis non loin de l'université car après avoir obtenu mon doctorat, je suis devenu professeur d'éducation sportive. Je marche sur les traces de l'homme qui m'a donné une seconde chance. Je me souviens de mon premier jour en tant que professeur, je suis entrée dans la salle des professeurs, cette salle que je n'ai jamais vue en neuf ans à Harvard. Les professeurs que j'ai eus durant quelques années, étaient maintenant mes collègues. Mais le souvenir qui me restera pour toujours, c'est ce moment où un nouvel élève est venue me voir et m'a appelé : monsieur. Oui, monsieur. Aujourd'hui je suis fier de moi, aujourd'hui je suis devenu quelqu'un, maman. Et cela grâce à Harvard. Si je suis quelqu'un de bien et de respectable, c'est uniquement grâce à Harvard et j'en serais à jamais reconnaissant pour ça.