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Nice Lannister
FT. SERGIO CARVAJAL
carte d'identité
maison ou pas.. pour l'instant.
PFORZHEIMER HOUSE est sûrement la maison qui correspond le plus à Nice; c'est un garçon ambitieux, prêt à tout pour réaliser ses rêves. Il ne se laisse pas marcher sur les pieds, bien au contraire. C'est un garçon qui sait ce qu'il veut et pourquoi il le veut. Il sait comment les relations humaines fonctionnent et n'hésitent pas à manipuler quiconque pour obtenir ce dont il a envie. Du moins, il agit comme cela avec les gens qu'il connaît peu et dont il sait à l'avance qu'il ne les reverra pas. Une fois que l'on a réussi à percer sa carapace il peut se montrer plus doux, et plus sympathique. Encore faut il réussir à toucher sa corde sensible.
admission à harvard
Nice a toujours été fasciné par l’art la photographie. Capturer un instant avec pour simple outil un appareil photo. Depuis sa plus tendre enfance il pouvait passer des heures entières à contempler un seul cliché, essayant de trouver comment les émotions avaient pu se retrouver prises au piège là, sur ce bout de papier. Il a toujours été admiratif de ceux qui savaient retransmettre une sensation simplement en cliquant sur le bouton d’un appareil. Alors, dès qu’il le pouvait il essayait de faire la même chose, de capturer pour l’éternité des moments qui ne dureraient que quelques secondes. Il essayait de donner du cachet à la plus banale des images, en changeant d’angles, en réajustant les contrastes, en ajoutant des filtres parfois. Il aimait tester.Si il souhaitait intégrer un cursus c’était celui-ci. Rien d’autre, il voulait n’étudier que la photographie, se perfectionner jusqu’à devenir le meilleur. Et c’est sa passion qui a prit le dessus lors de sa candidature pour Harvard. Rien ne semblait plus évident que son envie d’apprendre. Son entretien d’entrée fut des plus simples, il n’avait qu’à parler de ce qu’il aimait le plus. Le photographie était un domaine qu’il connaissait sur le bout des doigts, c’était son sujet de prédilection, et pour une fois on lui donnait l’occasion d’en parler sans s’arrêter. En artiste fier et égocentrique qu’il était il avait amené un portfolio de ses plus beaux clichés, des photos de sa famille prise à la volée, des photos d’inconnus dans les lieux publics, des photos de paysages, de la nourriture, des oeuvres d’art, il y en avait pour tout les goûts. Chaque cliché avait été pris avec une technique différente. Nice aimait tester et n’avait pour le moment pas encore déterminé ce qui ferait sa touche personnelle. Son aplomb et le fait qu’on n’avait pu l’interrompre pour lui poser la moindre question avait fait mouche, et il fut prit.
le caractère
Nice est curieux, il aime découvrir des choses apprendre. Il peut passer des heures à démonter quelque chose simplement pour voir comment celle-ci est faite. Avec les Êtres humains il procède de la même manière, il teste afin de voir les réactions des uns et des autres. Il est fasciné par la complexité de l'Homme. Il peut s'avérer être un manipulateur. Il aime que les choses fonctionnent comme il l'entend et ne se laisse surtout pas marcher sur les pieds. Il est également distant et ne permet presque jamai que l'on entrevoit ses émotions. De prime abord, il est insensible et on peut parfois douter que ce type ait un coeur. En vérité, il le cache tant bien que mal. Il sait tout simplement que s'attacher, c'est prendre le risque de voir l'autre filer un jour. Alors il reste le plus loin possible. Avec les filles, il peut se montrer protecteur. Cela dépends souvent, de la fille en question. Il a tout simplement été témoin dans son enfance du fait que face à un homme, la plupart du temps, une fille ne peut pas grand chose. Une fois qu'on a su l'apprivoiser il se montre loyal et peut tout donner par amour. Il a le plus souvent l'esprit léger et jovial. Ou en tout cas, il essaie de faire de sa vie une fête perpétuelle. C'est également un homme ambitieux prêt à beaucoup de sacrifices pour réussir. Il est passionné en tout point ce qui peut parfois faire de lui un impulsif. Il peut lui arriver de ne pas réfléchir aux conséquences de ses paroles ou de ses actions.
derrière l'écran
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Julie, quelle originalité ! et j'ai 22 ans. Je suis Française et j'ai connu le forum grâce à top-site. Le forum était incroyablement beau, et je suis une fille facilement influençable quand il s'agit des jolies choses alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Sergio Carvajal comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Sweat Disaster. Je fais environ quelques mots par RP et mon personnage est un scénario crée par Phoenix Lannister.
Je souhaite
je veux être parrainé si oui, par La personne qui acceptera un boulet comme moi (voir la liste des parrains)
je veux participer au Summer Camp ! (voir les explications, pas besoin de poster pour s'inscrire)
Je recense mon avatar ▲
si scénario:
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- Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u9456]☆[/url] [url=http://www.i-love-harvard.com/t92242-fm-teamlannister]☆[/url] <span class="pris">SERGIO CARVAJAL</span> • “ Nice Lannister ”[/size]
I SEE HUMANS BUT NO HUMANITY
Life isn't always fair
Le jeune homme vint au monde dans la magnifique ville de Paris. Ce qui, étrangement donna envie à sa génitrice de le prénommer Nice, autre ville française, très peu semblable à la capitale. Il faut croire qu'a défaut d'être vertueuse, elle avait de l'humour. Le poupon demeura sur le territoire français très peu de temps puisque, la femme qui le mit au monde décida de quitter le pays pour suivre un autre de ces amants, à Londres. Une quinzaine de mois après la naissance du jeune garçon, un miracle fit son apparition dans la ville pluvieuse. Un deuxième enfant, que la femme qui écartait les cuisses plus vite que son ombre décida, allait savoir pourquoi d'appeler London. Peut-être avait-elle gagné en cohérence ?
Très rapidement, le bambin comprit que ce n'était ni l'intelligence hors paire ni l'incroyable pudeur de leur mère qui allait les faire vivre.
Alors décida que coûte que coûte il fallait protéger la petite fille.
Oh, ils n'ont jamais été réellement malheureux, ni l'un ni l'autre. Mais Nice détestait l'instabilité de sa mère; malgré son âge il voyait bien que tout cela n'était pas normal, que quelque chose clochait dans la manière dont il était éduqué. Les familles à la télévision n'étaient pas comme la leur. Les autres enfants avaient des papas avec lesquels ils pouvaient jouer au foot et faire des chateaux forts avec les couvertures. Ils ne changeaient pas de foyer tous les six mois pour aller vivre chez un homme qu'ils ne connaissaient pas. Les mamans avaient de vrais travails. Chaque fois qu'il avait demandé à la sienne quel était le sien elle avait toujours répondu le plus simplement du monde "mon travail à moi c'est de m'occuper de vous.". Mais s'occuper de ses enfants ce n'était pas un travail et Nice le savait, s'occuper des gens qu'on aimait c'était normal. Il avait toujours fait au mieux pour qu'au moins, sa petite soeur ne se rende pas compte de tout cela. Il posait le moins de questions possibles, agissait le plus normalement du monde et gardait tout ses ressentis pour lui. Il n'avait pour seul objectif que de préserver au maximum l'innocence de la personne qu'il aimait le plus au monde.
Et puis, leur maternelle fini par mourir. Nice ne se souvient plus trop bien de quoi, peut-être d'une MST ou d'un truc du genre, ça ne serait pas vraiment étonnant. Bien évidemment son Jules de l'époque refusa de prendre en charge les enfants, et ils se retrouvèrent officiellement orphelins. Le garçon s'était toujours plus ou moins sentit comme tel, délaissé par une mère absente, trop occupée à chercher le réconfort dans le lit des hommes qu'elle fréquentait. Il n'avait jamais connu son père, probablement aussi alcoolique et méprisable que chacun des amoureux de sa mère.
Alors, malgré un rapide sentiment de chagrin, qui ne durera qu'une dizaine de jours, il ne ressentit pas vraiment de peine à l'annonce de la nouvelle. Contrairement à sa cadette, qui allait semblait complètement dévastée. Dans le fond, c'est ça qui lui fit le plus de mal, voir London si effondrée. Ça lui faisait peur de ne pas réussir à lui remonter le moral, il ne l'avait jamais vu si mal. Pire encore, ils durent quitter leur Londres pour aller s'exiler sur le continent Américain.
L'enfant tenta de ne pas le montrer mais il était aussi effrayé que sa soeur à l'idée de quitter tout ce qu'il connaissait. Il craignait aussi de tomber dans une famille encore plus barrée que celle qu'ils avaient déjà. Cette tante était elle, une mère plus maternelle que la leur ? Eh bien non, elle fut encore plus cruelle et décida de ne pas garder ces mioches qu'elle n'avait jamais vu.
Ils furent envoyés illico presto à l'orphelinat, où, ils inventèrent le plus gros mensonge de leur vie :
Ils étaient désormais jumeaux.
Après tout, on aurait plus de scrupule à séparer des jumeaux qu'une fratrie liée seulement par la même mère. La soeur était plus menue et plus petite, mais d'après ce que le garçon avait pu remarquer, les femmes étaient souvent plus fluettes que les hommes. Leur différence d'âge ne se remarqueraient pas, et ils optimiseraient leur chance de rester ensemble. Il savait également que les humains, si inhumains qu'ils étaient comprendrait bien plus le fait qu'il ne supporte pas que sa soeur soit hors de son champ de vision si ils étaient nés ensemble. Oh, bien sûr, il ne fallait pas être un génie pour comprendre qu'un gamin qui venait de perdre tout ses repères avait besoin d'être près de la seule personne en qui il avait confiance. Mais le petit garçon avait vite comprit que tout le monde n'était pas doté de la même intelligence. Il serait vite passé pour malsain ou benêt en rejoignant le petit lit de London les nuits où il faisait des cauchemars si leur proximité ne s'expliquait pas par leur gémellité.
Oh, oui, ce mensonge était réellement la meilleure chose qu'ils avaient fait jusqu'alors.
Et puis, dans ce petit orphelinat, le garçon se découvrit une passion, quelque chose qui donnait un sens à sa vie : la photographie.
C'est l'une des infirmières de la pension qui lui a prêté son petit appareil photo lors d'une après-midi ensoleillée, le gamin avait rempli la pellicule d'images diverses et la jeune femme vit en lui un artiste. Elle l'inscrit dans une petite école de photo, pour les gamins de son âge. C'est là qu'il rencontra sa mère, sa VRAIE mère. Elle était douce, gentille, patiente, et le gamin d'habitude si sauvage n'eut pas la moindre hésitation à lui confier tout ses tourments. La grande dame, touchée par les confidences du môme décida de les prendre à sa charge, lui et sa jumelle. Car Nice et London se l'était juré, personne ne devait jamais découvrir leur petit secret, désormais si bien gardé.
Dans cette grande fratrie, les deux enfants se firent rapidement une place. Malgré certaines différences qui créèrent bien vite des différents entre les gamins, Nice pouvait dire sans trop mentir qu'il aimait ses frères et soeurs. Il s'était attaché à chacun d'entre eux pour des raisons diverses et variées que même lui ne connaissaient pas. Il n'arrivait pas en supporter certains pour des raisons qu'il connaissait à peine. Mais une chose était sûre, tous faisait partie de sa famille, de sa VRAIE famille. Il était enfin apaisé et heureux. Il ne pensait plus sans cesse qu'une catastrophe allait arriver et qu'il faudrait à ce moment là prendre une décision rapide pour se sauver et sauver London au-même moment. Il n'avait plus l'impression que chaque inconnu qui mettait les pieds dans son foyer pouvait potentiellement lui faire du mal. Oui, il se sentait enfin en sécurité et la pression constante qu'il avait ressenti depuis presque toujours avait disparue.
Il savait qu'aucune des personnes présentes au sein de cette nouvelle maison ne lui voulait le moindre mal, pas même ceux de ses frères et soeurs qui l'agaçaient.
Certains avaient probablement une histoire similaire à la sienne, il ne savait pas. Il n'avait jamais demandé et ne comptait pas demander. Non, jamais, il ne reparlerait de tout ça avec qui que se soit. Pas même avec London, quand un souvenir désagréable refaisait surface il n'avait qu'à la regarder, et à l'expression sur son visage il comprenait si elle aussi avait la même image désagréable en tête.
Désormais adulte, il fait des études de photographie à Harvard, ce qui le rend extrêmement heureux. Il n'a jamais cessé de faire des photos depuis son passage à l'orphelinat. Chaque jour; il expérimente des choses. Et il compte bien se faire un nom dans le milieu artistique, coûte que coûte. Après tout, il est presque certain d'être destiné à vivre de son art. Ça serait une évolution dans les générations, sa mère à lui vivait de son corps après tout !
(Invité)