Emily Christine Sawyer ► Kaley Cuoco

C'est le 10 janvier 1991 à Manhattan (New York), que les membres de la famille Sawyer m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Emily Christine. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de psychologie depuis presque 3 ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Cabot ou les Eliot (uniquement si confréries).

J’adore faire du shopping. ▲ J’adore le chocolat…je suis une « bibitte à sucre », comme dit ma mère. ▲ Je ne sors jamais sans maquillage. ▲ J’adore rire et on dit que j’ai un rire communicatif. ▲ Je ne me sépare jamais de mon portable (sauf quand je suis sous la douche). ▲ J’adore les comédies romantiques. ▲ Je suis abonnée à trois magazines qui parlent des stars d’Hollywood. ▲ Ma couleur préférée est le mauve. ▲ Pour me plaire, un garçon doit être capable de me faire rire. ▲ Je regarde le statut de mes amis sur Facebook au moins trois fois par jour.

▲ J’ai appris la mort de mon père cinq heures avant de prendre l’avion et m’envoler pour Cuba pour un petit voyage entre amis. Bien entendu, mon voyage est tombé à l’eau et je ne suis pas partie.

Les Mathers organisent une soirée arrosée, t'y vas, t'hésites ?

J’y vais, car j’adore socialiser et rencontrer de nouvelles personnes – ce qu’on peut très bien faire lors d’une soirée – et, même si j’exagère rarement sur la boisson, j’aime bien boire et m’amuser!

Les Quincy ont planifié un voyage humanitaire, participeras-tu ? Ou qu'en penses-tu ?

Je ne sais pas si j’y participerais ; j’adore aider les autres, mais, je suis plus du type à me prélasser sur les plages d’un complexe hôtelier cinq étoiles quand je vais en voyage!

Les Lowells ont annoncé un talent show, auditionneras-tu ? Si oui, pour quoi faire ?

Non!

Une Cabot t'approche, elle est belle et très gentille... Parfaite, quoi ! Voudrais-tu lui ressembler ou tu t'associes déjà à elle ?

Je suis, moi aussi, belle et très gentille, donc, oui, je m’associe déjà à elle!

Les Winthrops font une enchère tous les ans. Serais-tu du genre à acheter un homme afin qu'il soit à ton service ?

Oui, surtout si la cause à laquelle est remise l’argent de cette vente m’intéresse!

Tu vois un Eliot arriver en Ferrari, lunettes de soleil et fringues de marque, tu en penses quoi ?

J’ai, moi-même, beaucoup d’argent et j’ai une belle voiture, des lunettes de soleil et des fringues de marque et, je ne m’en vante pas, mais je le comprends!

Une série de conférences de 3h sur la littérature anglaise à l'époque Victorienne est organisée à Harvard par les étudiants de la Dunster House tous les soirs pendant une semaine. Serais-tu du genre à y aller ?

Non, passer, volontairement, 3h a écouter parler d’un sujet qui ne m’intéresse pas, non merci!

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Angelrox et j'ai plus que 20 ans, mais moins que 30. Je suis québecoise et j'ai connu le forum grâce à top-site obsession. Le forum semble actif et super intéressant alors j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, je m'en sors bien . J'utilise Kaley Cuoco comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par bazzart & tumblr. Je fais environ 400 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲

« Ton histoire débute véritablement le soir du bal de promo de ton père et moi. C'est ce soir-là que ta soeur et toi avez été conçues. Même si on se trouvait trop jeunes pour devenir parents, j’étais tellement contente et j’aimais tellement ton père qu’on a décidé de vous garder et le jour où ta soeur et toi êtes venues au monde fut le plus beau de notre vie, mais, tu nous a tellement fait peur, car, contrairement à ta soeur, tu ne respirait pas et ton coeur ne battait presque pas, donc, à quelques minutes de vie, tu as été opéré. Quand les médecins m’ont annoncé que tu étais hors de danger j’ai été tellement soulagé. » Voilà la réponse de ma mère quand je lui demande de me parler de ma naissance.

Mes parents nous on envoyé dans une école privée, près de chez nous, dès la maternelle, car, pour eux, l’éducation était une chose primordiale. On avait toutes les deux de bons résultats scolaires, mais on a pu voir que j’étais bien plus extravertie, sociable et populaire que ma jumelle. Un soir, après une journée d’école, nous mangions à table tous les quatre (ma mère, mon père,, ma sœur et moi) et on se racontait nos journées quand j’ai annoncée : Aujourd’hui, on devait parler d’une activité que l’on aime faire et mon amIe nous à montrer une vidéo d’une de ses compétitions de gymnastique artistique! Je peux en faire moi aussi? Après en avoir longuement discutés, mes parents m’ont donné leur accord et, c’est ainsi, qu’à dix ans, je joignais l’équipe de gymnastique de mon amie. J’ai choisie de quitter l’équipe un peu après mon quatorzième anniversaire, car je n’avais plus autant de plaisir qu’au début à pratiquer cette activité et je n’avais presque plus de temps pour mes études.

Deux ans plus tard, j’étais rendue à ma dernière année au lycée, je venais d’être élue présidente des élèves, j’étais l’élève de ma promotion avec les meilleurs résultats scolaires, j’avais des amis géniaux, un super petit copain (avec qui j’ai rompu un an plus tard) et, pour couronné le tout, j’ai été acceptée en psychologie à Harvard. Sauf que, quelques mois plus tard, ce monde quasi-parfait fut ébranlé par la mort de mon père dans le cadre de son travail de policier. J’ai pensé abandonner l’idée d’aller étudier à Harvard pour rester à la maison avec ma mère dans cette dure épreuve, mais si je ne faisais rien pour m’occuper, je sentais que j’allais, moi aussi, m’effondrer. Finalement, c’est ma mère qui m’a poussée à ne pas s’en faire pour elle et aller à l’université en me rappelant que mon père était tellement fier quand il avait appris que ces deux filles avaient été acceptées à Harvard que c’est ce qu’il aurait voulu.

J’étudie maintenant à Harvard en psychologie depuis environ trois ans, je retourne a la maison, pour voir ma mère, une ou deux fois par mois et cette vie me convient parfaitement. Je n’oublierai jamais mon père, mais, même si, pendant les premiers mois suivant sa mort, j’étais beaucoup moins sociable et plus renfermée sur moi-même, j’ai repris le dessus et, depuis, je suis redevenue la fille sociable, extravertie et souriante que j’étais avant la mort de mon père.